Un scientifique explique l’état du homard dans le détroit de Northumberland

Publicité

Articles similaires

Le CISSS des Îles n’abandonne pas son projet de logements

Le Centre intégré de santé et de services sociaux...

L’ancien porte-parole de la SQ Claude Doiron subira un procès

L’enquête préliminaire de l’ancien porte-parole de la Sûreté du...

Pêche à l’appât du maquereau : « On est oubliés », disent les pélagiques

Après l’annonce par Pêches et Océans Canada de la réouverture...

Les 35 ans d’Attention FragÎles

L'organisme Attention FragÎles, désormais reconnu comme conseil régional de...

 

Un scientifique du ministère des Pêches et des Océans explique pourquoi le homard capturé ces jours-ci dans le détroit de Northumberland apparaît de mauvaise qualité aux yeux des transformateurs et des restaurateurs.Depuis le début de la pêche, les transformateurs et les restaurateurs déplorent que les homards capturés dans cette zone soient trop petits, trop faibles et qu’ils manquent de viande.Il s’agit d’un phénomène naturel, précise Ghislain Chouinard, directeur de la section des sciences, région du golfe, chez Pêches et Océans Canada.« Juillet et août, c’est la période de mue du homard. Le homard, pour grossir, il faut qu’il change de coquille. La façon dont il fait ça, se débarrasser de son ancienne coquille et en construire une nouvelle, il l’a rempli d’eau et au fur et à mesure il l’a rempli de chair », explique M. Chouinard.Ghislain Chouinard croit qu’il serait possible de tenir la saison de pêche plus tôt ou plus tard qu’à l’heure actuelle dans le détroit sans compromettre la ressource. Il précise que les mesures de gestion en vigueur sont suffisantes.

 

Pour en savoir plus cliquez ici