À l’occasion de la cérémonie de remise des prix régionaux du concours Chapeau, les filles! organisée par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, qui s’est déroulée au Centre québécois de formation en maintenance d’éoliennes (CQFME), 12 femmes de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine ont reçu un prix de 500 $ pour l’audace dont elles ont fait preuve en choisissant d’exercer un métier traditionnellement masculin.Certaines des lauréates seront recommandées au volet national du concours et courent ainsi la chance de recevoir l’un des prix variant de 2 000 $ à 5 000 $, offerts grâce à la contribution financière de nombreux partenaires nationaux et régionaux.« Être lauréate, c’est excellent pour l’estime de soi, mais également pour l’intégration au marché du travail », a souligné l’humoriste et femme d’affaires Marie-Lise Pilote, porte-parole du concours. Elle a également félicité les lauréates en ces termes : « Vous êtes des modèles, non seulement pour les jeunes femmes, mais aussi pour les jeunes hommes, puisque sans aucun doute, vous avez persévéré et obtenu ce que vous recherchiez. Même si vous ne remportez pas de prix, vous méritez des félicitations, car vous avez entrepris une démarche constructive pour vous, d’abord et avant tout. Que vous soyez lauréates ou participantes, vous êtes des gagnantes! »Rappelons que les prix nationaux seront décernés lors du gala Chapeau, les filles! Excelle Science, qui se déroulera le lundi 7 mai 2012 au Monument-National à Montréal. Ce gala regroupera les lauréates nationales du concours Chapeau, les filles! et celles du concours Excelle Science, celui-ci s’adressant aux femmes inscrites à un baccalauréat en sciences pures ou dans les domaines du génie, où elles sont en minorité.

Alexandra Leblanc Pêche professionnelle – CFP des Îles

Paula LeblancBoucherie de détail – CFP des Îles

L’Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine demande au ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, de se rétracter.

À l’Assemblée nationale, mercredi, le ministre Bolduc a vanté les vertus thérapeutiques d’un bébé phoque électronique, un robot en peluche développé au Japon.Selon Yves Bolduc, ce robot permettrait d’humaniser les services offerts aux personnes âgées en Centre d’hébergement et de soins de longue durée.Néanmoins, le coordonnateur de l’Association des chasseurs de phoques, Gil Thériault, croit que le ministre Bolduc a fait preuve d’un manque de jugement : « Il ne faut pas se le cacher, le blanchon est devenu l’emblème des groupes animalistes qui depuis un demi-siècle nous tape sur la tête, nous traite de barbares, de sanguinaires et j’en passe. »Gil Thériault déplore que le ministre de la Santé encourage l’utilisation de cet emblème.

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Hugo Barrette et ses coéquipiers du sprint par équipe ont fini 11es des Championnats du monde de cyclisme sur piste mercredi, à Melbourne, en Australie, un résultat qui s’est malheureusement avéré insuffisant pour qualifier le Canada pour les Jeux olympiques de Londres.Pour décrocher un laissez-passer, Barrette, Travis Smith et Joseph Veloce devaient devancer les Américains et les Vénézuéliens, ces derniers d’au moins deux rangs. S’ils ont atteint le premier objectif, ils ont échoué au second, les représentants du Venezuela se classant huitièmes.Les Canadiens ont réussi un temps de 45,192 s et les Vénézuéliens un chrono de 44,399 s.« C’est une grande déception parce que nous y avons cru jusqu’au bout et nous sommes passés vraiment très proche d’y arriver », a commenté Barrette, précisant que 10 équipes rouleront à Londres et qu’ils forment la 11e au classement. 

Le cycliste originaire des Îles-de-la-Madeleine était tout de même satisfait de son effort, lui qui a amélioré son record personnel au départ.« Individuellement, je suis content de ma course, mais ça reste une déception, c’est un sport d’équipe. Peu importe comment tu roules, c’est le temps de l’équipe qui compte et nous n’étions pas assez rapides aujourd’hui (mercredi) », a-t-il souligné en entrevue à Canadian Cyclist.Barrette entend par ailleurs poursuivre son chemin au sein du programme national de cyclisme sur piste. « Il y a plusieurs jeunes coureurs, particulièrement au sprint. Ça regarde bien pour le futur. »

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De nombreux risques sont présents sur un bateau de pêche, notamment les chutes par-dessus bord. La CSST déplore le décès de deux travailleurs lors des deux dernières saisons de pêche dans la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine. Ces deux accidents sont survenus à des aides-pêcheurs qui travaillaient à bord de homardiers. Les enquêtes de la CSST ont permis de démontrer que le pavois sur les homardiers n’était pas assez haut pour retenir le travailleur. De plus, la zone de travail était encombrée de cordages pouvant entraîner un travailleur par-dessus bord. Enfin, la CSST a constaté l’absence du port du gilet de sauvetage par les aides-pêcheurs et le manque de moyen permettant de remonter le travailleur à bord du bateau.

Exigences de la CSST pour la prochaine saison de pêche au homard
Pour éviter d’autres accidents mortels à la suite de chutes par-dessus bord, la
CSST exige, à compter de la saison de pêche au homard 2012, deux mesures de
prévention :

· Le port du gilet de sauvetage par l’aide-pêcheur en tout temps sur le pont.

· Un moyen pour permettre de remonter un travailleur qui a chuté par-dessus
bord.

Les propriétaires de homardiers devront se conformer et apporter les
modifications nécessaires afin de pouvoir amorcer leur saison de pêche. Le plan
d’action de la CSST prévoit du soutien et de l’accompagnement pour aider les
capitaines-propriétaires à mettre en place des correctifs sur les homardiers.

Au Québec, on dénombre environ 640 homardiers pour un total d’environ
1 300 travailleurs. Une large majorité de homardiers se retrouve en Gaspésie
et aux Îles-de-la-Madeleine. Tous les détenteurs de permis de pêche au homard
ont reçu les détails relativement aux exigences de la CSST pour la saison 2012 et
peuvent, dès maintenant, apporter les modifications à leur embarcation.

Un guide pour rendre les bateaux de pêche plus sécuritaires

Afin de réduire le nombre de blessures occasionnées par les pêches
commerciales, la CSST rend disponible, aux travailleurs et aux employeurs, le
guide Santé et sécurité à bord des bateaux de pêche. Élaboré avec la
collaboration de représentants d’employeurs et de travailleurs du milieu, le guide
est conçu spécialement pour renforcer les pratiques sécuritaires à bord des
embarcations. Il propose, de manière pratique et détaillée, différents moyens de
prévenir les accidents.

Source: Gouvernement du Québec

Photo: Guylaine Richard

Une nouvelle entreprise en Télécommunications voit le jour sur le territoire des Îles-de-la-Madeleine. Cette nouvelle entité opérera sous le nom de Duclos & Michaud Télécom.En effet, la famille Michaud, propriétaire de Michaud Technologies et la Famille Duclos, fondateur du réseau de câblodistribution des Îles (Duclos Câblevision) s’unissent afin d’acquérir les actifs du réseau de câblodistribution local, appartenant à la compagnie néo-écossaise Eastlink. Les actionnaires de la nouvelle entreprise ont par le passé prouvé leur volonté d’offrir à la population des Îles-de-la-Madeleine des services de télécommunications de qualité, malgré leur insularité. C’est d’ailleurs sur ce principe que la nouvelle compagnie entame ces activités avec le retour du service à la clientèle locale pour les abonnés du câble.Grace à cette importante transaction, la nouvelle entreprise est désormais propriétaire d’un réseau de câblodistribution et de fibre optique, étendus d’un bout à l’autre de l’Archipel. Duclos & Michaud Télécom offrira les services de câble TV numérique HD, de Téléphonie et d’Internet.Les familles Michaud et Duclos se portent acquéreur des actifs du câblodistributeur néo-écossais Eastlink, dans l’archipel. Le rachat des infrastructures d’Eastlink aux Îles et leur modernisation représente un investissement de trois virgule sept millions de dollars.La nouvelle entité qui découle de cette transaction majeure, Michaud et Duclos Télécom, offrira aux Madelinots des forfaits de services pour le câble de télévision numérique haute définition, la téléphonie et l’Internet. 

Surveillez le reportage sur la WebTV des Îles la semaine prochaine.

La peur de l’eau, le récent polar réalisé par Gabriel Pelletier sera présenté au 6e Festival International du Film Policier de Liège qui se déroulera du 19 au 22 avril prochain. La peur de l’eau sera projeté dans la compétition officielle.Une petite consolation pour ce film assez malmené par la critique lors de sa sortie en janvier dernier et qui n’a pas réussi à trouver un public (moins de 330 000 $ de recettes en six semaines d’exploitation). La peur de l’eau sera en compétition avec sept autres films en provenance de l’Europe principalement.LA PEUR DE L’EAU met en vedette Pierre-François Legendre, Brigitte Pogonat, Normand D’Amour, Stéphanie Lapointe, Pascale Bussières, Paul Doucet, Michel Laperrière, Maxime Dumontier, Alexandre Goyette, Germain Houde, Sandrine Bisson et Isabelle Cyr.Produit par Go Films avec la participation financière de Téléfilm Canada, la Sodec, Super Écran, La Société Radio-Canada, Le Fonds Harold Greenberg et les crédits d’impôts du Québec et du Canada.LA PEUR DE L’EAU est distribué à l’international par eOne International, une filiale de Entertainment One.

Les réactions dans l’Est du Québec au lendemain de la présentation du budget Flaherty viennent confirmer que les mesures annoncées sont avant tout de nature à conforter les acteurs économiques. Tous les autres milieux, qu’ils soient communautaires, culturels, scientifiques ou syndicaux, accueillent le budget fédéral avec consternation et inquiétude. 

Les réactions positives

Le directeur du développement industriel chez Innovation et Développement Manicouagan, Guy Simard, se réjouit qu’Ottawa raccourcisse à un an la durée de l’examen environnemental des projets d’exploitation de ressources naturelles. Selon lui, les évaluations provinciale et fédérale se recoupaient bien souvent.Pour sa part, le vice-président aux affaires économique de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, David Landry, applaudit la perspective d’un retour à l’équilibre budgétaire rapide et le report de la retraite à 67 ans. Selon lui, ces deux orientations gouvernementales sont de bonnes décisions pour les gens d’affaires. Il note que le gouvernement semble maîtriser à la fois ses dépenses et la dette.

Les réactions négativesLes premières réactions négatives sont venues des représentants de l’opposition. Le député du Bloc Québécois de Haute-Gaspésie-La Mitis-Matane-Matapédia, Jean-François Fortin, estime que le budget fédéral déposé jeudi méprise les régions.

Le député Fortin dénonce le manque de vision du gouvernement Harper en matière de développement régional et le retrait d’une mesure de l’Assurance-Emploi qui favorisait les travailleurs de l’Est du Québec.Il considère que les compressions à Développement économique Canada sont inquiétantes. Il note également que le budget ne présente aucune mesure particulière pour venir en aide aux régions et aux municipalités.De son côté, le député néo-démocrate de la Gaspésie-les-Iles, Philippe Toone, déplore qu’Ottawa ait sabré les budgets des transports et du développement régional, alors que la région attend la réalisation de plusieurs projets.« La réfection des quais et des petits ports de pêche et le chemin de fer en Gaspésie ont été complètement ignorés dans ce budget », constate le député.Le député libéral fédéral de Bourassa, Denis Coderre, de passage dans la région de Rimouski a accusé le gouvernement conservateur de Stephen Harper d’ignorer les demandes de la population.

Il estime que les compressions imposées à tous les ministères fédéraux auront des impacts sur la livraison et la qualité des services. Denis Coderre soutient que le gouvernement aurait dû prévoir des investissements, principalement dans l’Est du pays où la croissance économique est faible.

Autres réactions

Le professeur en sciences de la gestion de l’Université du Québec à Rimouski, Claude Rioux, considère que le budget fédéral aura des répercussions négatives pour les régions.

Selon lui, l’appareil gouvernemental que les conservateurs veulent réduire sera de plus en concentré autour de la capitale canadienne.Claude Rioux constate que des organismes importants en région pourraient être touchés, notamment dans le secteur culturel. Il précise que les compressions à venir à Radio-Canada et Téléfilm Canada auront certainement des effets négatifs.Le milieu communautaire de la Côte-Nord accueille froidement le budget Flaherty. Les mesures relatives à l’Assurance-emploi sont insuffisantes, selon les organismes communautaires.

Ottawa accorde 74 millions de dollars à un projet pilote d’assurance-emploi. Son objectif est de permettre à des chômeurs qui acceptent un emploi de toucher la moitié de leurs prestations.

Cette mesure ne cadre pas avec la réalité de la Haute-Côte-Nord, selon Line Sirois, d’Action Chômage. Encore pire selon elle, cette façon de faire vise à culpabiliser les chômeurs saisonniers et laisse entendre qu’ils choisissent de ne pas travailler.

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C’est avec grand regret que nous avons appris le décès de celui qu’on appelait ici «Père Landry». Figure importante sur l’archipel mais surtout un amoureux des Îles, Frédéric Landry a toujours été passionné par tout ce qui entourait les Îles-de-la-Madeleine.Prêtre, écrivain, historien, le père Landry a publié une douzaine de livres. Il reçut en 1994, le prix Rosaire Vigneau et un doctorat en histoire de l’Université de Moncton en 1998.Il était le fondateur du Musée de la Mer des Îles et l’initiateur du site historique de la Grave.

Le budget du gouvernement Harper alimente bien des craintes dans l’Est du Québec. Les députés de l’opposition officielle craignent au premier chef que le ministre Jim Flaherty mette fin aux projets pilotes en matière d’assurance-emploi.Les travailleurs saisonniers utilisent les mesures transitoires pour prolonger leurs prestations. Ces projets viennent à échéance en juin, en août et en septembre.Le critique néo-démocrate Claude Patry avoue que l’inquiétude est grande à la veille du dépôt du deuxième budget d’un gouvernement conservateur majoritaire. Le député de Jonquière-Alma souhaite des mesures permanentes pour améliorer le régime plutôt que de nouvelles restrictions. 

Des délais inacceptablesLes délais de traitement des demandes de prestation inquiètent également le NPD.Au terme d’une tournée provinciale, Claude Patry affirme que les compressions à Services Canada provoquent partout des délais inacceptables dans le traitement des demandes d’assurance-emploi.Selon son enquête, il y aurait présentement plus de 360 481 personnes qui attendent de recevoir leur première prestation et les délais d’attente atteignent désormais 18 semaines.

Craintes pour Radio-Canada dans l’EstGuy Caron, président du caucus des députés du Nouveau Parti démocratique Guy Caron, président du caucus des députés du Nouveau Parti démocratiquePour sa part, le député de Rimouski-Neigette Témiscouata-Les Basques, Guy Caron n’écarte pas la possibilité que les Conservateurs fassent marche arrière concernant l’implantation du Centre multimédia de Radio-Canada dans l’Est du Québec.Le député du NDP croît qu’avec un gouvernement conservateur majoritaire tout est possible même si la construction du futur centre multimédia est en cours de réalisation. « Les décisions sont bien souvent irrationnelles et purement idéologiques ».Il donne pour exemple le centre de traitement des demandes d’assurance-emploi de Rimouski qui devait gagner en importance et qui du jour au lendemain se voit condamner à disparaître au profit de celui de Thedford Mines.Radio-Canada a annoncé pour l’automne prochain l’ouverture d’un nouveau Centre de production multimédia à Rimouski, qui sera le premier centre de production haute définition au pays.

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La chasse commerciale au phoque commence aux Îles-de-la-Madeleine et au Canada atlantique. C’est quatre jours plus tôt que prévu, une décision découlant de discussions entre le ministère fédéral des Pêches et des Océans et les chasseurs, décision tenant compte du temps doux.Dans l’archipel madelinot, au moins quatre ou cinq bateaux devraient sortir à des fins commerciales, et peut-être une dizaine d’autres pour la chasse de subsistance. La chasse commerciale sert notamment au ravitaillement en viande de la Boucherie Côte-à-Côte, dont la mise en marché s’étend.Denis Longuépée, président de l’Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine, s’attend à une saison légèrement supérieure à celles de 2010 et de 2011, des années à oublier en raison de l’absence de banquise permettant la rencontre entre les chasseurs et les phoques. «Il y a une concentration de glace de 4 milles de large par 15 milles de long, pas loin des Îles-de-la-Madeleine. Les phoques se promènent. Ils vont à l’eau et vers 9h ou 10h, ils montent sur la banquise [pour se réchauffer]. La banquise n’est pas suffisamment solide pour supporter les hélicoptères des groupes antichasse», précise M. Longuépée.Cette banquise un peu faible ne constitue pas l’unique facteur incitant M. Longuépée à modérer ses attentes pour les retombées de la saison 2012. «Il n’y a pas beaucoup de marchés pour les peaux. Il y a une peur des compagnies qui achètent de la fourrure de phoque de se retrouver aux prises avec les effets du boycottage de la Russie et de l’Union économique européenne. On peut vendre au Canada, mais ce n’est pas assez. C’est dommage; les prix des fourrures sont en hausse partout dans le monde, ce qui a aussi un effet positif sur le prix de la fourrure de phoque, mais on n’en profite pas», déplore M. Longuépée.

ReprésaillesLes groupes animaliers dénonçant la chasse vont généralement loin dans leurs représailles ciblant cette activité multicentenaire. Ils menacent présentement de boycotter les produits de la mer canadiens si les représentants de cette industrie appuient publiquement la chasse. Ces menaces n’ont pas empêché l’Association québécoise de l’industrie de la pêche d’appuyer la chasse au phoque, faisant notamment valoir que les pêcheurs québécois ont débarqué 59 000 tonnes de produits marins l’an passé, comparativement aux 10 millions de tonnes consommés par les phoques du golfe Saint-Laurent.Il est difficile de quantifier les conséquences actuelles du boycottage européen et américain sur l’économie des Îles-de-la-Madeleine. Gil Thériault, directeur de l’Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine, rappelle que dans les années 70, «un seul bateau pouvait livrer 10 000 peaux, et que chacune de ces peaux était vendue 100 $. Ça représentait des revenus de 1 million $. Replacez cette somme en dollars d’aujourd’hui, et vous aurez une idée de ce que les Îles ont perdu».