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Avis important à toute la clientèle ayant effectué le paiement d’une traversée pour la saison 2024

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Chère clientèle,

Lors du récent dévoilement du budget 2024-2025, le gouvernement fédéral a annoncé le gel des tarifs du traversier des Îles de la Madeleine jusqu’en décembre 2025. Étant donné que les réservations pour la saison 2024 sont ouvertes depuis l’automne dernier, une augmentation de 2 % avait été appliquée sur les tarifs, afin de suivre ce qui était initialement prévu au contrat d’exploitation du traversier. À noter que la fixation des prix du traversier est déterminée par le gouvernement fédéral puisqu’il s’agit d’un service subventionné.

Devant ces nouvelles directives gouvernementales, CTMA Traversier procédera au remboursement des frais d’augmentation (2 %) à toute sa clientèle ayant déjà effectué le paiement d’une traversée entre le 1eravril 2024 et le 31 mars 2025.

Comment puis-je obtenir mon remboursement ?

Le remboursement se fera automatiquement sur votre mode de paiement initial lors de votre enregistrement sur le quai d’embarquement le jour de votre traversée. Aucune action n’est requise de votre part.

Quel sera le montant remboursé ?

Le remboursement sera de 2 % du montant total sur votre réservation (excluant la cabine s’il y a lieu). À titre d’exemple, une réservation pour un voyage aller-retour en haute saison pour une voiture standard et deux adultes sera de 10,12 $.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous.

L’équipe du service à la clientèle
[email protected] | 418-986-3278


 

Important notice to all customers who have paid for a
crossing in the 2024 season

Dear customers,

During announcement of the 2024-2025 budget, the federal government announced fare freezes until December 2025 for Îles de la Madeleine ferries. Since reservations for the 2024 season have been open since this past fall, a 2% increase was applied to fares, in line with the original plan for the ferry operation contract. Note that the price freeze for ferries is determined by the federal government because this is a subsidized service.

In view of these new governmental guidelines, CTMA Ferry will reimburse the increase in fares (2%) to all customers who paid for a crossing between April 1, 2024 and March 31, 2025.How do I get my refund?

The refund will be automatically processed to the original form of payment upon registration at the boarding dock on the day of your crossing. No action is required on your part.What is the total amount of the refund?

The refund will be 2% of the total cost of your reservation. For example, a reservation for a round-trip during the high season for a standard car and two adults will be $10.12.

If you have any questions, please don’t hesitate to contact us.

CTMA Ferry customer service
418-986-3278 | [email protected]

 

Source : CTMA

Après 16 ans, Ram a fait son argent ; le 1500 Classic est mort

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Lors du lancement du Ram de nouvelle génération, en 2018, le Classic ne devait assurer la transition entre les deux modèles que pendant un an ou deux. Toutefois, en raison de prix plus abordables que le nouveau modèle, le Classic a continué de connaître un succès suffisant pour justifier son maintien dans la gamme. Après tout, ses coûts de production plus faibles et une forte marge bénéficiaire pour le constructeur et les concessionnaires en ont fait une petite vache à lait.

Toute bonne chose a une fin, et c’est maintenant le cas pour le Ram Classic, au Canada du moins. Pour le moment, 2023 est la dernière année officielle de commercialisation du Classic chez nous. Il ne reste dans les cours des concessions que du « vieux stock » non vendu. Il n’y a donc pas de 2024 pour nous. Aux États-Unis et au Mexique, les Ram existants sont aussi des 2023, mais le constructeur confirme qu’il y aura des 2024.

Les moteurs

Avec le retrait du V8 HEMI de 5,7 litres, il n’est pas étonnant que Ram commence à délaisser ou à réduire la production globale du Ram Classic. Ce vieux HEMI a bien travaillé, a rendu de bons services, mais son temps est fait. L’autre moteur est aussi sur la corde raide, le V6 Pentastar de 3,6 litres dont l’avenir est de plus en plus incertain au sein de la grande famille Stellantis. Évidemment, il serait coûteux et inutile pour Ram d’intégrer la nouvelle génération de moteur Hurricane dans le vieux Ram, il y a la nouvelle génération pour ça!

Les prix au rabais

Aux États-Unis, l’offre du Ram Classic se limite à 2 modèles seulement : Tradesman et Warlock. Au Canada, on comptait sur 6 versions différentes. Avec son avantage en matière de prix et la collection d’incitatifs financiers, le Tradesman de base est livrable sous la barre des 38 000 $ avec le minimum d’équipement. Plus on monte dans la gamme, plus les rabais sont importants. Le modèle Warlock, le plus « équipé » techniquement parlant, se vend à un peu plus de 60 000 $, mais vient avec un rabais de plus de 12 000 $, il passe donc tout juste au-dessus des 48 000 $. Pour une camionnette de ce format, c’est abordable.

L’avis de RPM

Ram a très bien joué ses cartes avec le Classic. En maintenant cette « vieille » génération aux côtés de la nouvelle, cela lui a permis de rentabiliser encore plus cette génération de produits. Fait encore plus intéressant, cela a permis à une collection d’acheteurs de toujours avoir accès à une camionnette pleine grandeur sans devoir payer le gros prix de la nouveauté. Toutefois, avec le retrait du moteur V8 HEMI, il était écrit dans le ciel que ce modèle allait devoir disparaître. C’est fait, la sélection naturelle a joué son rôle.

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Capitaine Acadie débarque à Saint-Jacques

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Pour célébrer leur 250e anniversaire, la Municipalité de Saint-Jacques présente « Capitaine Acadie – L’univers du superhéros », réalisée par les studios Bedecomics, une exposition en réalité augmentée à La Maison de la Nouvelle-Acadie, du 1er mai au 31 août 2024.

Vidéo du lancement

© Plume Libre Montcalm

Le lancement de cette exposition, suivi d’une séance de dédicaces avec Dany Bouffard, co-créateur de la bande-dessinée, a eu lieu le 1er mai à La Maison de L’Acadie.

Les visiteurs auront ainsi l’opportunité d’explorer les derniers tomes de la série de bande dessinée ainsi que des illustrations inédites, grâce à une expérience immersive mêlant réalité augmentée, 3D et univers numérique.

Jacob Déziel, 9 ans, le grand gagnant du concours de dessin en compagnie de Dany Bouffard. En plus d’avoir le privilège de voir son dessin illustré à l’intérieur du feuillet central de la BD : « Contact à Saint-Jacques » de Capitaine Acadie, il a reçu un lot d’albums de Capitaine Acadie, et son dessin fait partie de l’exposition.
Jacob Déziel, 9 ans, le grand gagnant du concours de dessin en compagnie de Dany Bouffard. En plus d’avoir le privilège de voir son dessin illustré à l’intérieur du feuillet central de la BD : « Contact à Saint-Jacques » de Capitaine Acadie, il a reçu un lot d’albums de Capitaine Acadie, et son dessin fait partie de l’exposition.

Dans « Contact à Saint-Jacques », le cinquième tome de la série BD réalisée par Dany et Daniel Bouffard de la filiale Bedecomics, l’intrigue se déroule dans la municipalité de Saint-Jacques (Lanaudière). Capitaine Acadie doit résoudre le mystère d’une mystérieuse créature lors de la fête des Acadiens, afin de protéger la population d’une invasion extraterrestre.

Venez découvrir cette expérience captivante lors des portes ouvertes le samedi 4 mai de 10h00 à 17h00, et tout au long de cet été jusqu’au 31 août à la Maison de la Nouvelle-Acadie ! (Entrée gratuite pour les résidents de la Nouvelle-Acadie. Gratuit pour les 0-5 ans, 3.00$ pour les 6 à 12 ans et 5.00$ pour les 13 ans et plus).


Bedecomics, basée aux Îles-de-la-Madeleine et filiale de Gemini 3D, vise à divertir et éduquer le public sur l’histoire de la communauté acadienne. Capitaine Acadie incarne la fierté de la langue et de la culture acadiennes, offrant une perspective unique sur les racines de la communauté.

LA UNE : Mme Josyane Forest, mairesse, M. Dany Bouffard, Co-créateur de Capitaine Acadie, Jacob Déziel, 9 ans, gagnant du concours de dessin et Sylvain Pominville, directeur de la Caisse de Nouvelle-Acadie

Source : Bedecomics

Venise et Îles-de-la-Madeleine: même combat!

Plus de 6000 kilomètres séparent la ville de Venise, en Italie, et l’archipel des Îles-de-la-Madeleine, au Québec. Malgré la distance, ces destinations populaires partagent un même défi: elles reçoivent trop de touristes! Les deux ont trouvé une solution très similaire à leur problème: demander aux visiteurs de payer leur entrée. Comme au musée!AS

7,30$ pour une journée à Venise

On estime que 30 millions de touristes visitent la ville de Venise chaque année. Environ 100 000 personnes débarquent dans le centre historique chaque jour. C’est le double de la population locale!

C’est… trop de monde. Et ça fait en sorte que les citoyens de Venise n’ont plus accès à des services très importants. Par exemple, des immeubles d’appartements sont transformés en hôtels pour les touristes. Le prix des logements augmente aussi. Résultat: les Vénitiens ne savent plus où habiter. De plus, les déplacements des voyageurs polluent beaucoup.

Depuis le 25 avril, ceux qui visitent Venise pour une journée seulement doivent acheter un billet. Il coûte 5 euros, soit 7,30$. Cette nouvelle taxe permettra à la ville de récolter de l’argent et de contrôler le nombre de visiteurs. Pour le moment, cette mesure est un test. Reste à voir si elle est là pour rester!

30$ pour un séjour aux Îles-de-la-Madeleine

Au Québec, les Îles-de-la-Madeleine accueillent chaque année plus de 60 000 visiteurs. C’est un endroit connu pour ses dunes de sable et les nombreux oiseaux qui viennent s’y reproduire.

Mais les visiteurs endommagent les infrastructures et la nature. La communauté a aussi beaucoup de difficulté à garder l’endroit propre. En effet, 60 000 personnes, ça fait beaucoup de déchets. Et traiter ces déchets coûte très cher quand on est une île, puisqu’il faut les envoyer loin!

Depuis mercredi, il faut payer 30 $ par personne si on veut y rester plus d’une journée, entre les mois de mai et d’octobre. Avec l’argent, on compte améliorer la cueillette et le traitement des déchets. On s’en servira aussi pour créer un parc régional.

Certaines personnes trouvent insensée l’idée de payer pour visiter une partie du Québec. D’autres croient qu’il est normal que les touristes contribuent à diminuer leur impact. Toi, qu’en penses-tu?

LA UNE : PHOTOMONTAGE WIKICOMMONS/LES AS DE L’INFO

PAR Émeric Epaud et Camille Lopez, Les As de l’info


Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

Tu veux lire encore plus de nouvelles? Viens nous voir sur lesasdelinfo.com
Psst! On a aussi une section spéciale pour les profs!

Près de 24 M$ pour soutenir le développement du secteur des pêches aux Îles-de-la-Madeleine

Le gouvernement du Québec et Investissement Québec annoncent des contributions financières totalisant près de 24 millions de dollars pour soutenir le développement du secteur des pêches aux Îles-de-la-Madeleine. Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, en compagnie de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina, a profité du lancement de la pêche au homard sur l’archipel pour en faire l’annonce.

Conscient des défis auxquels font face les pêcheurs et les transformateurs, le gouvernement s’engage à soutenir leurs projets actuels et futurs. L’annonce d’aujourd’hui démontre le rôle majeur des pêches et de l’aquaculture dans le développement du secteur bioalimentaire au Québec de même que son importance pour les gens des Îles. En agissant ainsi pour la pérennité de la filière, le gouvernement épaule toute une population.

Ce soutien est réparti comme suit :

BénéficiaireMinistère/organismeAide financière
Les Fruits de mer MadeleineInvestissement Québec – programme
ESSOR (prêt)
2 940 530 $
Investissement Québec – prêt à terme –
initiative Productivité innovation
1 435 343 $
Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries
et de l’Alimentation (MAPAQ) –
Programme d’appui financier au
développement du secteur des pêches et
de l’aquaculture commerciales – volet 3
180 550 $
Boucherie spécialisée Côte à
Côte
MAPAQ – Programme d’appui financier
au développement du secteur des pêches
et de l’aquaculture commerciales
181 769 $
14 nouveaux pêcheursMAPAQ – Programme d’appui financier
aux entreprises de pêche commerciale –
volet Soutien à l’établissement d’une
première entreprise de pêche
650 000 $
30 pêcheurs, incluant les
nouveaux pêcheurs
MAPAQ – Programme d’appui financier
aux entreprises de pêche commerciale –
volet Financement de la pêche
commerciale
18 399 889 $
Total23 788 081 $

 

« C’est une priorité pour notre gouvernement d’accompagner adéquatement la relève afin d’assurer la pérennité de la filière et la vitalité de la communauté. Aujourd’hui, c’est du soutien concret que nous annonçons pour celles et ceux qui font le choix de vivre de leur passion et de s’établir dans le secteur des pêches. Aux Îles, le terroir, le territoire marin et l’économie ne font qu’un! Je souhaite à tous les pêcheurs, aides-pêcheurs et transformateurs une saison fructueuse, sous le signe de la sécurité. » – André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« L’innovation technologique est un incontournable pour améliorer la productivité de nos entreprises, et l’équipe des Fruits de mer Madeleine l’a bien compris. Je me réjouis de constater que notre industrie de la transformation de la pêche travaille ainsi à se réinventer pour assurer la prospérité des Îles-de-la-Madeleine. » – Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, ministre responsable du Développement économique régional et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Investissement Québec est déterminé à contribuer à la transformation numérique du plus grand nombre d’industries possible, et le secteur agroalimentaire en fait partie. En misant sur l’acquisition d’équipements technologiques, Les Fruits de mer Madeleine se donnent les outils pour augmenter leur capacité de transformation de homards tout en poursuivant leur impact positif sur l’économie des Madeliniens et des Madeliniennes. » – Bicha Ngo, présidente-directrice générale d’Investissement Québec

« Les régions côtières participent activement à notre économie. Elles font rayonner le Québec! Je suis fière de cet appui aux Madeliniens et aux Madeliniennes. En soutenant le secteur de la pêche, une activité profondément ancrée dans leur histoire et dans leur communauté, on contribue à l’autonomie alimentaire ainsi qu’à l’achat local. » – Maïté Blanchette Vézina, ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

  • Rappelons qu’en 2023, le MAPAQ avait accordé un soutien de 810 000 $ à l’entreprise Les Fruits de mer Madeleine pour l’amélioration de la capacité de production de la chaîne de transformation du crabe des neiges.
  • Mentionnons qu’une somme de 400 000 $ a également été attribuée à 12 pêcheurs dans le cadre du Programme d’appui financier aux entreprises de pêche commerciale, volet 3 : Pérennité des entreprises. Celui-ci vise à éviter la perte d’actifs, à assurer la survie des entreprises de pêche, à protéger les emplois dans les entreprises soutenues et à permettre le redressement de la situation financière des entreprises.
  • Le secteur des pêches et de l’aquaculture commerciales joue un rôle économique majeur dans les régions maritimes du Québec :
    • Valeur des débarquements par les pêcheurs en 2023 : 353 millions de dollars;
    • Valeur des expéditions des usines de transformation de poissons et de fruits de mer dans les régions maritimes en 2022 : 597 millions de dollars;
    • Emplois directs : près de 8 000.

 

LA UNE : M. André Lamontagne, en compagnie de la ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Mme Maïté Blanchette Vézina et Diane Lebouthillier, députée de la circonscription de Gaspésie—Les Îles-de-la-Madeleine et ministre du Revenu national. © CAQ


Source : MAPAQ

Laura LEBLANC (1931-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 29 avril 2024, de madame Laura Leblanc. Elle était âgée de 92 ans et originaire de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Patrick Leblanc et la mère de Lucie (Serge), Odette, Lina et Guylaine. Elle avait six petits-enfants : Janick (Hugo), Pascal (Karine), Stéphane (Annie), Isabelle, Émile (Émilie) et Laurie, et six arrière-petits-enfants : Louis-Gabriel, Théo, Laurence, William, Philippe et Laura. Elle laisse aussi dans le deuil ses frères et sœurs : Alvin, Léo (Lucienne), feu Lina, Claudette (René), Edouard (Carole), Élise (Gérard), Rachelle et Line (Yvon), ainsi que leurs familles et de nombreux parents et amis.

Les membres de la famille souhaitent remercier tout le personnel du 1er étage du CHSLD Plaisance des Iles pour leurs précieux soins et services attentionnés envers leur mère. Un merci tout spécial à Gisèle Cyr pour toutes les années de dévouement auprès d’elle.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le jeudi 9 mai 2024 de 19h à 22h. Les funérailles de madame Laura Leblanc seront célébrées le vendredi 10 mai 2024, à 15h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima et, de là, au cimetière de l’endroit.

Le vendredi 10 mai, jour des funérailles, le salon ouvrira à midi.

Jim Montgomery a critiqué David Pastrnak : «il doit se lever»

Hier soir, les Maple Leafs de Toronto et les Bruins de Boston se sont affrontés. Et pour la deuxième fois de suite, Toronto a évité l’élimination en gagnant son match – sans Auston Matthews – contre les Bruins.

Et nous voilà donc là où on l’espérait tous : dans le cadre d’un match #7, samedi soir, à Boston.

Ce sera le premier match #7 en séries cette année. Mais même si tout le monde l’attendait suite à une remontée, on s’attendait à ce que ce soit Toronto qui soit dans le trouble.

Pourtant, en ce moment, il n’en est rien. Les deux derniers matchs – sans Auston Matthews… mais ça, je l’ai déjà dit – ont servi à aider plusieurs personnes qui veulent sauver leur job en Ontario.

Le travail n’est pas complété, mais disons que le doute à Boston est présentement énorme. Personne n’a vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tué et il ne reste qu’un match pour tout décider.

Est-ce que les Maple Leafs se rendront jusqu’au bout de leur remontée? La question se pose. Après tout, c’est Toronto…

En tout cas, ce sera un match chargé en émotions entre les deux équipes originales. D’un côté, les Maple Leafs voudront passer en deuxième ronde comme l’an passé, mettant officiellement fin à leur malédiction… mais de l’autre, tout n’est pas rose à Boston non plus.

Il est important de se rappeler que l’an passé, les Bruins ont échappé une avance de 3-1 contre les Panthers, en première ronde. Suite à une saison régulière historique, les Bruins l’avaient échappé.

Personne n’a perdu deux ans de suite une série après avoir mené 3-1 dans l’histoire de la LNH… et de la MLB… et de la NBA.

C’est donc dire qu’en ce moment, la pression est très, très forte sur les Bruins de Boston. Est-ce que c’est pour ça que Jim Montgomery, le pilote des Bruins, a décidé de publiquement lancer un message à David Pastrnak?

Le pilote des Oursons a déclaré que son joueur doit se lever dans les gros moments. Pasta le fait par moments, mais il doit apprendre à le faire de manière plus constante pour aider les siens. #LesMeilleursDoiventÊtreLesMeilleurs

Mais moi, la question que je me pose, c’est de savoir si Jim Montgomery (qui a raison dans ses propos, qu’on se le dise) est aussi quelqu’un qui doit se lever du côté de Boston.

Depuis le début de la série, il a été au coeur d’une «controverse» des gardiens qui pourrait lui coûter cher, comme l’a déjà judicieusement écrit le collègue Maxime TrumanSi Jeremy Swayman avait été le gardien d’office sans interruption, on peut penser que les Maple Leafs auraient été balayés.

On l’a aussi entendu chialer sur le fait que «le club passait trop de temps à Toronto» puisque l’horaire était mal fait entre les matchs #3 et #4.

C’est sans compter le fait qu’il est resté fâché trop longtemps après le match #5 et le fait qu’il a été incapable de faire comprendre le sentiment d’urgence à ses gars, qui sont très mal sortis lors des deux derniers matchs pour débuter les rencontres. Les gars auraient dû le comprendre tout seul, mais…

Montgomery n’a pas eu besoin de composer sans William Nylander et Auston Matthews (sera-t-il de retour demain soir, lui?) et on doit se demander s’il coachera pour sa job, demain soir. En fait, il est possible qu’un entraîneur perde son emploi suite au match de demain soir, peu importe la situation.

Il est aussi intéressant de noter que la feuille de route en séries de Jim Montgomery n’est pas extraordinaire comme pilote. En fait, il a perdu ses sept derniers matchs où une victoire aurait pu le propulser à la ronde suivante.

En carrière, il a participé trois fois aux séries comme entraîneur-chef dans la LNH : en 2019 avec les Stars et lors des deux dernières saisons comme pilote des Bruins.

En deuxième ronde en 2019, les Stars menaient 3-2 contre les Blues et ils ont perdu deux matchs de suite pour perdre la série. L’an passé, le club bostonnais a perdu trois matchs de suite contre les Panthers après avoir mené 3-1… et là, on sait ce qui se passe.

Et ce n’est pas son expérience de huit matchs de séries comme joueur de la LNH à Philly dans les années 1990 qui va tout changer.

Montgomery a donc des choses à se faire pardonner et la façon dont son club est sorti dans les derniers matchs a fait en sorte que l’histoire des séries est en train de changer : la pression est maintenant sur lui.

Rappelons que Bruce Cassidy, qui était l’entraîneur à Boston, juste avant lui, a gagné la Coupe Stanley l’an passé à Vegas.

En tout cas, en ce moment, Jim Montgomery n’a pas l’air d’un gars qui a ce qu’il faut pour diriger le Canadien. Parce que oui, un jour (pas à court terme, bien sûr), c’est une possibilité bien réelle.

En rafale

– L’effet Joel Edmundson?

– La deuxième ronde va commencer dimanche… avant la fin potentielle de la première ronde. Je n’aime pas ça.

– Chris Wideman a aimé son temps à Montréal.

– Intéressant.

Adam Engstrom s’entend avec le Canadien

Ça y est.

Ça faisait un bout qu’on en parlait, mais voilà que c’est officiel : Adam Engstrom est sous contrat avec le CH. Il a signé son contrat d’entrée de trois ans avec l’organisation montréalaise.

Le défenseur n’a pas eu le temps de finir la saison en Amérique du Nord, mais bon : au moins, il a signé.

Notons qu’il n’est pas impossible de croire que le défenseur pourrait être prêté à son club européen l’an prochain si jamais il ne perce pas la formation du Canadien au prochain camp.

Après tout, comme il est un défenseur gaucher, il est possible qu’il n’y ait pas de place pour lui dès octobre 2024 à Montréal.

Le défenseur a obtenu 22 points en 51 matchs en Suède cette saison, en plus de quatre passes en 15 matchs de séries. Il a un profil intéressant pour Kent Hughes et Jeff Gorton, qui ont repêché le jeune homme en 2022, 92e au total.

Il cadre dans ce que le CH recherche, au fond.

Évidemment, il s’ajoute à un groupe de défenseurs qui est plus que bien garni. Il y aura sans doute des transactions cet été, mais présentement, 13 gars aspirent à un poste à Montréal.

Il y aura du monde à la messe.

Prolongation

– Oliver Kapanen sera-t-il le prochain à signer?

Les dépisteurs doivent arrêter de manquer de respect à Justin Poirier

Dans les derniers mois, le nom de Justin Poirier a beaucoup fait jaser dans la LHJMQ. Le jeune attaquant de 17 ans, qui sera éligible au prochain repêchage, a notamment inscrit 51 buts en 68 matchs lors de la saison régulière du circuit junior québécois.

Et en séries, le kid roule à plus d’un point but par match. Ce n’est vraiment pas rien, surtout à son âge.

En fait, un jeune de 17 ans qui inscrit 50 buts en une saison dans la LHJMQ, c’est assez rare… et souvent, c’est un signe de bonnes choses à venir. Sidney Crosby, Mario Lemieux, Mike Bossy, Michel Goulet, Daniel Brière et Pat LaFontaine font notamment partie de cette (plutôt courte) liste.

Mais malgré tout, Poirier, qui mesure 5 pieds et 8 pouces, est vu comme un choix de troisième ronde, et peut-être même un choix plus tardif lors de l’encan à venir.

J’ai donc tendance à être en accord avec Jean-Nicolas Blanchet, qui affirme dans un récent papier pour TVA Sports qu’il est grand temps de mettre du respect sur le nom de Poirier.

En ce moment, quand on regarde le profil de Poirier, on se dit qu’il a vraiment l’air d’un gars qui sera vu comme «le coup de circuit des rondes médianes» du repêchage. Un peu comme Brayden Point, Conor Garland (un autre ancien de la LHJMQ) ou, si on regarde à Montréal, Lane Hutson.

Et qu’ont tous ces joueurs en commun? Ils ont chuté au repêchage parce qu’ils sont petits, et ce, même si leur talent était indéniable. Hutson est encore un cas préliminaire parce qu’on ne l’a pas beaucoup vu dans la LNH encore (quoiqu’il a bien fait à ses deux premiers matchs), mais Point et Garland roulent leur bosse dans le circuit Bettman depuis des années.

Poirier a le talent pour devenir l’un de ces joueurs-là. Il sait comment marquer, et ça, ça ne s’achète pas.

En fait, avec le CH qui repêchera tardivement au deuxième tour avec le choix de l’Avalanche, on peut se demander s’il ne serait pas judicieux pour le club d’aller piger dans sa propre cour et de prendre une chance avec le talentueux Poirier. Il n’est pas un espoir parfait, mais s’il peut tenter un autre coup à la Lane Hutson tout en prenant un joueur local en plus, il me semble que c’est un beau pari à prendre.

Surtout que le club a déjà quelques gros bonshommes à l’attaque qui pourront compenser pour le plus petit gabarit de Poirier.

On verra donc quelle équipe donnera sa chance à Poirier, mais il est grand temps que les dépisteurs cessent de lui manquer de respect. Parce que peu importe la façon dont on regarde le tout, il y a un potentiel indéniable chez l’attaquant québécois.

En rafale

– Parlant du Drakkar et de Justin Poirier.

– Effectivement.

– Bonne écoute.

– Les Pacers mettent fin à la saison des Bucks.

– Des nouvelles du dossier.

Retrouvailles émouvantes : Le parcours d’une néo-madelinienne

Cette semaine, notre collaboratrice aux Îles-de-la-Madeleine, Stéphanie Benoît nous parle d’une  » Néo-Madelinienne  » dans un sens vraiment unique du terme.

Marie-Josée Cloutier avait 2 ans quand elle a été adoptée à Gaspé et à 24 ans, elle a retrouvé sa famille biologique aux îles-de-la-Madeleine. Voici son histoire.

LA UNE : Marie-Josée Cloutier (Marie-Èva Gaudet), Georgine Gaudet et Odette Gaudet PHOTO : Gracieuseté : Marie-Josée Cloutier

La redevance de 30 $ aux Îles-de-la-Madeleine, une mesure liberticide?

Atteinte à la liberté de circulation, taxation abusive, mesure de contrôle : la redevance de 30 $ imposée aux visiteurs de passage aux Îles-de-la-Madeleine est accusée dans l’espace public de restreindre de manière déraisonnable et anticonstitutionnelle les droits fondamentaux. Qu’en est-il? Deux experts se prononcent.

Mercredi, une quarantaine d’opposants à la redevance ont manifesté aux Îles-de-la-Madeleine. Ils ont reçu l’appui du chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, pour qui cette redevance est une mesure liberticide qui brime la liberté de circulation.

Julius Grey, avocat constitutionnaliste, spécialiste reconnu dans la défense des libertés individuelles, apporte une réponse nuancée parce que la Passe Archipel et la réglementation mise en place par la Municipalité n’ont pas encore passé le test des tribunaux.

Est-ce que [cette redevance] est illégale? C’est impossible à prévoir, explique-t-il. L’avocat a des doutes sérieux quant à la validité de la réglementation mise en place par la Municipalité, mais elle n’est pas pour autant nécessairement liberticide.

La notion de liberticide va un peu loin. Il y a des choses qui le sont beaucoup plus, explique-t-il, en rappelant les restrictions à la circulation mises en place durant la pandémie de COVID-19.

Me Julius Grey arrivant à la Cour supérieure du Québec avec des documents.

L’avocat Julius Grey PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

Des questions se posent toutefois, selon lui.

La première est de savoir si la Municipalité a, en droit administratif, une délégation de pouvoirs suffisamment claire pour permettre des restrictions d’accès et la distinction entre résidents et non-résidents. Ce n’est pas forcément évident, indique-t-il.

Concernant le montant de 30 $, la question est de savoir s’il s’agit d’une barrière sérieuse à la circulation, selon lui.

Il y a une belle expression en droit constitutionnel canadien : la substance. Est-ce que, substantivement, ce règlement empêche l’accès ou est-ce que c’est une petite taxe? Si on mettait une taxe absolument prohibitive – 10 000 $, par exemple – pour entrer aux Îles, ce serait clairement une interdiction d’entrée.

Si on parle de 30 $, ce n’est peut-être pas prohibitif, mais il faut l’étudier.

Une citation de Julius Grey, avocat

Des agents de la Municipalité vont procéder à la vérification du paiement de la redevance et pourraient demander une preuve de résidence aux Madelinots lorsqu’ils quittent le territoire, ce qui est décrié par les opposants à la mesure.

Julius Grey rappelle qu’une pièce d’identité est demandée pour recevoir des soins médicaux. On demande la preuve de résidence pour toutes sortes de choses, indique-t-il.

L’article 6 de la Charte canadienne des droits et libertés

La redevance qu’a mise en place la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine ne constitue pas une entrave à la liberté de circulation telle que définie dans la Charte canadienne des droits et libertés. C’est ce qu’indique Charles-Emmanuel Côté, professeur de droit à l’Université Laval, expert en droit constitutionnel qui s’intéresse particulièrement aux questions de liberté de circulation.

Le professeur Côté explique que l’article 6 de la Charte canadienne des droits et libertés, qui traite de la liberté de circulation, protège notamment le droit à la circulation entre provinces.

Le motif qui est interdit, c’est la distinction fondée sur la résidence provinciale, explique-t-il.

Charles-Emmanuel Côté.

Charles-Emmanuel Côté, professeur titulaire à la Faculté de droit de l’Université Laval PHOTO : RADIO-CANADA

Par exemple, une redevance qui viserait seulement les citoyens canadiens qui ne vivent pas au Québec pourrait être, elle, inconstitutionnelle, selon lui.

La mesure mise en place aux Îles-de-la-Madeleine ressemblerait alors davantage aux tarifs différenciés qu’une Municipalité demande pour des services en fonction de la résidence de l’usager.

Ça n’établit pas une discrimination fondée sur la résidence provinciale, ça établit une discrimination entre les insulaires et tous les autres, qu’ils soient étrangers ou canadiens. Dans ce cas, ça ne semble pas porter atteinte à la liberté de circulation qui est protégée par l’article 6 de la Charte, explique-t-il.

Tout de même, il reste certaines questions concernant la liberté de circulation intraprovinciale, selon lui.

Là où il y a une petite zone d’ombre, c’est sur une circulation simplement pour le plaisir de circuler, c’est-à-dire à des fins touristiques, récréatives, de loisirs. La jurisprudence est floue sur cette question, indique-t-il.

Débat de société demandé

Le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, invite l’Assemblée nationale à se prononcer sur la Passe Archipel.

Selon lui, la mesure crée un dangereux précédent et pourrait être copiée par d’autres municipalités, créant ainsi plusieurs tarifs pour circuler sur le territoire québécois.

Ce qui nous inquiète beaucoup, c’est que ça crée un dangereux précédent. Ce n’est pas le genre de Québec qu’on souhaite avec de plus en plus de barrières, explique-t-il.

La Municipalité des Îles-de-la-Madeleine tiendra une séance publique d’information le 16 mai pour répondre aux questions de la population.

LA UNE : Le Parti conservateur du Québec demande un débat de société à propos de la Passe Archipel. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

PAR vec la collaboration d’Isabelle Larose

 

La Honda NSX 1991 rouge d’Ayrton Senna est à vendre pour 850 000 $

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Certaines voitures marquent l’imaginaire par leurs caractéristiques et leur exclusivité. D’autres véhicules sont devenus des objets de collection en raison du statut de leur propriétaire. C’est le cas de cette Honda NSX 1991 — connue sur notre marché sous l’appellation Acura NSX — qui a appartenu au célèbre coureur Ayrton Senna. On se souviendra que ce dernier est décédé il y a maintenant 30 ans au volant de sa voiture de course de l’écurie Williams Renault lors du Grand-Prix de Saint-Marin, en 1994.

Cette Honda NSX 1991 de couleur rouge a appartenu au coureur durant plusieurs années. Il s’agissait d’une voiture de fonction rendue célèbre par les nombreux clichés et documentaires qui mettait en vedette le pilote. La voiture a été immatriculée en 1991 et elle n’aurait que 65 000 kilomètres au compteur.

La voiture a été acquise par un collectionneur il y a quelques années, et ce dernier aurait décidé de s’en départir et de la mettre en vente sur le site britannique de ventes de véhicules Auto Trader.

Son propriétaire demande la somme de 500 000 livres, soit l’équivalent de 850 000 $ canadiens. Ce n’est pas mal pour une voiture qui coûtait à l’origine moins de 100 000 $. Mais selon l’annonce, il ne s’agit pas seulement d’une voiture, « c’est un morceau d’histoire de la formule 1. Fabriquée à la perfection, cette machine élégante et puissante incarne l’esprit de l’ingénierie de précision et de la détermination sans faille ».

Sous le capot de la voiture, on trouve un moteur V6 de 3,0 litres qui développait une puissance de 270 chevaux à 7 100 tours/minute quand il était associé à la boîte de vitesses manuelle et de 252 chevaux à 6 600 tours/minute quand il était jumelé à une boîte automatique.

Si la voiture trouve preneur avant l’été, le nouveau propriétaire devra attendre le mois d’août avant d’en prendre possession puisqu’elle fera partie de l’exposition Senna qui se tiendra à Silverstone du 23 au 25 août.

De nos jours, McLaren rend hommage au célèbre pilote en commercialisant la McLaren Senna, un bolide plus qu’exclusif équipé d’un moteur V8 de 4 litres biturbo qui développe une puissance impressionnante de 789 chevaux. Pour s’en procurer une, il faut débourser plus de un million de dollars.

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