Un taux alarmant de fruits de mer vendus en magasins et en restaurants sont mal étiquetés au Canada, d’après une étude publiée mardi par un groupe de défense des océans.
Oceana Canada soutient avoir découvert un mauvais étiquetage dans 44 % des échantillons testés aux fins de l’étude en 2017 et 2018. Dans 75 % des cas, des poissons moins prisés étaient identifiés comme des poissons plus chers. « Vous vous faites voler », lance Julia Levin, militante pour la campagne antifraude d’Oceana Canada.
LA UNE : Les échantillons ciblaient principalement les sortes de poissons plus chères qui avaient déjà été identifiées par des études précédentes comme étant parfois mal étiquetées. Photo : Radio-Canada/Cédric Lizotte