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buzz du web : Monstre sacré ?

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Né accidentellement parmi les canards, un dragon, aussi gigantesque qu’inoffensif, devient subitement une star médiatique.

Considéré à tort par les hommes comme une créature féroce et sanguinaire, il se retrouve bientôt perdu dans la jungle urbaine.

Un Court métrage de Jean-Claude Rozec.

© JPL Films 2009

Huguette Joncas reçoit le Prix du CALQ – Artiste de l’année aux Îles-de-la-Madeleine

Le Conseil des arts et des lettres du Québec est heureux de décerner le Prix du CALQ – Artiste de l’année aux Îles-de-la-Madeleine à Huguette Joncas. Ce prix, assorti d’un montant de 10 000 $, a été annoncé virtuellement aujourd’hui sur le site Web et la page Facebook d’Arrimage – Corporation culturelle des Îles-de-la-Madeleine.

Les membres du comité de sélection réunis par le Conseil des arts et des lettres du Québec ont choisi de primer cette artiste prolifique, qui mène un parcours artistique riche et inspirant. Ses sculptures de bronze connaissent un beau rayonnement, notamment ses œuvres monumentales qui s’intègrent au paysage avec équilibre et illustrent sa grande maîtrise du médium.

Biographie de Huguette Joncas
Le travail créatif d’Huguette Joncas est ancré dans sa pratique des métiers d’art comme artisane bronzière de pièces uniques depuis le début des années 90. En 2007, elle s’établit aux ports des Îles-de-la-Madeleine et ne cesse depuis de faire preuve d’audace, de créativité et de persévérance. Sa démarche et ses œuvres font preuve d’autant d’originalité que de professionnalisme. Son travail est d’ailleurs rapidement reconnu par le bureau du protocole du Québec qui lui demande la réalisation de ses œuvres protocolaires pendant trois ans. De même, elle crée au cours de la dernière décennie cinq œuvres monumentales dans le cadre du programme d’intégration des arts à l’architecture. Artisane prolifique et proactive, elle réalise en 2018 une sculpture à la mémoire de René Lévesque à New-Carlisle et termine l’année 2019 avec l’installation d’une œuvre monumentale à La Romaine. Bref, un parcours exceptionnel en métiers d’art.

Une capsule vidéo dressant le portrait de Huguette Joncas sera disponible dans les prochains mois sur le site de La Fabrique culturelle de Télé-Québec.

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Jérôme Landry souhaite que Matane accueille le navire des Îles-de-la-Madeleine

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En entrevue sur nos ondes mercredi matin, le maire de Matane, Jérôme Landry a fait un retour sur les récentes décisions gouvernementales concernant la réouverture des aires de jeux et parcs ainsi que du retour des ventes de garage en juin.

matane
 
Monsieur Landry a parlé de l’ouverture des campings et du respect des règles sanitaires et de distanciation. Le dossier du lien maritime des Îles-de-la-Madeleine et une desserte ici à Matane demeure prioritaire pour le maire.

Enfin, on lui a demandé ses commentaires suite à l’échange d’hier à l’Assemblée nationale entre le premier ministre du Québec, François Legault et le député de Matane-Matapédia et chef de la troisième opposition, Pascal Bérubé.

Voici l’entrevue :


 

LA UNE : Crédit Office québécois de la langue française

La CTMA n’attend pas plus de 20 000 touristes aux Îles cet été

Bien que les autorités aient annoncé que les Îles-de-la-Madeleine pourraient recevoir jusqu’à 35 000 personnes au cours de la saison estivale, l’industrie estime qu’il est illusoire de penser que plus de 20 000 visiteurs poseront le pied sur l’archipel au cours des prochains mois.

On parle aujourd’hui même, si tout le monde qui a réservé sur le bateau vient, on n’est pas à 19 000 personnes, affirme le directeur général de la Coopérative de transport maritime et aérien (CTMA), Emmanuel Aucoin.

On parle d’autour de 20 000 visiteurs qui sont capables de venir dans la cadence qu’on s’est donnée, estime-t-il.

«Si la photo d’aujourd’hui est réelle, on n’est pas à 35 000 visiteurs aux Îles. C’est un chiffre théorique qui n’est pas atteignable dans les circonstances.» – Emmanuel Aucoin, directeur général de la CTMA

Le directeur général de Tourisme Îles-de-la-Madeleine, Michel Bonato, abonde dans le même sens.

«35 000 personnes, c’est un maximum autorisé,» précise-t-il.

Bien qu’il soit également possible d’accéder aux Îles par avion, M. Bonato indique que ses projections rejoignent celles de la CTMA, soit plus ou moins 20 000 visiteurs pour l’été.

À savoir si ce nombre suffira à assurer la survie des entreprises touristiques des Îles, il répond : «avons-nous le choix? Nous sommes soulagés d’avoir déjà une saison touristique.»

Malgré tout, il assure que la saison touristique est en préparation sur l’archipel, et que l’industrie devra miser sur la qualité plutôt que la quantité. «Le but c’est de gagner la confiance des visiteurs,» souligne M. Bonato.

Parallèlement, son organisme mène des représentations auprès de Québec afin d’obtenir une aide financière.

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Le directeur général de la CTMA, Emmanuel Aucoin. PHOTO : RADIO-CANADA / PHILIPPE GRENIER

Avec ces nouvelles prévisions en tête, la CTMA prévoit accepter de nouvelles réservations dans les prochaines semaines.

«D’ici la fin de la semaine prochaine, le souhait qu’on a est de rouvrir les réservations pour permettre aux gens de prendre d’autres places devenues disponibles,» indique M. Aucoin.

De nombreuses places ont notamment été libérées par les annulations attribuées en partie à l’incertitude qui entoure la possibilité de traverser les provinces maritimes pour accéder au traversier qui relie Souris à l’archipel.

«On avait facilement 25 000 personnes qui avaient réservé, même peut-être 30 000», affirme M. Aucoin, qui précise que ces chiffres ne sont pas représentatifs des dernières années, puisque la CTMA a cessé d’accepter les réservations pendant quelques mois en raison de la pandémie.

Une lueur d’espoir
De son côté, le député des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, assure qu’il est optimiste quant à la conclusion d’une entente entre Québec et les provinces maritimes afin d’assurer un droit de passage aux Québécois souhaitant se rendre jusqu’à Souris pour prendre le traversier.

«À la fois au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard, alors qu’il y a quelques jours, on voyait que ça piétinait, là il y a un mouvement dans le sens de ce qu’on souhaite obtenir, » affirme le député.

«Ça évolue dans le bon sens, il y a une lueur d’espoir,» se réjouit-il.

Il estime qu’une annonce pourrait avoir lieu dans les prochains jours.

LA UNE : La CTMA enregistre actuellement environ 19 000 réservations pour l’été (archives). PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DESCHÊNES

Une bourse pour Yanick Cyr et Clovis Langford, du DEP en pêche professionnelle

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Yanick Cyr (aide-pêcheur sur le Jean Yanick) et Clovis Langford (aide-pêcheur sur le Cap David), qui étudient au DEP en Pêche professionnelle, ont reçu chacun une bourse de 250 dollars de la part du centre de formation aux adultes et du comité sectoriel pour les encourager pour leur attitude positive et leurs résultats scolaires.

Félicitations !

LA UNE : Photo Ginette Poirier

Source : Centre de FGA et de FP Commission scolaire des Îles

Tourisme: appel à la coopération du maire des Îles-de-la-Madeleine

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JONATHAN LAPIERRE
Maire des Îles-de-la-Madeleine et président de la Communauté maritime

À l’honorable Dennis King, premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard et à l’honorable Blaine Higgs, premier ministre du Nouveau-Brunswick

Messieurs les premiers ministres,
La pandémie qui sévit actuellement partout au pays n’est guère sans conséquence pour nos communautés. Cette situation sans précédent nous demande de travailler ensemble afin d’assurer la sécurité de nos populations respectives.

Un des éléments majeurs pour soutenir une relance économique après la pause causée par la COVID-19 est l’industrie touristique. Tout comme vous, notre économie locale compte beaucoup sur cette industrie. Plus de 90 M$ en retombées chaque année et 1800 emplois en dépendent. Au cours des trente dernières années, nous avons investi temps et argent afin de bâtir cette industrie. Un accueil légendaire, des infrastructures de qualité, une offre gourmande inspirée des produits de chez nous ont contribué à faire de ce secteur un pilier principal de notre économie. Aujourd’hui, ce pilier menace de s’effondrer avec des centaines d’annulations de réservations. Une saison 2020 sans visiteurs sera catastrophique pour plusieurs années.

Depuis des décennies, nous partageons des frontières géographiques et une route pancanadienne pour avoir accès à nos territoires. Pour l’archipel des Îles-de-la-Madeleine, l’accès se concrétise par la voie maritime avec la traverse Souris-Cap-aux-Meules. Venir aux Îles en vacances demande une planification : réservation du bateau et d’un hébergement, planification du trajet. Depuis quelques semaines, nous attendons et lisons dans les médias que vos deux provinces respectives ne sont pas chaudes à l’idée de laisser transiter par vos territoires des visiteurs en provenance du Québec et en direction des Îles-de-la-Madeleine. Cette situation a créé un vent de panique et une série d’annulations dans nos entreprises touristiques, fragilisant ainsi la structure économique de l’archipel. Les emplois saisonniers qui en découlent sont donc fragilisés également.

Tout comme vous, nous ne souhaitons pas que la COVID-19 se propage chez nous. Nous avons donc décidé de limiter le nombre de visiteurs à 35 000, répartis sur une période de trois mois. Les visiteurs autorisés à venir aux Îles par semaine seront au nombre de 2000 du 15 juin au 15 juillet, de 3000 du 15 juillet au 15 août et de 3750 du 15 août au 15 septembre. À tout moment, la Direction de la Santé publique de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine peut ordonner de diminuer les entrées ou de les arrêter complètement si la situation de pandémie se dégrade. De plus, nous avons instauré une méthode de suivi serré sur le territoire afin de retrouver rapidement toute personne qui serait contaminée par la COVID-19. Si des cas se déclarent pendant la saison touristique, la Municipalité des Îles a mis en place un centre d’hébergement temporaire pour que les personnes atteintes puissent guérir avant de reprendre la route vers leur lieu d’origine.

Pour simplifier le voyage et vous assurer de garder le contrôle, nous vous proposons d’autoriser toute personne qui souhaite venir aux Îles à pouvoir le faire par la route, à condition d’avoir en sa possession une réservation sur le navire de la CTMA, avec une date de départ et de retour. De plus, il pourrait y avoir des consignes claires émises et des arrêts pour des besoins essentiels identifiés sur le bord de l’autoroute, afin d’éviter toute circulation dans les villes et villages du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard. Des postes d’essence, des toilettes publiques et des hôtels, par exemple, seraient clairement déterminés.

Avec notre plus grand respect, nous vous demandons de discuter avec les instances gouvernementales du Québec et du Canada afin de trouver rapidement une solution convenable pour tous. Il en va de la survie de nos communautés. La COVID-19 sera malheureusement active encore pour longtemps, et il est important de trouver des façons sécuritaires de vivre avec ce virus présent dans nos vies.

Nous vous prions de recevoir, Messieurs les premiers ministres, l’expression de notre considération distinguée.

c. c. M. Justin Trudeau, premier ministre du Canada

M. François Legault, premier ministre du Québec

LA UNE : Archives La Presse, Édouard Plante-Fréchette

Amanda POIRIER (1931-2020)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès le 31 mai 2020 de Madame Amanda Poirier, elle était âgée de 88 ans et résidente de Havre-aux-Maisons, aux Iles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Monsieur Fred Chevarie et la mère d’Emmanuel, Suzie, Solange, Ghislain, Ghislaine, Lilianne. Elle avait six petits-enfants Samantha, Alice, Jessica, Annie, Tommy, Cindy et sept arrière-petits-enfants. Elle laisse aussi dans le deuil les conjoints, conjointes, ses frères, sœurs, beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

L’inhumation aura lieu au cimetière Sainte-Madeleine de Havre-aux-Maisons.

En raison des circonstances, les rituels funéraires se tiendront dans l’intimité de la famille et toutes marques de sympathie peuvent être témoignées par voie électronique.

Merci de votre collaboration.

Les élus des Îles de La Madeleine veulent pouvoir accueillir des touristes

Les élus des Îles de La Madeleine pressent le gouvernement du Québec de s’entendre avec les provinces voisines pour que les Québécois puissent avoir accès à l’archipel en vue de l’été.

Dans les derniers jours, une «cascade» d’annulations a été constatée sur les Îles, au point où la saison touristique est sérieusement compromise.

Il faut dire que l’accès aux îles demeure actuellement très limité et complexe. Les frontières du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard sont fermées aux déplacements interprovinciaux. Ainsi, il est parfois difficile de pouvoir se rendre au traversier à Souris, sur l’île du Prince-Édouard.

«La situation est telle qu’avec l’ensemble des annulations qu’il y a depuis le début de cette situation-là, avec la crainte que ça suscite, ce ne sera pas des impacts seulement pour cette année, ça risque de durer au-delà de cette année. L’enjeu est énorme», a expliqué le maire des Îles-de-la-Madeleine, Jonathan Lapierre.

L’industrie touristique génère des retombées économiques de près de 100 millions $ chaque année. Près de 1800 emplois sont liés à ce secteur d’activités, a rappelé le maire Lapierre.

«Quand on voit les annulations annoncées par le traversier, on voit très bien les impacts que ça va avoir pour notre été. Dans notre cas, par exemple, ça nous oblige à renoncer aux employés que l’on doit faire venir de l’extérieur des îles», a rapporté le propriétaire du restaurant Vent du large aux Îles, François Guay.

Un peu plus des trois quarts (76 %) des visiteurs arrivent aux Îles par la voie maritime aux Îles.

«Est-ce qu’il y a un pilote dans l’avion ou un capitaine dans le bateau pour ces négociations? On ne sait pas qui dirige ces discussions-là», a affirmé le député péquiste des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau.

«C’est comme si on n’était pas déterminé à avoir une solution ou à proposer des choses qui ne sont pas très complexes», a-t-il ajouté.

Les élus des Îles réclament que le gouvernement du Québec agisse dès les prochains jours dans ce dossier.

Au cabinet de la ministre responsable des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, Sonia Lebel, on indique que des discussions sont toujours en cours avec les provinces voisines. Il semble, cependant, y avoir peu d’ouverture de leur part à laisser circuler des touristes québécois sur leur territoire.

Le gouvernement planche actuellement sur une solution entièrement québécoise pour l’accès aux Îles.

PAR SIMON GAMACHE FORTIN

Altération à l’épave du Titanic autorisée

L’entreprise américaine RMS Titanic Inc. a obtenu l’autorisation d’une cour fédérale américaine pour aller récupérer le télégraphe Marconi situé au sein même de l’épave du Titanic. Cette opération impliquerait une altération à un monument historique.

C’est le télégraphe Marconi qui a permis à l’équipage du Titanic d’envoyer un signal de détresse et ainsi de secourir 705 survivants. Le signal avait été intercepté entre autres par le navire Carpathia, mais aussi par le phare de Cape Race à Terre-Neuve. Le message avait par la suite été relayé jusqu’à New York et Montréal. Dave Myrick connaît par cœur le signal de détresse envoyé par le Titanic dans la nuit du 14 au 15 avril 1912. C’est son grand-oncle, alors âgé de 14 ans, qui a intercepté le signal au phare de Cape Race. Il explique que son grand-oncle a longtemps nié avoir été celui qui a reçu le message du Titanic à Cape Race puisqu’à son âge, il ne devait pas être laissé seul à travailler au phare. «Il a couru chercher son superviseur qui a pris le relais», explique Dave Myrick. Dave Myrick n’approuve pas l’objectif d’une expédition de récupération du télégraphe. «Cette épave devrait rester comme elle est, c’est une tombe. On sait qu’est-ce qu’il y avait à l’intérieur, ça n’amènera pas grand-chose. Ils devraient laisser les morts reposer en paix, » croit Dave Myrick.

LA UNE : Des images inédites du Titanic montrant son état de dégradation ont été captées en août 2019. PHOTO : ATLANTIC PRODUCTIONS

Crabe des neiges : une moitié de saison mi-figue mi-raisin

Après cinq semaines de pêche, les crabiers gaspésiens de la zone 12 ont rapporté jusqu’à maintenant environ 60 % de leur quota autorisé.

Cette année, la saison a débuté le 24 avril, soit seulement 10 jours avant l’observation des premières baleines noires dans le golfe entraînant les premières fermetures de zones de pêche. Les crabiers ont aussi dû affronter de forts vents au début de la saison et certains ont perdu plusieurs jours de pêche. Le prix en début de saison qui était d’environ 3 $ la livre, ce qui correspond à des prix payés au début de la décennie. L’an dernier, des crabiers de la zone ont reçu jusqu’à 6 $ la livre. La situation s’améliore toutefois lentement et les prix semblent en légère hausse avec la réouverture progressive des marchés, dont les casinos et restaurants aux États-Unis. «Jusqu’à maintenant dans la [zone] 12, on serait rendu à 3,50 $, mais c’est un prix qui peut changer en cours de route, à la hausse d’ici la fin de la saison. Le crabe, ça peut arriver aussi qu’il y ait un rajustement qui se fasse à l’été et à l’automne », relève Bill Sheehan, vice-président de E. Gagnon et fils de Sainte-Thérèse-de-Gaspé. Cette embellie sur les marchés américains est la bienvenue d’autant plus que toutes les flottilles de pêche, y compris celles de Terre-Neuve, ont démarré leur saison. «Ça fait beaucoup de produits en même temps, mais on arrive dans le bon timing, les portes s’ouvrent un peu pour le marché de la restauration et des casinos. Si on part les restaurants à 30 % ou 40 % de leur capacité, c’est déjà un plus qu’on n’avait pas il y a un mois », commente Bill Sheehan.

LA UNE : Crabe des neiges. PHOTO : GETTY IMAGES / CHEFMD

Les Îles-de-la-Madeleine et le Saint-Laurent au coeur de l’oeuvre L’île-fleuve

Malgré le millier de kilomètres les séparant, les artistes visuelles Alphiya Joncas, aux Îles-de-la-Madeleine, et Éloïse Plamondon-Pagé, à Deschambault, ont réalisé un diptyque mettant à l’avant-plan le Saint-Laurent et l’archipel madelinot, dans le cadre de l’initiative 40×40, une résidence virtuelle à laquelle 80 artistes prennent part.


  L’île-fleuve : entrevue avec Alphiya Joncas et Éloïse Plamondon-Pagé