Moins de glace que la normale autour de l’Î.-P.-É., selon la Garde côtière

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Les conditions de glace autour des côtes de l’Île-du-Prince-Édouard sont semblables à celles de 2010, l’un des hivers les plus cléments enregistrés en terme de quantité de glace selon la Garde côtière canadienne.

La formation des glaces serait en retard de trois semaines par rapport à un hiver typique, ce qui est une bonne nouvelle pour le transport maritime, mais si la tendance se poursuit, ce sera de mauvaises nouvelles pour les phoques à la recherche de glace pour la période gestation dans environ un mois.

« Ça prend trois choses pour faire de la glace. Ça prend un temps calme, de l’eau froide et des températures froides. »— Le surintendant de la Garde côtière canadienne en Atlantique, Byron Briggs.

 

Actuellement, la région possède seulement un de ces trois critères, de l’eau froide.

« Le temps doux que nous venons de connaître et que nous aurons dans les prochains jours fait en sorte que ça ne fonctionnera pas », ajoute Byron Briggs.

Les tendances météorologiques en janvier ont amené beaucoup de vent dans le golf du Saint-Laurent, ce qui a ralenti le processus de formation des glaces.

« La glace qui avait commencé à se former a été malmenée par le vent et le processus de gel doit recommencer du tout début après chaque tempête », ajoute le surintendant de la Garde côtière en ajoutant que la météo dans la région de l’Atlantique peut changer vite.

 

 

LA UNE : Le Andesborg en direction de Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, le 27 janvier 2015.  Photo :  Garde côtière canadienne.