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Les rares images d’un banc de baleines endormies

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Alors que le photographe et plongeur professionnel Franco Banfi suivait à la trace tout un banc de grands cachalots, il a pu assister à une scène unique au monde qu’il a heureusement pensé à immortaliser.

En effet, alors qu’ils se trouvaient au large de la mer Caraïbe, les mammifères marins se sont subitement arrêtés et se sont mis à dormir. La dernière fois qu’une telle scène avait été observée remonte à 2008 lorsque des chercheurs britanniques et japonais étaient tombés par hasard sur un banc de baleines totalement à l’arrêt. D’après plusieurs recherches ces siestes sont difficiles à observer puisqu’elles représentent seulement 7% du temps de vie d’une baleine. Elles ont pour habitude de dormir par courts intervalles de 6 à 24 minutes.

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En vidéo :
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=HengPojNgbM?rel=0&showinfo=0]

 

Source : boredpanda.com

Éphémérides: L’ouragan blanche ravage les Îles de La Madeleine

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28 juillet 1975 : l’ouragan blanche ravage les Îles-de-La-Madeleine

L’ouragan Blanche, devenue tempête extra tropicale, ravage les Îles de la Madeleine. elle s’est acharnée sur la région durant environ 4 heures, générant des orages et déversant d’importantes quantités de pluie.

Les vents forts et la pluie générés par l’ouragan ont causé des dommages sur l’ensemble des Îles. Le toît du motel Bellevue est arrachée.On déplore le décès d’une jeune fille de 15 ans qui a perdu la vie dans l’incendie de sa demeure, frappée par la foudre.

Photo : Ouragan Blanche vu dans sa phase finale au Gros Cap, pointe sud-est de l’île du Cap aux Meules / Camille Laverdière / Paysages des Îles-de-la-Madeleine de 1973 à 1976 © Direction des bibliothèques, Université de Montréal.

Un bateau des pompiers insolite

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L’historique bateau des pompiers de New York, le Fireboat John J. Harvey, a été customisé d’une drôle de manière par l’artiste Tauba Auerbach.

Flow Separation a été commissionnée à l’occasion des cent ans de la Première Guerre Mondiale. Le peintre s’est d’ailleurs inspiré des techniques de camouflage inventées par Norman Wilkinson, qui consistaient à rendre floue la forme d’un bateau pour confondre l’ennemi. L’oeuvre s’appelle Flow Separation pour évoquer le mouvement des flux lorsqu’un objet se meut dans l’eau, en créant une sorte de route marine. Une oeuvre à la puissance symbolique certaine.

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Source : Fubiz

Hilton, le grand requin blanc vedette, est de retour dans les Maritimes

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Hilton, le grand requin blanc qui avait charmé les habitants de la Nouvelle-Écosse l’an dernier, est de retour dans les eaux côtières de la province.

Le mâle, qui mesure 3,8 mètres et qui pèse quelque 600 kilos, avait été repéré l’an passé à Mahone Bay, une petite ville pittoresque à 85 km au sud d’Halifax. Ayant fait sensation lors de sa première visite, le requin a son propre compte Twitter, @HiltonTheShark. C’est d’ailleurs sur ce compte qu’il a été annoncé dimanche dernier le retour de l’animal après un séjour hivernal dans le sud. Maintenant que je suis de retour en Nouvelle-Écosse, je vais visiter tous mes endroits favoris, ont tweeté lundi les administrateurs du compte suivi par près de 40 000 internautes. C’est le grand moment que nous attendions. Sa présence pourrait nous révéler un autre site d’accouplement dans l’Atlantique Nord a répondu par le biais de son compte Twitter le groupe Ocearch, une organisation sans but lucratif qui se consacre à la recherche sur les requins blancs et autres superprédateurs.

RADIO-CANADA AVEC LA PRESSE CANADIENNE

LA UNE : Un requin blanc de 600 kg nommé Hilton, identifié par le groupe de chercheurs Ocearch en mars 2017 en Caroline du Sud, est aperçu sur la côte est canadienne depuis des mois. Photo : La Presse canadienne/Robert Snow les administrateurs du compte suivi par près de 40 000 internautes.


 

La capture commerciale des phoques s’intensifiera sur l’archipel pour approvisionner Total Océan

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L’Association des chasseurs de phoques intra-Québec veut augmenter la chasse au phoque commerciale pour approvisionner l’usine de transformation Total Océan et la boucherie Côte à Côte aux Îles-de-la-Madeleine.

Une quinzaine de chasseurs de phoques madelinots se sont réunis mardi pour discuter d’un projet-pilote d’intensification de la chasse commerciale qui débuterait en septembre prochain pour une durée de deux ans. Le président de l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec, Jonathan Vigneau, envisage une centaine de sorties en mer pendant la saison afin d’approvisionner l’usine de transformation Total Océan, qui conçoit des huiles riches en oméga-3. Une demande d’aide financière sera déposée auprès du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), afin de sécuriser l’approvisionnement industriel pour ce secteur et amortir les coûts pour les chasseurs. Ce qui est demandé, c’est de partager les frais de sortie à chaque fois qu’une sortie est faite, indique Jonathan Vigneau.

LA UNE : Phoques aux Îles-de-la-Madeleine Photo : iStock/Pierre Chouinard

Des vacanciers partout en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine!

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Un départ hâtif aux Îles-de-la-Madeleine

De nombreux commerçants madelinots notent aussi des hausses de fréquentation. Le copropriétaire du resto-bar Les Pas perdus, Sébastien Cummings, observe que les touristes sont arrivés plus tôt qu’à l’habitude cette année.

Les maisons sont louées plus longtemps, les hôtels affichent complet, ça va vraiment bien! Je pense que ça va être une autre année record! – Sébastien Cummings, copropriétaire des Pas perdus

L’été 2017 a été marqué par un achalandage exceptionnel aux Îles-de-la-Madeleine. La CTMA avait dû ajouter 26 traversées entre l’Île-du-Prince-Édouard et Cap-aux-Meules.

LA UNE : Butte de Cap-aux-Meules, à l’entrée des Îles-de-la-Madeleine  Photo : Tourisme Îles de la Madeleine

La population de maquereaux inquiète Pêches et Océans Canada

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Les amateurs de pêche multiplient les prises de maquereaux sur les quais de Sept-Îles. Et le biologiste de Pêches et Océans Canada, Andrew Smith, s’inquiète de la population du poisson au pays.

Andrew Smith affirme que le dernier recensement du ministère, réalisé en juin, a permis de conclure que l’indice d’abondance du maquereau est actuellement en dessous de la normale. Selon le biologiste, les conditions environnementales des cours d’eau font en sorte que les populations de maquereaux se retrouvent près des côtes. Il précise que le grand nombre de maquereaux observés par les pêcheurs n’est pas représentatif de l’abondance réelle de la ressource. La pêche récréative au maquereau ne nécessite pas de permis et ne comporte pas non plus de limite de prise quotidienne. Toutefois, les maquereaux conservés doivent mesurer plus de 26,3 centimètres.

LA UNE : Un pêcheur de maquereau à Sept-Îles Photo : Radio-Canada/Nicolas Lachapelle

Documentaire historique : La pêche au maquereau

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Court documentaire historique déniché dans les archives du Musée de la Mer. Celui-ci dresse un portrait de la pêche, principale activité commerciale de notre communauté insulaire.

«Deux techniques de pêche étaient pratiquées a des moments différents : le filet maillant dérivant et le bob (ligne à main). Le filet maillant n’était utilisé qu’au printemps quand le maquereau vit dispersé et dans des eaux encore profondes. Puis, en juillet et août, on se servait de la ligne à main, le bob. Le premier maquereau pris sert à boëtter les bobs. On prélève sur le ventre du poisson de petites rondelles de peau (1/2 cm) en pelant avec un couteau. Pour attirer le poisson, les pêcheurs répandaient sur l’eau du hachis de hareng salé. » – Tiré de pêcheurs acadiens, pêcheurs madelinots: ethnologie d’une communauté de pêcheurs.


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Québec accorde 45 000 $ pour les aînés anglophones des Îles

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Québec octroie une aide de 45 000 $ à l’organisme Council for Anglophone Magdalen Islanders (CAMI), aux Îles-de-la-Madeleine.

Ce montant permettra de financer un programme d’un an pour les aînés en situation de vulnérabilité. La ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise, Kathleen Weil, était de passage aux Îles-de-la-Madeleine pour faire cette annonce. La directrice du CAMI, Helena Burke, explique que cette aide est précieuse pour les aînés. Ça va nous permettre de continuer notre travail commencé en 2016 avec Québec ami des aînés. Ça nous donnait les moyens d’engager une travailleuse de milieu, mais le financement s’est terminé en mars 2018. L’aide est en vigueur depuis le 1er avril 2018. Mme Burke mentionne que cette travailleuse se rend directement chez les aînés pour briser l’isolement. Elle s’occupe de créer des liens avec eux, mais aussi avec leurs familles et le CISSS ou encore le Centre d’action bénévole.

LA UNE : La ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise, Kathleen Weil Photo : Radio-Canada/Philippe Grenier

Des groupes environnementalistes doutent de la pertinence d’un parc éolien aux Îles

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Avec l’installation d’un câble sous-marin qui comblerait tous les besoins énergétiques des Madelinots, l’Association madelinienne pour la sécurité énergétique et environnementale (AMSÉE) doute de plus en plus de la pertinence du projet de parc éolien de la Dune-du-Nord, aux Îles-de-la-Madeleine.

Même si elle est favorable aux énergies renouvelables, l’AMSÉE doute de la rentabilité de ce parc éolien. Avec l’installation du câble sous-marin, confirmée en mai par Québec, l’association aimerait voir une réévaluation du projet de parc éolien pour connaître sa rentabilité, indique la présidente, Marianne Papillon. Le parc éolien n’est pas énergétiquement requis parce que le câble va répondre à tous nos besoins énergétiques. Ce projet doit produire six mégawatts avec deux éoliennes.

LA UNE : Le site de la Dune du Nord, choisi pour installer deux éoliennes Photo : Radio-Canada/Philippe Grenier

Des petits pots qui renferment les propriétés d’une plante unique aux Îles

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Les Îles de la Madeleine constituent un milieu naturel unique pour plusieurs raisons. Parmi elles, la présence d’une plante unique au Québec : le myrique de Pennsylvanie. Des Madelinots ont décidé de lancer la petite entreprise Quatre feuilles pour faire connaître ses vertus, entre autres, dans des produits corporels.

L’entreprise est installée la terre ancestrale familiale à Fatima. Selon le copropriétaire, Yves Leblanc, la plante est unique au Québec. Elle pousse aussi dans les Maritimes et dans le Maine, mais l’entreprise souhaite vérifier si ces spécimens sont les mêmes que ceux des Îles. Ailleurs au Québec, on retrouve une autre variété : le myrique baumier. On a trouvé de l’éther dans la composition chimique de l’huile essentielle extraite du myrique qui pousse aux Îles, alors que celui de Pennsylvanie n’en contient pas, précise M. Leblanc. On a donc pu prouver que le nôtre se distingue. On commence à l’appeler dorénavant le myrique des Îles. Il reste à faire les mêmes tests avec celui des Maritimes pour prouver que notre myrique est unique. Selon M. Leblanc, le myrique est une plante très résistante. C’est la première plante qui pousse dans le sable après l’érosion, dit-il.

 

Le myrique de Pennsylvanie pousse en abondance aux Îles.   Photo : courtoisie

La pensée du crabe masqué

N’oubliez pas qu’être connu sur Facebook, c’est comme être riche au Monopoly!

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