Accueil Blog

Toyota procède au rafraîchissement du Corolla Cross pour 2026

0

Depuis son arrivée sur le marché, le Toyota Corolla Cross n’avait pas subi de transformations esthétiques significatives. Cependant, en 2026, le constructeur offre un premier rafraîchissement important à son VUS sous-compact. Malgré cela, le Corolla Cross restera facilement reconnaissable avec des changements extérieurs, principalement du côté de la grille et du pare-chocs pour certaines versions. D’autres changements sont aussi au programme sur les plans pratique et technologique à bord.

Un nouveau nez

Le premier détail qui saute aux yeux quand on voit les premières images du Toyota Corolla Cross 2026 est la portion avant retravaillée. Même s’il demeure facilement reconnaissable, le VUS sous-compact bénéficie d’une nouvelle grille de calandre sur les versions à essence. De leur côté, les versions hybrides bénéficient d’un carénage avant complètement revu, d’une nouvelle calandre et aussi d’un nouveau pare-chocs. D’ailleurs, la portion de grille monochrome avec le pare-chocs sur l’hybride n’est pas sans rappeler le design qu’on peut observer sur le Toyota Crown Signia.

En outre, deux nouveaux modèles de roues font leur apparition. La première est une roue de 18 pouces au fini métallisé gris foncé avec garnitures usinées sur le modèle XLE. La seconde est aussi une roue de 18 pouces, mais au fini noir lustré sur le modèle XSE hybride. L’autre changement extérieur notable est l’arrivée de la couleur extérieure bleu cavalerie. Toyota mentionne que cette dernière sera offerte en option sur les versions LE et XLE. Les versions hybrides auront aussi droit à cette peinture, mais dans un coloris à deux tons qui inclura le toit en noir.

Un habitacle un peu plus pratique et technologique

L’habitacle du Toyota Corolla Cross 2026 n’est pas laissé de côté puisqu’il bénéficiera également de quelques améliorations. On commence avec une console avant qui est redessinée pour toute la gamme. Selon le constructeur, ce changement permettra de maximiser l’espace utilisable sur tous les modèles. De plus, les versions LE Premium, XLE, SE et XSE hybride bénéficieront désormais d’un écran multimédia de plus grandes dimensions, soit 10,5 pouces. Les autres versions conserveront, quant à elles, un écran de 8 pouces.

Du côté de l’instrumentation devant le conducteur, les versions L, LE et SE hybride bénéficieront d’un écran multifonction de 7 pouces, tandis que les versions XLE et XSE hybride recevront un ensemble d’instruments numériques de 12,3 pouces. D’autres changements sont aussi soulevés par Toyota dans son communiqué de presse comme l’ajout de la couleur intérieure appelée Portobello sur le modèle XLE ; de plus, les sièges arrière sont désormais chauffants de série sur les versions XLE et XSE hybride.

Conserver ses acquis

Sur le plan technique, Toyota conserve les acquis du Corolla Cross et n’apporte aucun changement de ce côté en 2026. Les versions hybrides conservent donc le système hybride électrique de 5e génération de Toyota qui compte un moteur à 4 cylindres de 2 litres jumelé à 3 moteurs électriques et à la transmission à variation continue à commande électronique (eCVT). La puissance annoncée demeure à 196 chevaux, et le rouage intégral électronique demeure aussi de série.

Les modèles à essence conservent de leur côté le 4-cylindres de 2 litres qui développe une puissance de 169 chevaux et qui est jumelé à une transmission à variation continue (CVT). L’approche à deux rouages disponibles est aussi maintenue. Les versions L et LE seront offertes en traction ou en intégrale, tandis que les versions LE Premium et XLE seront munies du rouage intégral.

Pour le moment, la gamme de prix du Toyota Corolla Cross 2026 n’a pas encore été annoncée. Le constructeur mentionne que son VUS sous-compact 2026 devrait arriver dans les concessions Toyota du Canada au cours de l’année, et que les prix seront annoncés à l’approche de son arrivée sur le marché.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »hHQDWSTw »]

Jeep dévoile l’extérieur et l’intérieur du nouveau Grand Cherokee 2026

0

Introduit en 1993, le Jeep Grand Cherokee est l’un des véhicules précurseurs du marché des VUS. On connaît la suite, l’engouement des acheteurs envers les VUS n’a cessé de grandir au point où, de nos jours, les voitures disparaissent dramatiquement du marché.

Le Jeep Grand Cherokee demeure commercialisé dans sa 5e génération depuis 2021, mais le constructeur a décidé de lui apporter un léger rafraîchissement pour l’année modèle 2026. Afin de nous titiller les yeux un peu, Jeep vient de dévoiler les premières images officielles de son Grand Cherokee 2026.

Des changements assez discrets

Ces premières images présentent sans doute les changements les plus importants sur le véhicule. On peut y apercevoir la portion avant sans camouflage ainsi qu’une partie du tableau de bord. À l’extérieur, on peut voir que la partie avant du Grand Cherokee 2026 ne s’éloigne pas trop de celui de l’actuelle génération, mais on remarque que les feux de jour à DEL encadrent maintenant entièrement les phares. La partie inférieure de la calandre est désormais intégrée tout en largeur avec des prises d’air qui descendent un peu plus bas dans les côtés. La partie centrale de la grille est aussi assortie à la couleur du véhicule.

L’intérieur reprend une bonne partie de la présentation actuelle, mais on remarque quelques changements subtils, notamment le retour de certaines commandes classiques et un écran tactile plus imposants. C’est surtout la portion qui comprend les commandes du climatiseur qui a été modernisé.

Le Jeep Grand Cherokee 2026 sera dévoilé ultérieurement et devrait être commercialisé plus tard cet automne. Jeep a confirmé que le véhicule sera toujours proposé en version à 2 et à 3 rangées de sièges, le Grand Cherokee L. La motorisation hybride rechargeable 4xe sera de retour, mais il n’est pas impossible qu’elle soit optimisée. On espère sans aucun doute que l’autonomie électrique sera revue à la hausse.

Pour 2025, le Jeep Grand Cherokee est proposé au prix de base de 57 454 $. En version 4xe, sa motorisation hybride rechargeable procure une autonomie électrique annoncée de 42 kilomètres.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »fPHJfPPd »]

Véhicules trop technologiques? La valeur moyenne des sinistres a doublé!

0

On vous rapportait récemment que certains véhicules prisés par les voleurs ont vu leur prime d’assurance exploser au pays, ce qui rend plus alléchant l’achat du même modèle, mais légèrement plus âgé. Il n’y a pas que le vol qui contribue à hausser la valeur des réclamations et des primes d’assurance.

Les véhicules modernes sont beaucoup plus technologiques et facilitent la vie des conducteurs, mais ces ordinateurs sur roues sont devenus beaucoup plus coûteux à réparer. Phares intelligents à DEL, pare-chocs avec capteurs et radar, rétroviseurs comprenant des caméras, larges écrans numériques, tous ces composants ont fait exploser le coût moyen des sinistres au cours des dernières années.

Des coûts de réparation qui ont doublé

C’est ce que rapporte le Bureau d’assurance du Canada qui mentionne que, sans surprise, le coût pour réparer un véhicule ou pour le remplacer augmente année après année. Selon l’organisme, les véhicules modernes sont devenus de véritables ordinateurs sur roues, ils sont dotés d’une technologie de plus en plus sophistiquée, ce qui fait augmenter le coût des réparations ainsi que leur valeur. Il faut aussi ajouter en prime l’augmentation du coût des pièces et de la main-d’œuvre en raison de l’inflation.

Toujours selon le Bureau d’assurance du Canada, le coût d’un sinistre payé sous la garantie collision a doublé entre 2013 et 2023, passant de 4 000 $ en moyenne à 8 000 $. Il faut souligner que l’étude compile les données jusqu’à 2023 ; il est plus que probable que la hausse s’est poursuivie en 2024 et qu’il en sera de même en 2025.

Pour l’année 2023, il y a eu 558 252 sinistres au Canada, pour une fréquence de 10,19 %. On peut s’imaginer le montant global des réclamations annuellement.

La firme canadienne Morningstars DBRS, fournisseur de notations, notamment pour les compagnies d’assurances, laissait entendre il y a quelques mois que les acheteurs de véhicules électriques devraient s’attendre à payer davantage pour l’assurance puisque les assureurs ajusteront leurs modèles de tarification à mesure que davantage de données sur les réclamations liées aux véhicules électriques seront générées. Selon les données recueillies, les réparations et les pièces de rechange pour les véhicules électriques sont très coûteuses, ce qui incite certains assureurs à considérer les véhicules endommagés comme des pertes totales plutôt que de tenter de les réparer.

Une hausse importante des primes d’assurance

Bien entendu, cette hausse apporte des coûts d’assurances plus élevés pour tous les Canadiens. Au Québec, la prime moyenne en assurance automobile était de 897 $, soit 407 $ pour la responsabilité civile, 368 $ pour la collision et 209 $ pour la portion accident sans collision. Il s’agit d’une hausse importante par rapport 2020, alors que la moyenne se situait à 733 $. En 10 ans, les primes moyennes d’assurance pour un véhicule ont bondi de 557 $ à 897 $.

Malgré tout, le Québec demeure la province canadienne qui profite de la prime moyenne d’assurance la plus basse au pays selon les chiffres du Groupement des assureurs automobiles, et ce, même en ajoutant la portion pour les dommages corporels perçus par la SAAQ. Pour 2023, c’est l’Ontario qui menait le bal des primes les plus chères avec une moyenne de 1 826 $.

Voici le détail pour certaines provinces :

  • Ontario – 1 826 $
  • Alberta – 1 670 $
  • Colombie-Britannique – 1 461 $
  • Terre-Neuve – 1 329 $
  • Nouvelle-Écosse – 1 251 $
  • Nouveau-Brunswick – 1 177 $
  • Île-du-Prince-Édouard — 993 $
  • Québec — 960 $

Malgré cet écart, il devient de plus en plus difficile de trouver une assurance à un prix décent au Québec, et c’est encore plus vrai pour les jeunes acheteurs.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »nXjiUi6w »]

Une influenceuse affirme avoir fréquenté un joueur du CH et estime qu’«il ne voyait pas juste une fille»

La sœur de l’ex-candidate d’Occupation Double Florence Belzile, la créatrice de contenu Françoise Belzile, a récemment partagé une vidéo dans laquelle elle affirme avoir déjà fréquenté un joueur des Canadiens de Montréal.

C’est dans une vidéo partagée sur TikTok que la jeune femme a allégué avoir fréquenté un joueur de l’équipe de hockey montréalaise, une idylle qui, selon ses propos, aurait malheureusement tourné au vinaigre.

En effet, elle raconte qu’après avoir lancé, à la blague, le souhait de sortir avec un joueur du Tricolore à Noël, elle aurait reçu un message privé de l’un d’entre eux… l’invitant carrément à le rencontrer.

Elle aurait finalement rencontré le joueur dans le cadre d’une double date, mais raconte que la soirée aurait pris une tournure étrange, lui laissant un goût amer.

Une semaine plus tard, il lui aurait réécrit pour l’inviter à un second rendez-vous, cette fois beaucoup plus agréable. Ce tête-à-tête aurait ensuite mené à plusieurs autres rencontres, jusqu’à ce qu’un silence d’un mois s’installe entre eux.

Finalement, le joueur l’aurait recontactée en lui proposant de partir une semaine en vacances avec lui à Tulum. Séduite par l’invitation, elle accepte… mais découvre rapidement qu’il fréquenterait en réalité… pas moins de sept autres filles en même temps, selon ses dires!

«(…) Tu te rends compte, pendant le voyage, que non seulement il ne voyait pas juste une fille, mais il en voyait sept (…)», affirme en effet Françoise.

Lorsqu’elle aurait abordé la situation avec lui, il lui aurait simplement répondu qu’elle devrait se sentir chanceuse d’être avec lui.

«(…) Lorsque tu abordes le sujet avec lui, à la place de dire: Ah, je m’excuse d’avoir vu six autres filles, il dit: Tu devrais vraiment être chanceuse d’être en voyage avec moi, c’est toi qui as gagné (…)», raconte-t-elle.

Elle aurait alors mis un terme à leur histoire, ne souhaitant pas poursuivre dans ces conditions. Elle affirme toutefois que, de son côté, le joueur continuerait de fréquenter certaines des autres filles.

@francoisebelzile

Anyway la saison est finie bonne fin de soiré à tous

♬ original sound – Françoise

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

We Will Rock You: Si Queen nous délivrait de «Mike chez Rona»

Imaginez un univers où tout le monde, à peu près dépouillé de son âme, sous le joug d’une intelligence artificielle, serait condamné à écouter sans arrêt une seule et même musique.

(Et imaginez combien d’autant plus pénible s’avérerait ce scénario si ladite musique était l’abrutissante ritournelle de «Mike chez Rona»… Au secours!)

Bon, oubliez la pub de l’heure, parce qu’on parle plutôt ici de We Will Rock You, pièce du Britannique Ben Elton rendant hommage à l’œuvre de Queen et portée par les tubes légendaires du mythique groupe de Freddie Mercury, laquelle vient de prendre l’affiche à l’Espace St-Denis, à Montréal.

Un énième blockbuster des planches né en Angleterre, applaudi dans une trentaine de pays depuis près de 25 ans et entériné ici par la vente de 25 000 billets en cinq mois, avant même la première médiatique, qui avait lieu mercredi devant un parterre d’artistes (incluant la récente cohorte de Star Académie) et de médias.

Annie Villeneuve dans une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Dans We Will Rock You, les êtres humains sont désignés par des numéros et se «reformatent» à qui mieux mieux. La redoutable Killer Queen (Annie Villeneuve), androïde dominatrice, et sa méga corporation mondiale Globalsoft, veillent à garder le contrôle sur l’humanité – et ce que celle-ci écoute. Gare à ceux et celles qui oseront sortir du rang, penser par eux-mêmes, rêver à grand et… fredonner Oops!… I Did It Again.

Nous sommes dans le futur, quelque part dans les années 2300, dans une société dystopique (où Britney Spears est décédée!), sur fond de laquelle se dessine un combat épique entre le bien et le mal au nom de l’amour et la passion du rock’n’roll. Les rebelles Galileo (Pierre-Olivier Grondin) et Scaramouche (Frédérique Cyr-Deschênes), alias les Bohémiens aux noms rappelant une certaine Bohemian Rhapsody, n’entendent pas se laisser dicter leur existence et s’unissent pour faire triompher le pouvoir de la musique. De toutes les musiques.

Une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Et leur lutte se ponctue de titres que vous connaissez bien : I Want it All, We Are The Champions, Under Pressure, Bohemian Rhapsody, Another One Bites The Dust, Crazy Little Things Called Love, Don’t Stop Me Now, Somebody To Love, The Show Must Go On, I Want to Break Free et… Devinez? Eh oui, We Will Rock You. Bref, une trame sonore 100 % Queen. Projetée en pistes enregistrées et non livrée par un orchestre en chair et en os.

Avec cette relecture québécoise de We Will Rock You, le metteur en scène Steve Bolton signe un spectacle particulièrement vitaminé, aux décors absolument magnifiques, entre des projections évoquant une cité urbaine scintillante fantasmée et un repaire aux airs de grenier dûment construit, avec échelles de bois et plateforme surélevée.

Costumes, chorégraphies, éclairages : visuellement, We Will Rock You en jette superbement. C’est beau, c’est léché, c’est coloré, c’est soigné. Chaque tableau comporte ses jolies surprises. Et Dieu sait qu’avec pareil cadre, c’aurait été facile de verser dans le ridicule.

Une scène de la comédie musicale We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Pas de grande prestation d’acteurs-chanteurs à signaler (ils sont 16 sur scène). Chacune des voix brille au moment qui lui est propre, sans que quiconque ne vole la lumière. Pierre-Olivier Grondin suscite les rires lorsqu’il révèle toutes les chansons qui se bousculent dans sa mémoire (occasion de clins d’œil à Plume Latraverse, Richard Séguin, Ginette Reno, Gerry Boulet, à Agadou dou dou, au Bal masqué, à La Ziguezon, à Who Let The Dogs Out…)

La renaissance des Bohémiens au dernier droit du récit, avec la découverte émerveillée d’instruments de musique, et les numéros finaux sur We Are The Champions et Bohemian Rhapsody nous laissent sur une note pétillante.

Pierre-Olivier Grondin dans une scène de We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

L’audacieux mélange de science-fiction et de comédie musicale sur lequel repose We Will Rock You recèle beaucoup de potentiel, lequel est très bien exploité. Il faut bien sûr jouer le jeu, l’histoire gagnerait à être mieux exposée dès le départ, et peut-être que le lien entre les mélodies de Queen et la fresque futuriste aux allures de dictature virtuelle est parfois ténu (il faut d’ailleurs attendre à la deuxième partie, beaucoup plus enlevante que la première, pour vraiment s’imprégner totalement de l’esprit de Queen). Mais…

Voilà pourquoi on parle de «jouer le jeu». Pourquoi bouder son plaisir? L’ambiance imaginaire que propose l’œuvre est somme toute crédible. En bonus, We Will Rock You nous balance toute la gamme des émotions, avec beaucoup d’humour en assaisonnement.

Annie Villeneuve dans une scène de We Will Rock You / Crédit : Serge Cloutier

Sinon, peut-être avez-vous déjà lu pareilles paroles en ces pages – et sûrement ailleurs aussi –, au sujet d’autres comédies musicales: le résultat est long (2 h 35 et des poussières, avec entracte) et pourrait aisément être resserré ici et là.

Pas qu’on ait si hâte de retourner à nos téléviseurs pour retrouver Mike chez Rona, pas que les spectacles trop longs nous donnent le goût de faire la grève comme «des jeunes» qui militeraient pour ravoir leurs cellulaires en classe…

Mais, avouons-le, très rares sont les productions du genre qui ne s’étirent pas. Ce qui gâte nécessairement un peu la sauce. The Show Must Go On, oui… Mais dans des temps raisonnables, s’il vous plait.

La pièce We Will Rock You tient l’affiche de l’Espace St-Denis, à Montréal,jusqu’au 18 mai,puis se transportera au Capitole de Québec du 20 juin au 13 juillet, à l’Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières les 5 et 6 septembre, puis au Théâtre du Casino du Lac-Leamy, à Gatineau, du 2 au 19 octobre. Pour informations : gestev.com.

Quelques faits amusants sur We Will Rock You

Il faut 1 heure pour maquiller chaque artiste du spectacle…

Les décors ont pris 3 mois à construire…

La troupe a dû répéter pendant environ 4000 heures…

Les décors se déplacent dans 3 camions de 53 pieds chacun…

Et We Will Rock You exige l’utilisation de près de 200 costumes et accessoires!

Survivor Québec: Une sortie attendue, mais émotive

Privée de son allié Kevin, Élodie sait que ses jours au sein d’Ugat sont comptés. Plutôt que de lutter, elle choisit d’accueillir cette fin avec dignité et partage un moment particulièrement émouvant avec Sarah et Marilou, ses alliées de cœur.

Capture Noovo

Un conseil de tribu sous le signe des émotions

Lors du conseil de tribu, Patrice revient sur les colliers d’immunité désormais bien connus de Sarah et Éric. Tous deux réaffirment leur intention de s’en servir au bon moment pour protéger leur alliance.

Patrice questionne également Élodie sur son ressenti après avoir reçu trois votes contre elle au dernier conseil. Touchée, Élodie exprime avec émotion sa fierté d’avoir joué à sa façon.

Capture Noovo

Le verdict tombe: Élodie éliminée

Sans grande surprise, le vote scelle le sort d’Élodie, qui quitte l’aventure avec dignité.

Capture Noovo

De retour au camp, les membres d’Ugat commencent déjà à se projeter vers la suite, discutant des informations à dévoiler ou non lorsque la fusion aura lieu.

Capture Noovo

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Bisque de homard

Ingrédients

  • 1 homard des Îles de la Madeleine entier d’environ 1 1/2 lb, cuit
  • (1/4 tasse d’huile végétale
  • 1 oignon moyen, coupé en gros morceaux
  • 2 branches de céleri, coupées en gros morceaux
  • 2 carottes, coupée en gros morceaux
  • (1 c. à soupe d’ail, haché finement
  • 2 c. à soupe de pâte de tomate
  • 6 c. à soupe de farine tout usage
  • 1/4 tasse de cognac ou de brandy
  • 1 tasse de vin blanc
  • 2 tasses de jus de palourdes
  • 2 tasses d’eau
  • Sel et poivre noir du moulin
  • Crème 35 %45 ml (3 c. à soupe par bol) ou plus au goût
  • 1/2 baguette de pain

Préparation

  • Préchauffer le four à 175 °C (350 °F).
  • Décortiquer le homard et réserver la chair pour une autre recette.
  • À l’aide d’un rouleau à pâte, concasser la carcasse de homard afin d’obtenir de petits morceaux.
  • Dans une casserole, chauffer l’huile à feu moyen-vif. Faire revenir les morceaux de carcasse de 6 à 7 minutes.
  • Ajouter les légumes, l’ail et la pâte de tomate. Cuire de 3 à 4 minutes.
  • Flamber au cognac.
  • Ajouter la farine et bien mélanger.
  • Ajouter le vin, le jus de palourdes et l’eau. Saler et poivrer.
  • Laisser mijoter environ 40 minutes, en écumant à l’occasion.
  • À l’aide d’un tamis fin, filtrer la bisque, en pressant avec le dos d’une louche afin d’extraire le maximum des saveurs.

Au moment de servir

  • Remettre la bisque sur le feu. Ajouter la crème. Rectifier l’assaisonnement.
  • Accompagné de croûtons.

 

PAR DANIEL BOUFFARD

 

Gemini Médias souhaite à tous les travailleurs et travailleuses de la mer une saison abondante, sécuritaire et remplie de belles prises.

Perdre Matthew Knies cet été : les Maple Leafs doivent faire attention

En ce moment, les Maple Leafs vont bien en séries. Eh ben!

Pour la première fois depuis 1963, les Maple Leafs ont été chercher une deuxième avance de 2-0 dans une série au sein d’un même parcours éliminatoire. Ce n’est pas rien.

Est-ce que le club est en train de vaincre ses démons? On verra.

Dans tout ça, mine de rien, en huit matchs de séries, Matthew Knies se retrouve avec quatre buts. À part William Nylander, personne n’en a autant ou plus que lui à Toronto depuis le match #1 contre les Sénateurs d’Ottawa.

Il fait clairement partie de la solution, lui. Et à Toronto, il est aimé.

Hier encore, il a vu son entraîneur lui faire confiance en jouant pendant 22:48. Seul Auston Matthews, qui n’est pas exactement un pied de céleri, a joué plus chez les Maple Leafs.

Donc oui, il est important.

Matthew Knies, qui a cinq points en séries pour le moment, est en fin de contrat. Il sera agent libre avec restriction quand son contrat d’entrée viendra à échéance, le 1er juillet prochain.

Que feront les Maple Leafs rendu là?

Comme Nicolas Cloutier l’a mentionné dans un texte portant sur les joueurs à surveiller en cas d’offre hostile, les Maple Leafs pourraient être pris à la gorge si Mitch Marner et John Tavares devaient rester en ville.

Et de là, un club pourrait en profiter pour mettre les Maple Leafs dans le trouble avec une offre d’environ huit millions de dollars par année pour Knies, un Américain qui a marqué 29 buts et récolté 58 points cette saison dans la Ville-Reine.

Notons que le dossier des offres hostiles fait vraiment jaser, dans la LNH. Jeff Gorton croit qu’il y en aura potentiellement plusieurs, mais Julien BriseBois (qui en a parlé à Mario Langlois au 98.5 Sports) n’en est pas si certain, lui.

On verra bien… mais pour que ça arrive, ça va prendre une situation en particulier. Et les Maple Leafs pourraient se placer dans cette situation-là s’ils ne font pas attention prochainement.

en rafale

– Bonne écoute.

– À noter.

– À surveiller.

– Les Panthers n’ont pas peur.

– Ça va mal à Toronto.

La Mouvée : La prochaine bande-dessinée de Capitaine Acadie à l’Î.-P.-É.

Zombie, extraterrestre et patate, voilà des mots rarement associés, mais qui prennent tout leur sens dans Cauchemar à l’Île-du-Prince-Édouard, le neuvième volume de la série de bandes dessinées Capitaine Acadie. Ce projet ambitieux est le fruit d’une collaboration entre le Carrefour de l’Île-Saint-Jean, la Commission scolaire de langue française de l’Île-du-Prince-Édouard (CSLF) et la compagnie Bédécomics. Ce nouvel album fait partie d’une série où Capitaine Acadie, le super-héros acadien, parcourt le monde pour défendre l’Acadie et ses habitants contre des créatures menaçant notre planète.

 

L’idée de créer un superhéros acadien est née en 2018, grâce à l’initiative de Dany et Daniel Bouffard. Le duo a développé Capitaine Acadie, un personnage qui, à l’image de superhéros célèbres comme ceux de Marvel et DC Comics, incarne les valeurs de l’Acadie. Le concept s’est imposé naturellement, car il n’existait aucun super-héros portant haut les couleurs acadiennes. Après plusieurs volumes tels que Attaque à Shediac, Combat à Ottawa et Créatures à Bonaventure, le neuvième tome, Cauchemar à l’Île-du-Prince-Édouard, plonge les lecteurs dans une aventure où des patates zombies, contrôlées par un extraterrestre malveillant, sèment la terreur sur l’île.

Ce projet est un véritable partenariat entre Bédécomics, le Carrefour de l’Île-Saint-Jean et la CSLF, visant à offrir une œuvre divertissante tout en mettant en valeur la culture acadienne. Cauchemar à l’Île-du-Prince-Édouard est plus qu’un simple album de bande dessinée ; il est le point de départ d’une aventure où les élèves de l’Île-du-Prince-Édouard seront invités à participer activement à travers un concours de dessin. Les jeunes dessineront Capitaine Acadie dans leurs lieux préférés de l’île, et le dessin gagnant sera publié dans le tome.

« Nous voulons vraiment que ce projet soit un lien entre les jeunes et leur culture. Nous avons eu des retours fantastiques des jeunes participants, et cela nous pousse à continuer à créer des histoires qui leur parlent. » – Dany Bouffard 

Un album éducatif et technologique

Ce qui distingue particulièrement Capitaine Acadie, c’est l’utilisation de la réalité augmentée. En plus des 36 pages de contenu imprimé, les albums offrent une vingtaine d’interactions supplémentaires via une application mobile. En scannant les pages avec leur téléphone, les lecteurs peuvent découvrir du contenu exclusif, comme des animations et des informations supplémentaires sur l’Acadie.

« La réalité augmentée nous permet de créer une expérience immersive pour les jeunes. C’est plus qu’une simple bande dessinée : c’est une aventure où l’histoire prend vie sous leurs yeux. », explique Dany Bouffard.

L’exposition Capitaine Acadie : Un voyage à travers l’Acadie

En plus des albums, une exposition sur l’univers de Capitaine Acadie voyagera à travers les écoles de la CSLF dès janvier 2026. Cette exposition, qui a déjà fait le tour de plusieurs régions, est enrichie de panneaux interactifs en réalité augmentée. Elle permet aux jeunes de découvrir l’histoire et les valeurs acadiennes de manière ludique et dynamique.

Le futur de Capitaine Acadie

Dany Bouffard et son équipe ne comptent pas s’arrêter là. Les projets pour développer des volumes sur la Nouvelle-Écosse et Terre-Neuve-et-Labrador sont en préparation. Ces albums mettront en avant d’autres aspects de l’Acadie et ses paysages uniques, tout en continuant de promouvoir les valeurs de la culture acadienne.

« Nous avons des projets pour étendre l’univers de Capitaine Acadie à d’autres régions. L’Acadie est vaste, et il y a encore tellement d’histoires à raconter. Nous voulons que chaque région puisse se reconnaître dans les aventures de notre héros. », conclut Dany.

Le neuvième tome de Capitaine Acadie, Cauchemar à l’Île-du-Prince-Édouard, sera lancé en décembre 2025, mais d’ici là, les lecteurs pourront suivre l’évolution du projet et les concours via le site officiel. Capitaine Acadie est bien plus qu’une simple bande dessinée : c’est un projet qui célèbre l’Acadie et son héritage, tout en offrant une plateforme interactive et éducative pour les jeunes lecteurs.

Pour plus d’informations, visitez le site capitaineacadie.com.


La mouvée fait route avec les auditeurs de la Nouvelle-Écosse, de l’Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve pour un retour à la maison souriant et pertinent. L’émission met de l’avant la voix des citoyens de l’Acadie qui racontent les histoires qui font vibrer la région.

Animation et réalisation : Nathalie Geddry
Réalisation associée : Maude Rivard-Haustrate
Mise en ondes : Janvier Nahimana
Journaliste communautaire : Colette Deveau
Web : Emmanuelle Robinson
Chef des contenus, Ici Acadie : Sébastien Thériault

Chroniques :

Optique mi’kmaw : Danielle Root
Océans : Lyne Morissette
Actualité techno : Marc-Samuel Larocque
Musique de la côte est : Trevor Murphy

Des pêcheurs de l’Île-du-Prince-Édouard sont déçus du prix du homard

Plusieurs pêcheurs de homard de l’Île-du-Prince-Édouard se disent déçus du prix qui leur est offert pour leurs débarquements cette année. Ils souhaiteraient que le prix se trouve plus près du seuil de rentabilité.

Le conseiller aux pêches à l’Union des pêcheurs des Maritimes (UPM), Luc LeBlanc, explique que le prix du homard suit la loi de l’offre et de la demande. Selon lui, l’offre surpasse la demande depuis le début de la saison dans les zones de pêche 24 et 26 à l’Île-du-Prince-Édouard.

Par contre, il dit comprendre les préoccupations des pêcheurs par rapport au prix.

Le problème, c’est qu’à 6,50 $ [ou] 7 $, c’était un bon prix il y a 10 ans. Avec l’augmentation des coûts d’opération des entreprises de pêche, à 6,50 $, on est sous le seuil de rentabilité.

Une citation de Luc LeBlanc, conseiller aux pêches à l’Union des pêcheurs des Maritimes

M. LeBlanc indique que, selon les entreprises de pêche, le seuil de rentabilité devrait normalement se trouver autour de 7 $ ou 8$ la livre.

Le conseiller aux pêches à l’UPM ne croit pas que les tensions économiques entre les États-Unis et le Canada affectent le prix du homard des Maritimes en ce moment parce qu’il n’y a pas de tarif en vigueur.

Tarif chinois

Par contre, il y a un autre tarif à prendre en compte, selon lui. Le seul [tarif] actif tout de suite, c’est le tarif chinois de 25 %, explique-t-il. Il ne faut pas oublier que la Chine, ce n’est pas un marché négligeable.

La Chine et les États-Unis sont les deux marchés les plus importants pour l’exportation du homard.

La Chine recherche plutôt le homard vivant, rappelle Luc LeBlanc. Si [la Chine] achète moins de homard vivant, ce homard-là, qui serait normalement exporté vivant, se retrouve dans le marché de la transformation, précise-t-il. En principe, ça vient encore augmenter l’offre sur le marché, ce qui fait baisser le prix.

Au Canada, le homard demeure un produit de consommation populaire. En revanche, le représentant de l’UPM ne croit pas que la population canadienne peut soutenir à elle seule toute la pêche des Maritimes. Une augmentation du nombre de touristes cet été dans la région pourrait tout de même donner un coup de pouce à la consommation locale, note-t-il.

Il y a quand même une limite sur le plan de la capacité d’une quarantaine de millions de personnes à consommer 300 millions de livres de homard, dit-il. Quand on compare ça à la Chine et aux États-Unis, il y a tout simplement moins d’assiettes dans lesquelles on peut mettre des homards.

La demande pour le homard en Europe est élevée également, bien que le crustacé soit perçu sur ce continent comme un produit de luxe.

LA UNE : Selon Luc LeBlanc, de l’Union des pêcheurs des Maritimes, le prix du homard varie tout selon l’offre et la demande. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR Raphael Caron avec des informations de CBC

 

1 005 chevaux sous le capot d’un Cadillac Escalade-V 2025 grâce à Hennessey

0

Certaines entreprises de modifications comme Hennessey sont là pour les amateurs de puissance qui veulent rendre leur véhicule plus performant que le modèle d’origine à l’achat. Un bon exemple est la mise à niveau proposée sur le Cadillac Escalade-V par cette entreprise spécialisée. On parle ici d’un gain de 323 chevaux et un couple accru de 229 livres-pieds, de quoi nous coller aux sièges à l’accélération.

Prêt à arracher l’asphalte

Si, pour vous, les 682 chevaux et 653 livres-pieds du V8 suralimenté de 6,2 litres du Cadillac Escalade-V 2025 ne sont pas suffisants, Hennessey a quelque chose pour vous. En effet, l’équipe d’ingénierie de cette entreprise spécialisée dans la modification de véhicules a concocté une mise à niveau qui fait passer les données de puissance à des chiffres impressionnants. La mise à niveau proposé par Hennessey pour l’Escalade-V 2025 accroît la puissance à 1 005 chevaux et le couple à 882 livres-pieds. Ces données sont rendues possibles par certains changements techniques sur le véhicule. On parle ici de nouvelles poulies plus résistantes, d’un système de compresseur à haut débit amélioré, d’arbres à cames personnalisés Hennessey, de convertisseurs catalytiques à haut débit ainsi que de plusieurs autres composants qui ont été remplacés et renforcées. L’entreprise offre même une garantie de 3 ans ou 57 936 kilomètres.

Au moment d’écrire ces lignes, nous n’avons pas pu mettre la main sur le coût de cette mise à niveau, mais l’information laisse croire que la production sera limitée à 100 exemplaires afin de conserver une certaine exclusivité en 2025. Il est tout de même bon de rappeler qu’un Cadillac Escalade-V 2025 affiche un prix de départ au Canada de 233 236 $.

Qu’est-ce que Hennessey Performance?

Pour ceux qui n’ont jamais entendu parler de Hennessey Performance, il s’agit d’une entreprise américaine fondée en 1990 et qui se spécialise dans la modification de véhicules avec des modèles uniques ainsi que dans l’ingénierie de performance. Elle regroupe même une école pour les gens qui voudraient apprendre la modification technique des véhicules comme ils le font. Depuis son ouverture, l’entreprise a modifié plus de 15 000 véhicules, dont des voitures et des camions. On peut donc affirmer qu’ils ont de l’expérience.

Abonnez-vous à l’infolettre RPM pour recevoir chaque semaine tous les contenus automobiles qui vous intéressent. Retrouvez RPM sur Facebook et YouTube.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »JgPf1W0P »]