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Joel Armia va mieux, mais il y a des limites à vouloir le garder

Si Kent Hughes n’échange pas un joueur, c’est pour l’une de ces raisons-là : il ne veut pas l’échanger, il ne peut pas l’échanger ou il n’a pas réussi à s’entendre avec un homologue pour l’échanger.

Quand on parle de Joel Armia, un joueur qui a été cédé au ballottage pas plus tard que cet automne, on pouvait penser qu’il faisait partie de la catégorie des joueurs qui ne sont pas exactement les plus en demande de la LNH.

Mais en ce moment, on sent une certaine vague nous poussant quasiment à croire le contraire.

Oui, le Finlandais joue mieux depuis quelques semaines… et on dirait qu’on sent une vague qui tend à nous démontrer que le Canadien ne tient pas à se départir d’Armia autant qu’on ne le pense – ou autant que les amateurs du club.

Par exemple? Quand Mathias Brunet avait dit croire à la possibilité de voir Juraj Slafkovsky, Kirby Dach et Joel Armia jouer ensemble l’an prochain, le journaliste avait ajouté ceci :

C’est un gars qui est très apprécié au sein de l’organisation. – Mathias Brunet

Puis, un peu plus récemment, quand Alexandre Pratt avait affirmé que le Canadien n’avait qu’un seul joueur élite défensif : le bon Armia. Il s’était repris en retirant le mot élite, mais quand même.

Ça en dit long malgré tout :

Le Canadien n’a qu’un seul joueur élite défensivement, et c’est Joel Armia. – Alexandre Pratt

Puis, ce matin, Renaud Lavoie a pondu un papier dans lequel il a parlé de la résurrection de l’ailier. Il a mentionné que l’attaquant a été fouetté par son renvoi à Laval en début de saison et qu’on le sent engagé mentalement.

Et c’est là qu’il a mentionné ceci concernant la suite des choses :

S’il est en mesure de terminer la saison en force, il pourrait faire partie de la solution la saison prochaine, ce que peu de gens, moi le premier, croyaient possible il y a trois mois. – Renaud Lavoie

Je comprends que le CH aime ses qualités de gars qui protège la rondelle et de joueur défensif. Cependant, je ne comprends pas comment on peut parler de « gars qui fait partie de la solution » la saison prochaine.

En fait, non : ça me décourage de penser qu’il fait potentiellement partie de la solution.

Je ne suis pas en train de dire que Renaud Lavoie a tort dans ce qu’il écrit puisqu’il sait de quoi il parle et il le fait souvent en connaissance de cause, soit en rapportant ce qui se passe derrière les portes closes.

Cependant, je ne peux pas être en accord avec le fait qu’Armia fasse partie de la solution, ce qui semble être la vision du Canadien. Cette saison, sa production sur 82 matchs cette saison n’est même pas de 30 points.

Ses 11 buts ne sont pas vilains, mais… il a quand même juste 16 points en 45 matchs cette saison. De 2020-2021 à 2022-2023, il a eu 14 points seulement à chaque campagne, ce qui est bien peu.

On a déjà vu mieux, disons.

(Crédit: Hockey DB)

Si Armia est si utile que ça, je préfère que Kent Hughes utilise ses pouvoirs de persuasion (et, soyons honnête, sa dernière rétention salariale), pour envoyer le joueur être la solution d’une autre équipe.

Il y a des équipes avec lesquelles il pourrait trouver son compte, selon David Pagnotta.

À 3.4 M$ par année pendant encore un an et demi, je connais bien des gens qui se porteraient volontaire pour aller le porter à l’aéroport, compte tenu de son inconstance des dernières années.

Tant mieux s’il joue mieux ces temps-ci (#Vitrine) et qu’il semble finalement motivé, mais je ne crois pas que plusieurs bonnes semaines – ou meilleures semaines, du moins – doivent effacer un looooooong contrat qui n’a pas été le meilleur de Marc Bergevin.

Si le Canadien a une chance de l’échanger, qu’il le fasse. Mais si plusieurs journalistes d’expérience parlent de la sorte d’Armia, un joueur qui a du upside, j’ai le sentiment que c’est parce que ça veut dire que oui, il est bel et bien dans les plans du Canadien.

Pour le meilleur et (surtout) pour le pire.

En rafale

– Un nom à surveiller.

– À 12h 30, heure du Québec, les extras du match de ce soir vont patiner. Rappelons que Jake Allen affrontera les Preds.

– Oui.

– Le cash est dans les séries. Cela peut expliquer le congédiement de Lindy Ruff. [98.5 FM]

– On retourne dans le passé.

NEXUS : Les sculptures sous-marines de Jason Decaires Taylor

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Jason Decaires Taylor est un sculpteur connu pour ses installations sous-marines. Il créer ce qu’il appelle des « underwater museums », accessibles seulement par la plongée. 

Nexus est une œuvre de 12 sculptures situées à la fois sur et dans les eaux du fjord d’Oslo.

Emplacement: Oslo, Norvège
Profondeur: 2m
Date d’installation: 2018

L’œuvre a été commandée par un centre d’art pour enfants à Sanvika, Oslo. Le centre vise à encourager les enfants à explorer l’art et la nature et l’installation est conçue pour attirer les étudiants vers la vie marine diversifiée dans les fjords environnants. Les étudiants sont invités à suivre l’évolution des structures au fil du temps au fur et à mesure qu’elles sont colonisées par la vie marine.

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Les sculptures emmènent le spectateur dans un voyage, reliant la vie terrestre au monde marin. Les figures en bronze d’un père et d’une fille se tiennent main dans la main sur un quai flottant à texture d’eau, regardant vers le bas dans le fjord. Ils envisagent dix figures flottantes grandeur nature sous la surface de l’eau.

Les personnages flottants sont attachés au milieu de l’eau au fond de la mer via un «cordon ombilical» en acier inoxydable. Suspendus comme des utérus dans l’eau, ils nous rappellent que la vie sur terre a commencé dans l’océan et que nous en dépendons pour survivre.

Dans un échange direct entre l’art et la nature, on s’attend à ce qu’avec le temps les structures encouragent la vie marine et la régénération dans un environnement sous-marin menacé. Il existe déjà des signes de homards et de crabes habitant les habitations de crustacés placés à la base des cordons ombilicaux. Des moules et des jets de mer tubulaires transparents peuvent déjà être vus peupler la base de l’installation. Ces organismes filtreurs pourraient à leur tour contribuer à améliorer la qualité de l’eau de cet environnement à prédominance urbaine.

Le fjord change au fil des saisons et est parfois recouvert d’eau douce, suivie d’eau salée teintée de vert, suivie d’une couche de soufre blanc. En regardant les œuvres d’en bas, les couches créent un effet de filtres de lumière aquatiques, changeant considérablement l’interprétation. Sous la glace d’hiver, l’eau d’algues vertes crée des couleurs et des motifs lumineux qui rappellent les aurores boréales.

Les œuvres d’art peuvent être vues par plongée en apnée; plongée ou canoë à fond de verre. Un trou peut être creusé dans la glace pendant la période hivernale pour permettre l’accès aux plongeurs expérimentés.

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Honda S2000 ou Subaru BRZ presque neuve?

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« Mon cœur balance entre une Honda S2000, peu importe l’année, et une Subaru BRZ presque neuve. La Honda m’intéresse davantage, mais je crains sa fiabilité, c’est pourquoi je considère aussi une Subaru BRZ plus récente. » — Philippe

Réponse

Bonjour Philippe,

D’emblée, je dois vous dire que la Honda S2000 est certainement la voiture la plus performante et la plus spéciale entre les deux. Sa motorisation, composée d’un 4-cylindres de 2,0 ou 2,2 litres (changement en 2004), fait le charme de la voiture à elle seule. Je dis le charme parce que c’est une pièce d’ingénierie comme seule Honda sait le faire, qui fonctionne avec précision et rigueur, mais dont la puissance livrée à haut régime. En effet, il ne se passe pas grand-chose en bas de 5000 tr/min avec ce moteur, jusqu’à ce que le système de calage variable des soupapes VTEC entre en fonction pour délier la puissance et livrer une sonorité sans pareille. Certains aiment, d’autres pas, mais je fais personnellement partie du premier camp.

La tenue de route, imposée par la caisse très basse, la direction d’une précision chirurgicale et la suspension ferme, constitue aussi un autre avantage de la S2000. De plus, son style unique et sa réputation dans le monde de l’automobile vous assurent d’avoir des discussions aminées avec les amateurs d’automobiles de tout acabit. De plus, la possibilité d’abaisser le toit en fait une voiture idéale pour profiter des rayons du soleil.

C’est donc une voiture nettement plus typée que la Subaru BRZ, qui n’est pas pour autant dénuée de qualités. Son moteur 4-cylindres à plat d’une cylindrée de 2,4 litres propose plus de couple que l’ancienne génération, ce qui améliore l’agrément de conduite. Le côté rugueux du moteur à plat fait aussi partie du charme du véhicule, en opposition avec la finesse du moteur de Honda. La manuelle à six rapports est évidemment celle à choisir pour bénéficier de la mécanique. Elle propose aussi plus d’espace à bord, notamment avec des sièges arrière qui peuvent permettre d’accueillir des passagers, ou simplement y déposer des bagages. Le fait qu’elle soit munie d’une carrosserie de type Coupé vous empêche cependant de circuler les cheveux au vent.

Le risque

Je pense qu’on a bien établi que la Honda S2000 est une voiture nettement plus pointue et qui risque de mieux satisfaire l’envie d’avoir un véhicule secondaire différent. Cependant, c’est une voiture nettement plus difficile à magasiner. Il suffit de parcourir les sites de petites annonces pour se rendre compte que plusieurs Honda S2000 sont modifiées, parfois lourdement, et que d’autres ont été accidentées et réparées. Beaucoup de ces modèles portent la mention VGA (Véhicule gravement accidenté), dont la signification varie en fonction de la province ou du pays dans lequel est survenu le sinistre.

C’est vraiment sur ces aspects que doit se concentrer le magasinage de ce véhicule, puisque c’est une voiture autrement fiable. Parmi les seuls problèmes répertoriés, mentionnons les dispositifs de retenue de soupapes (en anglais, « valve retainer ») qui peuvent craquer et se détériorer avec le temps si le précédent propriétaire a fait surrévolutionner le moteur, pour les modèles de 1999 à 2003. Avec un moteur qui livre sa puissance à si haut régime, il n’est pas impossible que ce problème soit survenu, particulièrement si une mauvaise rétrogradation de vitesse a été effectuée (sélectionner le deuxième rapport, plutôt que le quatrième, par inadvertance). Pour le reste, hormis quelques problèmes mineurs faciles à régler, il n’y a rien de significatif avec ce modèle.

Évidemment, le fait de magasiner pour une Subaru BRZ 2022 ou même neuve vous éviterait presque toute possibilité d’acheter une voiture malmenée, en mauvais état et accidentée et mal réparée. La fiabilité de la BRZ est bonne aussi, et le véhicule est encore couvert par la garantie. C’est le principal avantage de la Subaru dans la situation actuelle, soit celui d’offrir une certaine tranquillité d’esprit. Soyons cependant clairs que le plaisir que vous en tirerez ne sera pas le même.

Le verdict

Personnellement, si c’est une voiture dont vous souhaitez vous servir uniquement en été, et qu’elle agira comme un jouet, je me tournerais sans hésitation vers la Honda S2000. Elle demande plus de précautions à magasiner, mais demeure fiable et surtout plus pointue que la BRZ, plus générique. Une inspection mécanique est obligatoire avant l’achat, et si vous pouvez acheter d’un particulier qui connait bien le modèle et qui en a pris soin, c’est encore mieux. Le prix sera plus élevé, mais la qualité du véhicule le sera également.

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Maserati lance la GranCabrio, une voiture cabriolet sportive inspirée de la GranTurismo

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Le fabricant d’automobiles Maserati a annoncé, il y a quelques années, son intention de rendre sa gamme de véhicules entièrement électriques d’ici 2028. Maserati promet également, pour 2025, que tous ses modèles auront au moins une version munie d’un système de propulsion électrique. L’entreprise compte toutefois poursuivre le développement de véhicules à essence au cours des prochaines années, et voilà que la nouvelle GranCabrio le confirme. Effectivement, le constructeur italien vient de lever le voile sur un cabriolet mû par un moteur thermique V6 de 542 chevaux.

V6 de 3 litres

Basée sur la berline GranTurismo, la GranCabrio débarque en sol canadien en mouture Trofeo, soit l’une des plus performantes du lot. Cette unique variante est mue par un moteur V6 biturbo de 3 litres jumelé à une boîte de vitesses automatique à 8 rapports. Ainsi motorisée, la GranCabrio promet une puissance de 542 chevaux et un couple de 650 livres-pieds acheminés aux 4 roues du véhicule.

Dans sa version Trofeo, la GranCabrio propose 4 modes de conduite différents, soit COMFORT, GT, SPORT et CORSA. On peut les sélectionner par l’entremise de la commande rotative au volant, avec le bouton de réglage de la suspension au milieu.

La GranCabrio est équipée d’un mode « launch control » qui permet un départ-arrêt effréné. Fait cocasse, le constructeur a pris la peine de préciser, lors du dévoilement, qu’il est parallèlement possible de désactiver les systèmes de sécurité électroniques grâce au bouton ESC-OFF et ainsi de faire corps avec la machine.

Sportive et luxueuse

Le nouveau cabriolet de Maserati est 100 % confectionné en Italie, et le constructeur ne se gêne pas pour dire à quel point le luxe se fait ressentir à l’intérieur. Toutes les commandes sont numériques, ce qui permet à Maserati d’affirmer que l’habitacle est épuré et technologique. Le fabricant ajoute aussi que tous les matériaux à l’intérieur de l’habitacle sont de « vrais matériaux », ce qui laisse présager que le cockpit ne devrait pas être garni de plastique.

L’expérience sonore à bord devrait, théoriquement, être intéressante. De base, la voiture est dotée d’une chaîne audio de marque Sonus Faber qui compte 13 haut-parleurs. Équipée d’un amplificateur double, cette chaîne promet 815 watts. Dans la version offerte en option, Sonus Faber propose 16 haut-parleurs d’une qualité supérieure à ceux du système standard, pilotés par un amplificateur plus puissant qui délivre jusqu’à 1 060 watts.

Quatre passagers pourront prendre place à bord, et Maserati affirme que les sièges sont d’un confort remarquable. Fait intéressant, les occupants à l’avant auront droit à un dispositif de climatisation/chauffage orienté directement dans leur cou qui leur permettra de se réchauffer lors des journées fraîches, mais ensoleillées.

Le toit en tissu est offert en 5 couleurs différentes. Une fois qu’il est rangé dans le coffre, Maserati confirme que la GranCabrio reste pratique et qu’il est possible de transporter des valises (sans en préciser les dimensions). Il est possible d’abaisser le toit en moins de 14 secondes, tout en continuant de circuler à une vitesse de 50 kilomètres/heure ou moins.

Le prix de vente de la GranCabrio 2024 n’est toujours pas connu au moment d’écrire ses lignes. Il est cependant possible de configurer la voiture directement sur le site de Maserati Canada. Le constructeur affirme d’ailleurs que le véhicule sera commercialisé dès cette année.

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Les constructeurs automobiles ont perdu la guerre de l’infodivertissement

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J’ai toujours tendance à utiliser les applications mobiles de navigation présentes sur mon téléphone intelligent et relayées à l’écran de l’auto par Apple CarPlay. Mais, je me suis récemment questionné sur l’avancement qu’ont fait les constructeurs automobiles en la matière ces dernières années. Si jadis, ces systèmes de navigation étaient carrément inutilisables tant ils étaient bourrés d’erreurs, un grand nombre de véhicules sont maintenant connectés et reçoivent des informations de circulation en temps réel, de la même manière que les applications mobiles. Tout est là pour que l’expérience soit améliorée grandement par rapport à ce que c’était.

Rien de mieux pour y voir clair que d’utiliser le système de navigation imbriqué dans plusieurs véhicules mis à l’essai. De ces expériences, voici un exemple de trajet qui ne s’est pas passé comme prévu.

Un trajet normalement banal

Décembre 2023, je suis parti de Lanaudière pour me rendre à Longueuil à bord d’un véhicule Ford. J’ai donc entré l’adresse de ma destination dans le véhicule, qui m’a fait prendre l’autoroute 40 en direction ouest. Jusque-là, tout est maitrisé.

Juste avant d’arriver à l’autoroute 25 en direction du tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, le système m’a fait sortir de l’autoroute pour emprunter le boulevard Roi-René en direction sud. Ce n’est pas inhabituel que les systèmes de navigation nous redirigent vers des trajets alternatifs à l’autoroute 25, compte tenu des travaux en cours au tunnel qui perturbent de manière importante et continuelle la circulation automobile. Toutefois, c’est la première fois qu’un système, toutes origines confondues, me faisait emprunter le boulevard Roi-René. Déjà là, ça n’augurait rien de très bon.

Ensuite, il m’a envoyé sur la rue Sherbrooke en direction ouest. Je suis passé par-dessus l’autoroute 25, ce qui m’a permis de constater que la circulation automobile y était complètement arrêtée, me procurant un sentiment de victoire. Le GPS intégré avait vu juste! Plus loin, j’ai bifurqué à gauche sur l’avenue Haig, que j’ai descendue jusqu’à la rue Notre-Dame, qu’il m’a fait emprunter en direction est.

Selon les indications de mon (bientôt incompétent) système, je devais ensuite tourner sur la rue des Futailles, qui devait me mener à la dernière bretelle d’accès au tunnel avant de traverser sur la Rive-Sud.

Le problème, c’est que cette bretelle est fermée depuis octobre 2022. OCTOBRE 2022! Le système, aussi connecté soit-il, n’était pas encore au fait des importants travaux qui ont cours à cet endroit depuis plus d’un an.

Constatant le cul-de-sac dans lequel j’étais engagé, j’ai changé de stratégie en utilisant plutôt Waze par l’entremise de mon téléphone cellulaire. L’application m’a fait remonter par la rue Honoré-Beaugrand, pour me rendre (à nouveau) sur la rue Sherbrooke en direction est. Bref, il aura fallu 2 h 38 pour parcourir moins de 100 kilomètres, en raison en plus d’un accrochage qui a ralenti notre progression. Une perte de temps monumentale.

Un constat généralisé

J’ai obtenu des résultats similaires avec presque toutes les marques. Des mises à jour qui ne sont pas faites et qui dirigent vers des routes inexistantes, des routes fermées, une entrée de cour ou encore des zones de trafic dense.

Bien que l’utilisation du système de navigation soit un exemple probant, et surtout frustrant, de l’incompétence d’une majorité de constructeurs d’automobiles en la matière, d’autres aspects du système d’infodivertissement le confirment également. Dans bien des véhicules, le simple fait de vouloir changer de poste de radio, ou encore d’accéder à une liste de chansons qui se trouve dans un téléphone intelligent relève d’un exploit. Il est facile de se perdre dans les dédales des systèmes d’infodivertissement complexes et peu intuitifs et les sous-menus qui n’en finissent plus. Sans compter que certains systèmes sont particulièrement lents, ou renferment d’autres contraintes stupides comme l’impossibilité d’utiliser la fonction tactile dès que le véhicule est en mouvement.

J’ai beau vouloir utiliser la commande vocale, mais celle-ci, dans presque 100 % des cas, ne comprend pas ce que je veux dire, ou doit être utilisée avec des mots-clés bien précis, sans quoi elle ne réagit pas. Franchement, c’est nul.

L’expérience utilisateur

Avant toute chose, je me dois quand même de souligner l’effort de certains constructeurs qui s’en tirent un peu mieux que d’autres. Je pense entre autres à Tesla avec son système intégré, de même qu’aux véhicules qui utilisent le système généralement plutôt bien renseigné Google, dont l’application Google Maps. Mercedes-Benz, avec son système MBUX de type zéro couche, fait aussi bonne figure. Cependant, ils représentent l’exception qui confirme la règle, puisque la plupart des constructeurs généralistes laissent une mauvaise impression.

Donc, pourquoi les constructeurs d’automobiles sont-ils aussi déphasés quand vient le temps de programmer leurs systèmes d’infodivertissement?

Il semble manquer une chose à ces constructeurs : considérer l’expérience utilisateur, ou le « user experience (UX) » comme on dit en anglais. « L’UX qualifie l’expérience globale ressentie par l’utilisateur lors de l’utilisation d’une interface, d’un appareil digital ou plus largement en interaction avec tout dispositif ou service », selon ce qu’avance Usabilis, une entreprise qui se spécialise dans ce domaine.

C’est précisément ce que font Apple et Google avec les systèmes CarPlay et Android Auto. Tout est facile : l’interface est presque identique à celle du téléphone que nous avons constamment dans les mains, les applications mobiles sont constamment à jour (pour vrai), elles reçoivent des données en temps réellement réel, et parfois bénéficient de la contribution d’autres automobilistes. Un accident survient? Un trajet alternatif est immédiatement trouvé pour tenter de limiter les dégâts sur votre heure d’arrivée. L’opération des différents menus est aussi facile et intuitive, sans délai.

C’est pourquoi j’estime que plusieurs constructeurs ont perdu cette bataille. À mon sens, ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils capitulent et s’adressent à de grandes marques connues pour leur interface, comme ils le font pour leur chaine audio. C’est d’ailleurs commencé, avec l’intégration de l’interface Google par certains constructeurs, et avec Apple qui est en plein développement d’une interface complète pour l’auto.

Les constructeurs pourront donc se concentrer sur d’autres aspects envers lesquels ils ont plus d’intérêt.

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Le Mitsubishi Outlander PHEV peut délibérément refuser de démarrer par temps très froid

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Même si le mois de février a été l’un des plus chauds à ne jamais avoir été enregistré dans la Belle Province, certains secteurs du Québec et du Canada sont parfois exposés à des froids nettement plus exigeants.

Ces froids ont d’ailleurs surpris plusieurs propriétaires de Mitsubishi Outlander PHEV de nouvelle génération dont le véhicule a carrément refusé de démarrer cet hiver. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas parce que le moteur thermique était paralysé par le froid, mais bien parce que la batterie de traction lithium-ion était trop froide, et que le véhicule empêchait sciemment le démarrage pour éviter de l’endommager.

Les groupes Facebook destinés aux propriétaires de Mitsubishi Outlander PHEV ainsi que les regroupements de propriétaires sur Reddit regorgent d’acheteurs déçus de leur Outlander PHEV, puisqu’ils estiment qu’il n’est pas conçu pour faire face aux rudes hivers canadiens. Pour la plupart, le refus de démarrer est survenu quand le véhicule était stationné pour une période d’une dizaine d’heures (une nuit), à des températures ambiantes sous les -25 degrés Celsius, que le véhicule soit branché pour recharger sa batterie lithium-ion ou non. En tentant de démarrer, le lendemain matin, le véhicule affiche simplement au tableau de bord « température trop basse », sans qu’il ne soit possible d’effectuer quoique ce soit d’autre.

Des avertissements présents

En consultant le manuel du propriétaire, on se rend compte qu’il est bel et bien question de l’impossibilité de conduire le véhicule si la température de la batterie hybride rechargeable est trop froide, sans toutefois préciser sous quel seuil. Le manuel du propriétaire fait également mention de l’impossibilité de recharger la batterie si celle-ci est trop froide. Comme solution suggérée, le constructeur mentionne simplement qu’on doit « attendre que la température ambiante se réchauffe, et que la température autour de la batterie augmente avant de pouvoir conduire le véhicule. »

Comme l’ont rapporté plusieurs propriétaires, cette situation est directement reliée au fait que le Mitsubishi Outlander PHEV de deuxième génération n’est pas équipé d’un système de réchauffement de la batterie. Quand on conduit le véhicule, ou qu’il est en pleine recharge sur une prise de niveau 2 (240 volts), une certaine chaleur se crée forcément, ce qui facilite le redémarrage peu de temps après la conduite. Toutefois, il semble n’exister aucun moyen de maintenir la température de la batterie à un niveau fonctionnel quand le véhicule est garé sans être branché, ou une fois que la recharge est complétée, si le mercure chute drastiquement.

Ce faisant, la température interne de la batterie de traction descend à un niveau qui la rend inutilisable. De plus, selon ce qu’avancent les propriétaires et certains concessionnaires qui leur ont donné des réponses, compte tenu de la façon dont le véhicule est conçu, le moteur thermique ne peut pas prendre le relais en cas de défectuosité ou d’incapacité de la batterie de traction à faire fonctionner le véhicule.

Service à la clientèle du constructeur

Devant le mécontentement des propriétaires, le constructeur a communiqué avec ceux-ci pour tenter de calmer le jeu : « Brancher le câble de recharge du véhicule peut faciliter le démarrage en cas de froid extrême. Néanmoins, selon l’intensité et la durée de la période froide, il se peut que le véhicule ne démarre pas si la température de la batterie devient trop froide (Exemple : une température ambiante de -30 degrés Celsius pendant plus de 10 heures), et ce, même si le câble de recharge est branché (les conditions peuvent varier). »

Une lettre a aussi été acheminée aux propriétaires au cours de l’hiver pour rappeler les bonnes pratiques de recharge et d’utilisation du véhicule, en plus de les aviser qu’une mise à jour optionnelle avait été développée pour réduire le problème. On peut y lire que « Mitsubishi a développé une mise à jour optionnelle du logiciel qui peut prolonger le temps nécessaire à refroidir la batterie de traction. Bien que cela ne garantisse pas le démarrage du véhicule dans toutes les circonstances de froid extrême, la mise à jour du logiciel permettrait d’améliorer la capacité de démarrage par températures extrêmes. »

La réponse du constructeur

Nous avons contacté Mitsubishi Motor Sales of Canada, qui nous a fait parvenir la réponse suivante, que nous avons traduite de l’anglais :

« Le temps froid est très dur pour toutes les batteries, autant la batterie 12 volts que la batterie à haute tension d’un véhicule électrifié peuvent être affectées. Dans certains cas, cela signifie que les véhicules à moteur thermique et les véhicules alimentés par batterie/électrifiés peuvent ne pas démarrer dans certaines circonstances extrêmes, afin de réduire le risque d’endommagement de la batterie.

Dans l’Outlander PHEV, le système électrique hybride rechargeable est conçu pour éviter d’endommager la batterie et, dans certains cas, peut empêcher la conduite du véhicule. Comme pour toutes les questions d’entretien et de fonctionnement du véhicule, quel que soit le climat, il est recommandé de suivre les instructions trouvées dans le manuel du propriétaire du véhicule.

Concernant spécifiquement le fonctionnement par temps froid, comme l’indique le manuel du propriétaire, il est recommandé de connecter le câble de recharge du véhicule électrique (charge normale) chaque fois que le véhicule est stationné pour augmenter la chaleur de la batterie.

La technologie des batteries et des véhicules électriques évolue rapidement, avec de nouveaux matériaux et produits chimiques développés aujourd’hui et à l’avenir. Le développement de produits est sans fin, et continuer à étudier les impacts du climat ici nous aidera avec les futurs produits et technologies.

Notre objectif est d’améliorer continuellement l’expérience de possession de nos clients et, comme vous l’avez mentionné, nous avons contacté les propriétaires d’Outlander PHEV avec un rappel sur le fonctionnement par temps froid et avec une amélioration logicielle facultative qui peut être effectuée sans frais. »

Des propriétaires toujours mécontents

Sur Reddit, on peut lire l’incompréhension des propriétaires face à ces réponses qui ne les satisfont pas. Certains ont carrément choisi de se départir de leur véhicule, moins d’un an après en avoir pris possession. Ils se sont dits déçus de l’incapacité d’un véhicule moderne à faire face au temps froid, d’autant plus qu’il s’agit d’un véhicule assez cher. On peut aussi y lire des commentaires d’acheteurs potentiels qui ont rayé le véhicule de leur liste de magasinage, en raison de ce problème.

L’avis de RPM

Il nous semble tout à fait incompréhensible qu’un véhicule si important, qui a récolté un bon succès au Canada avec sa première génération, ne soit pas en mesure de faire face au climat d’un pays dans lequel il est vendu. Comme mentionné par certains propriétaires consultés, les véhicules concurrents ne sont pas aux prises avec ce genre de problème. Bien que ce ne soient pas tous les acheteurs qui fassent face à des conditions aussi rigoureuses, un tel fonctionnement laisse planer un doute sur la capacité et la résistance des composants du système électrique du véhicule à plus long terme.

Nous vous rappelons que le véhicule est toujours catégorisé « En évaluation » par notre équipe de journalistes. Nous allons suivre ce dossier avec attention, et nous prendrons en considération son évolution avant de rendre notre décision finale quant à la fiabilité de ce modèle.

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Le temps des framboises 2 se dévoile!

Club illico vient de dévoiler la bande-annonce de la deuxième saison de la série Le temps des framboises et ça a l’air incroyable!

Les téléspectateurs auront la chance de retourner à la ferme des Conley et de retrouver leurs personnages préférés, dont Élisabeth, interprétée par Sandrine Bisson, qui a d’ailleurs reçu le prix du Meilleur premier rôle féminin d’une série dramatique aux Gémeaux.

En effet, la performance qu’elle offre dans cette série est exceptionnelle!

«C’est la veille de Noël à la ferme. Les Conley sont toujours aussi dysfonctionnels, et Élisabeth s’ennuie terriblement de Francisco. Le printemps fait rapidement place à un énorme projet: la construction d’une serre. La pression sur Elisabeth n’a jamais été aussi grande, d’autant plus que Martha continue de la harceler pour obtenir ses parts de la ferme (…) Bien que les discordes continuent de pimenter le quotidien, tant de la famille Conley que des travailleurs saisonniers, l’amour se fraye un chemin au gré de cette deuxième saison. Elisabeth fait face au sien. un amour dévorant qui tantôt la submerge, tantôt lui glisse entre les mains. Elle doit décider s’il peut perdurer, ou s’il n’existera… que le temps des framboises!» peut-on lire comme résumé dans le communiqué officiel.

La deuxième saison qui comporte 10 épisodes de 60 minutes sera disponible en exclusivité sur Club illico dès le 4 avril prochain, pour les abonnés de cette plateforme.

Et préparez votre popcorn, puisque tous les épisodes seront disponibles au même moment, donc il sera possible de tous les visionner en rafale!

Avez-vous hâte de regarder la saison 2?

Moi et l’autre: Kim Lévesque Lizotte dévoile sa distribution!

La pièce Moi et l’autre écrite par Kim Lévesque Lizotte dévoile enfin sa distribution et tout cela s’annonce très excitant!

Parmi les comédiens, Juliette Gosselin et Alexa-Jeanne Dubé incarneront le duo qui était autrefois formé de Dominique Michel et Denise Filiatrault.

Henri Chassé, de son côté, interprétera le personnage de Monsieur Lavigueur, gérant de l’immeuble, et Marc St-Martin jouera le rôle du concierge Gustave.

Il y a également trois nouveaux personnages qui vont s’ajouter à la pièce! Sandrine Bisson incarnera le personnage de Mrs Clark la voisine anglophone, tandis que Joëlle Paré-Beaulieu jouera le rôle de Johanne Hébert, amie des filles et barmaid.

Finalement, David Corriveau jouera le rôle de Hébert Léotard, un grand chanteur Français.

La pièce raconte une histoire se déroulant à l’époque de l’Expo 67 dans laquelle la vie des deux amies est chamboulée par l’arrivée de Mrs Clark qui ne les apprécient pas du tout, ainsi qu’Hébert qui décide d’organiser un concours de talent pour lequel le gagnant remportera un voyage à Paris en sa compagnie.

Les deux amies tenteront de voler son coeur tout en tentant de gagner le concours… aux risques et péril de leur amitié!

C’est à partir du 27 juin 2024 que la pièce sera présentée au Théâtre du Vieux-Terrebonne et vous ne voulez pas manquer ça!

À noter que la pièce sera également présentée à Québec les 25 et 26 octobre prochain à la salle Albert-Rousseau ainsi que dans la ville de Trois-Rivières le 28 septembre à la salle J.- Antonio Thompson.

Pour plus de détails ainsi que pour acheter des billets, c’est juste ici!

Joffrey Charles aurait retrouvé l’amour!

Alors que Joffrey Charles s’est séparé de Rafaëlle Roy en 2022 après avoir fondé une famille de deux enfants (Maya et Milo), il semblerait que Joffrey ait récemment retrouvé l’amour.

C’est dans une story Instagram qu’il a partagé une photo de lui et de sa présumée nouvelle flamme en train… de se donner des bisous devant le miroir d’un magasin.

Celle qui semble être sa nouvelle copine s’appelle Myriam et a elle aussi une fille qu’elle a prénommée Mia.

Sa fille semble d’ailleurs bien s’entendre avec les deux enfants de Joffrey, qui sont dans la même tranche d’âge!

Des petits amis pour la vie!

On leur souhaite tout le bonheur du monde!

Ronald LABELLE (1942-2024)

Résident de la Pointe-Basse aux Iles-de-la-Madeleine, Ronald Labelle est parti le 29 février 2024. Il n’entend plus maintenant que la mer et le vent. Il avait 81 ans.

Il donne rendez-vous dans l’éternité à Diane avec qui il a vécu 56 ans de pur bonheur. Il quitte sa sœur Andrée (feu Jean-Pierre Cousineau), son frère Michel (France), ses beaux-frères Lafleur Claude (Monique), feu Michel, Richard (Marie-Danielle) et Gilles (Francine).

Il a été une source d’inspiration et avait une belle complicité avec ses neveux et nièces Lafleur : Stéphane (Isa), Éric (Isabelle), Geneviève (Samuel), Karine (Cédric), Émilie (Francis), Sébastien (Cynthia), Julie (Michel); Cousineau : Stéphane (Sylvie), Philippe, Karine (Patrick), et Labelle : Olivier (Claudia) et Alexandre (Olivia).

Son départ sera senti par de nombreux amis de longue date aux Iles, au Québec et en France.

Ronald a vécu une vie extraordinaire. D’abord photographe professionnel, il a fait des reportages à caractère social en plus d’illustrer plusieurs livres et pochettes de disques. Comme artiste verrier, il a exposé à travers le monde et ses œuvres font partie des grands musées québécois. Il a contribué au développement du ‘’Mouvement du verre d’art au Québec’’ en cofondant le Centre des métiers du verre / Espace Verre à Montréal. Il a aussi été cofondateur des Ateliers du Manoir (ateliers de verre et de céramique) aux Iles-de-la-Madeleine.

Grand Merci au personnel du CISSS des Îles ainsi qu’au personnel du soutien à domicile. Que de beaux humains !

Ayant vécu plus de 50 ans aux Iles, une cérémonie intime y aura lieu ainsi que sur le continent à l’automne au temps des champignons et des tomates.

Top-5 : Jonathan Drouin a plus de buts en 2023-2024 qu’à ses trois dernières saisons à Montréal

Hier soir, il n’y avait que six rencontres dans la LNH.

Plusieurs bons duels étaient à surveiller.

Voici les résultats et les faits saillants :

1. Jonathan Drouin a plus de buts en 2023-2024 qu’à ses trois dernières saisons à Montréal

Jonathan Drouin a marqué un but hier soir, son 11e de la saison. Un excellent tir de sa part.

Il a ainsi plus de buts que dans les trois dernières saisons combinées (10).

Il en a marqué deux en 2022-2023, six en 2021-2022 et deux autres en 2020-2021.

Son coéquipier Nathan MacKinnon en était à un 30e match à domicile cette saison, lui.

Dans les 29 premiers, il avait récolté au moins un point. Hier, il a augmenté cette superbe séquence à 30.

Il a complètement dominé les Blackhawks avec une performance de quatre points (deux buts et deux passes).

Il est encore à quelques matchs du record de Wayne Gretzky, mais honnêtement, ça se fait.

Le meilleur joueur de l’Avalanche a encore 11 matchs à domicile cette saison, donc il pourrait battre le record du 99 dès 2024.

Croyez-vous en lui? Difficile de miser contre lui, en tout cas.

Un autre qui a joué un fort match, c’est Cale Makar. Il a récolté deux points et il est devenu le meilleur défenseur offensif de l’histoire de la concession.

Et il n’a joué que 296 matchs…

2. Une passe spectaculaire d’Aleksander Barkov

Arrêtez ce que vous faites : la passe de l’année va à Aleksander Barkov.

Tel un membre du Cirque du Soleil, il a jonglé.

Sur la séquence, Sam Reinhart a été crédité du but, son 25e filet de la saison en avantage numérique, mais ce n’est même pas cet exploit qui sera retenu par les gens.

Je dis bien exploit, parce que l’attaquant, qui deviendra UFA à la fin de la saison, a plus de buts avec l’avantage d’un homme que Nick Suzuki durant toute la saison (24).

Reinhart en a marqué un autre quelques instants plus tard.

Il est maintenant à 44 buts cette saison, neuf derrière le meneur Auston Matthews (53).

3. Tour du chapeau d’Alex Nylander

Il y a quelques jours, Alex Nylander a été échangé aux Blue Jackets en retour d’Emil Bemstrom.

Cela donnait un nouveau départ aux deux attaquants.

Alex Nylander a été le grand bénéficiaire de ce changement d’air. En cinq matchs, il a six points.

Et hier, il a réussi un tour du chapeau contre les Knights.

Il s’agissait de son premier tour du chapeau en carrière.

Dans la défaite, Jack Eichel n’a pas récolté de point, mais il a joué son premier match depuis le 11 janvier.

4. Martin Pospisil ne s’est pas fait d’amis chez le Kraken

L’attaquant des Flames Martin Pospisil est un joueur d’énergie. Mais hier, il a peut-être dépassé les bornes.

Il a premièrement frappé Adam Larsson. Coup limite.

Puis, il a pulvérisé Vince Dunn dans la rampe en troisième période.

Ce coup l’a chassé de la rencontre.

Seattle n’a pas profité de cet avantage numérique de cinq minutes, mais le club a tout de même gagné.

Marque finale : 4-2.

Le match a chaudement été disputé.

5. Pavel Buchnevich donne le meilleur des cadeaux à Kevin Hayes

Pour la première fois depuis qu’il est passé des Flyers aux Blues, Kevin Hayes était de retour à Philadelphie.

Il a reçu une belle ovation en début de match.

Il s’est même gâté avec un but en échappée.

Ce but créait l’égalité dans la rencontre, si bien que les deux équipes ont eu besoin des tirs de barrage.

C’est Pavel Buchnevich qui a envoyé tout le monde à la maison grâce à ce but contre Samuel Ersson.

Le pauvre, il ne savait plus où donner de la tête.

Victoire de Saint-Louis, 2-1.

Prolongation

– Il est aimé.

– Un autre.

– On ne touche pas à Matthew Tkachuk.

– Grosse victoire des Bruins.

– MacKinnon mène la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Belle soirée de hockey en vue.

(Crédit: Google)