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Attention FragÎles appelé en renfort sur l’Île-de-Sable

L’expertise de l’organisme madelinot Attention FragÎles a été sollicitée par les gestionnaires de la Réserve de parc national de l’Île-de-Sable, située dans l’océan Atlantique, à près de 300 kilomètres au large d’Halifax.

La géographe Catherine Leblanc-Jomphe et le biologiste Bruno Savary se sont ainsi envolés le 20 mars pour un séjour d’accompagnement d’une journée auprès de l’équipe de Parcs Canada.

L’objectif était de conseiller les responsables du parc national sur des aménagements permettant de protéger diverses infrastructures de l’érosion des berges et de l’ensablement pour prolonger la durée de vie des bâtiments.

Une des contraintes qu’ils ont là-bas, c’est qu’ils n’ont aucun arbre sur l’île, alors que nous, dans certains de nos travaux, on utilise des branchages ou des arbres entiers, alors ils sont dépendants de matériaux qui viennent de l’extérieur.

Une citation de Bruno Savary, biologiste, Attention FragÎles
Catherine Leblanc-Jomphe et Bruno Savary devant un hélicoptère.

La géographe Catherine Leblanc-Jomphe et le biologiste Bruno Savary de l’organisme environnemental Attention FragÎles. PHOTO : RADIO-CANADA / CRÉDIT: ATTENTION FRAGÎLES

Le biologiste ajoute que la présence de chevaux sauvages, avec le broutage et le piétinement, représente un certain enjeu et a un impact non négligeable pour des zones plus fragiles sur l’Île-de-Sable.

Les deux professionnels d’Attention FragÎles ont notamment proposé l’installation de clôtures en bois avec un grillage de fil métallique pour protéger de l’ensablement certaines infrastructures ou l’utilisation de tapis naturels fabriqués avec de la fibre de noix de coco où il n’y a plus de végétation.

Trois personnes installent une clôture de bois près de la mer.

Le biologiste de l’organisme Attention FragÎles, Bruno Savary, explique aux employés de Parcs Canada comment installer une clôture de bois adéquatement pour mieux circonscrire le déplacement du sable. PHOTO : RADIO-CANADA / CRÉDIT: ATTENTION FRAGÎLES

Autre similarité avec les Îles-de-la-Madeleine : la possibilité de transplanter de l’ammophile, qui est très utile pour améliorer la protection dunaire.

En fait, on a la même plante qu’aux Îles, soit l’ammophile à ligule courte, on a le même type de sable, donc le terrain est un peu le même, mais nos méthodes de travail étaient un peu différentes, a réalisé le biologiste.

Ils ont aussi donné des conseils techniques sur les bonnes pratiques à adopter, quant à l’utilisation d’une pelle mécanique pour dessabler ou ensabler certains endroits, tout en assurant les bonnes mesures pour réduire les dommages afin de ne pas fragiliser encore davantage les dunes.

Attention FragÎles compte leur fournir un document pour leur permettre de réaliser eux-mêmes leurs travaux de protection.

 

LA UNE : Cette image de l’Île-de-Sable, au large de la Nouvelle-Écosse, est tirée du documentaire « Geographies of Solitude », de la réalisatrice Jacquelyn Mills. PHOTO : PIXELLEX COMMUNICATIONS

PAR ‘après les informations d’Isabelle Larose

 

Le Nissan Kicks 2025 arrive avec un nouveau moteur et le rouage intégral

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Introduit en 2016, le Nissan Kicks a réussi à tirer son épingle du jeu dans la catégorie des VUS sous-compacts. Son prix, son niveau d’équipement et sa consommation de carburant très raisonnable ont grandement contribué à son succès.

Pour 2025, le Nissan Kicks propose une nouvelle génération, et le constructeur vient de dévoiler le modèle en marge du Salon de l’auto de New York 2024. Il l’a été présenté virtuellement lors d’une activité reliée au tournoi de basketball masculin de la NCA.

Le Nissan Kicks revient en 2025 et propose 3 versions, S, SV et SR, ainsi que deux ensembles Premium. En termes de style, le modèle se distingue par un nouveau design un peu plus expressif et une posture élargie. Il donne également l’impression d’être plus arrondi, alors qu’on remarque à l’arrière un aileron de toit et de nouveaux feux à DEL qui s’étendent sur toute la largeur et qui divisent le hayon en deux.

L’intérieur a aussi été repensé, alors que le tableau de bord arbore une configuration à double écran : le premier pour l’ensemble d’instrumentation, le second pour le système d’infodivertissement. De série, l’écran de l’ensemble d’instrumentation mesure 7 pouces ; si vous optez pour le Nissan Kicks SR, le plus équipé du lot, cet écran fera 12,3 pouces. Pour la première fois sur le Kicks, les sièges des deux rangées utilisent la technologie Zero Gravity de Nissan, ce qui contribue à répartir le poids et la pression sur le corps des occupants pour une position assise plus confortable et pour aider à réduire la fatigue lors des longs trajets.

Plus spacieux

Le Nissan Kicks 2025 est un peu plus spacieux par comparaison avec l’ancien modèle. L’espace aux épaules à l’avant a augmenté de 43,1 millimètres, tandis que les passagers de la banquette arrière bénéficient de 22,9 millimètres supplémentaires d’espace pour les genoux et de 38,1 millimètres de plus aux épaules.

L’espace de chargement a aussi été majoré ; il peut aller jusqu’à 849,5 litres avec les sièges relevés et à 1 699,6 litres avec le dossier des sièges abaissé.

Plus de puissance, un premier Nissan Kicks équipé de la traction intégrale

Nouveauté intéressante pour 2025, les versions Kicks S et SV sont proposées avec la traction intégrale intelligente en option, alors que le Nissan Kicks SR l’inclut de série. Ce sera certainement un ajout intéressant pour le modèle.

Les modèles Kicks équipés de l’AWD ajoutent un mode de conduite « Neige » qui personnalise les paramètres du système de traction intégrale et du contrôle dynamique du véhicule afin qu’ils optimisent l’efficacité du Kicks quand vous circulez sur des surfaces glissantes.

Afin de doter le Kicks d’un niveau de performance mieux adapté, le véhicule reçoit un nouveau moteur, soit un 4-cylindres de 2 litres qui développe une puissance de 141 chevaux et produit un couple de 140 livres-pieds, le tout jumelé à la dernière génération de la transmission Xtronic du type CVT de Nissan. C’est tout de même une hausse intéressante de puissance par rapport à l’ancien 4-cylindres de 1,6 litre qui générait 122 chevaux et 114 livres-pieds.

Offert à la fin de l’été

Le Nissan Kicks 2025 sera commercialisé au Canada vers la fin de l’été 2024. Les prix seront divulgués ultérieurement. L’équipe de RPM sera au Salon de l’auto de New York afin de vous vous présenter tous les détails du Nissan Kicks 2025.

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BMW veut vous entendre à propos de la familiale M5 Touring

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Depuis 40 ans, la berline BMW M5 remporte un certain succès au Canada. Celle qui agit à titre de version de performance de l’intermédiaire Série 5 porte avec elle une bonne réputation auprès des amateurs de BMW, mais aussi des amateurs de performance. Or, alors que des rumeurs courent quant à la venue de l’éventuelle version Touring de la M5 en Amérique du Nord, le constructeur BMW souhaite sonder les amateurs canadiens à ce sujet.

La campagne nommée « Laissez votre marque » a été lancée par le constructeur qui invite les gens à aller s’inscrire sur le site de BMW Canada pour témoigner leur intérêt envers cette familiale de performance. Sur le site, on peut lire : « C’est la familiale BMW la plus insaisissable jamais construite. Un véhicule jamais lancé en Amérique du Nord et rarement vu en dehors de l’Europe. Son destin au Canada reste encore à déterminer et c’est à nous tous de changer cela. »

Au moment d’écrire ces lignes, 1360 personnes avaient manifesté leur intérêt, à en croire les données affichées sur le site web de BMW Canada.

Une voiture jamais vue en Amérique du Nord

Bien que la BMW M5 Touring ait été produite depuis 1988 sous 2 générations non consécutives, elle n’a jamais été offerte en Amérique du Nord. Elle était réservée à l’Europe, et les quelques exemplaires qui ont été vus à l’extérieur du Vieux Continent ont visiblement été exportés. Toutes proportions gardées, c’est une variante fabriquée en plus petit nombre que la berline M5, qui demeure plus répandue sur le marché. Au cours des deux générations de BMW M5 Touring, seulement 891 exemplaires de la familiale originale E34 (1992-1995) et 1009 familiales de génération E61 (2007-2010) ont été fabriqués.

Néanmoins, l’engouement créé par l’Audi RS6 Avant, vendue chez nous depuis déjà quelques années, a sans doute eu un impact dans la décision de BMW de considérer d’offrir la M5 Touring au Canada. De son côté, Mercedes-Benz a annoncé il y a quelques mois que toutes les variantes de la Classe E familiale, y compris les variantes AMG, n’allaient pas revenir au Canada suivant le dévoilement de la nouvelle génération de la berline. Jusqu’à tout récemment, Mercedes-Benz était le seul constructeur à continuer de s’intéresser à la catégorie des familiales intermédiaires de luxe, une catégorie qu’elle a choisi de délaisser alors que d’autres reviennent à la charge.

Rappelons que le designer en chef de BMW, Domagoj Dukec, avait certifié à l’occasion d’un événement organisé en février dernier que la BMW M5 Touring allait être offerte au Canada. Après coup, il s’était rétracté, et les responsables des relations publiques de BMW Canada n’avaient pas non plus confirmé cette information.

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Mercedes-Benz ajoutera une version hybride rechargeable à la gamme du GLC pour 2025

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Chez Mercedes-Benz, l’évolution des produits est constante. En 2023, le constructeur nous présentait la nouvelle génération du GLC, et, l’année suivante, c’était au tour du GLC coupé. Avec cette nouvelle génération du VUS allemand, le constructeur avait misé uniquement sur une motorisation hybride sous le capot du GLC, et qu’une hybride rechargeable suivrait plus tard. Il semble maintenant que ce jour soit arrivé avec l’annonce de l’introduction du GLC 350e, pour l’année modèle 2025.

Une deuxième version à la gamme

Actuellement, le Mercedes-Benz GLC VUS ne se décline que sous une seule version. Il s’agit du 300 4MATIC. Cependant, l’offre de version est sur le point d’être élargie avec l’arrivée prochaine du GLC 350e 4MATIC 2025. Cette dernière introduira une motorisation hybride rechargeable au sein de la gamme du VUS allemand.

Le système d’entraînement hybride rechargeable du GLC 350e 4MATIC se compose d’un moteur à 4 cylindres de 2 litres et d’un moteur électrique associé à une batterie de 24,8 kilowattheures. La puissance combinée du système atteint 313 chevaux, et son couple, 406 livres-pieds. Selon la norme WLTP, l’autonomie annoncée est de 130 kilomètres. Avec les normes nord-américaines plus proches de la réalité, nous pouvons nous attendre à une autonomie plus près des 100 kilomètres, mais cela reste à confirmer. Le système de rechange a une capacité maximale de 60 kilowatts en courant continu (CC) et est en mesure d’effectuer une charge complète en environ 30 minutes, selon le constructeur.

En termes de performance, Mercedes-Benz avance que son VUS hybride rechargeable sera en mesure de boucle le 0 à 97 kilomètres/heure en 6,6 secondes. De plus, il sera aussi possible de circuler sur le mode 100 % électrique jusqu’aux limites de vitesse permises sur nos routes du Québec, car la vitesse maximale en mode électrique est de 140 kilomètres/heure.

Du côté de l’habitacle, nous y retrouverons le nouveau tableau de bord numérique flottant de 12,3 pouces ainsi qu’un écran central de 11,9 pouces et le système MBUX de 3e génération.

Confirmé pour le marché canadien

Au moment d’écrire ces lignes, le département des Relations médias de Mercedes-Benz Canada a confirmé la venue du GLC 350e 4MATIC sur notre marché. Cependant, aucun détail supplémentaire n’est actuellement offert pour le Canada. Il faudra donc attendre avant de connaître la gamme de prix ou l’approche qui sera utilisée chez nous en termes d’offre d’équipement par comparaison avec le marché américain. Ces données seront fort probablement disponibles au cours de l’année avant l’introduction de ce véhicule sur notre marché.

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Kia lève le voile sur la K4 2025

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Pas plus tard que la semaine dernière, nous vous parlions de la nouvelle Kia K4. En effet, le constructeur nous présentait les premières images assombries de sa nouvelle berline compacte. Moins d’une semaine après cette publication, voilà que le constructeur sud-coréen lève le voile sur les premières images claires de la nouvelle K4. Cette dernière sera la remplaçante de l’actuelle Forte.

Un design plus angulaire

Les images publiées aujourd’hui viennent confirmer que la nouvelle Kia K4 aura un design nettement différent de sa devancière, la Forte. En effet, nous découvrons aujourd’hui une berline compacte au design beaucoup plus angulaire, tant au chapitre de la carrosserie que des feux et des phares. Cela s’aligne d’ailleurs avec la nouvelle ligne de design des produits Kia. Nous n’avons qu’à penser au Sorento ou à la Carnival qui viennent d’être rafraîchis partiellement.

Au moment d’écrire ces lignes, seule une version berline a été présentée. Nous ne savons pas si Kia apportera sur le marché une version à hayon, comme c’était le cas de la défunte Forte.

Un habitacle à l’image des autres produits Kia

Sans surprise, Kia présente un habitacle complètement revu et plus moderne avec l’arrivée de la nouvelle K4. D’emblée, c’est une nouvelle planche de bord comptant 2 écrans qui prend place dans la berline compacte. Le communiqué de presse ne fait toutefois pas mention des dimensions de ces deux écrans, mais l’on peut voir qu’une section entre l’écran de l’ensemble d’instrumentation et du système d’infodivertissement sert au contrôle de la climatisation et de la soufflerie. D’ailleurs, à la vue de la première image de l’habitacle, la planche de bord semble dénudée d’un grand nombre de boutons de commande. L’autre point qui saute aux yeux est le volant qui ne compte que 2 branches avec le logo Kia décentré.

Une mécanique toujours inconnue

Malgré la présentation de ces nouvelles images, le constructeur sud-coréen est demeuré discret quant au choix de motorisations qui se retrouveront sous le capot de la K4. Il est fort probable que cette information suivra lors du lancement officiel le 27 mars prochain.

L’équipe de RPM sera sur place le 27 mars lors du lancement mondial à l’occasion du Salon de l’auto de New York. Nous aurons fort probablement l’occasion d’en apprendre plus sur la voiture lors de sa présentation. Nous vous tiendrons au courant des détails à venir.

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Gino Chouinard et Georges Pothier pris d’un fou rire incontrôlable!

George Pothier, chroniqueur et journaliste, a récemment pris sa retraite, mais continue de faire occasionnellement des apparitions à Salut Bonjour pour informer le public québécois sur divers sujets importants, notamment sur des conseils en finances.

C’est en compagnie de l’animateur Gino Chouinard que George était présent pour discuter des frais bancaires, mais ce segment ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu!

Aucune description disponible.
Capture TVA

Au retour de la pause, nous avons pu constater que les deux hommes étaient pris d’un fou rire, ce qui a rendu difficile pour eux, par la suite, de reprendre leur sérieux à l’antenne.

Aucune description disponible.
Capture TVA

Un moment causé par des «pauses trop longues», selon Gino, mais qui a néanmoins permis aux anciens collègues de renouer et de partager de nouvelles anecdotes hors d’ondes!

Des rires contagieux et un moment très cocasse, qui a duré plus d’une minute, et qui nous laissent sur notre faim, car nous aurions bien aimé être au courant de cette histoire si divertissante!

Capture TVA

Cet instant télé risque certainement de retrouver dans les bloopers TVA pour 2024.

Catherine Brunet souligne l’anniversaire de son amoureux!

Catherine Brunet souligne avec amour l’anniversaire de son copain, le comédien Émile Ouellette!

C’est sur sa page Instagram que l’actrice a partagé deux adorables stories dans lesquelles elle souligne l’anniversaire de celui-ci et… c’est trop mignon.

«Bonne fête à ce coquelicot avec qui je m’habille toujours pareil (…)», lançait-elle en marge d’une photo des tourtereaux qui s’entrelacent tendrement.

«😍», continuait-elle clairement fan de son partenaire!

Awnnn!

Longue vie aux amoureux et surtout, joyeux anniversaire, Émile!

Marina Orsini rend hommage à deux êtres chers

Marina Orsini souligne à travers un magnifique message l’anniversaire de sa maman France, qui aurait eu 86 ans, et de son frère, maintenant âgé de 59 ans!

C’est sur sa page Instagram que la star a partagé un carrousel de photos souvenirs accompagné d’un touchant message.

On souhaite à Marina de beaux moments en famille.

Top-5 : Une autre défaite (6e de suite) pour les Islanders de Patrick Roy

Il y avait de l’action en masse dans la LNH hier soir.

Le Canadien s’est incliné contre les Canucks de Vancouver…

Mais 10 autres matchs étaient présentés ailleurs dans la ligue :

1 : Une autre défaite pour les Islanders 

Rien ne va plus pour les Islanders de Patrick Roy.

La formation new-yorkaise disputait un match important pour sa course aux séries contre les Red Wings, qui tentent aussi d’obtenir leur billet pour la danse printanière…

Et les hommes de Roy n’ont pas été la hauteur, tout simplement.

Les Wings ont remporté le match par la marque de 6-3 :

Il s’agit ainsi d’un sixième revers consécutif pour les Islanders.

Ils s’éloignent tranquillement des séries… Alors qu’ils sont à cinq points des Wings et de la dernière place donnant accès aux playoffs dans l’Est.

La troupe de Roy devra se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. 

2 : Grosse performance pour Allen… Encore

Est-ce que ça va bien pour Jake Allen, depuis qu’il est au New Jersey?

La réponse est oui.

Le gardien est fumant depuis son arrivée avec les Devils et il s’est encore une fois démarqué hier soir (19 arrêts sur 20 lancers) en permettant à son club de l’emporter par la marque de 4-1 contre les Jets avec une solide performance.

Cet arrêt-là mérite d’être vu :

Jake Allen a maintenant une fiche de 3-1-0 avec sa nouvelle formation.

Sa moyenne de 1.76 et son taux d’efficacité de .946 impressionnent, on s’entend…

Et il faut être content pour lui :

3 : La course au meilleur pointeur se corse 

Nikita Kucherov, Nathan MacKinnon et Connor McDavid sont dans une course impressionnante en ce moment.

Les trois joueurs étoiles de la LNH accumulent des points à une vitesse éclair et le but est de terminer au sommet des pointeurs de la Ligue nationale.

L’Avalanche n’était pas en action hier soir…

Et McDavid et Kucherov en ont profité pour inscrire quatre points chacun dans une victoire de leur club respectif.

Le Lightning a gagné 4-1 contre les Sharks, alors que les Oilers ont remporté leur match face aux Sabres par la marque de 8-3. 

Kucherov a maintenant 122 points au compteur, McDavid en a 112…

Et MacKinnon est dans le milieu des deux avec ses 117 points :

4 : L’honnêteté de Rod Brind’Amour a fini par payer 

Les Hurricanes accueillaient les Flyers à domicile et le match n’a pas bien commencé pour les hommes de Rod Brind’Amour.

En première période, les joueurs de la Caroline avaient l’air perdu sur la patinoire…

Et l’entraîneur-chef du club n’était pas nécessairement satisfait de la performance de ses gars.

Il a donné une entrevue rapide à une journaliste et a dit tout haut que ses gars ne faisaient pas grand-chose :

Au final, son honnêteté a fini par payer parce que les Hurricanes ont remporté le match par la marque de 3-2.

Notons que du côté des Flyers, Sean Couturier a été laissé de côté pour un deuxième match consécutif.

5 : Panarin atteint le plateau des 40 buts

Artemi Panarin est un joueur excitant à regarder, parce qu’il a plus d’un tour dans son sac.

Le joueur des Rangers est capable de marquer des buts de n’importe quelle façon…

Et il l’a encore une fois prouvé hier soir.

Le Russe a terminé la rencontre face aux Bruins avec une récolte de trois buts, ce qui lui a permis d’atteindre le plateau des 40 buts cette saison.

Son dernier a été marqué dans un filet désert pour sécuriser la victoire des siens (5-2), mais ses deux premiers buts de la rencontre ont été fantastiques :

Prolongation

– Wow!

– Gros arrêt.

– Encore un bel arrêt!

– J’adore.

– Ouf.

– Il se plaît bien avec son nouveau club.

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: NHL.com)

 

– Quatre matchs ce soir dans la LNH :

(Crédit: )

Au moins, Juraj Slafkovsky a (encore) trouvé le moyen de marquer

Hier soir, le Canadien était à Vancouver pour y affronter les Canucks. Les hommes de Trevor Letowski ont perdu le match au compte de 4-1. Qui a écouté le match jusqu’à la fin?

Mine de rien, le Canadien a perdu un autre match. Ce n’est pas une surprise considérant le fait que le club est en reconstruction, que l’entraîneur régulier n’est pas là et que Vancouver a un gros club, mais quand même : le CH n’a qu’un point sur une possibilité de six depuis le début du voyage.

Mon chum de gars Tankathon est bien content, lui.

(Crédit: Tankathon)

Ce qui est spécial, c’est que même si ça a fini 4-1, on ne peut pas dire que le CH a été lavé. Le club s’est quand même bien débrouillé (en début de match, du moins) et a tenu son bout contre une grosse formation.

Mais il n’est quand même pas passé proche de gagner.

Même si le CH était engagé en début de match, il y a une raison qui explique la défaite des siens : le premier trio a été relativement invisible hier soir. Juraj Slafkovsky, notamment, n’en avait pas une grosse dans le corps.

Dans l’optique où il joue bien depuis plusieurs matchs, ce n’est pas la fin du monde. Ceci dit, hier, c’était difficile.

Mais comme un bon joueur est un bon joueur, il a quand même trouvé une manière de trouver le fond du filet. Cole Caufield l’a aidé et Slaf a marqué son 15e but de la campagne.

C’est son septième point à ses six derniers matchs et son 23e point (dont 11 buts) à ses 27 derniers matchs, ce qui n’est pas rien. Il a donc encore trouvé une façon de marquer.

(Crédit: ESPN)

Il est bien de voir que même s’il n’en avait pas une grosse dans le système, il a quand même trouvé le moyen de s’inscrire à la marque. Après une période plus creuse entre le 21 février et le 7 mars, voilà qu’il a au moins un point à chaque match depuis la date limite des transactions.

Le Canadien ne cesse de perdre depuis ce temps-là… mais ça, c’est un détail.

Ce n’est cependant pas tout ce qu’on doit noter en lien avec le match d’hier, qui était le troisième d’un voyage de cinq dans l’Ouest. Seattle et Denver sont au menu par la suite.

Qu’est-ce que je retiens, donc?

1. Je ne sais pas jusqu’à quel point l’absence de Martin St-Louis se fait sentir pendant les matchs puisque le CH perd… mais qu’il perdait avant aussi. Le CH a un point sur une possibilité de six depuis son absence.

Évidemment, son absence se fait sentir en général, j’en suis bien conscient. Mon questionnement, il est plus en lien avec les points de classement.

2. Pendant le match, en première période, l’un des buts des Canucks n’a pas été montré en direct à RDS parce qu’il a été marqué alors que la pause publicitaire était encore en cours.

Mais pour compenser, les partisans ont pu célébrer le but de Slaf un peu parce que le gars de la horn à Vancouver dormait sur la switch et on a entendu, pendant un instant, la sirène suite au but du joueur du CH.

3. Tanner Pearson était de retour à son ancien domicile. Il a eu droit à un accueil très… sobre de la part de son ancienne organisation. Le légendaire Casey DeSmith, quant à lui, affrontait son ancien club.

Voilà qui a été dit.

4. Kaiden Guhle était de retour de son côté fort, à gauche… mais il n’a pas connu son meilleur match en carrière, disons. Il a été pénalisé (même si on peut se demander pourquoi), mais il a surtout été frappé plus souvent qu’à son tour.

Ce n’est jamais bon signe, ça.

5. Samuel Montembeault n’a pas fait la différence au cours du match et il n’a toujours qu’un gain depuis trop longtemps. Il affrontait un bon club, mais il a quand même donné quatre buts sur 25 tirs seulement. Au moins, il n’a pas cédé en infériorité numérique.

C’est un bon début… même si le gardien est le premier à reconnaître que les punitions ont fait mal au club.

6. En avantage numérique, on a vu Mike Matheson continuer de ne pas passer la rondelle à Juraj Slafkovsky… mais j’aime mieux cette unité-là que la seconde. Brendan Gallagher, Josh Anderson et Tanner Pearson, c’est…

Laissez-moi trouver un antonyme du mot « dangereux » et je vous reviens.

7. Michael Pezzetta a compris, durant les deux derniers matchs, qu’il doit se rendre le plus indispensable possible et qu’il doit jouer son rôle le plus efficacement possible pour continuer de jouer.

Et ça, ison entraîneur l’a remarqué.

Prolongation

– Le Canadien va s’entraîner aujourd’hui, à Seattle… mais pas sur la glace. Ce sera un entraînement hors glace et aucune disponibilité média n’est au menu en ce vendredi.

– J’en profite pour vous passer le message suivant : si jamais vous avez envie d’écrire pour le site, n’hésitez pas à nous rejoindre. Voici l’adresse courriel pour le faire : [email protected]

– Avis aux amateurs de balle.