Le groupe animaliste PETA vise l’industrie canadienne du homard

Publicité

Articles similaires

Retrouvailles émouvantes : Le parcours d’une néo-madelinienne

Cette semaine, notre collaboratrice aux Îles-de-la-Madeleine, Stéphanie Benoît nous...

La redevance de 30 $ aux Îles-de-la-Madeleine, une mesure liberticide?

Atteinte à la liberté de circulation, taxation abusive, mesure...

Le groupe animaliste international PETA, qui défend traditionnellement les animaux terrestres, s’intéresse de plus en plus aux animaux marins, ce qui l’amène à viser l’industrie canadienne des pêches.

La cible la plus récente du groupe est l’usine Omera Shells à Richibucto, au Nouveau-Brunswick. Des résidents de la région dénoncent les odeurs qui s’en dégagent. L’usine transforme des résidus de crustacés. Le produit est exporté en Asie où il sert à l’industrie biomédicale et à la production d’engrais. L’organisme PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), a publié un communiqué, le 30 août, signalant son intention de faire voler une bannière ou d’installer un panneau publicitaire près de l’usine pour présenter son message. Le texte serait I’m Me, not MEAT. See the individual. Go Vegan. Ce slogan qui a pour but d’encourager les gens à devenir végétaliens fait partie d’une campagne destinée à attirer l’attention sur les produits marins. PETA cherche toujours de nouveaux moyens d’aider les animaux en encourageant les gens à adopter un style de vie santé et végétalien, et nous nous concentrons de plus en plus sur les animaux marins, explique une porte-parole de l’organisme, Amber Canavan.

LA UNE : L’une des publicités installées dans les stations de métro de Toronto par le groupe PETA.  Photo : CBC/Chris Glover