Abolition des commissions scolaires : l’Est-du-Québec à la barre des témoins

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Des commissions scolaires des régions plus excentrées, comme la Côte-Nord ou les Îles-de-la-Madeleine, ont témoigné de leurs réalités, mercredi, lors de la commission parlementaire sur le projet de loi 40 qui vise à modifier la Loi sur l’instruction publique sur l’organisation et la gouvernance scolaires.

Les représentants des commissions scolaires ont souligné, d’entrée de jeu, le manque de consultations du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Jean-François Roberge. Ils ont rappelé que le ministre n’a jamais visité les territoires de l’Est-du-Québec. Les porte-parole de ces organisations ont tenté d’expliquer au ministre de l’Éducation que sa réforme était bien peu adaptée à leur contexte régional, notamment en ce qui a trait à la survie des petites écoles. Les trois régions de l’Est-du-Québec comptent une soixantaine d’écoles qui ont moins de 50 élèves. Aux Îles-de-la-Madeleine, la plus petite école compte 20 enfants. Sur la Côte-Nord, il existe des écoles avec moins de 5 élèves.

LA UNE : Les représentants des commissions scolaires de l’Est-du-Québec en commission parlementaire sur le projet de loi 40. PHOTO : RADIO-CANADA