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VRAI OU FAUX? Apprenez-en plus sur la première saison du Madeleine II

La CTMA vient de vivre sa toute première saison de navigation entre les Îles et Souris avec le Madeleine II. À travers une série d’énoncés, vous découvrirez plusieurs facettes moins connues liées à l’opération de ce nouveau traversier.

Screen Shot 2021-10-01 at 3.45.37 PM1) Transportant en moyenne 200 véhicules (125 avec l’ancien traversier), le temps de débarquement du navire est plus long qu’avant.

VRAI. C’est normal, on ne peut pas débarquer 75 véhicules de plus à chaque voyage et prendre le même temps qu’avant.

Après une première saison de familiarisation avec le Madeleine II, les équipes de la CTMA ont plusieurs solutions en tête afin d’optimiser l’efficacité de l’embarquement/débarquement. À suivre !

2) Pour s’assurer de ne pas dépasser l’achalandage touristique de 2019, la CTMA a limité le nombre de voitures pouvant embarquer sur chaque traversée.

FAUX. La CTMA a plutôt réduit le nombre de voyages hebdomadaires, avec en moyenne 9 aller-retour par semaine (13 avec l’ancien traversier). Donc, même si on a transporté plus de monde sur chaque voyage, le nombre global de passagers entrant aux Îles chaque semaine était limité par l’horaire.

Screen Shot 2021-10-01 at 3.45.46 PM3) Il y a un pont complet de plus pour les voitures en comparaison avec l’ancien traversier.

VRAI. Le fameux pont 5 ! Il s’agit d’un 3e pont de véhicules, qui à lui seul peut prendre jusqu’à 100 voitures (moins de 6 pieds de haut). Une longue rampe leur permet d’atteindre ce pont, et cette rampe hydraulique se referme lorsque le chargement de ce pont est complété.

Puisque les voitures du pont 5 descendent en dernier, on a procédé à un débarquement en deux phases pour que les passagers profitent des installations du navire plus longtemps plutôt qu’attendre dans leur voiture. Selon la position du véhicule sur ce pont, des délais sont quand même à prévoir, mais différents ajustements sont en cours afin d’optimiser la vitesse de ces opérations.

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4) Plus de 750 Madelinots ont eu accès au traversier grâce au nouveau système de listes d’attente.

VRAI. Ce nouveau service offert en exclusivité aux résidents permanents des Îles a connu un franc succès puisque plus de 95 % des gens en attente ont obtenu une place à leur date souhaitée ou proche de leur date.*

Screen Shot 2021-10-01 at 3.45.29 PM5) Les travaux sur les rampes d’embarquement sont terminés.

FAUX. Depuis sa mise en service le 1er juin, le Madeleine II effectue toutes ses opérations sur des rampes qui ont été aménagées temporairement. Il s’agit d’installations sécuritaires, mais non-optimales pour l’efficacité des opérations.

À Cap-aux-Meules, l’accostage du traversier près du terminal de croisières est plus long qu’à son quai habituel (non-disponible pour cause de travaux). Puisque le navire dépasse de près de 150 pieds du quai, un système d’amarrage en va-et-vient a été développé par l’équipage afin d’attacher le navire de manière sécuritaire malgré l’infrastructure portuaire inadéquate.

Une fois que les travaux effectués par Transports Canada seront finis, l’accès aux rampes permanentes améliorera à la fois les délais d’accostage, d’amarrage et d’embarquement/débarquement.

6) Le Madeleine II prend plus de véhicules standby que son prédécesseur.

VRAI.  Aucun véhicule standby n’a été laissé sur le quai à Cap-aux-Meules avant le 11 août, date où deux retardataires ont perdu leur place à bord. Par la suite, il est arrivé seulement à quelques reprises que le navire n’a pas eu la place pour prendre tous les véhicules en attente. Du côté de Souris, le nombre de véhicules en attente a été très limité en raison des restrictions d’accès à l’Île-du-Prince-Édouard.

7) Les retardataires qui arrivent sur le quai à moins d’une heure avant leur départ perdent automatiquement leur réservation.

VRAI. Les passagers doivent se présenter sur le quai 90 minutes avant le départ durant la haute saison et 60 minutes en basse saison. À moins d’une heure avant le départ (moins de 45 minutes en basse saison), les retardataires tombent en dernière priorité pour l’embarquement, ce qui réduit considérablement les chances qu’ils puissent accéder au traversier.

8) En période de pointe, les véhicules commerciaux ont plus de chance d’avoir accès au traversier durant les voyages de nuit que le jour.

VRAI. Au début de l’été, la CTMA a modifié ses priorités à l’embarquement afin de faciliter l’accès pour les véhicules commerciaux. Ces derniers étaient auparavant toujours en dernière priorité sur le traversier puisqu’on comptait sur le CTMA Voyageur pour désengorger le trafic commercial deux fois par semaine en période de pointe. La nouvelle politique d’embarquement ainsi qu’un plan de chargement différent lors des voyages de nuit permettent un meilleur accès au trafic commercial.

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9) Avec sa plus grande capacité, le navire prend plus de touristes, donc plus de profit pour la CTMA.

FAUX. Le service de traversier est à contribution budgétaire, ce qui signifie que le gouvernement fédéral verse une contribution à la CTMA pour combler le déficit d’opération annuel. Si le navire transporte plus de passagers, ce qui fait augmenter les revenus, la contribution du gouvernement sera moins élevée à la fin de l’année, mais dans tous les cas la CTMA demeure à profit zéro.

* Statistiques issues d’un bilan préliminaire à la fin août 2021. Le bilan complet sera effectué en octobre. 

PHOTOS : CTMA

Portraits d’entrepreneurs : Bijoux Belle et Nathan

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Fondé en 2008

Luc Chevrier

( sur la photo : Anabelle Chevrier, Luc Chevrier et Solange Leblanc)

Luc est natif de Bassin sur l’Île de Havre-Aubert. Ses parents, Félix Chevrier et Amabilis sont également originaires de l’endroit. Le père de Luc était garde-pêche. Son grand-père était entrepreneur. Parallèlement à sa gestion d’entreprise, Luc est psychologue depuis 33 ans. « Depuis l’âge de 13 ans, je savais que j’allais être psychologue mais à l’âge de 45 ans, j’ai souhaité mettre sur pied un projet qui allait unir notre famille. J’ai fait une maîtrise en administration et de fil en aiguille l’entreprise Bijoux Belle et Nathan est née. »

Un article original


Par Véronique St-Onge – Collaboratrice

INSPIRANT PERSONNAGE
Simon Hubert de l’imprimerie local a cru en Luc dans un moment crucial de son cheminement. « À l’époque où on produisait des pièces de théâtre à la polyvalente, Simon avait fait imprimer une grande quantité d’affiches pour faire la promotion de notre événement et je n’avais pas le budget nécessaire pour le payer. Je lui ai offert de vendre un grand nombre de bottins téléphoniques pour lui afin de payer ma dette. Il a accepté, il m’a fait confiance et ce fut une réussite. Ça m’a porté pendant des années la confiance qu’il m’a exprimé : c’est important, c’est essentiel! On a travaillé ensemble sur différents projets, on a rêvé comme des fous et on a réalisé nos rêves. C’est un être généreux, un visionnaire! »

Une période préférée dans l’année?
Le printemps est la saison préférée de Luc : « En mars, le soleil arrive. En avril, la neige part et la vie revient. Mai : c’est le plus beau mois de l’année! »

Entreprise chouchou des Îles?

    • Créations Nancy : Luc a connu l’équipe des création Nancy à l’époque où il livrait sa propre marchandise sur le CTMA Madeleine : « Je trouvais qu’ils étaient tellement respectueux. J’ai appris à les connaître. On a fait différentes collaborations, ce sont des gens que je respecte beaucoup! Nancy possède une âme de créatrice. »

    BIJOUX BELLE ET NATHAN EN 3 PRODUITS ET SERVICES

    1. 3000 bijoux différents en boutique
    2. Diversité des métaux et des alliages
    3. Bijoux sur mesure

    SON ÉQUIPE DE TRAVAIL

    • LA BONTÉ
    • LA PATIENCE
    • L’HARMONIE


Mieux comprendre la crise de la pêche au homard en Nouvelle-Écosse

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Depuis un an, le conflit sur la pêche autochtone au homard secoue la Nouvelle-Écosse. Alors que les Premières Nations revendiquent «une pêche de subsistance convenable» hors-saison, Ottawa et les pêcheurs non autochtones s’y opposent. Francopresse fait le point sur la crise, ses acteurs, leurs arguments et les pistes de solution.

Où a lieu le conflit?

Les Premières Nations au cœur du débat sont celles de Sipekne’katik, de Potlotek et d’Eskasoni, en Nouvelle-Écosse. La communauté Sipekne’katik est située dans la zone de pêche du homard 34, la plus vaste du Canada. On y compte 944 détenteurs de permis, pour 391 200 casiers.

Dans la baie Sainte-Marie, au sud-ouest de la province, on dénombre environ 160 permis de pêche non autochtones, répartis dans différents ports dont plusieurs sont acadiens. Les pêcheurs mi’kmaq de la zone 34 détiennent au total 11 bateaux de 50 casiers.

Comment cette crise s’est-elle déclenchée?

En septembre 2020, la communauté autochtone de Sipekne’katik lance une pêche au homard de subsistance dans la baie Sainte-Marie, hors de la période règlementée par le gouvernement fédéral.

Les pêcheurs non autochtones dénoncent cette activité hors saison, la considérant comme illégale et craignant une baisse des stocks. «Elle intervient à une période critique de la reproduction du crustacé, en particulier dans la baie Sainte-Marie qui est une pouponnière», rappelle Martin Mallet, directeur général de l’Union des pêcheurs des Maritimes (UPM).

Les Premières Nations se heurtent donc à une farouche opposition. Ils sont notamment victimes de gestes de violence et d’intimidation.

Ces tensions ne sont pas nouvelles selon Sébastien Brodeur-Girard, professeur à l’École d’études autochtones de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue : «Ça revient de manière périodique depuis la fin des années 1990. La pêche est un enjeu très sensible en région atlantique.»

Quelle est la situation actuelle dans la baie Sainte-Marie?

«Les agents fédéraux sont particulièrement sévères, ils saisissent nos bateaux et nos casiers. Il y a beaucoup de harcèlement sur l’eau», affirme Mike Sack, chef mi’kmaq de la Première Nation de Sipekne’katik.

Le lundi 16 aout, il est lui-même arrêté sur le quai de Saulnierville par des équipes du ministère de Pêches et Océans Canada (MPO), alors que sa communauté vient de lancer sa pêche de subsistance hors des saisons commerciales.

Il est libéré peu de temps après. «Je me suis fait arrêter pour incitation à la pêche illégale», révèle le dirigeant.

Dans une réponse par courriel, le MPO évoque des infractions présumées à la Loi sur les pêches, sans donner plus de détails étant donné qu’«une enquête est en cours». Sébastien Brodeur-Girard se pose la question de la pertinence d’une telle arrestation dans «un contexte déjà tendu où il y a beaucoup d’agitation».

D’après les chiffres du MPO, depuis la fermeture de la saison commerciale le 31 mai, des opérations dans la baie Sainte-Marie ont conduit à la saisie d’environ 576 casiers, notamment pour des problèmes d’étiquetage, et à la remise à l’eau de plus de 7440 crustacés.

Plus de 20 personnes ont été arrêtées pour des infractions présumées à la Loi sur les pêches. Cette réponse demeure insuffisante pour Martin Mallet, qui appelle le ministère à agir «avec une plus grande fermeté».

Le conflit s’invite également sur la scène politique avec la défaite de la ministre sortante des Pêches, Bernadette Jordan, qui n’a pas réussi à conserver son siège de députée lors de l’élection fédérale du lundi 20 septembre.

Que dit le droit dans cette affaire?

Les communautés autochtones s’appuient sur la décision Marshall, livrée en 1999 par la Cour suprême du Canada. Dans celle-ci, l’instance suprême reconnait aux Premières Nations Mi’kmaq, Malécites et Passamaquoddy le droit de pêcher, chasser et cueillir pour s’assurer d’une «subsistance convenable et gagner leur vie modérément, et non dans le but d’accumuler de la richesse».

Cette décision sous-tend donc la possibilité pour les pêcheurs autochtones de vendre leurs prises. «L’idée est de leur permettre d’avoir une existence décente, un niveau de vie acceptable ; pas de devenir multimillionnaires», observe Sébastien Brodeur-Girard, pour qui la décision reste un «guide juridique».

«La Cour n’a pas trop voulu se mouiller ; la définition de subsistance convenable est volontairement vague, c’est ce qui est source du conflit aujourd’hui», poursuit-il.

Côté pêcheurs non autochtones, Martin Mallet de l’UPM assure être d’accord pour que les Premières Nations pêchent commercialement et améliorent leur qualité de vie, «mais à l’intérieur des saisons […] On est même prêts à leur donner plus d’accès avec des programmes de rachat de permis», ajoute-t-il.

Les Premières Nations ont-elles le droit de pêcher hors-saison?

La notion de saison n’apparaît pas dans la décision Marshall, provoquant un flou supplémentaire. Un autre arrêt, connu sous le nom de Marshall 2, clarifie ce point.

Les gouvernements fédéral et provinciaux ont la possibilité d’encadrer l’exercice du droit de pêche «lorsque de telles mesures sont justifiées pour des raisons de conservation ou pour d’autres motifs», à condition de consulter les Premières Nations.

En d’autres termes, les droits ancestraux ou issus de traités des Premières Nations ne sont pas absolus. «Des atteintes à minima sont possibles à condition qu’il y ait de très bonnes raisons et d’excellentes preuves», précise Sébastien Brodeur-Girard.

Le 3 mars dernier, le MPO a ainsi règlementé le droit des Premières Nations à une pêche de subsistance. Selon le plan proposé par Ottawa, les Autochtones doivent respecter les saisons commerciales déterminées par le ministère.

«Elles garantissent que les stocks sont exploités de façon durable, et sont nécessaires pour garantir une pêche ordonnée, prévisible, et bien gérée», défend le MPO dans une réponse par courriel. «Elles font partie de la structure de gestion générale qui atténue les pressions, en évitant les périodes importantes où le homard mue et se reproduit», peut-on encore lire.

Depuis, Mike Sack n’a de cesse de contester cet arbitrage d’Ottawa. «C’est une mauvaise décision, car notre activité ne peut pas se comparer à la pêche commerciale. La taille de nos bateaux, le nombre de nos pièges, nos quantités de prises n’ont rien à voir. Nous n’essayons pas de reproduire ce qu’ils font», partage le chef mi’kmaq.

De son côté, Sébastien Brodeur-Girard doute de la légalité de la décision fédérale, au regard de l’arrêt Marshall 2 : «Les objectifs de conservation sont louables, mais pour imposer ces saisons, Ottawa aurait dû consulter les Autochtones le plus en amont possible et tout au long du processus de décision afin d’obtenir leur consentement préalable», analyse-t-il.

Mike Sack confie qu’il ne veut cependant pas se lancer dans une nouvelle bataille judiciaire.

Comment le conflit peut-il se résoudre?

Si Martin Mallet appelle à des négociations triparties entre pêcheurs, gouvernement et Premières Nations, Mike Sack n’en voit pas l’utilité. À ses yeux, le conflit est «facile à résoudre»: «Il suffit que les autorités honorent les traités comme elles le devraient, et nous laissent règlementer notre activité.»

Sébastien Brodeur-Girard voit d’un bon œil la mise en place de pêcherie gérée et contrôlée par les Premières Nations. «Il faut leur faire confiance pour développer le secteur avec leurs propres règles. Ils n’ont aucun intérêt à faire disparaitre la ressource», commente-t-il.

Mais l’expert prévient qu’avant de négocier une entente, l’urgence est d’apaiser les tensions en éduquant la population à ces enjeux : «L’hostilité de certains pêcheurs est compréhensible, mais ils doivent néanmoins comprendre que ce sont des droits ancestraux, et non des privilèges.»

Par Francopresse

Les réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp en panne

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Facebook et ses plateformes Instagram et WhatsApp étaient en panne lundi, vers midi, dans certaines parties du monde.

Le géant des réseaux sociaux a indiqué qu’il était « conscient que certaines personnes ont des difficultés à accéder à l’application Facebook » et qu’il travaillait à la restauration de l’accès.

La société n’a pas précisé la cause de la panne, qui a commencé vers 11 h 45 (heure de l’Est). Il est normal que les sites web et les applications subissent des pannes, bien qu’une panne à l’échelle mondiale soit rare. Des utilisateurs ont indiqué ne pas pouvoir accéder à Facebook en Californie, à New York et en Europe.

Facebook traverse une crise majeure après que la lanceuse d’alerte qui était à l’origine de la série d’articles du « Wall Street Journal » qui révélaient récemment que l’entreprise avait pris connaissance de recherches internes sur les effets négatifs de ses produits et de ses décisions est apparue dimanche dans l’émission « 60 minutes ».

Frances Haugen a été identifiée dimanche dans une entrevue de « 60 minutes » comme la femme qui a déposé anonymement des plaintes auprès des forces de l’ordre fédérales, dans lesquelles elle allègue que les propres recherches de l’entreprise montrent comment elle amplifie la haine et la désinformation; conduit à une polarisation accrue; et qu’Instagram, en particulier, peut nuire à la santé mentale des adolescentes.

Les articles du « Journal » brossent le portrait d’une entreprise axée sur la croissance et ses propres intérêts plutôt que sur le bien public. Facebook a essayé de minimiser la recherche. Le vice-président des politiques et des affaires publiques de l’entreprise, Nick Clegg, a écrit vendredi aux employés de Facebook dans une note que « les médias sociaux ont eu un grand impact sur la société ces dernières années, et Facebook est souvent un lieu où se déroule une grande partie de ce débat. »

Par La Presse Canadienne

Gilles DOYLE (1950-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 13 septembre 2021, de monsieur Gilles Doyle. Il était âgé de 71 ans et résident de Grande-Entrée, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu monsieur Evrade Doyle et de feu madame Eveline Richard. Il laisse dans le deuil parents et amis.

Ses proches vous accueilleront au salon funéraire de Grande-Entrée le jeudi 7 octobre 2021 de 19h à 21h. Les funérailles de monsieur Gilles Doyle seront célébrées le vendredi 8 octobre 2021 à 15h au salon funéraire de Grande-Entrée et de là au cimetière de l’endroit.

Vendredi le 8, jour des funérailles, le salon ouvrira à 13h.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent être témoignées par voie électronique.

Après 12 ans, la mairesse de Grosse-Île passe le flambeau à un conseil féminin

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La mairesse de Grosse-Île, Rose-Elmonde Clarke, quitte la politique municipale. Après 12 ans à la mairie, elle laisse son poste à Diana-Joy Davies qui a été élue sans adversaire, au terme du dépôt des candidatures vendredi. Le conseil municipal est entièrement composé de femmes. Rose-Elmonde Clarke est avec nous pour retracer sa carrière à la tête de la municipalité.


  Bon pied, bonne heure! / Entrevue avec Rose-Elmonde Clarke


LA UNE : PHOTO : Radio-Canada / Bruno Lelièvre

Photographies de voile

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Le photographe Kurt Arrigo, originaire de Malte, est l’un des artistes les plus importants en ce qui concerne la photographie de voile.

Il réalise des clichés impressionnants de force. La puissance des vents et des courants marins sont parfaitement retranscrites dans ces prises de vue qu’il réalise au cours de courses ou de croisières.

 

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Source : kurtarrigo.com

La pensée du crabe masqué

On oublie jamais quelqu’un, on s’habitue juste à son absence.

Bedecomics

 

Éphémérides : Chasse aux morses autour des Îles de la Madeleine

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Le 02 octobre 1706, Joseph Riverin se joignit a Ignace Juchereau Duchesnay, seigneur de Beauport dans le but de chasser les mammifères marins autour des Îles de la Madeleine, avec la Sainte-Anne placée sous le commandement du capitaine Joseph Juchereau de Fargy.

Contrat Hivernement aux Îles-de-la-Madeleine
Jean Rainfray dit Malouin et la barque Sainte-Anne


Marché entre Joseph Riverin, d’une part, et Joseph Juchereau du Fargy, capitaine de la Sainte- Anne, Jean Rainfray dit Malouin, intéressé pour un tiers dans la dite barque et matelot à son bord, et autres matelots, d’autre part, lesquels partant pour hiverner aux Iles-de-la-Madeleine, y faire la chasse aux loups-marins, vaches marine et gibier à prendre, auront une part dans les profits de leurs chasses et prises, 2 octobre 1702.

Louis Chamballon, N.R.


Par devant le notaire Royal en la prévôté de Québec sous signé y résidant et tesmoins cy bas nommés furent présents les sieur Joseph Riverin marchand demeurant en cette ville de Québec ; d’une part, et Joseph Juchereau escuyer sieur du Fargy capitaine commandant la barque la Sainte- Anne ; Jean Rainfré dit Malouin intéressé dans le corps quille agréez et paraux de la dite Barque pour un tiers et matelot sur icelle antoine parant demeurant à Beauport, vincent rodrigue et pierre proust dudit Beauport et charles fortier demeurant en l’esle saint Laurent aussi matelot sur la dite barque d’autre part lesquelles parties de leur bon gré et volonté ont reconneu avoir fait le marché et convention qui suit est que le dit sieur Dufargis et les dits Maloûïn, parant rodrigue proust et fortier promettent s’obligent de incessamment partir avec la dite barque le dit sieur dufargy en la dite qualité de commandant sur icelle les autres susnommés comme matelots avec Denis Madrae contre mettre sur ycelle pour aller hiverner aux isles de la magdelaine et la estant arrivés y faire la chasse et turie de tous loups marins et vaches marines et toutes autres choses qu’ils verront pouvoir trouver au proffit du dit sieur Riverin et auxtant à l’égard des pelletries quy proviendront de la chasse qu’ils pourront faire et des peaux de loups marins et vaches marines que des huiles et autres choses qu’ils pourront faire et découvrir sur les costes provenant tant de bois naufragé et eschouries et balennes marsoins et toute autre chase généralement quelconque pour leur dite chasse et turie faite sans revenir en cette ville l’esté prochain ;

Ce marché ainsy fait à la charge qu’ils ont des profits de tueries chases et trouvailles faites à la coste de tout ce qu’ils pourront faire et frabiquer sera divisé et partagé en trois portions égales deux desquels portions seront et appartiendront au dit sieur Riverin et à ses associés scavoir une portion pour la fourniture qu’il fait au corps quille agréez et aparaux de la dite Barque conjointement avec le dit Malouïn pour autre tiers ; et l’autre portion entière pour les victuailles outils et ustensiles nécessaires que le dit sieur Riverin fournit aussy par moistié conjointement avec Ignace Juchereau escuyer seigneur duchesnay et de Beauport aussy a ce présent son associé…

Icellement et la troisième portion au tiers sera et appartiendra au dit sieur dufray et au dit Malouïn, Parant, Rodrique, proust, fortier et Madrae, lequel tiers a cette effet sera divisé et partagé en huit lots deux desquels lots seront et appartiendront au dit sieur dufragy et les six autres aux dits Malouïn, parant, Rodrigue, proust, fortier et Madrae, le lot duquel Madrae reviendra aux dits sieurs duchesnay et Riverin attendu qu’ils luy paye gage a raison de trente livres par mois a compter de ce jour jusqu’à son retour du dit vayage en cette ville ainsy que le dit Madrae aussy a ce présent la reconneu chacun desquelles lots et gage du dit Madrae ils reconnaissnt que les dits sieurs du chesnay et Riverin leur ont fourny et avancé scavoir au dit parant la somme de vingt deux livres quinze sols au ditrodrigue celle de trente six livres au dit proust celle de trente deux livres deux sols, au dit fortier celle de vingt cinq livres et au dit Madrae celle de cent vingt trois livres deux sols six deniers ainsy que les dits susnommées l’ont reconneu et s’en tiennent contans et promettent chacun a leur égard de Rendre et Payer les dites sommes aux dits sieurs duchesnay et Riverin au retour du dit vochage. car ainsy etc ont obligé etc Renonçant etc fait et passé au dit Québec en lesdude du dit Notaire après midy le deuxième jour d’octobre mil sept cent six en présence des sieurs Estienne Mirambeau marchand et Denis Rageot praticien témoins demeurant au dit québec quy ont avec les dis sieurs duchesnay Dufargy Riverin Malouïn et parant et notaire signé, les dits rodrigue proust fortier et Madrae ayant déclaré ne scavoir signer de ce enquis.

Chamballon, N.R.

 

Illustration : Seals – Sara Godwin, p. 90.

Source : JEAN-JOSEPH RIVERIN MARCHAND DE QUEBEC 1699-1756, Département d’histoire, FACULTÉ DES LETTRES, UNIVERSITÉ LAVAL, SEPTEMBRE 2000.

Un robot filme les vagues depuis l’intérieur d’un ouragan

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Des scientifiques ont réussi à enregistrer une vidéo des vagues se déchaînant à l’intérieur d’un ouragan de catégorie 4 grâce à un robot flottant, une première.

L’engin a affronté les forces de l’ouragan Sam, dans l’océan Atlantique, avec des vagues de 15 m de haut et des vents de plus de 190 km/h.

 
Les images montrent un ciel noir et des vagues balançant violemment l’objet – une sorte de planche à voile orange développée par la compagnie Saildrone.

Ce drone flottant transmet ses données directement à l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).

Le but? Aider à comprendre les processus physiques à l’œuvre, afin de mieux prévoir ces événements climatiques extrêmes, et ainsi mieux s’y préparer.

Le robot se rend là où aucun vaisseau de recherche ne s’est jamais aventuré, en naviguant au cœur de l’œil de l’ouragan et en récoltant des données qui vont transformer notre compréhension de ces puissantes tempêtes, s’est félicité Richard Jenkins, le fondateur et PDG de Saildrone, cité dans un communiqué.

L’intérieur d’ouragans a déjà été filmé par le passé, mais depuis les airs, par exemple par des avions.

Agence France-Presse
LA UNE : Le drone flottant de Saildrone. PHOTO : SAILDRONE

Philippe POIRIER (1940-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 23 septembre 2021, de monsieur Philippe Poirier. Il était âgé de 81 ans, résident de La Vernière et originaire de Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu monsieur Phillip Poirier et de feu madame Maria Chiasson, le frère de Eunice et Gérard, ainsi que de Edmée, Réjeanne, Thérèse, Raoul, Armand et Jérôme, décédés. Il laisse aussi dans le deuil sa belle-soeur Pauline, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de monsieur Philippe Poirier seront célébrées le samedi 16 octobre 2021 à 10h30 à l’église Saint-François-Xavier de Bassin. L’inhumation suivra au cimetière de l’endroit.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent être témoignées à la famille par voie électronique.

Gérard CHEVARIE (1949-2021)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 29 septembre 2021, de monsieur Gérard Chevarie. Il était âgé de 72 ans et résident de l’Étang-du-Nord, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de madame Georgette Noël, le père de Annie (Jeannot), Marie-Josée (Éric), Marc-André (Isabelle) et feu Claudine. Il avait trois petits-enfants Joanie, Émilie et Zoé. Il laisse aussi dans le deuil ses soeurs Cécile, Marie-Marthe et Nicole, son frère Réal, ainsi que ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le mercredi 20 juillet 2022 à compter de 13h. Suivront les funérailles à 16h à l’église Saint-Pierre de La Vernière.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.


Les dons reçus seront versés à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle.