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Une baleine noire de l’Atlantique Nord empêtrée dans la Baie de Fundy

Une baleine noire de l’Atlantique Nord en difficulté se montre insaisissable pour l’équipe de sauvetage à sa recherche. Un mâle d’environ 10 ans, empêtré dans un cordage de pêche relié à une bouée orange, a été signalé le lundi 30 juillet à 22 milles marins au large de l’ile de Grand Manan, au Nouveau-Brunswick. La gravité de l’empêtrement n’est pas encore déterminée.

Le 31 juillet au matin, Pêches et Océans Canada a survolé la zone où la baleine empêtrée a été observée pour la dernière fois afin de localiser et d’évaluer l’état de la baleine. De leur côté, trois embarcations, celles de l’équipe de sauvetage de Campobello, de l’Aquarium de Nouvelle-Angleterre et de la Grand Manan Whale and Seabird Research Station, poursuivent les recherches sur l’eau.

Les conditions météorologiques se sont toutefois détériorées au cours de la matinée: la visibilité réduite causée par un brouillard épais a compliqué la tâche de l’équipe qui a dû interrompre les recherches. Les efforts pour repérer la baleine noire empêtrée ont été reportés. Les prévisions météorologiques annoncent des conditions médiocres pour encore deux jours. Dès que le temps le permettra, les recherches devraient reprendre.

Par Aurélie Lagueux-Beloin
LA UNE : Une baleine noire empêtrée (archives) © Florida Fish and Wildlife Conservation Commission

Tempête contre le phare de Porthcawl au Pays de Galles

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Le photographe Steve Garrington a passé d’innombrables heures à documenter les événements océaniques entourant le phare de Porthcawl.

Les vents orageux qui le balayent depuis le canal de Bristol sont tout sauf ordinaire . En raison de la conception inclinée du récif, les vagues sont facilement lancées à des hauteurs extraordinaires, surtout pendant le mauvais temps . Il est étonnant que la structure soit encore debout après toutes ces années.

Vous pouvez explorer plus de ses photographies sur Flickr

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© Steve Garrington

Éphémérides : Début du congrès des vocations

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05 août 1948 : Début du congrès des vocations qui se déroulera jusqu’au 9 août à Lavernière.
Congrès des Vocations pour le diocèse de Gaspé tenu à Lavernière du 5 au 8 août 1948.

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Cérémonie d’ouverture du Congrès des Vocations

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Congrès des Vocations

Mgr Albini LeBlanc évêque de Gaspé, Mgr Norbert Robichaud, archévêque de Moncton et Mgr Camille Leblanc évêque de Bathurst, accompagnés d’environ 20 prêtres. Le dernier jour du congrès le père Esdras Nadeau est ordonné.

Photos : Paroisse Saint-Pierre de Lavernière, Saint-Pierre de Lavernière, 100e anniversaire, 1876-1976, Le comité de l’album, 1976.

Source : virtualmuseum.ca

Évaluer le taux de cicatrices chez les rorquals communs à l’aide de drônes

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Le MICS annonce le lancement d’un nouveau projet pilote de recherche en collaboration avec le Ministère de Pêches et Océans (MPO) et la companie de drones Terresky pendant un an, afin d’évaluer le taux de cicatrices dues à l’empêtrement dans le matériel de pêche chez les rorquals communs.

Les scientifiques du Anderson Cabot Centre for Ocean Life à l’Aquarium de la Nouvelle Angleterre ont publié une étude indiquant que 83% des baleines franches ont été empêtrées au moins une fois dans leur vie. Le Centre for Coastal Studies a estimé que plus de la moitié de rorquals à bosse ont été empêtrés.

Ces études sont basées sur la photo-identification (une des méthodes les plus courantes dans l’étude des cétacés), en prenant des photos des baleines et de leurs cicatrices.

Bien que l’on puisse trouver ces cicatrices n’importe où sur le corps, les cétacés on sont susceptibles de se prendre dans le matériel de pêche au niveau de la bouche, des nageoires pectorales, le long du pédoncule et de la nageoire caudale (la queue et la partie du corps précédant celle-ci). Ces zones du corps sont en général submergées la plupart du temps lorsque les baleines viennent respirer en surface.

 

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Zones du corps les plus susceptibles de se prendre dans le matériel de pêche.

 

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Rorqual à bosse empetré au niveau de la queue. Photo: © Ed Lyman, NOAA.

 

Les rorquals à bosse et les baleines franches sortent en général la queue lorsqu’elles plongent, exposant ainsi cette partie du corps, que les chercheurs photographient. Du coup, nous pouvons facilement observer les cicatrices d’empêtrement et évaluer le taux d’animaux empêtrés.

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Pédoncules d’un rorqual à bosse (gauche) et d’une baleine franche (droite) montrant des cicatrices dues à l’empêtrement. © MICS Photo

Les rorquals communs, par contre, ne lèvent quasiment jamais la queue en plongeant, et seuls 17% des rorquals bleus de l’Atlantique nord-ouest le font. Il est donc plus rare d’observer cette partie du corps et de quantifier le taux de cicatrices pour ces espèces.

Occasionnellement, un rorqual commun ou bleu peut parfois lever un peu plus leur pédoncule hors de l’eau, nous permettant de prendre les photos suivantes:

 

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Le rorqual bleu B207 en 2009, démontrant des cicatrices le long du pédoncule, à l’intersection avec la queue, et sur l’avant de la queue. © MICS Photo

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Le rorqual bleu B112 en 2010, portant une incision profonde et relativement fraîche juste avant la queue. © MICS Photo

 

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Pédoncule du rorqual commun F099 en 2009 (haut) et 2011 (bas). Une entaille qui avait bien cicatrisé a été réouverte et une nouvelle incision est apparue juste derrière, également profonde. © MICS Photo

 

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Les plaies ouvertes et la peau erafflée sur le pédoncule de F100 en juillet 2011. Cet animal qui était régulièrement vu dans le Golfe du Saint-Laurent n’a pas été revu depuis.  © MICS Photo

Après analyse de nos données de photo-identification, nous avons trouvé que la proportion d’animaux ayant déjà été empêtrés est haute (en savoir plus). Qu’en est-il donc des individus qui n’ont pas montré cette partie de leur corps? C’est là que le drone rentre en jeu.

Nouvelle technologie, nouvelle perspective

Les drones sont devenus de plus en plus courants et on leur trouve des applications dans nombreux domaines, dont la science. Dans notre cas, les images occasionnellement récoltées par des drones au cours de ces trois dernières années, nous ont donné une nouvelle perspective sur ces animaux que nous avons l’habitude d’étudier depuis la surface de l’eau. Certaines de ces images nous ont montré des cicatrices que le long du pédoncule et de la queue que nous aurions autrement manqué de voir.

 

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Photo aérienne de drone montrant des cicatrices visibles sur l’un des animaux au niveau de la queue (marques blanches) © MICS Photo & Optik360.

 

Le MICS a donc décidé de soumettre une proposition de projet pour voir s’il est possible d’utiliser des drones pour:

  • identifier les individus de rorquals communs et bleus
  • évaluer le taux de cicatrices

Cette étude se focalisera principalement sur les rorquals communs, dont l’occurrence dans notre aire d’étude est plus facile à prévoir, tandis qu’il est difficile de prévoir la possible occurrence de rorquals bleus, dont la présence dans le secteur demeure imprévisible depuis le début des années 1990.

Afin de procéder à ce projet, nous avons formé un partenariat avec le pilote expert de drones Ryan Rizzo et sa compagnie Poesis Media, pour nous aider à récolter et analyser les données pendant une saison. Nous espérons sincèrement que les résultats préliminaires seront concluants et que nous aurons la possibilité de poursuivre ce projet pour les deux années suivantes.

Voici des images aériennes extraordinaires de rorquals communs prises par Ryan Rizzo de Terresky!

 

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© MICS Photo & Terresky 

 

 

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 © MICS Photo & Terresky

 

Source : MICS pour Mingan Island Cetacean Study
LA UNE :  © MICS Photo & Terresky

La gestion des matières résiduelles, un enjeu vital aux Îles-de-la-Madeleine

Les Îles-de-la-Madeleine consacrent 17 % de leur budget à la gestion des matières résiduelles, soit 4 millions de dollars en 2018. Le contexte insulaire amène de nombreuses contraintes, de sorte qu’un comité interministériel a été formé pour trouver des pistes de solutions.

Ce groupe de travail est composé de représentants de la Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine, du ministère du Développement durable, de l’Environnement, du ministère des Affaires municipales et de RECYC-QUÉBEC. Une première rencontre de ce groupe de travail s’est tenue à la fin du mois de mai pour faire l’exposé de la situation. Par la force des choses, les Îles-de-la-Madeleine ont été des pionnières au Québec dans la gestion des matières résiduelles. L’isolement, l’exiguïté du territoire et notre faible volume nous condamnent à assumer ça avec des coûts très importants, constate-t-il.

LA UNE : Des montagnes de compost aux Îles Photo : Radio-Canada

Île-du-Prince-Édouard : Le retour du bar rayé réjouit les pêcheurs

Le bar rayé, un poisson massif qui peut atteindre facilement deux pieds de long, a fait un retour prodigieux dans les eaux du sud du golfe du Saint-Laurent.  Son retour est salué par les amateurs de pêche qui, selon les horaires des marées, viennent mettre leur ligne à l’eau au quai de Cap-Egmont, sous l’assaut des moustiques voraces. 

René Arsenault, de Saint-Raphaël, est un des mordus de cette pêche qu’il a pratiqué lorsqu’il faisait la pêche au homard en Nouvelle-Écosse.  Maintenant qu’il a décidé de revenir faire son métier dans la région Évangéline, il s’intéresse à toutes les sortes de pêche récréative: la truite au printemps et maintenant le bar rayé.

«Pour mes appâts, j’utilise du maquereau mais chacun a sa recette», dit ce dernier qui, le jeudi 19 juillet, était accompagné de sa femme Colette, qui tenait elle aussi une canne à pêche.  «J’aime la pêche aussi, mais je viens seulement si je ne travaille pas le lendemain matin.  On peut être ici plusieurs heures», dit celle qui est abriée contre les moustiques mais qui a les pieds nus directement posés sur la roche.

Ce jeudi soir, vers 21 h 30, le quai de Cap-Egmont grouillait de monde.  Il y avait au moins une dizaine de pêcheurs, certains habitués et d’autres étant à leur première tentative.  Il faut dire que l’idée de ramener un gros poisson de plus de deux pieds de long en fait rêver plus d’un.

Le bar rayé a été abondant au cours du siècle dernier et ils sont à nouveau présents en grand nombre dans le sud du golfe du Saint-Laurent. Cependant, Dans les années 1990, la population de bar rayé a chuté à environ 3 000 à 5 000 géniteurs.  Toutes les pêches ont été fermées afin d’aider au rétablissement de l’espèce et ces mesures ont donné de bons résultats. Au cours des dernières années, la population de bar rayé a augmenté en flèche et son rétablissement extraordinaire est un franc succès.  En 2018, le ministère a estimé – avec une grande incertitude cependant – à environ 994 000 reproducteurs de bar rayé dans la rivière Miramichi Nord-Ouest, la rivière où ce poisson va frayer.

Une taille de capture maximale de 65 centimètres a été fixée pour protéger les grands reproducteurs qui produisent la plus grande quantité d’œufs. Une taille de capture minimale de 50 centimètres a été fixée pour minimiser la capture de poissons qui ne sont pas encore matures.  La limite de capture est de trois bars rayés par jour, ce qui constituerait un véritable festin.

La saison prendra fin le 31 octobre dans les eaux aux marées adjacentes, comme à Cap-Egmont.  Dans les eaux intérieures, la saison est plus courte.

 Par Jacinthe Laforest

LA UNE : René et Colette Arsenault vont souvent tirer leur ligne au quai de Cap-Egmont dans l’espoir de rapporter un bar rayé, un poisson qui a fait un retour fulgurant au cours des récentes années.

Les requins envahissent les rues pour la Shark Week de Discovery Channel

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Le programme Shark Week célèbre cette semaine ses trente ans de diffusion sur la chaîne Discovery Channel. Pour célébrer cet anniversaire, la chaîne de découverte nature a fait appel à la branche expérientielle de l’agence Berlin CameronBCXP. Afin de mettre en avant ces seigneurs des mers, la chaîne a installé des statues représentant différentes espèces de requins sur le Pier de Santa Monica. Celles-ci ont été construites à partir de matériaux recyclés, afin d’attirer également l’attention sur la pollution des océans.

Avec cette activation, Discovery Channel parvient à mettre en avant deux sujets attenants à la préservation des océans. Les statues ont en effet provoqué un raz-de-marée sur les réseaux sociaux dans le pays. Une manière originale d’attirer l’attention du public sur des problématiques environnementales alors que ces messages, de plus en plus nombreux, doivent redoubler de créativité pour émerger.

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Source : La Réclame

Une quatrième édition réussie pour la course à obstacles « T’as pas l’tchoeur Proxim 2018 »!

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bouetteLa course à obstacles « T’as pas l’tchoeur Proxim 2018 », organisée par la Fondation Santé de l’Archipel, Doris Poirier de Gestions DAAR et une équipe de bénévoles dévoués, avait lieu pour une quatrième édition samedi 28 juillet dernier à la plage de la Dune-du-Sud. Encore une fois cette année, plusieurs obstacles étaient préparés, et ce, pour tous les goûts ; murs à escalader, boue, obstacle dans la mer, épreuves de force et d’équilibre, sans oublier un très beau parcours d’obstacles pour les jeunes enfants.

Ce sont près de deux cents participants qui étaient au rendez-vous et qui ont eu l’tchoeur de relever le défi, tous motivés par la même et importante cause qui est le bien-être de nos personnes aînées aux Îles. Les profits amassés lors de cette journée, qui se résulte en un montant de 7 700 $, ont été remis à la Fondation Santé de l’Archipel, pour les activités de loisirs des résidents du Pavillon Eudore Labrie. Merci au personnel du CHSLD qui ont prêté mains fortes et à l’ensemble des bénévoles ! Quelle belle façon de contribuer au bien-être de nos personnes aînées qui sont des piliers importants dans notre communauté.

Source : Fondation Santé de l’Archipel

Des entreprises en croissance

L’économie de l’archipel semble tourner à plein régime. Pêche, tourisme, construction, etc., les entreprises semblent en bonne situation.

La Chambre de commerce des Îles a voulu valider cette impression en consultant ses membres. Cette consultation s’est déroulée dans la dernière semaine de juillet. Plus de 55 personnes ont répondu au court questionnaire proposé.

Quelques éléments ressortent des questions posées.

Premièrement, comme on pouvait l’imaginer, les 6 premiers mois de l’année ont été bons pour les entreprises de l’archipel. Leur chiffre d’affaires de janvier à juin 2018 a été supérieur ou comparable aux dernières années pour la presque totalité des répondants. On se rappelle que pour la plupart d’entre eux, les 2 ou 3 dernières années étaient déjà bonnes.

Graphique 1 :

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Si on isole le mois de juin, où l’arrivée des visiteurs a semblé plus précoce qu’à l’habitude, le maintien et l’amélioration du chiffre d’affaires demeurent la norme.

Graphique 2 :

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Deuxièmement, sans surprise, la presque totalité des répondants anticipe que le chiffre d’affaires de leur entreprise pour la saison 2018 sera supérieur ou comparable aux dernières années.

Graphique 3 :

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Troisièmement, la Chambre de commerce des Îles a voulu préciser l’effet de la rareté de main-d’oeuvre vécue par les entreprises. Plus de la moitié des répondants aurait embauché de la main-d’œuvre additionnelle si elle avait été disponible.

Graphique 4 :

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Cette rareté de main-d’œuvre contraint certaines entreprises à diminuer leurs heures d’ouverture ou leur offre de service. D’autres entreprises retardent ou annulent des projets. Cela aura certainement une incidence sur leur compétitivité à moyen terme.

De plus, malgré qu’elles aient pu embaucher un nombre suffisant de travailleurs, d’autres entreprises sont dans une situation de fragilité advenant le départ non prévu d’un employé.

Finalement, un grand nombre des entreprises répondantes, qui embauchent pour la saison estivale, ont recours à des travailleurs non-résidents des Îles, qu’ils soient étudiants ou non. Ce phénomène qu’on savait présent au cours des dernières années risque de s’amplifier avec la rareté de la main-d’œuvre locale disponible au cours de la saison estivale.

Graphique 5 :

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En conclusion, les affaires sont encore bonnes pour la presque totalité des répondants. Cependant, la disponibilité de la main-d’œuvre est problématique et de plus en plus préoccupante.

Comme partout au Québec, les entreprises madeliniennes ont un défi de croissance dans une époque de rareté de main-d’œuvre disponible. Elles doivent être en mesure de profiter de toute la main-d’œuvre disponible localement et être en mesure d’attirer des travailleurs venant d’ailleurs.

Il faut donc profiter de ces bonnes années pour nous convaincre, et convaincre les autres que les Îles-de-la-Madeleine sont, bien sûr, un magnifique endroit à visiter, mais aussi, et surtout, un magnifique endroit pour y vivre et y travailler.

[VIDÉO] buzz du web : Île de la Grande-Entrée

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Notre coup de coeur cette semaine, une réalisation signée JPG.MOV qui a su capter la beauté de l’archipel madelinot.

Parce qu’un voyage aux Îles, c’est aussi vivre au rythme des insulaires. Une invitation surprise et spontanée que l’équipe de jpg.mov a acceptée d’emblée.

Quelle fin de journée incroyable à se laisser bercer par la mer!

Production : JPG.MOV
Musique: Chris Janson – Buy me a boat
© 2017


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Nelson CHEVARIE (1932-2018)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès le 30 juillet 2018 de Monsieur Nelson Chevarie, il était âgé de 85 ans et résident de Havre-aux-Maisons, aux Iles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu Monsieur Ernest Chevarie et feu Madame Marie-Jeanne Thériault. Il laisse dans le deuil ses soeurs Julienne (feu Daniel), Adélia (Gérard), Rita, Paulette (feu Jacques), Marie-Anne et aussi sa belle-soeur Carmélita (feu Jacques) ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera à l’église Ste-Madeleine de Havre-aux-Maisons, vendredi le 03 août 2018 à compter de 13h30 et suivront les funérailles qui seront célébrées à 15h00.

Selon sa volonté, veuillez s’il vous plaît compenser l’envoi de fleurs par un don à la Fabrique Ste-Madeleine de Havre-aux-Maisons.

Lucie BOUDREAU (1929-2018)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès le 31 juillet 2018 de Madame Lucie Boudreau, elle était âgée de 88 ans et résidente de Havre-Aubert, aux Iles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse en 1ère noce de feu Monsieur Paul Gaudet et en 2ième noce de feu Monsieur Lionel Hébert et la mère de Madeleine, Jean-Paul (Huguette), feu Roger (Ginette), Micheline. Elle avait huit petits-enfants et onze arrière-petits-enfants. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Havre-Aubert, jeudi le 02 août 2018 de 13h00 à 16h00. Les funérailles de Madame Lucie Boudreau seront célébrées, jeudi le 09 août 2018 à 15h00, à l’église Notre-Dame-de-la-Visitation de Havre-Aubert et de là au cimetière de l’endroit.

Les dons reçus seront versés à la Fondation Santé de l’Archipel pour les soins palliatifs du Pavillon Eudore Labrie.