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Plusieurs pannes de courant dimanche dans l’Est-du-Québec
Plusieurs régions de l’Est-du-Québec sont touchées dimanche par des coupures d’électricité.
À Matane, plus de 5600 clients d’Hydro-Québec sont privés d’électricité en raison de bris sur le réseau, et ce, depuis dimanche midi. L’analyse des travaux à effectuer est en cours.
La pluie verglaçante tombée dimanche matin et les forts vents causent aussi de nombreuses pannes aux Îles-de-la-Madeleine, où plus de 750 clients d’Hydro-Québec manquaient toujours de courant dimanche après-midi.
Selon le porte-parole de la société d’État, Stéphane Dumaresq, la combinaison de ces deux facteurs a causé des bris d’équipement, notamment de poteaux électriques.
Il prévient aussi que les conditions météorologiques pourraient ralentir les travaux pour rétablir les lignes électriques.
Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Jonathan Lapierre, espère un retour à la normale d’ici la fin de la journée. Jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas d’imprévu majeur qui se pointe à l’horizon
, indique-t-il.
Les secteurs de Grande-Entrée, Grosse-Île et Pointe-au-Loup sont les plus touchés. Des poteaux ont été brisés et entravent la circulation dans certains secteurs. La route 199 a d’ailleurs été fermée entre le kilomètre 51 et le chemin de l’École à Pointe-aux-Loups. La circulation est maintenant rétablie et se fait en alternance.
Sur la Côte-Nord, les résidents de Rivière-au-Tonnerre manquent aussi d’électricité depuis samedi matin. Selon Hydro-Québec, 218 foyers seraient dans le noir. Les travaux pour rétablir le courant sont en cours.
LA UNE : Une dizaine de poteaux électriques ont été brisés par la combinaison de forts vents et du verglas. PHOTO : GRACIEUSETÉ DE STÉPHANE LONGUÉPÉE
Une nouvelle étude de l’ADN du Titanic sera menée
Une nouvelle expédition scientifique doit se rendre sur l’épave du Titanic, en juin 2022, pour collecter des échantillons d’eau et d’ADN environnemental.
L’objectif de cette mission, orchestrée par l’entreprise OceanGate, est d’étudier les eaux profondes proches du bateau et de comprendre la biodiversité du récif artificiel créé par l’épave.
Le temps presse, car le Titanic, en état de dégradation avancée, pourrait disparaître dans plusieurs années, comme l’explique Beverley McClenaghan, écologiste principale avec eDNAtec et participante à l’expédition OceanGate 2022.
« Tous les organismes laissent un peu d’ADN dans l’environnement où ils vivent. Alors on peut prendre un échantillon de l’environnement, comme un litre d’eau par exemple, et identifier les organismes qui étaient dans [cet] environnement. C’est une méthode pour surveiller la biodiversité qui est très puissante. » — Une citation de Beverley McClenaghan, membre de l’expédition OceanGate 2022
Le réveil / Île-du-Prince-Édouard / Une expédition va étudier l’ADN qui entoure l’épave du Titanic
Avec les informations de Julien Lecacheur.
LA UNE : L’épave du Titanic est en état de dégradation avancée.PHOTO : Atlantic Productions
Photographies de vagues impressionnantes
Ben Thouard est un photographe originaire du Sud de la France, spécialisé dans la photographie de surf. Il couvre les plus grandes compétitions tout au long de la saison. Il est également l’auteur de magnifiques clichés de vagues, qu’il saisit sur les plus beaux spots de la planète. Il fige les monstres d’eau qui emergent tels des montagnes sur les océans.
L’artiste nous offre une séance de rêve tout en bleu le temps de parcourir ses images impressionnantes.
Source : www.benthouard.com
Bernadette GAUDET (1950-2022)
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 17 mars 2022, de madame Bernadette Gaudet. Elle était âgée de 72 ans et résidente de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.
Elle était l’épouse de feu monsieur Rémi Vigneau, la conjointe de Jean-Guy, et la mère de Claude (Lorraine) et Sylvain. Elle avait 3 petits-enfants Justin, Charles et Alexis. Elle était la soeur de Florenda, Denise, Georgette, Julienne, Yvonne, Madeleine, Rose-Alma, Jean-Yves et Yolande, ainsi que d’Hubert et Christine, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.
La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le jeudi 24 mars 2022 de 14h à 17h et de 19h à 22h. Les funérailles de madame Bernadette Gaudet seront célébrées le vendredi 25 mars 2022 à 11h à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima. L’inhumation suivra au cimetière Notre-Dame de la Visitation de Havre-Aubert.
Vendredi le 25, jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h.
À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.
Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.
Un cocktail météo s’annonce dans l’Est-du-Québec
Neige, grésil et pluie verglaçante vont tomber sur plusieurs secteurs de l’Est-du-Québec à partir de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche. Ces conditions rendront les déplacements difficiles.
En Gaspésie, des accumulations de neige allant jusqu’à 25 centimètres sont attendues dans les secteurs de Gaspé, Percé, New Carlisle et Chandler.
Selon Environnement Canada, du grésil devrait se mêler aux précipitations au cours de la nuit. De forts vents en provenance de l’est pourraient aussi causer de la poudrerie.
Il tombera 15 centimètres dans les Municipalité régionale de comtéMRC de La Matapédia, de La Matanie, de La Haute-Gaspésie ainsi que dans le secteur de l’Estran.
Pluie verglaçante
Aux Îles-de-la-Madeleine, Environnement Canada prévoit que de la neige et du grésil tomberont à partir de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche matin. Les précipitations se transformeront alors en pluie verglaçante avant de se changer en pluie dimanche midi.
Au Bas-Saint-Laurent, les secteurs de Kamouraska, de Rivière-du-Loup, de Trois-Pistoles et du Témiscouata doivent aussi s’attendre à recevoir de la pluie verglaçante à compter de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche matin.
Les chaussées pourraient ainsi devenir glacées et glissantes.
Tempête hivernale
Sur la Côte-Nord, de la neige et de forts vents sont susceptibles de causer de la poudrerie durant la nuit de samedi à dimanche dans les secteurs de Baie-Trinité, de Sept-Îles et de Port-Cartier.
Par ailleurs, Environnement Canada a diffusé un avis de tempête hivernale pour la Basse-Côte-Nord. Des accumulations de neige allant jusqu’à 25 centimètres y sont prévues dès dimanche matin.
La visibilité sera réduite et pourrait devenir soudainement presque nulle. Aucune alerte météo n’a encore été diffusée pour les secteurs de Mont-Joli et de Rimouski.
Une tempête hivernale s’était déjà abattue sur l’Est-du-Québec la fin de semaine dernière.
LA UNE : Les conditions météorologiques vont rendre les déplacements difficiles dans plusieurs secteurs de l’Est-du-Québec (archives). PHOTO : RADIO-CANADA / SIMON RAIL-LAPLANTE
COVID-19 : le CISSS des Îles appelle à la prudence face à une flambée de cas
Une recrudescence importante de nouvelles infections liées à la COVID-19 est observée aux Îles-de-la-Madeleine et l’archipel est maintenant l’une des trois régions les plus touchées par le coronavirus au Québec.
La population des Îles subit actuellement les effets de la cinquième vague de COVID-19 qui a secoué la province cet hiver.
COVID-19. On a eu une trentaine de cas, au total, dans toutes les autres vagues et maintenant, on se ramasse avec une vraie éclosion de cas en communauté","text":"Dans les autres régions, une bonne partie de la population est immunisée puisqu'ils ont eu des cas depuis le début de la première vague, tandis qu’ici, le milieu était complètement vierge. Il n’y avait à peu près pas deCOVID-19. On a eu une trentaine de cas, au total, dans toutes les autres vagues et maintenant, on se ramasse avec une vraie éclosion de cas en communauté"}}">Dans les autres régions, une bonne partie de la population est immunisée puisqu’ils ont eu des cas depuis le début de la première vague, tandis qu’ici, le milieu était complètement vierge. Il n’y avait à peu près pas de COVID-19. On a eu une trentaine de cas, au total, dans toutes les autres vagues et, maintenant, on se ramasse avec une vraie éclosion de cas en communauté
, explique la coordonnatrice en prévention et contrôle des infections du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Îles, Karina Miousse.
« Pour nous, c’est impressionnant parce que c’est la première fois qu’on a autant de cas. » — Une citation de Karina Miousse, coordonnatrice en prévention et contrôle des infections, CISSS des Îles
En date du 17 mars, le taux de cas actifs était de 942,5 par 100 000 habitants sur le territoire selon le Centre intégré de santé et de services sociaux des Îles
Il y a vraiment beaucoup de transmission communautaire présentement et, malheureusement, ça dépasse les murs. Bien qu’on n’a pas vraiment d’hospitalisation à l’hôpital et dans les centres affiliés, que ce soit les résidences intermédiaires ou les résidences pour personnes âgées, il y a plusieurs secteurs qui sont touchés
, soutient Mme Miousse.
Au Centre intégré de santé et de services sociaux des Îles, plus d’une trentaine d’employés, provenant de tous milieux confondus, sont d’ailleurs en retrait en raison de la maladie.
Une cinquantaine de tests de dépistage sont effectués chaque jour auprès des employés du système de santé et de ceux qui sont en contact avec ces derniers.
Selon Karina Miousse, la plupart des secteurs sont au bord du bris de service
.
« On pourrait avoir besoin d’aller au délestage et de cesser temporairement l’activité de certains secteurs qui sont moins prioritaires pour pouvoir offrir les soins essentiels. »— Une citation de Karina Miousse
Jusqu’à ce que la situation se stabilise, le Centre intégré de santé et de services sociaux des Îles demande à la population de demeurer prudente, de porter le masque et d’éviter de se rendre à l’urgence avec un résultat positif à la COVID-19, à moins de symptômes graves.
Situation sous contrôle
pour le moment
Mme Miousse indique que la situation est sous contrôle
dans plusieurs milieux, mais qu’elle pourrait s’aggraver en raison du retour de la semaine de relâche et de la Mi-Carême.
Ça nous fait peur parce qu’on se demande si les gens se contaminent tous en même temps, qu’est-ce qu’on va faire pour maintenir le système debout?
, explique la coordonnatrice.
De plus, elle mentionne que, jusqu’à maintenant, l’entrée du virus dans les Centre d’hébergement et de soins de longue durée a bien été maîtrisée, malgré l’apparition de quelques cas ici et là.
Vendredi, 2 résidents sur un total de 65 ont obtenus un résultat positif à la COVID-19 au Centre d’hébergement et de soins de longue durée Plaisance des Îles-de-la-Madeleine.
COVID-19","text":"Je ne vous cacherai pas que cette fois-ci, ce qui est plus difficile, c’est qu’il y a beaucoup de gens qui sont asymptomatiques et qui continuent à vaquer à leurs occupations, que ce soit des proches aidants ou des visiteurs, et qui peuvent contaminer les personnes âgées sans savoir qui sont atteints de laCOVID-19"}}">Je ne vous cacherai pas que, cette fois-ci, ce qui est plus difficile, c’est qu’il y a beaucoup de gens qui sont asymptomatiques et qui continuent à vaquer à leurs occupations, que ce soit des proches aidants ou des visiteurs, et qui peuvent contaminer les personnes âgées sans savoir qu’ils sont atteints de la COVID-19
, illustre Mme Miousse.
Karina Miousse juge, par ailleurs, que le plan déconfinement prévu par le gouvernement est rapide
.
On aurait préféré que les mesures sanitaires restent un petit peu plus longtemps pour qu’on ait le temps de recouvrer notre système de santé avant le déconfinement. Mais, malheureusement, ces mesures-là sont provinciales et on doit aller avec le rythme du reste de la population
, affirme-t-elle.
Mme Miousse souligne, comme aspect positif, que le taux de vaccination qui est particulièrement élevé aux Îles-de-la-Madeleine, aide grandement à limiter le nombre d’hospitalisations.
LA UNE : Une recrudescence importante de nouvelles infections liées à la COVID-19 est observée aux Îles-de-la-Madeleine (archives). PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE
PAR Alice Proulx
Les populations d’éperlan toujours fragiles au Bas-Saint-Laurent
L’éperlan arc-en-ciel qui fraie dans plusieurs rivières du Bas-Saint-Laurent n’est pas près de perdre son statut d’espèce vulnérable. Si la ressource se porte mieux depuis quelque temps, elle est loin d’être aussi abondante qu’elle l’était il y a 40 ans.
80, principalement associé à la détérioration des frayères d'importance, on peut penser à la rivière Boyer, à la rivière Trois-Pistoles également, mais au courant des 20dernières années, son abondance semble s'être stabilisée un peu selon nos indicateurs","text":"On a observé un déclin important dans les années80, principalement associé à la détérioration des frayères d'importance, on peut penser à la rivière Boyer, à la rivière Trois-Pistoles également, mais au courant des 20dernières années, son abondance semble s'être stabilisée un peu selon nos indicateurs"}}">On a observé un déclin important dans les années 80, principalement associé à la détérioration des frayères d’importance, on peut penser à la rivière Boyer, à la rivière Trois-Pistoles également, mais au courant des 20 dernières années, son abondance semble s’être stabilisée un peu selon nos indicateurs
, explique Louis Landry-Massicotte, biologiste de la faune aquatique pour le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP).
Depuis 2005, l’éperlan arc-en-ciel est considéré comme une espèce vulnérable. Seule la pêche sportive de ce petit poisson est autorisée, et elle doit être encadrée par une association de pêcheurs. Le quota permis est le même depuis des années.
éperlans par jour au niveau du fleuve, donc c'est sûr que de respecter ces quotas-là, c'est vraiment important pour protéger la ressource","text":"On parle de 60éperlans par jour au niveau du fleuve, donc c'est sûr que de respecter ces quotas-là, c'est vraiment important pour protéger la ressource"}}">On parle de 60 éperlans par jour au niveau du fleuve, donc c’est sûr que de respecter ces quotas-là, c’est vraiment important pour protéger la ressource
, explique M. Landry-Massicotte.
Le président de l’Association des pêcheurs d’éperlan de la rivière Rimouski, Gaston Dionne, remarque cependant que la ressource va mieux grâce aux efforts qui ont été faits pour la préserver, notamment pour améliorer la qualité de l’eau et protéger les bandes riveraines des endroits où l’éperlan va frayer.
La ressource a été là toute la saison. On s’aperçoit que les mesures qui ont été prises par le comité de rétablissement de l’éperlan dans l’estuaire sud du Bas-Saint-Laurent ont fait que la ressource est là de plus en plus
, a-t-il affirmé en entrevue à Info-réveil.
L’éperlan semble effectivement faire un retour dans certaines rivières. Alors que le nombre de frayères est passé de 15 à 3 dans les années 80-90, on en trouve actuellement 7. Il est d’ailleurs à nouveau observé dans la rivière Trois-Pistoles, après avoir quasiment disparu pendant une trentaine d’années.
Toutefois, pas question pour le moment d’augmenter les quotas ou d’autoriser à nouveau la pêche commerciale, qui est interdite depuis 2003.
L’espèce ne pourrait pas supporter la pression qui serait engendrée par une pêche commerciale
, explique M. Landry-Massicotte.
Les amateurs de pêche sportive, cependant, ont bien pu en profiter cette année. Les températures froides enregistrées cet hiver ont fourni une banquise solide pour permettre aux pêcheurs d’installer leurs cabanes.
Ça fait longtemps qu’on a eu une banquise qui dure aussi longtemps!
, se réjouit Gaston Dionne. C’est une saison exceptionnelle. Un peu plus de deux mois de pêche en cabane, c’est quand même excellent
, dit-il.
L’an dernier, la pêche avait dû se faire à pied uniquement, puisque le couvert de glace était trop mince pour accueillir les cabanes des pêcheurs.
LA UNE : La saison de la pêche blanche s’est terminée cette semaine à l’embouchure de la rivière Rimouski (archives).PHOTO : RADIO-CANADA / MARGUERITE MORIN
PAR Julie Tremblay
Paul-Émile BOURGEOIS (1936-2022)
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 15 mars 2022, de monsieur Paul-Émile Bourgeois. Il était âgé de 85 ans, originaire de Havre-Aubert et résident de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine.
Il était l’époux de madame Lina Lafrance et le père d’Anne. Il était le frère d’Yvon (Diane), Marie-Rose (feu Maurice), feu Albéric et feu Corrinne. Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.
Les funérailles de monsieur Paul-Émile Bourgeois seront célébrées le jeudi 24 mars 2022 à 11h à l’église Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons.
À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.
Toutes marques de sympathie peuvent être témoignées à la famille par voie électronique.
Les dons reçus seront versés à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle : https://fondation-sante-archipel.s1.yapla.com/fr/campaign-2100-10/detail/don-en-memoire-fonds-francine-daigle/2119
Alfred POIRIER (1930-2022)
La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 14 mars 2022, de monsieur Alfred Poirier. Il était âgé de 92 ans, originaire de Dieppe, au Nouveau-Brunswick et résident de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.
Il était l’époux de madame Edna Chase et le père de Larry (Manon), Phyllis, Monique (Bernard), Georges (Nathalie) et Hélène (Donald). Il avait 10 petits-enfants Geneviève, Amélie, Cristelle, Josée, Rémi, Elisabelle, Karine, Félix, Roxanne et Danica, et 7 arrière-petits-enfants Alexis, Sarah, Aurélie, Arnaud, Théo, Judith et Eliot. Il laisse aussi dans le deuil sa soeur Jeannine Poirier Deveau, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.
La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le lundi 21 mars 2022 à compter de 14h. Suivront une célébration de la Parole au même endroit à 16h30 et l’inhumation au cimetière Saint-André de Cap-aux-Meules.
À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.
Toutes marques de sympathie peuvent être témoignées à la famille par voie électronique.
Les dons reçus seront versés à :
Paroisse Saint-Pierre de La Vernière
1318 chemin de La Vernière
L’Étang-du-Nord, Qc G4T 3E6
(418) 986-2410
Homard des Îles-de-la-Madeleine: un nouveau projet pour la pérennité de la ressource
Une nouvelle initiative visant à renflouer la population de homard vient d’être annoncée aux Îles-de-la-Madeleine.
Il s’agit d’un avant-projet d’écloserie à des fins d’ensemencement sur les fonds marins dans lequel le Rassemblement des pêcheurs et pêcheuses des côtes des Îles (RPPCI) entend investir ce printemps.

«L’objectif est de redonner à la nature ce que nous lui enlevons, a souligné le président de l’organisme, Charles Poirier, qui a présenté cet avant-projet mercredi à l’assemblée générale annuelle des membres. Nous pêchons de 80 à 90 % de la ressource [commerciale disponible] à tous les ans. Alors, si nous pouvions produire un certain pourcentage de larves, pour leur remise dans la colonne d’eau, ça nous permettrait de contribuer à engraisser le stock; ce serait très bon pour l’avenir.»
Le projet, qui reste à être détaillé, notamment au chapitre du budget qui y sera alloué, sera mené en collaboration avec le Centre d’innovation de l’aquaculture et des pêches du Québec Merinov. L’idée est de prélever des œufs sur les femelles tout juste avant leur éclosion, d’en contrôler la croissance en bassin jusqu’à un stade larvaire optimal, puis de les déposer dans des habitats dits de pouponnières.

«Déjà, depuis plusieurs années, nous sommes à identifier les pouponnières autour des Îles, a expliqué M. Poirier. Nous avons plusieurs projets avec Merinov, visant la pérennité de la ressource. Ça fait que nous avons déjà un bon bout de chemin de fait.»
Charles Poirier admet que son organisation s’est inspirée des travaux du Regroupement des pêcheurs professionnels du sud de la Gaspésie qui, depuis 2010, compense de 3 à 5 % des captures annuelles de homard par des ensemencements de larves. «Mais notre projet est distinct, affirme-t-il. On ne veut pas copier-coller ce qui se fait en Gaspésie.»

LA UNE : PHOTO COURTOISIE: PÊCHES ET OCÉANS CANADA
PAR HÉLÈNE FAUTEUX