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Un prix de prestige pour la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine

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Dans le cadre de la 45e édition du colloque annuel de l’Association des communicateurs municipaux du Québec (ACMQ), la Municipalité et la Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine ont remporté la Plume d’excellence Coup de coeur du jury, dans le cadre du Gala des Plumes d’excellence 2024, pour deux campagnes distinctes, mais pourtant unies sous un même thème : le vivre ensemble.

En plus d’être finalistes dans les catégories Campagne – comportementale pour « On vit en société, faut savoir se parler», et Campagne – Identité visuelle, marketing territorial et image de marque pour « Structure d’accueil et d’intégration des personnes issues de l’immigration », la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine et la Communauté maritime se sont vus décerner les honneurs jeudi soir dernier par un jury indépendant composé de cinq experts et sommités québécoises du domaine des communications et du monde municipal. Il s’agit d’un honneur qui arrive à point nommé pour toute l’équipe municipale.

Après l’analyse par le jury des quelque 134 dossiers de candidature reçus pour l’obtention d’une Plume d’excellence dans l’une ou l’autre des catégories en lice, les membres ont récompensé l’organisation municipale pour la pertinence des thématiques abordées, la qualité des outils de communication utilisés, la grande humanité de l’axe de communication et pour les témoignages touchants et l’authenticité qui se dégage des outils de communication.

L’ACMQ compte près de 500 membres regroupant les professionnels de la communication municipale à travers le Québec.

 

LA UNE : Alexandre Bessette, chef de section en attractivité du territoire et Isabelle Cummings, cheffe de section communications et relations avec les citoyens.

Source : Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine

L’actualité de la semaine – Omar & Oscar

Semaine du 3 juin 2024 : Diminution des réservations aux Îles-de-la-Madeleine

Diminution des réservations aux Îles-de-la-Madeleine

 

Quelle version du Subaru Forester 2025 devrais-je choisir?

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« Je suis un fidèle acheteur de Subaru et je m’intéresse au Subaru Forester 2025 pour remplacer mon Forester 2019. J’aimerais avoir votre avis sur la meilleure déclinaison à choisir parmi les 5 proposées pour l’année modèle 2025. » – Charles

Réponse

Bonjour Charles,

D’entrée de jeu, sachez que vous serez en terrain connu avec le Subaru Forester 2025 par rapport à votre 2019. Le comportement routier est tout à fait similaire, mais les quelques améliorations apportent plus de confort, un meilleur équipement et un peu plus de technologie.

Je reviens tout juste du lancement canadien du véhicule où j’ai eu l’occasion d’élucider cette question. Personnellement, j’éviterais la déclinaison Commodité. Le fait qu’elle utilise un arrangement à deux écrans à bord et un système audio à 4 haut-parleurs confirme qu’il s’agit de la version d’entrée de gamme, dont le prix est de 36 333 $, incluant tous les frais ajoutés.

Vient ensuite la déclinaison Tourisme. Pour 5000 $ de plus, vous ajoutez le hayon électrique, le toit ouvrant panoramique, le siège du conducteur à commande électrique, les roues de 18 pouces, l’écran central de 11,6 pouces, le système de surveillance des angles morts, la clé intelligente avec bouton-poussoir, le volant chauffant et le chargeur sans fil pour téléphone intelligent. Le prix du véhicule atteint donc 41 333 $, incluant tous les frais. Ça me semble nettement plus alléchant puisque la majorité des équipements ajoutés vont améliorer la vie quotidienne avec le véhicule. Ce ne sont pas que des ajouts stylistiques.

Vient ensuite la version Sport dont l’ajout principal est une chaine audio Harman Kardon à 11 haut-parleurs, en plus d’accents uniques pour le design du véhicule, comme les roues de 19 pouces. La version Limited donnera accès au système de navigation, aux sièges recouverts de cuir, aux sièges chauffants arrière, au siège du passager à réglage électrique, au siège du conducteur avec mémoire. Finalement, la version Premier ajoute principalement des sièges climatisés à l’avant et une caméra à 360 degrés. Le prix de ces trois versions est respectivement de 45 847 $, 45 847 $ et 47 847 $. Évidemment, le niveau de finition change légèrement autant à l’extérieur qu’à bord, avec des accents personnalisés pour chacune des versions.

À mon avis, bien que ces ajouts puissent être intéressants pour certains acheteurs, j’estime que la version Tourisme est la plus intéressante en raison de son équilibre général. Vous n’avez pas à vous farcir les roues de 19 pouces, et l’équipement qu’elle embarque est amplement suffisant, pour 6500 $ de moins que la version la plus équipée. J’opterais donc pour la version Tourisme.

Plus de détails sur le Subaru Forester

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Toyota présente tous les détails du Crown Signia 2025 pour le Canada

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Les VUS prennent une place accrue dans le marché, et la gamme de produits Toyota ne fait pas exception. Nous n’avons qu’à penser au Toyota Corolla Cross, la variante VUS de la Corolla. Aujourd’hui, le constructeur présente la variante VUS de la Toyota Crown, le Crown Signia 2025. Alors que ce nouveau modèle s’apprête à débarquer chez nous, Toyota nous donne toutes les caractéristiques techniques, dont son prix et sa période de commercialisation.

Le petit nouveau

Comme elle mise sur la marque Crown, un peu comme c’est le cas avec la Corolla, Toyota s’apprête à introduire le Crown Signia 2025. Il s’agit d’un VUS haut de gamme commercialisé en une seule version. Cette dernière portera l’appellation Limited et affichera un prix de départ de 61 081 $, y compris les frais de transport et de préparation. Il y aura la possibilité d’ajouter qu’un seul groupe d’options appelé Technologie Avancée, au coût de 2 075 $. Le nouvel équipement de série sera donc au rendez-vous. D’ailleurs, le Crown Signia 2025 vient d’emblée avec plusieurs assistants à la conduite et un écran de 12,3 pouces pour le système d’infodivertissement. De plus, la présence de sièges garnis de cuir, de garnitures haut de gamme ainsi que d’un toit en verre panoramique accentue le caractère luxueux du véhicule.

Les anciens designs ennuyeux de Toyota sont laissés derrière et feront place à quelque chose de plus dynamique. Cela se traduit par un carénage avant qui incorpore une grille de calandre dynamique de couleur monochrome ainsi qu’une signature lumineuse distincte dont les phares rappellent en partie ceux de la nouvelle Prius. De plus, le VUS est habillé de série de roues de 21 pouces.

Une seule motorisation

Sous le capot du Toyota Crown Signia 2025, le constructeur ne propose qu’une seule motorisation. Il s’agit d’un 4-cylindres de 2,5 litres à cycle Atkinson jumelé à 2 moteurs électriques. Cette combinaison permet d’obtenir une puissance combinée de 240 chevaux et un rouage intégral de série. Toyota annonce une consommation moyenne de carburant de 6,2 litres aux 100 kilomètres combinée sur la route et en ville. Avec ce nouveau VUS, Toyota mise sur une expérience de conduite haut de gamme avec l’élimination le plus possible des bruits extérieurs à bord. De plus, elle mise aussi sur le confort de roulement d’une berline et la polyvalence d’un VUS en termes d’espace.

Selon l’information de Toyota Canada, le Crown Signia 2025 devrait être commercialisé dans les concessions canadiennes au cours de l’été 2024. Son arrivée est donc prévue avant la fin de l’année sur les routes.

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Souligner la Journée mondiale de l’océan aux Îles

Afin de célébrer la Journée mondiale de l’océan, la Table de concertation régionale des Îles organise un événement, regroupant des scientifiques et des membres de la communauté madelinienne, ce samedi 8 juin. Le réchauffement des océans et la place des femmes dans la défense des océans y seront abordés.

La coordonnatrice de la Table de concertation régionale des Îles-de-la-Madeleine, Camille Turbide et la cheffe de section Action climatique à la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine, Jasmine Solomon, sont des nôtres pour en discuter.

 

LA UNE : Le 8 juin est la Journée mondiale des océans.PHOTO : Radio-Canada / Steve Rompré

Enceinte, Maripier Morin était superbe lors de cet événement bien spécial

Mercredi dernier se tenait un événement bien spécial et fort réussi au Musée McCord Stewart de Montréal.

Parmi les invités de marque (à part notre cher photographe), une certaine Maripier Morin, enceinte et plus rayonnante que jamais.

La star, superbe, était en effet parmi les personnalités présentes lors du lancement de l’exposition Portraits et mode – Photographes du Québec au-delà des frontières, et brillait de tous ses feux!

Serge Cloutier

Wow!

Rappelons que la star proposait récemment ses propres photos de grossesse, qui n’ont pas manqué de faire jaser, d’abord en pin-up hollywoodienne…

…puis dans un shooting hyper artistique, les deux sous la lentille de DS Sanchez.

On souhaite une magnifique fin de grossesse à Maripier Morin!

Véronique Cloutier, Marie-Philip Poulin décorées de l’Ordre national du Québec

La Presse Canadienne rapporte que Véronique Cloutier et Marie-Philip Poulin sont parmi les récipiendaires de l’Ordre national du Québec, alors que la plus récente liste a été dévoilée par le gouvernement.

Il s’agit d’un bel honneur et on peut dire que les deux femmes le méritent vu l’impact qu’elles ont eu dans leurs domaines respectifs depuis leurs débuts.

L’animatrice et la hockeyeuse rejoindront donc 24 autres récipiendaires le 29 juin prochain, date à laquelle il leur sera décerné la plus haute distinction québécoise.

Félicitations!

Si on s’aimait encore: Les 4 couples vus par Louise Sigouin

Louise Sigouin se dit extraordinairement fière de ses protégés de Si on s’aimait encore, dont la deuxième saison s’achevait à TVA jeudi soir.

«On a eu le privilège d’être témoins de l’investissement, l’engagement, l’implication et la générosité émotive de chacun des couples, chacun à sa façon, avec ses enjeux respectifs. Chaque couple a eu un cheminement particulièrement honorable», soutient l’experte en accompagnement relationnel, en discussion téléphonique avec Hollywood PQ.

«Ils ont dénoncé des thématiques, des réalités que, moi, je vis régulièrement dans mon bureau. Eux ont osé le faire à l’écran…»

Nous avons demandé à Madame Sigouin de nous résumer le parcours et les accomplissements des quatre couples qu’elle a guidés sous nos yeux ce printemps. Voici son compte rendu.

Keven et Stéphanie: «Ils ont brisé le silence sur un sujet qui n’était pas facile. Ils étaient motivés par le souci de sauver 18 ans de relation, sauver leur petite famille. Stéphanie continue de prendre soin d’elle, elle est stimulée par sa remise en forme, par le fait de revoir ses amis et de récupérer une autonomie qu’elle n’avait pas, avant même cet événement majeur dans leur réalité. Keven, lui, va continuer de renforcer son estime. Il a réalisé à quel point il a failli tout perdre. Il travaille son estime pour gagner en sécurité intérieure et se tenir loin de ces comportements destructeurs.»

Keven et Stéphanie, participants de Si on s’aimait encore, à TVA / Crédit : Courtoisie TVA / Duo Productions

Gino et Christelle: «Ils ont démontré à quel point ils ont cheminé personnellement, chacun de son côté. On a vu Gino se libérer d’une grosse souffrance importante. Christelle a aussi mis en place des mesures pour éventuellement entamer un retour progressif au travail, être plus en confiance intérieurement. Ils nous montrent à quel point, quand on prend soin de soi, ça renforcit le «nous». Ça va les aider à avoir une plus grande intimité amoureuse. Celle qu’ils avaient était tout en douceur, en respect, mais elle manquait « d’ensemble », d’intimité relationnelle. Pour eux, c’est un beau dépassement. Ils sont beaucoup dans la gratitude d’avoir traversé ce cheminement.»

Gino et Christelle, participants de Si on s’aimait encore, à TVA / Crédit : Courtoisie TVA / Duo Productions

Kathy et Guillaume: «On a vu Guillaume un peu plus dans sa vulnérabilité, dans les dernières diffusions. Le plus gros de son travail, c’était d’admettre qu’il avait des difficultés. On ne peut pas changer quand on ne reconnaît pas ses difficultés. À partir du moment où Guillaume admettait ses comportements inacceptables, ça lui a permis de changer. Et, puisqu’il s’occupait davantage de lui-même, ç’a permis à Kathy de s’occuper d’elle. Kathy était beaucoup dans la codépendance, à toujours vouloir aider Guillaume, l’apaiser, le soulager. Ç’a permis à Kathy de reconnecter avec elle-même, de voir ses amis, de parler honnêtement de ce qui se passait dans leur relation, pour pouvoir évoluer et avoir une relation en douceur.»

Kathy et Guillaume, participants de Si on s’aimait encore, à TVA / Crédit : Courtoisie TVA / Duo Productions

Michel et Madeleine: «Ils ont été très rafraîchissants. Ils sont très colorés! Ils ont des enjeux complètement différents. Ils sont une inspiration, un bel exemple du fait qu’on peut tomber en amour à tout âge. Ils sont remplis de tendresse et ont une sexualité active. Je trouve qu’ils sont très inspirants pour les gens de cet âge-là. Leur défi, à eux, était de briser la routine, de faire des activités qu’ils n’avaient jamais faites. Je pense qu’en vieillissant, c’est normal de vouloir rester chez soi, on est bien dans nos choses, mais eux se sont prêtés à l’exercice. Le plus lumineux dans tout ça, c’est qu’ils l’ont fait avec toute leur authenticité. Madeleine a sa couleur bien à elle, Michel aussi, mais on sent que, dans leurs différences, ils sont très aimants et acceptants. C’est une belle leçon pour apprendre à négocier dans différentes relations.»

Madeleine et Michel, participants de Si on s’aimait encore, à TVA / Crédit : Courtoisie TVA / Duo Productions

Plantation de foin de dune dans l’archipel madelinot

Un groupe de 5e secondaires de la Polyvalente des Îles a pris part à une activité de plantation de foin de dune sur une plage à L’Étang-du-Nord mercredi.

L’événement s’est tenu en collaboration avec François Miousse et de Rachelle Gagnon de l’organisme Attention FragÎles.

Le professeur d’éducation physique à la Polyvalente des Îles, Danny Turbide, lors d’une activité de plantation de foin de dune. PHOTO : Stéphanie Benoît

On retrouve notre collaboratrice aux Îles, Stéphanie Benoît, qui y a participé.

 

 

LA UNE : François Miousse de l’organisme Attention FragÎles aux Îles-de-la-Madeleine. STÉPHANIE BENOÎT

Source : Les Îles-de-la-Madeleine avec Stéphanie Benoit. (s. d.). https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/bon-pied-bonne-heure/segments/rattrapage/507472/les-iles-de-la-madeleine-avec-stephanie-benoit

Sam Dickinson croit pouvoir jouer dans la LNH à 18 ans cet automne

La cuvée du prochain repêchage de la LNH est assez forte au niveau des défenseurs. On parle beaucoup d’Artyom Levshunov, qui pourrait être sélectionné au deuxième rang par les Blackhawks, mais des gars comme Anton Silayev, Zeev Buium, Zayne Parekh et Carter Yakemchuk sont aussi des noms populaires.

À Montréal, celui de Cole Hutson l’est aussi, principalement en raison de son frère Lane.

Or, il y en a un autre qui gagne en popularité depuis un petit moment : Sam Dickinson. Le défenseur des Knights, dont Simon Boisvert est un grand partisan, est l’un des meilleurs défenseurs de la cuvée, mais aussi l’un des meilleurs espoirs aux yeux de certains.

Et hier, Dickinson a jasé un brin avec Anthony Martineau, qui est au Combine pour TVA Sports. Ce qui ressort de cet entretien, c’est que le défenseur des Knights se verrait jouer avec un autre ancien des Knights à Montréal, Logan Mailloux.

Mais surtout, c’est le fait qu’il pense être en mesure de jouer dans la LNH dès l’automne prochain.

Le jeune homme, qui célèbre d’ailleurs ses 18 ans aujourd’hui, ne semble pas manquer de confiance en lui. Cela dit, il est de plus en plus rare de voir des kids faire le saut dans la LNH dès l’âge de 18 ans.

Habituellement, le premier choix de l’encan le fait, et une poignée d’autres espoirs de la cuvée débutent l’année dans le circuit Bettman, mais ils se font de plus en plus rares.

Il n’est pas impossible que le défenseur, qui vient d’amasser 70 points en 68 rencontres dans le junior la saison dernière, soit réellement prêt à faire le saut. Cela dit, pour son développement, on peut penser que jouer de grosses minutes est une meilleure avenue… et je vois mal une équipe de la LNH lui faire jouer de grosses minutes à 18 ans.

Dans un monde idéal, c’est probablement dans la LAH qu’il passerait la prochaine saison… mais l’entente entre la LNH et la LCH fait en sorte que c’est impossible.

Il faudra voir si l’équipe qui repêchera Dickinson sera prêt à lui donner sa chance dans la LNH dès la saison prochaine, mais disons que j’ai de la difficulté à le croire.

Et si c’est le CH qui le sélectionne, je tomberais en bas de ma chaise si le défenseur, qui est gaucher, fait partie de la formation au début de la saison.

En rafale

– À lire.

– Qu’en pensez-vous?

– Un nom à surveiller cet été.

– J’ai hâte de voir ça.

– Les Celtics remportent le premier match de la finale de la NBA.

«Parles-tu français?» : le nom de Tij Iginla refuse de mourir à Montréal

Lors du repêchage 1995, les Stars de Dallas ont repêché Jarome Iginla au 11e rang de l’encan. C’était une meilleure décision que celle de l’échanger six mois après aux Flames, mais bon.

Près de 30 ans plus tard, c’est le fils de Jarome, Tij Iginla, qui est en position de sortir rapidement au repêchage de la LNH.

Est-ce qu’il va battre son père et sortir avant le 11e rang au total? La question est intéressante puisque plusieurs repêchages simulés ne placent pas Iginla dans le top-10 de 2024.

Mais il ne suffit que d’une équipe pour que ça se fasse.

À ce sujet, dans l’épisode du jour du 32 Thoughts podcast, Jeff Marek a mentionné être certain que Tij Iginla va battre son père. À ses yeux, c’est un gars qui va sortir dans le top-10.

Il croit même que si les Flames veulent le repêcher, ils devront peut-être s’avancer. Il est possible, selon le journaliste, que les Flames voient Iginla sortir avant le neuvième rang au total.

Le jeune homme, qui n’a pas d’argent sur la table avec son père pour savoir s’il va le dépasser au repêchage, pourrait être dur à ignorer pour les Flames en raison de son talent, mais aussi de son nom.

Ce serait quelque chose de voir les Flames le repêcher… mais ce serait aussi quelque chose de voir les Flames l’ignorer s’il est disponible.

Non seulement Iginla est bon sur la glace, mais son bagage en tant que «fils de» fait en sorte qu’il n’est pas facile à impressionner. Le fait de voir Nathan MacKinnon venir manger à la maison quand son père était à Denver, ce n’est rien d’intimidant pour lui.

Mais il n’en demeure pas moins qu’il n’y a pas que les Flames dans la course. Et si Marek est si certain que ça que le jeune homme sortira dans le top-10 (voire top-8) au sein d’un repêchage de défenseurs, il faut se demander si le CH, qui veut idéalement un attaquant au rang #5, le considèrera.

Et Marek, à ce sujet, a raconté que Jason Bukula (Sportsnet) a demandé ceci à Iginla :

Parles-tu français?

Rappelons que plus tôt cette semaine, The Athletic a soulevé les noms d’Ivan Demidov, de Cayden Lindstrom, de Beckett Sennecke et de Tij Iginla dans la course au rang du Canadien.

Rappelons aussi que le centre a obtenu 84 points, dont 47 buts, en 64 matchs à Kelowna cette année. Peut-il être une cible pour le Canadien?

En rafale

– Quel manque de respect énorme.

– Grosse victoire des Moineaux.

– À surveiller.

– Quel est le futur de Ken Holland à Edmonton? [TVAS]

– Des nouvelles du combat de boxe d’hier.

Le Campus des Îles-de-la-Madeleine honore ses 39 finissants lors du gala annuel

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Le 30 mai 2024, le campus des Îles-de-la-Madeleine du Cégep de la Gaspésie et des Îles a organisé son gala de fin d’études à la Maison de la culture de Havre-aux-Maisons. Cet événement a marqué la fin du parcours collégial des étudiants, entourés de leurs parents et proches.

La Médaille académique du Gouverneur général a été décernée à Mariko Papillon, étudiante en Sciences de la nature, pour la meilleure moyenne générale.

Onze bourses, totalisant 5 500 $, ont été remises pour récompenser la réussite, l’engagement et la persévérance scolaires. Voici les récipiendaires :

Mérite éducatif (500 $)

  • Sandra Randrianandraisana – Mérite et réussite scolaire
  • Pierre-Édouard Boudreau – Mérite et réussite scolaire
  • Amélie Poirier – Mérite et réussite scolaire
  • Magaly-Jade Poirier – Mérite et détermination scolaire
  • Audrey-Anne Gaudet – Mérite et détermination scolaire
  • Béatrice Cummings – Mérite scolaire et vie étudiante
  • Pierre-Édouard Boudreau – Bourse de la formation générale
  •  Pierre-Édouard Boudreau – Bourse de la valorisation de la langue

Autres distinctions (500 $)

  • Béatrice Cummings – Bourse Cornélius-Brotherton pour dépassement de soi
  • Pierre-Édouard Boudreau – Bourse Cornélius-Brotherton pour dépassement de soi
  • Yoan Labelle-Broomfield – Bourse Serge-Rondeau pour amélioration du rendement scolaire

La soirée en images

Félicitations à tous les récipiendaires pour leurs accomplissements exceptionnels!

 

LA UNE : La Médaille académique du Gouverneur général a été décernée à Mariko Papillon