Critiques contre l’octroi de 1000 $ aux voyageurs de retour au pays

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Des partis d’opposition aux Communes dénoncent la décision du gouvernement Trudeau d’autoriser le versement de la Prestation canadienne de maladie pour la relance économique (PCMRE) aux Canadiens qui rentrent au pays après un voyage d’agrément. Le ministère de l’Emploi dit s’affairer à trouver des moyens pour résoudre ce problème.

La PCMRE fournit une aide financière de 500 $ par semaine, pour un maximum de deux semaines, à toute personne salariée ou travailleuse indépendante COVID-19ou qui a un problème de santé sous-jacent qui la met plus à risque de contracter la COVID-19","text":"qui est incapable de travailler parce qu'elle est malade, qu'elle doit s'isoler en raison de laCOVID-19ou qui a un problème de santé sous-jacent qui la met plus à risque de contracter la COVID-19"}}">qui est incapable de travailler parce qu’elle est malade, qu’elle doit s’isoler en raison de la COVID-19 ou qui a un problème de santé sous-jacent qui la met plus à risque de contracter la COVID-19, selon ce qu’indique le gouvernement fédéral sur la page web du programme.

Celui-ci vise à compenser le manque de revenus pendant cette pause forcée.

Incidemment, les voyageurs canadiens revenant au pays après un séjour à l’étranger pourraient être admissibles à cette prestation.

Pour ce faire, les demandeurs doivent remplir certaines conditions, comme ne pas avoir reçu de congé payé de leur employeur pendant la période, être dans l’incapacité de travailler au moins 50 % de la semaine prévue pendant l’isolement, être présents au Canada pendant la durée de la prestation et avoir 15 ans et plus.

Aucune distinction n’est faite quant au type de voyage (affaires, essentiel, agrément) si les demandeurs ont voyagé à l’extérieur du pays, et aucune restriction ne s’applique.

LA UNE : Un rare voyageur arrive à l’aéroport Montréal-Trudeau pendant la deuxième vague de COVID-19 dans la métropole. PHOTO : IVANOH DEMERS