15 mai 2025
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[VIDÉO] Le beatboxㅣSEALOOKㅣEP.2

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[VIDÉO] Le beatboxㅣSEALOOKㅣEP.2

SEALOOK est une série animée en 3D, sans dialogues, qui suit les aventures quotidiennes de phoques espiègles vivant aux confins du monde. 

 

Chaque épisode présente des situations humoristiques et touchantes, mettant en scène des phoques aux personnalités variées. L’absence de dialogues permet à un public international de profiter des histoires à travers les expressions faciales et les gestes des personnages.

Depuis son lancement, SEALOOK a connu un succès notable, accumulant plus de 1,63 milliard de vues sur YouTube en décembre 2024. La série a également été diffusée sur des plateformes telles que Tencent Video en Chine, où elle a dépassé les 500 millions de vues cumulées.

SEALOOK continue de captiver un large public, transcendant les barrières linguistiques grâce à son humour visuel et ses personnages attachants. Co-produite par The Pinkfong Company et le studio Million Volt.

© Sealookofficial

Top-5 : John Tortorella crie après Matvei Michkov et le cloue au banc en troisième période

Dans les coulisses
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Top-5 : John Tortorella crie après Matvei Michkov et le cloue au banc en troisième période

Hier soir, 20 équipes étaient en action.

Et l’action n’a pas manqué.

Voici les résultats et les faits saillants :

1. John Tortorella crie après Matvei Michkov et le cloue au banc en troisième période

Pendant qu’Ivan Demidov brûle la KHL, ça va un peu moins bien pour Matvei Michkov dans la LNH.

Le Russe n’a pas récolté de point à ses six derniers matchs. Et son jeu défensif n’est pas à souligner non plus. Hier, après une couverture ratée après le premier but des Islanders, John Tortorella ne s’est pas gêné pour passer un message à son jeune attaquant.

Après lui avoir crié après, il l’a cloué au banc pour le restant du match. Sa dernière présence sur la patinoire remontait à 9:58 en deuxième période. Ouch!

Les Islanders l’ont finalement emporté par la marque de 3-0 et après un début de saison assez difficile pour la troupe de Patrick Roy, ça se replace tranquillement.

C’est une sixième victoire de suite pour elle.

Les Flyers ont d’ailleurs bougé après la rencontre. Ils ont envoyé Joel Farabee et Morgan Frost à Calgary en retour d’un choix de deuxième ronde, septième ronde, Jakob Pelletier et Andrei Kuzmenko, qui retrouve Michkov.

Qui gagne la transaction, selon vous? N’oublions pas que le CH a possiblement le choix des Flames au prochain repêchage… Va falloir penser à ressortir Tankathon bientôt.

2. Tour du chapeau de Matt Coronato dans une victoire des Flames

Parlant des Flames, ils ont gagné hier.

Victoire de 4-1 contre les Ducks d’Anaheim.

Dans la victoire, le grand héros a été Matt Coronato.

Il a inscrit un tour du chapeau.

Nazem Kadri n’a pas connu la soirée la plus glorieuse, lui.

En plus d’une récolte d’aucun point, il a été malmené par Jacob Trouba sur cette séquence.

3. Les Sens remportent un match chaudement disputé en prolongation

Les Sénateurs sont vraiment sur une lancée et pour la première fois depuis longtemps, du hockey de séries dans la capitaine canadienne est plus qu’envisageable.

Hier, Ottawa a battu les Capitals de Washington en prolongation grâce à ce but de Thomas Chabot.

Washington doit tout de même être content du point récolté, car en troisième période, le club perdait par deux buts.

Premièrement, Alex Ovechkin a marqué son 876e but. Il n’est plus qu’à 18 buts de Wayne Gretzky.

Et Dylan Strome a envoyé tout le monde en prolongation un peu plus tard.

Avec cette victoire, Ottawa, qui a marqué deux buts dans le même désavantage numérique, est bien installée au troisième rang de l’Atlantique avec 58 points, soit un de plus que le Lightning.

4. Un 11e match de suite avec un point pour Tomas Hertl

À Vegas, les Golden Knights pouvaient aider le CH dans sa course aux séries en disposant des Blue Jackets de Columbus.

Mission inaccomplie pour Vegas, qui l’a échappé en prolongation.

Malgré tout, dans la défaite, Tomas Hertl a marqué un but et a augmenté à 11 sa séquence de matchs avec au moins un point.

Du côté des Jackets, Cole Sillinger a joué les héros.

Il a marqué le but gagnant en temps supplémentaire.

À l’heure d’écrire ces lignes, Columbus est en séries.

Le club a un point de plus que Boston, avec deux matchs en main, toutefois.

5. Un premier but avec les Hurricanes pour Mikko Rantanen

Mikko Rantanen et les Hurricanes accueillaient les Blackhawks hier soir et à son troisième match avec le club, Rantanen a finalement trouvé le fond du filet.

Il a aidé son équipe à gagner la rencontre 3-2.

Le Finlandais n’a pas été l’unique contributeur de ce gain.

En effet, le gardien Pyotr Kochetkov a fait cet arrêt.

Il a terminé le match avec 18 arrêts sur 20 tirs.

Ryan Suzuki, le frère de Nick, en était à un premier match dans la LNH, lui.

Il a été blanchi de la feuille de pointage.

Prolongation

– Quel arrêt!

– Des plateaux importants.

– Bien fait.

– Ça lui fait bien.

– Les meilleurs pointeurs de la veille.

(Crédit: NHL.com)

– Quatre matchs à l’affiche ce soir.

(Crédit: Google)

Jakob Pelletier échangé aux Flyers en plein match (à la Mike Cammalleri)

Dans les coulisses
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Jakob Pelletier échangé aux Flyers en plein match (à la Mike Cammalleri)

Tout le monde se souvient de la façon dont Mike Cammalleri a été échangé du Canadien, n’est-ce pas? Indice pour ceux qui l’auraient oublié : c’était en plein match en 2012.

Voir un joueur être échangé en plein match, c’est toujours spectaculaire. Et hier soir, c’est encore arrivé.

Jakob Pelletier, le jeune joueur québécois des Flames de Calgary, n’a pas fini le match des siens. Et la raison est simple : son DG l’a échangé aux Flyers de Philadelphie en cours de route.

Pelletier, c’est ce joueur qui a été «humilié» par Darryl Sutter en début de carrière. C’est ce joueur qui a été souvent été lié à plusieurs clubs – dont le CH – par le passé. C’est ce joueur qui est passé par le ballottage en début d’année.

C’est donc ce joueur qui aura droit à un nouveau départ. Et c’est tant mieux pour lui.

Il fait partie d’une grosse transaction. Les Flames ont donné Pelletier, un deuxième choix en 2025, un septième choix en 2028 et Andrei Kuzmenko. Ce dernier va donc rejoindre son collègue Matvei Michkov, qui n’a pas exactement connu un bon match hier soir.

Et en retour, Joel Farabee et Morgan Frost s’en vont en Alberta. Ce sont deux bons jeunes qui prennent le chemin de Calgary, un club qui a accepté de prendre du salaire pour que ça arrive.

On peut donc se demander à quel point les Flyers de Daniel Brière étaient pressés de bouger. Parce qu’à l’image de Marc-Olivier Beaudoin, je ne suis pas certain de voir ce que Philly en retire.

Est-ce qu’il était temps de sortir les gars du vestiaire? Qui sait.

Pour revenir à Pelletier, il sera intéressant de voir si un changement d’air lui permettra de s’établir dans la LNH et de devenir le joueur en qui les Flames ont cru par le passé. Il a été repêché 26e au total en 2019, après tout.

Parce que si c’est le cas et qu’il explose en Pennsylvanie, Daniel Brière se frottera les mains de satisfaction.

prolongation

– On se demande comment cette transaction-là va affecter les Flames, qui doivent envoyer un choix de premier tour au Canadien en marge de la transaction Sean Monahan. À suivre…

(Crédit: NHL.com)

Le syndicat du CHSLD Plaisance envisage une semaine de grève

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Le syndicat du CHSLD Plaisance envisage une semaine de grève

Le Syndicat des travailleurs et travailleuses du CHSLD de la Résidence Plaisance des Îles-de-la-Madeleine n’exclut pas de déclencher une grève du 17 au 21 février.

La partie syndicale s’est dite fâchée de la dernière rencontre de négociations qui a eu lieu le 23 janvier. Elle espérait connaître la date de versement pour la rétroactivité salariale accordée aux employés avant les Fêtes.

Toutefois, le syndicat rapporte que le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Îles lui a mentionné que ce versement ne pourrait avoir lieu avant que le CHSLD Plaisance devienne un établissement public. Le centre de soins est actuellement un établissement privé en situation d’insolvabilité et placé sous l’administration provisoire du CISSS des Îles.

Selon le syndicat, ce dossier figure à l’ordre du jour du conseil d’administration de Santé Québec du 6 février. Santé Québec refuse toutefois de confirmer cette information.

Santé Québec confirme être au fait du dossier, mais ne peut confirmer que le sujet figure à l’ordre du jour, cette information n’étant pas publique, affirme le porte-parole de Santé Québec, Jean-Nicolas Aubé.

La partie syndicale menace de déclencher une grève d’une semaine si aucune date pour le versement de la rétroaction salariale n’est précisée le 12 février, c’est-à-dire lors de la prochaine rencontre de négociations avec le CISSS des Îles.

Une avancée insatisfaisante quant aux autres clauses salariales toujours en pourparlers pourrait également mener les syndiqués à retourner sur les lignes de piquetage.

Des employés s'affairent dans une salle à manger vide.

Les employés du CHSLD pourraient retourner sur les piquets de grève en février. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Les syndiqués du CHSLD Plaisance tentent de signer leur première convention collective, plus de deux ans et demi après la création du syndicat en mai 2022.

Le Syndicat des travailleurs et travailleuses du CHSLD de la Résidence Plaisance des Îles-de-la-Madeleine dispose actuellement de 10 jours de grève en banque. Trois jours de débrayage ont déjà eu lieu en décembre.

Un changement de statut fort attendu

Le statut du CHSLD Plaisance suscite le mécontentement des employés qui réclament de meilleures conditions de travail.

Le CHSLD a ouvert ses portes en avril 2021 en tant qu’établissement privé non conventionné, ce qui signifie que les employés ne peuvent bénéficier du rehaussement des conditions négociées dans la convention collective qui s’applique au secteur public.

Il était initialement prévu que le CHSLD soit converti rapidement en établissement privé conventionné après son ouverture, mais ce changement de statut ne s’est finalement jamais réalisé.

Les travailleurs du CHSLD ont déploré la situation à maintes reprises en manifestant devant l’établissement.

Des employées manifestent.

Les employés du CHSLD Plaisance ont manifesté plusieurs fois pour exiger le conventionnement de l’établissement. Ce changement de statut leur permettrait de bénéficier des mêmes conditions de travail que les employés du secteur public. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Par la suite, il a été question que l’établissement passe sous le giron du CISSS des Îles et devienne public. Ce changement devait survenir durant l’été 2024.

Toutefois, les discussions entre les deux parties ont achoppé. Résidence Plaisances des Îles a refusé l’offre faite par Québec en vue de céder la propriété de son bâtiment et la gestion du CHSLD des Îles-de-la-Madeleine.

Le CHSLD a depuis été mis sous l’administration provisoire du CISSS des Îles, en raison de son insolvabilité. Ses biens ont par la suite été saisis par le séquestre PricewaterhouseCoopers, mais l’offre de soin n’a jamais été interrompue.

Le CHSLD doit 6,29 millions de dollars à Résidence Plaisance des Îles, principalement en loyer impayé.

Résidence Plaisance des Îles est un organisme à but non lucratif qui gérait un CHSLD de 65 places et une résidence privée pour aînés (RPA) de 143 logements pour personnes âgées autonomes et semi-autonomes. L’organisme espère éviter la faillite.

Le séquestre PricewaterhouseCoopers réclame 2,87 millions de dollars à Santé Québec pour des avances de fonds contractuellement dues au CHSLD des Îles et l’accuse d’être la source directe des problèmes financiers de Résidence Plaisance des Îles. Le dossier est actuellement devant les tribunaux.

LA UNE : Si la prochaine rencontre de négociations prévue pour le 12 février s’avère décevante, le syndicat compte débrayer durant cinq jours consécutifs. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

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GÎMXPORT soutenu par Ottawa face à la menace de Trump

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GÎMXPORT soutenu par Ottawa face à la menace de Trump

Le jour même où le président américain Donald Trump confirme qu’il imposera des tarifs douaniers de 25 % au Canada, Ottawa annonce qu’il investira plus de 19 millions de dollars pour soutenir les exportations des entreprises québécoises sur une période de trois ans.

Cette aide financière vise à épauler des organismes régionaux de promotion des exportations (ORPEX) pour qu’elles aident les PME à diversifier leurs marchés.

L’organisme gaspésien GÎMXPORT, qui a le mandat d’accompagner les entreprises dans leurs démarches de commercialisation à l’étranger ou dans les autres provinces, fait partie des quinze organismes sélectionnés.

Cet investissement est en fait un renouvellement bonifié du soutien versé aux ORPEX. Il représente une contribution de 280 000 $ annuellement pour GÎMXPORT, indique son directeur général, Gino Cyr.

Ça permet à l’organisation d’avoir au moins un soutien financier, parce qu’on n’est pas financés à 100 % et on doit faire plusieurs projets pour aller chercher de l’autofinancement. Mais il reste qu’aujourd’hui, les entreprises de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine peuvent se tourner vers GÎMXPORT pour les aider à analyser toutes les options avec ce qui arrive présentement aux États-Unis, mentionne M. Cyr.

Cette annonce-là, c’est un peu la reconnaissance de nos services.

Une citation de Gino, Cyr, directeur général de GÎMXPORT
Gino Cyr.

Gino Cyr est le directeur général de l’organisme GÎMXPORT en plus d’être le maire de Grande-Rivière. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Luc Manuel Soares

Le ministre fédéral de l’Innovation, François-Philippe Champagne, explique que les annonces faites par Washington, notamment sur les tarifs douaniers, poussent les industries du pays à diversifier leurs marchés.

C’est un moment pour les entreprises québécoises et canadiennes de regarder les différents marchés, donc une diversification des industries mais aussi une diversification dans nos achats. J’ai parlé avec mes collègues pour lancer l’idée qu’on devrait faire de l’achat préférentiel vers les entreprises canadiennes dans les achats du gouvernement fédéral, voire provincial et municipal, a affirmé le ministre jeudi.

Gino Cyr, quant à lui, rappelle qu’en 2009, plusieurs secteurs d’activité ont été victimes d’une diminution marquée des exportations aux États-Unis en raison de la clause Buy American.

LA UNE : Le ministre fédéral de l’Innovation, François-Philippe Champagne, explique que les annonces faites par Washington, notamment sur les tarifs douaniers, poussent les industries du pays à diversifier leurs marchés. (Photo d’archives) Photo : La Presse canadienne / Justin Tang

vec les informations de Pierre-Gabriel Turgeon

 

BMW effectue une mise à jour esthétique et technique sur l’iX 2026

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BMW effectue une mise à jour esthétique et technique sur l’iX 2026

Au cours des dernières années, certains choix de design de BMW n’ont pas toujours fait l’unanimité. C’est d’ailleurs le cas avec le design du BMW iX qui, avouons-le, n’est pas le produit le plus séduisant de la marque. Cependant, pour l’année modèle 2026, le constructeur allemand apporte quelques changements esthétiques à son VUS électrique, ce qui améliore le résultat final. De plus, face à la concurrence grandissante, l’iX 2026 obtient aussi des améliorations sur le plan technique.

Design rafraîchi

Initialement introduit sur le marché pour l’année modèle 2022, le BMW iX obtient aujourd’hui son premier rafraîchissement. Bien sûr, comme il ne s’agit pas d’une nouvelle génération, le VUS électrique conserve les mêmes lignes directrices en matière de design, mais avec certaines améliorations pour l’année modèle 2026.

Tout d’abord, la partie avant du iX 2026 a été revue. Plusieurs éléments ont été retouchés, à commencer par les phares, qui adoptent une nouvelle signature lumineuse. Ensuite, BMW mentionne avoir redessiné la grille de calandre et le pare-chocs. Dans l’ensemble, ces changements permettent d’améliorer le visuel de la partie avant.

De profil, les lignes demeurent les mêmes. Cependant, selon les premières images, la portion arrière semble obtenir une nouvelle signature lumineuse pour les feux, et le pare-chocs présente un design redessiné. En ce qui concerne l’habitacle, celui-ci affiche toujours la même présentation de sa planche de bord, mais l’ajout de nouveaux équipements et sièges pour certaines versions est prévu.

BMW mentionne aussi qu’un nouvel ensemble M Sport sera maintenant disponible en option. Cet ensemble met l’accent sur le caractère dynamique du véhicule avec des éléments visuels uniques.

Performances améliorées

Pour l’année modèle 2026, le BMW iX reçoit plusieurs améliorations sur le plan technique. Un gain de puissance pour chaque version est observé, ce qui entraînera par le fait même une nouvelle appellation pour chacune d’entre elles. Désormais, les versions porteront les noms de xDrive45, xDrive60 et M70 xDrive. Voici les nouvelles puissances pour chaque version en 2026 :

  • xDrive45 : gain de 80 chevaux, pour un total de 402 chevaux.
  • xDrive60 : gain de 20 chevaux, pour un total de 536 chevaux.
  • M70 xDrive : gain de 40 chevaux, pour un total de 560 chevaux.

Selon le communiqué de presse de BMW, grâce à l’amélioration des systèmes électriques, à l’avancement de la technologie et au réglage de différents composants tels que les roulements de roue et les pneus, entre autres, le rendement énergétique du iX a été amélioré d’environ 8 %.

Cependant, les changements ne s’arrêtent pas là, puisque l’iX 2026 bénéficiera également d’une autonomie améliorée. Le gain d’autonomie annoncé par BMW variera entre 27 et 150 kilomètres, selon la version.

  • xDrive45 : autonomie annoncée de 502 kilomètres.
  • xDrive60 : autonomie annoncée de 547 kilomètres.
  • M70 xDrive : autonomie annoncée de 486 kilomètres.

Disponibilité et prix

Au moment d’écrire ces lignes, le BMW iX 2026 est déjà présent sur le site web canadien du constructeur allemand. Selon les informations obtenues, il devrait arriver au courant du printemps 2025. En ce qui concerne la gamme de prix, il faudra attendre encore un peu, puisque le configurateur en ligne du constructeur n’est actuellement pas disponible pour ce modèle.

  • BMW (modèles en vente, essais, vidéos et actualités)
  • BMW iX (prix, évaluation, spécifications, essais et actualités)

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Le VUS compact Kia EV5 2026 promet de combattre le prix élevé des véhicules électriques

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Le VUS compact Kia EV5 2026 promet de combattre le prix élevé des véhicules électriques

Il y a déjà un moment que le Kia EV5 fait couler de l’encre. On mentionnait en 2023 que le modèle pourrait venir au Canada sans qu’il soit offert aux États-Unis. C’est ce que le constructeur a confirmé à l’occasion du dévoilement canadien du modèle qui se déroule dans la région de Toronto. De plus, Kia affirme que l’EV5 aura pour but d’accélérer l’adoption des véhicules électriques en combattant le prix élevé de ce type de véhicule.

Sans surprise, le modèle, dont l’arrivée est prévue en cours d’année 2026, reprend un tas d’éléments retrouvés sur les autres modèles électriques de la marque, tous dessinés sous le principe des « opposés réunis ». On remarque donc à l’avant des phares « Star Map » qui s’inspirent de ceux de l’EV9, mais également de l’EV6 2025 qui reçoit des améliorations également. Le museau en « nez de tigre » si cher à Kia est également repris, tandis qu’une barre lumineuse sert à joindre les deux phares.

De côté, les roues de 20 pouces du modèle illustré avec pointes noires ne sont pas sans rappeler celles de l’EV9. Des roues de 18, 19 ou 20 pouces seront offertes selon la version et le niveau d’équipement. La remontée du pilier D vers le haut du hayon n’est pas sans rappeler l’EV9, qui utilise un stratagème similaire. À l’arrière, les feux de position se joignent dans le centre du hayon pour une signature visuelle unique, alors que le bas de caisse de couleur contrastante ajoute de la texture. Huit couleurs extérieures seront offertes, dont deux nouvelles.

Habitacle comme l’EV9

L’inspiration est la même à l’intérieur avec un tableau de bord qui reprend, pour ainsi dire, le même design que l’EV9. Il y a donc une instrumentation numérique et un écran d’infodivertissement, entre lesquels se trouve un écran de 5 pouces servant à contrôler la climatisation. Sans préciser la taille de ces écrans, le constructeur affirme néanmoins que la taille totale atteint près de 30 pouces. Des touches haptiques sont camouflées sous l’écran central et des commandes physiques de climatisation sont ajoutées sous les buses de ventilation.

Le modèle montré dispose d’un habitacle avec teinte de brun, mais d’autres couleurs seront proposées. L’éclairage d’ambiance est aussi parsemé dans l’habitable. Si les images montrent un siège du passager qui se prolonge vers le siège du conducteur et qui donne l’impression qu’il pourra accueillir 6 personnes, détrompez-vous : le modèle canadien proposera 5 places assises, dont deux à l’avant. Le constructeur précise que 10 matériaux respectant l’environnement ont été utilisés dans la confection de l’habitacle. Aucune autre donnée quant à l’espace de chargement ou les dégagements aux places arrière n’a été relâchée.

Peu de détails mécaniques

Il n’est pas clair encore à savoir si l’EV5 utilisera l’architecture E-GMP qui sous-tend les modèles EV6 et EV9 de Kia ou s’il aura recours à une architecture plus conservatrice. Nous savons néanmoins que deux capacités de batterie seront proposées : 60,3 kWh et 81,4 kWh. L’autonomie n’est pas encore annoncée et même si les images montrent une autonomie possible de 575 km, celle-ci semble nettement trop optimiste pour être logique avec les capacités de batterie proposées. De plus, les acheteurs auront droit à un rouage à traction ou un rouage intégral. Tous les EV5 utiliseront le port de recharge NACS, lequel donne accès à certains superchargeurs Tesla répandus en Amérique du Nord.

Vous voulez voir l’EV5? Il sera en démonstration au Salon canadien international de l’auto de Toronto du 14 au 23 février 2025. Il faudra attendre avant de voir le modèle sur les routes puisque son arrivée est prévue au cours de 2026.

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Partenaire du jour : Centre dentaire Boudreau Landry

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Partenaire du jour : Centre dentaire Boudreau Landry

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Germain LANDRY (1946-2025)

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Germain LANDRY (1946-2025)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 28 janvier 2025, de monsieur Germain Landry. Il était âgé de 78 ans, résident de La Vernière et originaire de Bassin, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était l’époux de feu Thérèse Massé, le père d’Alain (Joumane Landry), Josée (Jean Hubert) et Chantal (Eudore Aucoin). Il avait cinq petits-enfants : Alex (Marie-Pier), Yan (Maude), Elissa, Edouard et Lysanne, et deux arrière-petits-enfants : Jade et Adrien. Il était le frère d’Estelle, Céline, Nicole, Arthur, Olivier et Claire. Il laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le jeudi 6 février 2025 de 19h à 21h. Les funérailles de monsieur Germain Landry seront célébrées le vendredi 7 février 2025, à 11h, à l’église Saint-Pierre de La Vernière. L’inhumation aura lieu à une date ultérieure.

Le vendredi 7 février, jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h30.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don pour la Fondation Santé de l’Archipel.

L’image de la semaine: Une blague qui coûte les yeux de la tête!

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L’image de la semaine: Une blague qui coûte les yeux de la tête!

L’automne dernier, les habitants de la ville de Bend, aux États-Unis, ont eu toute une surprise. De gros yeux sont apparus sur des œuvres d’art extérieures. Collés par qui? Mystère! Les photos des «œuvres à yeux» ont fait le tour des médias locaux. Il faut dire que la plupart des résidents trouvaient le tout très drôle.
AS

Puis, coup de théâtre! Samedi dernier, le responsable de ce gentil vandalisme s’est dévoilé. Il s’appelle Jeff Keith et il a avoué qu’il voulait simplement faire rire la population. Il a aussi dit que d’autres yeux avaient été collés par des inconnus, probablement inspirés par son geste! La ville de Bend, de son côté, rigole moins. Elle a dû débourser plus de 2000$ pour retirer les yeux sans endommager les œuvres. M. Keith a offert de rembourser cette somme.

PAR  Caroline Bouffard
Source: New York Times

Les as de l’info est un quotidien spécialisé pour enfants et une initiative des Coops de l’information. Ce contenu est partagé avec le portail régional ilesdelamadeleine.com, grâce au financement du gouvernement du Canada.

Vanessa Pilon s’ouvre sur son deuil périnatal: «Je voulais que mon chum le vive aussi intensément que moi»

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Vanessa Pilon s’ouvre sur son deuil périnatal: «Je voulais que mon chum le vive aussi intensément que moi»

Vanessa Pilon était de passage au podcast Ouvre ton jeu, animé par Marie-Claude Barrette. Lors de cet échange, elle s’est confiée sur les épreuves des dernières années qui ont mis leur couple à rude épreuve.

C’est après avoir évoqué la manière dont elle a vécu les allégations de comportements abusifs visant son partenaire, Alex Nevsky, en 2020 que cette dernière c’est ouvert sur son deuil périnatal.

«(…) L’épreuve qu’on a vécue l’été dernier, qui est la perte d’un bébé, ç’a été ça aussi tellement une occasion qui nous a fragilisé initialement (…)», témoigne-t-elle, affirmant que tous les repères de leur couple avaient été ébranlés.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

«(…) La femme dans le deuil périnatal vit quelque chose qui est très, très concret. C’est dans le corps, il y a les hormones, il y a l’expérience vraiment physique de la chose et il y a quelque chose de très, très intime que je pense pour les personnes qui ne portent pas l’enfant dans le couple (…) c’est plus abstrait, plus conceptuel (…)», poursuit Vanessa.

«(…) Je voulais que mon chum le vive aussi intensément que moi, mais ce n’était pas réaliste de lui demander de… d’avoir autant de peine que moi j’en avais et de trouver ça aussi difficile. Quand j’ai fait la paix avec ça, de comprendre que c’était correct de regarder la même situation et d’avoir des vécus différents dans la même épreuve, j’ai fait comme: Ah,OK, c’est ça pouvoir se soutenir!, c’est que lui ça lui a permis de pouvoir prendre une place pour me soutenir (…)», explique-t-elle, affirmant que son soutien lui a permis de plonger plus profondément dans sa peine et son deuil.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Elle soutient que cette deuxième épreuve les a également rendus plus solides et que ce qui est beau, c’est de savoir qu’il y aura des moments difficiles, mais que cela ne signifie pas forcément la fin.

Rappelons que la maman avait publié un message bouleversant sur les réseaux sociaux, où elle révélait avoir vécu une fausse couche.

Pierre-Yves McSween: «Tu ne peux pas détester Luc Poirier»

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Pierre-Yves McSween: «Tu ne peux pas détester Luc Poirier»

Pierre-Yves McSween est aux commandes de la série documentaire Luc le milliardaire qui arrivera sur la plateforme Crave dans les environs de l’été prochain. Non pas à titre d’animateur, mais plutôt de «porteur de quête».

Car le communicateur économique n’interviewera pas le milliardaire vedette qu’est Luc Poirier, dans Luc le milliardaire, «comme Janette Bertrand le ferait», nous spécifie Pierre-Yves McSween en entrevue. Ce dernier cherchera surtout à comprendre ce qu’un Luc Poirier «mange en hiver», pour l’imager grossièrement, sans tracer de lui un portrait qui relèverait davantage de l’infopublicité.

«Luc Poirier a quatre ans de plus que moi… mais il vaut probablement 300 fois ce que, moi, je vaux!», avance McSween.

«La question est de savoir comment deux gars avec quatre ans d’écart, venant de milieux modestes tous les deux – lui vient d’un milieu encore plus modeste que moi –, comment un gars comme lui peut bâtir une vie aussi rapide financièrement, dans des business qui sont plutôt de la vieille école, qui ne sont pas de la haute technologie? Je veux essayer de comprendre ça, vis-à-vis un gars comme moi, qui est plus dans l’approche petit train va loin. C’est comme mélanger de la crème glacée à la vanille et au chocolat pour faire une twist, et montrer les deux côtés….»

Luc le milliardaire, ça sera donc le parcours de Luc Poirier, du point de vue de Pierre-Yves McSween. Les trois épisodes de 60 minutes produits par Sphère Média donneront également la parole aux proches du prospère homme d’affaires.

«Il me fait découvrir son univers, et moi, je suis comme un petit gars qui patauge dans ses gadgets! En essayant de comprendre, en même temps, comment il s’est rendu là, quels sont ses enjeux. Et de comprendre ce que ça signifie, financièrement, d’avoir autant de Ferrari!»

Aux dires de Pierre-Yves McSween, Luc Poirier est très loin de l’image qu’on peut faussement entretenir d’un milliardaire parvenu au sommet, qu’on pourrait imaginer froid, snob ou calculateur. Son nouvel ami le décrit plutôt comme étant «super généreux», «candide» et «sympathique».

«Tu ne peux pas, une fois que tu le connais, détester Luc Poirier. Même si tu es le plus Québec Solidaire du monde (rires) parce qu’il représente le capitalisme ostentatoire. Mais, comme on l’a vu à Tout le monde en parle – et c’est ce qui m’a le plus convaincu de faire une série avec lui –, il est capable d’une grande humilité, d’un grand calme, de réagir à la critique. Et il va être capable de vivre cette expérience-là!»

D’ailleurs, ce genre de série documentaire n’intéresserait pas nécessairement Pierre-Yves McSween s’il n’y était pas question de finances ou d’un «cas» particulier comme celui de Luc Poirier.

«On a un gars qui vaut peut-être plusieurs centaines de millions. Comment il est arrivé là? Le but n’est pas de parler de Luc Poirier, de sa richesse et de lui-même, et de faire un documentaire qui serait une infopublicité. Le but, c’est de montrer comment nous, gens qui épargnons dans des mécanismes standards, on peut s’inspirer de lui pour, peut-être, prendre des petits risques. Comprendre comment ça peut fonctionner… et comprendre pourquoi on n’est pas tous Luc Poirier!»

Notre interlocuteur avoue d’ailleurs candidement que lui-même n’aurait jamais été capable d’atteindre le Graal touché par Luc Poirier, même avec toutes ses connaissances du monde du portefeuille.

«Remets-moi il y a 25 ans, en sachant tout ce qu’il a fait… et je n’y arriverais pas! Impossible… Je ne prendrais pas ces risques. Lui a une vie rock and roll, moi, j’ai une vie vraiment plus standard, et il a pris des niveaux de risques que je n’aurais pas pris. Je n’avais pas les rênes psychologiques, ni physiques, pour faire ça. Financiers, non plus…»

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