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Un photographe reproduit l’affiche du film «Les Dents de la Mer»

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Passionné par les requins, le photographe Euan Rannachan s’est enfermé dans une cage métallique et a capturé un grand requin blanc de la même manière que sur l’affiche du film « Les Dents de la Mer ». Ça donne des sueurs froides…

Fasciné depuis son enfance par les requins, Euan Rannachan exploite désormais toutes ses compétences derrière la caméra pour montrer la puissance et la majesté de ces prédateurs. Alors qu’il a déjà plongé avec des requins pendant de longues heures, le photographe n’aurait jamais imaginé revenir avec la photo de sa vie. Son récent voyage à Guadalupe Island restera gravé dans sa mémoire pour toujours. Et pour sûr… Il a pris l’extraordinaire photographie d’un requin qui remonte à la surface. Cela ne vous rappelle rien ?

Quasiment identique à l’affiche du film “Les Dents de la Mer“, la photo fait sensation. Prise alors qu’il se trouvait à un peu plus de dix mètres de profondeur – en sécurité dans une cage métallique – Rannachan a immortalisé un grand requin blanc dans une pose plutôt familière. Les fans ne pourront que constater la ressemblance frappante avec l’affiche emblématique du film. Réalisée par l’artiste Roger Kastel, elle est devenue au fil des années l’une des affiches les plus connues du cinéma. Pour le photographe, être capable de prendre le cliché qui reflète parfaitement l’image classique est un rêve devenu réalité. On vous laisse juger par vous-même :

Affiche originale

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Crédits: Jaws

La photo de Euan Rannachan

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Quand on sait à quel point “Les Dents de la Mer” est un film apprécié des amateurs de cinéma, on ne s’étonne pas de l’émoi qu’a provoqué la photo… Toute cette attention a permis à Euan Rannachan de partager sa passion avec un public beaucoup plus large. Pourtant, il ne pensait pas avoir pris LA photo :

«C’est une photo que beaucoup de mes amis qui adorent les requins, y compris moi-même, essaient de prendre depuis des années. J’avais l’impression de l’avoir, mais les choses vont tellement vite en bas que tout ce que je pouvais faire, c’était me préparer au prochain passage s’il devait y en avoir un. Ce n’est que beaucoup plus tard ce soir-là, lorsque j’ai fait marche arrière, que j’ai vu que je l’avais — et surtout que c’était au point.»

Le photographe espère sincèrement changer les a priori du public envers ces incroyables squales. Pour lui, le plus important est de les protéger et de continuer à les observer : “Je pense que ce qui m’excitera toujours, c’est à quel point ils peuvent être puissants et précis, tout en étant complètement sous contrôle. C’est incroyable de voir un animal de 1 300 kg s’approcher de sa cible, faire un mouvement de la queue, accélérer et tourner à toute vitesse comme si de rien n’était.” Alors seriez-vous partant pour une balade en eau profonde accompagné de quelques requins ?

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Crédits photos : Euan Rannachan
Source : beashark.photos

Apple CarPlay Ultra fait ses débuts du côté d’Aston Martin

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Apple CarPlay a fait son apparition dans le paysage automobile il y a plusieurs années déjà. Cependant, nous sommes sur le point de connaître la prochaine évolution majeure de ce système. D’ailleurs, un premier constructeur d’automobiles en fait l’intégration dans ses véhicules. On parle ici d’Aston Martin.

Une évolution majeure

Pour les utilisateurs d’iPhone, Apple CarPlay est une fonction très intéressante et utile qui permet d’ajouter certaines fonctionnalités dans l’écran d’infodivertissement dont le véhicule ne serait pas nécessairement équipé, et ce, par l’entremise de l’interface iOS transférable. On peut énumérer, par exemple, des applications de musique tierces ou la navigation à laquelle l’utilisateur a alors accès. Autrefois, il fallait connecter un câble de l’iPhone au véhicule pour voir apparaître l’interface, mais l’évolution de la technologie nous permet aujourd’hui de le faire sans fil dans les véhicules les plus récents.

En revanche, l’évolution atteint un nouveau sommet avec l’arrivée d’Apple CarPlay Ultra. Alors qu’on nous en parlait depuis déjà quelque temps, voilà qu’Aston Martin devient le tout premier constructeur du monde à intégrer cette nouveauté. Les récentes images publiées par le constructeur nous permettent de voir l’étendue des fonctionnalités ajoutées avec CarPlay Ultra. D’abord, les fonctionnalités dans l’écran d’infodivertissement ne se limitent plus aux applications compatibles présentes dans le téléphone intelligent Apple. Il est maintenant possible de contrôler directement des fonctionnalités du véhicule comme la climatisation.

Toutefois, les changements ne s’arrêtent pas là puisque CarPlay Ultra s’étend jusque dans l’instrumentation devant le conducteur. Cela permet d’obtenir un niveau supérieur de configuration de l’information affiché devant ce dernier, en plus d’offrir plusieurs interfaces. Le compteur de vitesse, le compte-tours, la jauge de carburant, la jauge de température et bien plus font partie des éléments configurables. Parlant d’interface, Aston Martin affirme avoir travaillé de pair avec Apple afin d’offrir certains choix d’affichage à l’image du constructeur britannique.

D’autres constructeurs à venir

Pour le moment, Aston Martin est le seul constructeur à offrir Apple CarPlay Ultra dans ses véhicules. Cependant, Apple mentionne de son côté que d’autres constructeurs d’automobiles travaillent de concert avec l’entreprise de technologie américaine dans le but d’intégrer prochainement CarPlay Ultra dans ses véhicules. Sans mentionner de date, Apple mentionne que Hyundai, Kia et Genesis font partie des constructeurs de la partie.

Du côté d’Aston Martin, on nous mentionne que la DBX ainsi que la gamme de voitures sport du constructeur sont maintenant livrées de série avec CarPlay Ultra, et ce, pour toutes les nouvelles commandes aux États-Unis et au Canada. Une mise à jour sera aussi rendue disponible au cours des prochaines semaines pour les modèles existants équipés du système d’infodivertissement de nouvelle génération d’Aston Martin.

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La Dodge Charger Daytona R/T sera éliminée du catalogue pour 2026

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La guerre des tarifs pourrait bien avoir fait une nouvelle victime, puisque le président de Dodge, Matt McAlear, a confirmé à certains médias que la production de la Dodge Charger Daytona R/T, la version de base du muscle car électrique de la marque, sera mise en pause pour l’année-modèle 2026. La marque se concentrera sur la production de la version la plus performante, la Scat Pack.

Depuis son arrivée tardive sur le marché, les ventes n’ont jamais réellement été au rendez-vous, et ce, malgré des incitatifs financiers très généreux. En ce moment, le site de Dodge Canada affiche un rabais total de 6 319 $ pour une Dodge Daytona R/T 2024, et un rabais de 2 840 $ pour un modèle 2025, sans compter le crédit de 4 000 $ du programme Roulez vert. La voiture a reçu des réactions mitigées depuis son introduction, notamment de la part des amateurs. Il faut avouer que c’est tout un défi de faire le pont entre muscle car et motorisation électrique.

Produite au Canada

Il faut aussi savoir que la Dodge Charger Daytona est au cœur de la guerre tarifaire, puisque la voiture est produite au Canada, à l’usine Stellantis de Windsor. Selon le président de la marque, la pause de production permettra d’évaluer l’impact des tarifs de 25 % sur les véhicules assemblés au Canada et exportés vers les États-Unis. Alors que certains affirmaient que la version R/T serait définitivement abandonnée, Dodge a confirmé qu’il s’agissait plutôt d’une pause d’au moins un an dans la production.

Spécifications techniques

La version de base de la Dodge Charger Daytona, la R/T, dispose d’une double motorisation électrique développant une puissance de 496 chevaux (370 kilowatts) pour un couple de 404 livres-pieds. Elle est équipée de pneus de 18 pouces et d’une suspension sport.

Quant à la Dodge Charger Daytona Scat Pack, au sommet de la gamme, elle est équipée de série de la mise à niveau Direct Connection Stage 2. Sa motorisation électrique déploie donc 670 chevaux (500 kilowatts) et 627 livres-pieds de couple. Cette puissance lui permet de parcourir le quart de mille en environ 11,5 secondes.

Quatre portes et un moteur thermique

Proposée uniquement sous les traits d’un coupé sport, la Dodge Charger Daytona devait aussi être offerte en version berline à quatre portes en 2026. Les informations actuelles ne permettent pas de savoir si ce sera toujours le cas.

Une motorisation thermique doit aussi faire son retour à bord de la Dodge Charger. Le constructeur avait récemment confirmé l’arrivée du V6 turbocompressé de 3,0 litres, le fameux moteur Hurricane.

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Éphémérides : Mort accidentelle de Mgr Albini Leblanc

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17/05/1957 : Mort accidentelle de Mgr Albini Leblanc, évêque, à l’âge de 63 ans.

Albini Leblanc naît à Bouctouche, au Nouveau-Brunswick, le 1er mai 1894. Après des études à Caraquet et au Grand Séminaire de Halifax, il est ordonné prêtre et devient vicaire à la paroisse de l’Assomption de Moncton (1921). Plus tard, il se rend à Rome où il fait des études en théologie en vue d’obtenir un doctorat. De retour en 1926, il devient vicaire à Moncton. En 1931, il est à la charge de la cure de Leger Corner. Nommé évêque de Hearst, en 1940, il est transféré au diocèse de Gaspé dont il devient évêque en décembre 1945. Mgr Albini Leblanc conservera son poste d’évêque de Gaspé jusqu’à son décès, le 17 mai 1957. Son successeur sera Mgr Paul Bernier.1

1 Bilan du siècle / Université de Sherbrooke / Référence: Paul-François Sylvestre, Les évêques franco-ontariens (1833-1986), Hull, Asticou, 1986, p.110.

LA UNE : Collection Alyre C. Cormier

Éphémérides : Un film choc tourné en 1964, Les grands phoques de la banquise

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05/17/1964 : Sortie du film de Serge Deyglun sur la chasse aux phoques en 1964. Commence alors la grande controverse sur cette chasse pratiquée sur l’archipel…

Les images diffusées le 17 mai 1964 à Radio-Canada sont bouleversantes : on y voit un chasseur dépecer un bébé phoque vivant qui continue de se trémousser alors que le couteau l’ouvre de part en part. Le film, écrit et narré par Serge Deyglun et produit par André Fleury, souleva un tollé à l’époque. Les Grands Phoques de la banquise lance le débat sur la chasse au phoque aux Îles-de-la-Madeleine et à Terre-Neuve. Quelques années plus tard, Gustave Poirier, un chasseur des Îles, aurait reconnu avoir été payé par l’équipe de tournage pour dépecer un blanchon vivant.

Les Grands Phoques de la banquise

 
Depuis la diffusion à Radio-Canada d’images d’une rare cruauté en 1964, la chasse au phoque soulève des passions et des questions. Les images de Brigitte Bardot, en 1977, tenant un petit blanchon dans ses bras ont fait le tour du monde, et les campagnes pour sauver les phoques ont mis à mal toute une industrie et ses travailleurs. Afin d’apaiser l’opinion internationale, le Canada établit des règlements et des quotas stricts, notamment en interdisant la chasse aux blanchons.

Source : Archives numériques de Radio-Canada: Film Les grands phoques de la banquise

Un autre report de production pour les camions électriques Ram 1500 REV et Ramcharger

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Alors que le Jeep Wagoneer S est arrivé avec du retard et que la Dodge Charger Daytona ne parvient pas à séduire les consommateurs, Stellantis vient de confirmer que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. En effet, dans un contexte de « ralentissement du marché pour les véhicules électriques », le constructeur a choisi de repousser la commercialisation de son camion électrique Ram 1500 REV et de son camion électrique à prolongateur d’autonomie Ram 1500 Ramcharger.

Ce n’est pas la première fois que Stellantis revoit son échéancier quant à l’arrivée de ses véhicules électriques sur notre marché. En décembre dernier, Ram confirmait qu’elle repoussait l’arrivée du Ram 1500 REV pour favoriser le Ram 1500 Ramcharger, un véhicule qui devait mieux répondre aux attentes des consommateurs dans un segment en pleine transformation.

Il faudra être patient

Selon les informations rapportées par le média Crain’s Detroit Business, le Ram 1500 Ramcharger à prolongateur d’autonomie est maintenant prévu pour l’année 2026, lui qui était d’abord prévu pour la fin de 2024, avant d’être repoussé à la première moitié de 2025. Les consommateurs en attente de ce modèle devront donc attendre un an de plus que le plus récent report, ce qui nous mène à plus d’un an et demi après l’échéancier initial.

Pour ce qui est de la version entièrement électrique Ram 1500 REV, dévoilée en 2023 et dont la commercialisation devait également se faire à la fin de l’année 2024 selon les premières estimations, elle a été repoussée à l’année 2027 en tant que modèle 2028. C’est donc un retard de plus de 4 ans sur l’échéancier initial, et un retard de 2 ans sur le plus récent calendrier révélé par Stellantis, en décembre dernier.

Des ajustements avant la commercialisation

Un porte-parole de l’entreprise Stellantis a confirmé au média Crain’s Detroit Business que le constructeur s’affairerait à assurer la bonne qualité initiale du Ramcharger, ce qui allongeait la période de développement. Il semble que quelques problèmes de qualité seraient observés, ce qui n’a rien d’étonnant compte tenu de la complexité de la mécanique qui combine une motorisation électrique complète avec une batterie de 92 kWh, en plus d’un moteur V6 de 3,6 litres servant de générateur d’électricité.

La réponse officielle de Stellantis fait plutôt état d’un ralentissement de l’intérêt envers les camionnettes électrifiées pour justifier sa décision de repousser la commercialisation des deux modèles.

Même si ces nouvelles ont de quoi décourager les acheteurs potentiels de ces modèles, Ram assure que de nouveaux modèles seront annoncés dans les prochaines semaines. D’ailleurs, il a été confirmé il y a quelque temps que 25 nouveaux produits doivent être annoncés dans les 18 prochains mois. C’est peut-être un prix de consolation, même s’il apparait à peu près impossible qu’un des 25 véhicules à être dévoilés soit un camion électrique pleine grandeur.

L’avis de RPM

J’écrivais récemment que Ram avait raté sa transition vers son 6-cylindres en ligne dans le Ram 1500 2025, notamment parce qu’elle n’a pas été assez progressive dans l’introduction de la mécanique. La nouvelle qui nous touche aujourd’hui me fait dire que les annonces pour les camionnettes électriques ont sans doute été faites trop hâtivement et trop brusquement, sans que toutes les considérations aient été prises en compte.

Il ne reste qu’à espérer que les modèles, lancés en 2023, ne soient pas dépassés en matière de style ou technologiquement parlant quand ils seront effectivement lancés dans les années à venir. Pendant ce temps, d’autres constructeurs comme GM et Ford continueront de faire évoluer leurs véhicules, ce qui continuera de peser sur Stellantis qui prend du retard.

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Simon-Olivier Fecteau: «Ma vie amoureuse a été relativement une catastrophe»

De passage au balado Prends un break, Simon-Olivier Fecteau s’est confié sur divers sujets personnels, incluant sa vie sentimentale, qu’il admet avoir été longue à stabiliser.

En effet, Simon-Olivier Fecteau admet que sa vie amoureuse a été chaotique jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de 44 ans.

«(…) Ma vie amoureuse a été relativement une catastrophe, jusqu’à temps que j’aie 44 ans, genre… donc ça a pris un bout (…)», lance celui qui est désormais âgé de 49 ans, indiquant ainsi qu’il vit une vie amoureuse épanouie depuis six ans.

Avant de connaître l’amour épanoui qu’il vit aujourd’hui, il consacre tout son temps au travail et, avec une mentalité encore immature, peinait à s’engager sincèrement.

«(…) On dirait que j’avais une relation, mais j’avais le goût d’avoir 10 relations en même temps (…) Jusqu’à temps que je rencontre la bonne personne, qui, elle, je n’avais pas le choix d’être présent si je voulais que ça fonctionne. Et ç’a été extrêmement beaucoup de travail, moi et elle, parce qu’on avait chacun des issues, chacun de notre côté (…)», affirme Simon-Olivier, ajoutant qu’un travail mutuel a été essentiel pour bâtir une relation solide et équilibrée.

Capture YouTube @Prends Un Break

Il estime que la réussite de leur relation repose autant sur le travail fait à deux que sur les efforts personnels de chacun.

«(…) Je pense que, quand les deux ont le goût de faire ça, je pense que c’est ça l’amour», soutient-il.

L’animateur lui a demandé si, au moment de leur rencontre, l’envie de s’engager était apparue d’emblée, ou si le déclic avait pris du temps.

Il est donc revenu sur le moment où il l’a connue, expliquant avoir fait sa rencontre à Miami, de façon complètement imprévue. Elle venait de New York, lui de Montréal. Deux semaines plus tard, porté par l’élan du coup de foudre, il est allé la rejoindre. Un peu plus tard, il passait ses permis de moto, s’en procurait une et repartait à sa rencontre, prêt à franchir la distance pour vivre quelque chose de vrai.

Cette relation lui a offert l’espace nécessaire pour décrocher du travail, souffler un peu, et raviver en lui la flamme de la créativité et de la motivation.

Tous nos vœux de bonheur accompagnent Simon-Olivier et sa conjointe, Edwina Rai, pour une longue vie remplie d’amour et de complicité.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Survivor Québec: Chaos stratégique et sortie choc au conseil de tribu

À l’approche du conseil, Myriam explique clairement la stratégie mise en place: une partie de l’alliance majoritaire votera contre Sarah, mais si cette dernière joue son collier d’immunité, l’autre moitié votera contre Rayane comme plan de secours.

Capture Noovo

Un moment d’inattention qui sème le doute

Lors d’un moment anodin, Danyelle, en montrant les vêtements qu’elle a pu laver grâce à la récompense de la douche, montre par inadvertance un bout de papier. Sarah, témoin de la scène, croit y voir un indice d’avantage ou d’immunité et alerte aussitôt Marilou, Florence et Rayane. Cette rumeur fait rapidement boule de neige, nourrissant la paranoïa déjà bien présente dans le camp.

Capture Noovo

Sarah en panique, Marilou mal à l’aise

Sentant que quelque chose se trame, Sarah entre en panique à l’idée d’être la cible du vote. De son côté, Marilou est inconfortable: elle réalise que tous les joueurs connaissent le plan… sauf Sarah elle-même. Cette situation la place dans une position délicate, partagée entre loyauté et stratégie.

Capture Noovo

Stratégies croisées et volonté de se démarquer

Pendant que le plan de la majorité suit son cours, Rayane et ses alliés croient encore que Geneviève est la cible de la soirée. De son côté, Éric continue d’exprimer son refus de suivre aveuglément les décisions du groupe dominant.

Un conseil sous haute tension

Le conseil de tribu est particulièrement agité. Certains joueurs restent silencieux, d’autres se lèvent, chuchotent, échangent des regards furtifs, alors que les plans continuent de s’ajuster jusqu’à la toute dernière minute.

Capture Noovo

Une élimination inattendue… avec un collier en poche

Malgré les votes dispersés entre Geneviève, Rayane et Sarah, c’est finalement cette dernière qui est éliminée. Coup de théâtre: elle quitte l’aventure avec son collier d’immunité toujours en main, n’ayant jamais eu l’occasion, ou la certitude, de s’en servir.

Capture Noovo

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Patrice Godin partage une activité spéciale avec sa fille

Patrice Godin a récemment partagé une photo attendrissante de lui et sa fille, Simone Godin, prise lors d’un précieux moment père-fille.

C’est sur sa page Instagram que le comédien devenu pompier forestier a dévoilé une adorable photo prise avec sa fille, juste après une course en pleine nature.

«Il y a quatre ans, elle ne courait presque pas. Aujourd’hui, elle est obligée de ralentir pour m’attendre. Belle sortie de trail père-fille avec ma magnifique», lance-t-il, fier de sa fille et visiblement ravi d’avoir passé ce moment complice avec elle.

Rappelons que Patrice est père de trois filles, dont Simone, qui a récemment célébré son 21e anniversaire.

Une activité sportive en extérieur, au cœur de la forêt… et avec sa fille, un cadre que Patrice affectionne particulièrement!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Un rare homard orange pêché à Gaspé

Le pêcheur de Gaspé Daniel Boulay a eu toute une surprise lorsqu’il a remonté ses casiers mardi matin en découvrant un homard orange, comme s’il était déjà cuit. Cette couleur de carapace est parmi les plus rares pour celui qui est communément appelé le roi des crustacés.

En fait, selon la littérature scientifique et l’Institut du homard de l’Université du Maine, les probabilités de capturer un homard orange sont d’environ une chance sur 30 millions.

Le rare spécimen a été livré à la poissonnerie de l’entreprise Les Pêcheries Gaspésiennes de Rivière-au-Renard. Le directeur de la poissonnerie, Yvon Jalbert, n’a jamais vu un homard orange en 40 ans de carrière.

On a eu des jaunes, des bleus, mais un orange, c’est la toute première fois!

Une citation de Yvon Jalbert, poissonnier, Les Pêcheries Gaspésiennes
Un homme souriant à la caméra avec un homard orange dans les mains. Yvon Jalbert pose fièrement avec le spécimen rare qu’il sort exceptionnellement, pour quelques secondes, du vivier de la poissonnerie. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

Il n’est pas question de le vendre pour la consommation. L’entreprise a l’intention de le garder en vivier pour le présenter à ses clients le temps que va durer la saison de pêche au homard en Gaspésie, soit jusqu’au début du mois de juillet.

Par la suite, il pourrait être offert à un organisme, comme le Biodôme de Montréal, l’Aquarium de Québec, ou tout simplement être remis à l’eau.

C’est arrivé, dans le passé, avec un crabe jaune, il avait été remis au musée Exploramer, ajoute le poissonnier qui se fait une fierté de présenter le spécimen aux clients qui viennent s’acheter des poissons et fruits de mer.

Des facteurs génétiques

Cette couleur de carapace orange ne serait pas liée, par exemple, à des carences alimentaires, mais plutôt à des facteurs génétiques.

Un homard vivant orange sur une pesée.Le homard orange pêché à Gaspé ne sera pas vendu pour être mangé, assurent Les Pêcheries Gaspésiennes. Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

L’aquariste et responsable de la collection vivante au musée Exploramer, Mathieu Lemonde-Landry, explique que les homards ont deux pigments, soit l’astaxanthine, pour la couleur rouge et la crustacyanine, pour la couleur bleutée. Le mariage des deux donne une carapace qui tire davantage sur le brun.

Il y en a certains qui vont produire plus d’un pigment que de l’autre et dans le cas de ce homard orange, il va produire moins de crustacyanine, donc moins du pigment bleu qu’un homard normal.

Une citation de Mathieu Lemonde-Landry, aquariste, musée Exploramer

Des homards bleus ont été observés ces dernières années, mais ils sont moins rares que les homards jaunes ou orange.

Un pêcheur tient dans ses mains un homard. Au large de la communauté de Little Rive, en Nouvelle-Écosse, un homard bleu avait été pêché et remis à l’eau en juin 2024. Photo : Radio-Canada / Ashley MacInnis

Pour les homards plus bleutés, même si ça reste rare, on parle de 1 sur 2 à 3 millions d’individus, ajoute le scientifique gaspésien.

Le musée Exploramer a déjà un aquarium avec des homards de différentes couleurs, soit orange, bleu et vert pour les présenter aux visiteurs dans le cadre de ses expositions scientifiques.

Pour ce qui est du homard orange de Rivière-au-Renard, il est encore trop tôt pour déterminer ce que l’avenir lui réserve, mais le musée Exploramer n’écarte pas l’idée de l’accueillir au sein de sa collection vivante d’espèces rares du Saint-Laurent.

LA UNE : Le homard orange pêché le 13 mai près des côtes de Gaspé pèse plus de 1,1 kg (2,5 livres). Photo : Radio-Canada / Martin Toulgoat

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Trois destinations potentielles pour Mitch Marner

Hier soir, les Hurricanes ont réussi à obtenir leur billet pour la finale de l’Est. Ils ont battu les Capitals en 5.

Pour le moment, il y a donc deux équipes qualifiées dans le carré d’as : les Oilers et les Hurricanes. Les deux clubs peuvent se reposer pendant que les autres formations se battent pour leur survie.

Voici de quoi cela a l’air.

(Crédit: NHL.com)

Cela veut donc dire que les Oilers attendent de voir qui gagnera la série entre les Jets et les Stars. Pendant ce temps-là, les Panthers et les Maple Leafs se battent pour avoir le droit d’aller affronter les Hurricanes.

Les prochains jours seront intéressants.

(Crédit: NHL.com)

D’un point de vue canadien, on se demande si les Jets pourront rejoindre les Oilers en finale de l’Ouest pour s’assurer dès maintenant que le pays soit représenté en finale.

Mais comme le match #6 aura lieu sur la route, on sait que les Jets vont perdre. Le (théoriquement très bon en saison) gardien des Jets n’ira pas blanchir les Stars au Texas, quand même.

Et les Maple Leafs, eux?

C’était cute, leur projet de passer la première ronde, mais on voit en ce moment qu’ils n’ont pas ce qu’ils faut pour passer à travers des Panthers, qui jouent de la bonne façon.

La culture à Toronto n’est pas bonne pour les séries, comme c’est maintenant le cas depuis plusieurs années déjà. Et ce, même si Craig Berube est un tough des tough.

Est-ce que c’est parce qu’il dirige un groupe qui est le lâche des lâches?

À ce sujet, il est intéressant de noter que ce matin, sur les ondes de BPM Sports, Renaud Lavoie a parlé de la façon dont Aaron Ekblad s’est transformé en monstre de puissance et pas juste en défenseur «cute» récemment. La même chose attend Seth Jones.

Les Panthers préparent les gars pour la guerre. Et les gars de Toronto ne sont pas prêts à faire la même chose…

Cela fait donc en sorte que de plus en plus, avant même de voir les Maple Leafs être assurément potentiellement éliminés ce soir, on parle déjà de quoi faire cet été.

On dirait qu’à chaque année, on se dit que là, ça ne passera plus. 2025 ne fait pas exception.

Mais comme Mitch Marner (qui n’est pas le seul problème en ville) et John Tavares seront éligibles à l’autonomie complète, c’est peut-être plus facile de penser que les Maple Leafs pourraient faire du ménage cet été.

Et à ce sujet, Jimmy Murphy et Pierre McGuire (The Sick Podcast – The Eye Test) ont soulevé les noms suivants pour potentiellement accueillir Marner : le Mammoth, les Rangers et les Predators.

Jouer pour les Rangers, ça pourrait l’aider à avoir des contrats de pub. #Intéressant

Voir le joueur aller à Nashville prouverait, plus que jamais, que les gars aiment la vie là-bas pour toutes les raisons qui ne sont pas reliées au hockey en premier lieu. Non?

Et l’Utah, ça m’intrigue… J’aime l’idée.

Mais bon. Peu importe le changement, il est clair que si les Maple Leafs sortent aussi flat qu’un vieux 7 Up, il faudra faire quelque chose. Des gars devront partir… qu’ils aiment Toronto ou pas.

en rafale

– Les Devils diraient non. Et je ne sais pas si je vois le CH faire ça.

– J’aime ça.

– Océanic : une foule bruyante à Rimouski. [JdeQ]

– Qu’en dites-vous?

– Logique.