Cap-sur-Mer en difficulté

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Québec cherche à sauver les deux usines de transformation de poisson de Cap-sur-Mer de la faillite.Pour la députée des Îles, Jeannine Richard, ce dossier est d’une importance primordiale pour l’économie et les travailleurs des Îles. Quelque 500 personnes travaillent dans ces deux usines qui transforment entre autres le crabe et le homard pêchés dans l’archipel.Selon Jeannine Richard, la relance de l’usine passe par un nouveau montage financier, mais aussi par de nouvelles mesures de gestion. Le dossier est très actif, poursuit la députée, qui précise que le ministres des Finances, celui des Pêcheries et celui des Régions cherchent une solution pour sauver l’entreprise et que la firme comptable Raymond Chabot Grant Thornton travaille au redressement financier. « Il y a encore des réunions cette semaine là-dessus pour la relance de la saison 2013, c’est ça qui est important », ajoute Mme Richard.Depuis quelques années, les deux grandes entreprises de transformation des Îles, Madelipêche et Gros-Cap, ne font plus qu’une : Cap-sur-Mer.Québec a investi plus de 22 millions de dollars pour moderniser les équipements et agrandir les deux usines du groupe. L’usine de Grande-Entrée a été inaugurée au printemps dernier.

 

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