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Un engrais agricole à base de résidus marins

Le Centre de recherche sur les milieux insulaires et maritimes (CERMIM) souhaite continuer d’augmenter son offre d’engrais agricole à base de résidus marins.

On en parle avec l’ingénieur agronome au CERMIM, Olivier Richard.

LA UNE : De l’engrais de jardin fait de poudre de résidus de crabe séché et broyé par l’équipe du CERMIM PHOTO : CERMIM

Avancées de plusieurs projets aux Îles, malgré la grogne

Plus de 150 citoyens se sont déplacés mardi soir pour assister aux séances de la Communauté maritime des Îles et de la Municipalité des Îles marquées par des avancées dans plusieurs projets, dont celui de l’écoquartier. Les élus ont toutefois limité à 30 minutes les périodes de questions, ce qui a suscité la grogne de certains citoyens.

La Communauté maritime des Îles a annoncé avoir acheté cinq lots, quatre immeubles et un terrain dans le but de développer l’écoquartier de Cap-aux-Meules.

La valeur d’achat de ces cinq propriétés situées à proximité des chemins Oscar et Gaudet s’élève à près de 1,4 million de dollars.

Cette somme est financée en totalité par le gouvernement du Québec qui a versé une subvention de 10 M$ en 2023 pour décontaminer des terrains, les revaloriser et acquérir des lots stratégiques dans le but développer l’écoquartier.

Le président de la Communauté maritime des Îles et maire des Îles-de-la-Madeleine, Antonin Valiquette, explique que les bâtiments existants sur les lots achetés seront démolis et que les terrains contaminés seront assainis afin d’attirer des promoteurs.

On a déjà des commerçants, des promoteurs immobiliers qui se sont montrés intéressés par des terrains constructibles à l’intérieur de l’écoquartier, affirme-t-il.

Ça devient des terrains très propices, très intéressants, pour des promoteurs, des développeurs.

Une citation de Antonin Valiquette, maire des Îles-de-la-Madeleine

Antonin Valiquette rappelle que le but de l’écoquartier est de dynamiser le centre-ville en stimulant la création de logements et d’entreprises, tout en favorisant l’efficacité énergétique et le déplacement actif. Hydro-Québec a déjà annoncé la mise en place d’un microréseau électrique.

Agglomération de maisons disposées le long de deux rues dans le paysage des Îles.

L’idée de l’écoquartier est d’offrir une multitude de services dans un petit rayon, autant pour les familles que pour les entrepreneurs. Des espaces verts, divers aménagements pour favoriser les déplacements actifs et des installations favorisant l’économie d’énergie sont aussi prévus. (Photo d’archives) PHOTO : GRACIEUSETÉ DE JEAN-FRANÇOIS VACHON

Par ailleurs, la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine va étudier la possibilité de mettre en place une boucle de chaleur dans l’écoquartier afin de récupérer l’énergie de la centrale thermique des Îles. L’étude est offerte gratuitement à la Municipalité par l’organisme La Vague.

Le CISSS des Îles a déjà mis en place un tel système de 2,3 kilomètres pour chauffer le complexe qui regroupe l’hôpital, le CLSC et le CHSLD Eudore-LaBrie de Cap-aux-Meules.

La question de l’écoquartier n’a pas été abordée lors de la période de questions.

Des montagnes de compost

Un projet d’environ 8 M$ de dollars est en branle pour reconstruire la plateforme de compostage. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA

Par ailleurs, la Communauté maritime des Îles a également déposé un projet de réglement d’emprunt de 1,5 M$ pour reconstruire sa plateforme de compostage qui ne répond plus aux normes gouvernementale ni au volume de matières résiduelles reçu. Cette somme permettra, entre autres, de financer la confection des plans et devis du projet estimé au total à 8 M$

En vertu de la particularité insulaire des îles de la Madeleine, la Québec a confirmé l’octroi d’un financement bonifié de 60 % des dépenses admissibles du projet, pour un maximum de 5,5 M$.

Un pas de plus vers un centre communautaire à Grande-Entrée

La Municipalité des Îles-de-la-Madeleine franchit une étape supplémentaire vers la construction d’un nouveau centre communautaire à Grande-Entrée, un projet évalué à 8 M$ au plan triennal d’immobilisations.

L’administration municipale a reçu la confirmation de l’admissibilité du projet au Programme d’amélioration et de construction d’infrastructures municipales (PRACIM).

Sa sélection officielle à ce programme d’aide financière du gouvernement provincial n’est toutefois pas encore confirmée.

En attendant la confirmation de Québec, la Municipalité a octroyé un contrat de près de 40 000 $ à la firme Englobe pour réaliser des travaux géotechniques, dont des tests de sols nécessaires à la préparation des plans et devis.

Selon le maire Antonin Valiquette, ces étapes doivent être franchies pour connaître les coûts réels de construction et permettre aux élus de prendre une décision éclairée.

Il n’est pas question que les citoyens des Îles assument 100 % d’une facture de plusieurs millions de dollars, assure M. Valiquette. Les plans et devis, premièrement, vont nous dire combien ça va nous coûter et après ça on va pouvoir boucler le montage financier, mais avant d’en arriver là, on a déjà fait nos demandes dans le programme.

Un bâtiment de tôle dont le revêtement est rouillé.

En 2022, l’ex-maire Jonathan Lapierre affirmait que la rénovation du Capitole de l’Est nécessiterait des investissements de 6 M$ et qu’il était en état de « décrépitude avancée ». (Photo d’archives). PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Ce projet de construction d’un nouveau centre communautaire à Grande-Entrée est jugé nécessaire par la Municipalité en raison de la vétusté du Capitole de l’Est, un bâtiment municipal désormais fermé.

Dans les derniers mois, la pertinence de ce projet a déjà été remise en question par certains citoyens qui jugent les coûts du projet exagérés pour le nombre de citoyens du secteur de Grande-Entrée.

Des périodes de questions limitées

Tout comme ce fut le cas lors des séances extraordinaires de la semaine dernière, les élus ont limité la durée, à 30 minutes chacune, des périodes de questions des séances consécutives de la Communauté des Îles et de la Municipalité des Îles-de-la-Madeleine. La décision a soulevé le mécontentement de certaines personnes.

Lorsque le maire Antonin Valiquette a affirmé que la première période de questions était terminée après 34 minutes, des citoyens se sont mis à scander Démission! Démission! Démission! , comme ce fut le cas lors des séances de mai.

Une foule de gens assis, avec des gens se présentant au micro, durant une période de questions.

Plus de 150 personnes s’étaient déplacées dans la salle du conseil mardi soir. PHOTO : COURTOISIE

Le Madelinot Jacky Poirier estime que cette durée est insuffisante pour une population de 13 000 personnes. Vous avez demandé à ce que les gens s’intéressent et assistent aux séances du conseil, a-t-il argumenté.

À moins que nos questions vous fassent peur, je pense que c’est tout à fait légitime de nous laisser nous exprimer et de répondre à nos questions.

Une citation de Jacky Poirier, résidant des Îles-de-la-Madeleine
Jacky Poirier au micro lors de la période de questions de la séance du conseil municipal.

Jacky Poirier a demandé aux élus de prolonger la période de questions, mais le conseil a refusé cette demande. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Le maire Antonin Valiquette précise que la règlementation municipale, qui n’était pas appliquée à la lettre jusqu’à présent, prévoit une période de questions de 15 minutes pouvant être prolongée de 15 minutes supplémentaires si les élus l’autorisent.

Dans la foulée de la controverse entourant la Passe Archipel et la création d’un parc régional, les périodes de questions se sont étirées durant deux heures et demie lors des séances du mois de mai.

Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Antonin Valiquette, au micro lors d'une séance du conseil municipal

Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Antonin Valiquette, explique que les élus ont décidé d’appliquer la réglementation qui limite la durée des périodes de questions. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Le maire affirme que plusieurs contribuables personnellement lui ont demandé que les membres du conseil agissent pour baliser la période de questions.

J’ai reçu énormément de commentaires de citoyens qui me disent que la période de questions devient hors de contrôle et me demande de faire quelque chose pour que ça change. Donc, j’applique le règlement.

Une citation de Antonin Valiquette, maire des Îles-de-la-Madeleine

Encore une fois, la création d’un futur parc régional sur les terres publiques de l’archipel a occupé une bonne partie des deux périodes de questions.

Des citoyens qui appréhendent une restriction d’accès au territoire et l’utilisation des fonds publics pour le projet ont de nouveau questionné le maire à plusieurs reprises.

Un VTT sur la plage de Pointe-aux-Loups.

Le maire soutient que la création d’un parc régional vise d’abord à faire appliquer plus efficacement la réglementation déjà existante en terres publiques, notamment pour mieux protéger les dunes. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Le maire répète depuis plusieurs semaines que le projet de parc régional ne vise pas à limiter davantage l’utilisation du territoire et qu’il ne sera pas financé à même les taxes payées par les Madelinots.

Un parc régional, qui sera géré par un organisme à but non lucratif, ne peut pas ajouter de règlements qui limitent l’usage du territoire, a réitéré M. Valiquette. Je ne sais plus sur quel ton vous le dire.

Les coûts liés à l’embauche d’une animatrice qui n’est pas à l’emploi de la Municipalité lors de la séance d’information publique du 16 mai ont aussi été abordés. Le maire n’ayant pas les chiffres à sa disposition lors de la séance a indiqué que ces coûts pourraient être obtenus en faisant une demande d’accès à l’information.

LA UNE : La Communauté maritime des Îles a fait l’acquisition de cinq lots pour développer l’écoquartier de Cap-aux-Meules. (Photo d’archives) PHOTO : RADIO-CANADA / ISABELLE LAROSE

Stellantis rappelle 211 000 Dodge Durango et camionnettes Ram

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Le constructeur Stellantis procédera au rappel de plus de 211 000 véhicules au Canada et aux États-Unis pour un problème qui touche le système de freinage. Selon des documents publiés par la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), dans certaines circonstances, un logiciel défectueux du système de freinage antiblocage pourrait désactiver les systèmes de contrôle électronique de la stabilité des véhicules.

Le rappel touche les modèles Dodge Durango 2022, Ram 2500 et Ram 3500 également de l’année modèle 2022. Au Canada, le constructeur rappellera 17 462 véhicules de plus des mêmes modèles afin de corriger le même problème.

Les concessions ont reçu pour instruction de mettre à jour le logiciel du module de contrôle ABS. Cette mise à jour sera gratuite pour les propriétaires des véhicules visés.

Dans une déclaration, un porte-parole de Stellantis a souligné qu’un « examen régulier des retours et des commentaires des clients » avait déclenché une enquête interne qui révèle ainsi le problème de logiciel de certains véhicules. Jusqu’à présent, Stellantis n’a eu connaissance d’aucune blessure ou accident lié au problème, mais le porte-parole a vivement encouragé les clients à suivre les instructions qui figurent sur leur avis de rappel.

En plus des exemplaires rappelés aux États-Unis et au Canada, 2 313 véhicules supplémentaires seront visés au Mexique et 5 023 sur certains marchés en dehors de l’Amérique du Nord, selon ce qu’a rapporté un porte-parole de Stellantis.

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Les frais de concessionnaire qui gonflent votre facture

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Depuis quelques années, les constructeurs d’automobiles sont dans l’obligation, du moins au Québec, d’afficher le prix final que vous devez payer pour une automobile, à l’exception des taxes de vente et de quelques frais mineurs. C’est pourquoi maintenant les frais de transport et de préparation sont inclus dans le prix affiché, de telle sorte qu’il n’est plus possible pour un constructeur de faire miroiter un prix alléchant, qui sera gonflé par des frais de toute sorte une fois en concession. Cette obligation légale d’afficher un prix tout inclus cache cependant des frais relativement nouveaux qui se répandent de plus en plus : les frais de concessionnaire.

Qu’ils s’appellent frais de concessionnaire, frais d’ouverture de dossier, frais administratifs ou frais d’administration, il s’agit de la même chose. Ce sont des frais rajoutés par le constructeur directement sur le configurateur du modèle afin de donner la latitude au concessionnaire de l’ajouter ou pas. Pourquoi ? Parce qu’il existe l’article 224 de la Loi de protection du consommateur (LPC) qui stipule que :

« 224. Aucun commerçant, fabricant ou publicitaire ne peut, par quelque moyen que ce soit :

[…]

c) exiger pour un bien ou un service un prix supérieur à celui qui est annoncé.

Aux fins du paragraphe c du premier alinéa, le prix annoncé doit comprendre le total des sommes que le consommateur devra débourser pour l’obtention du bien ou du service. […]»

Dans le cas d’une vente d’automobile, le prix annoncé est le prix qu’on retrouverait sur une publicité, une étiquette de vitre ou encore sur le configurateur du site web du constructeur. En aucun cas, un concessionnaire ne peut vendre un véhicule à un prix supérieur au plus bas prix annoncé. Si les frais de concessionnaire sont légitimés par le constructeur, en l’ajoutant par exemple au configurateur en ligne du modèle, le concessionnaire peut le facturer à un client, sans enfreindre la loi comme l’ont fait tant de commerçants auparavant.

Des montants parfois surprenants

Un simple coup d’œil sur le configurateur en ligne de différents constructeurs confirme l’omniprésence de ces frais. Remarquez que leur importance varie selon le constructeur, et que ce ne sont pas toujours les constructeurs les plus luxueux qui facturent le montant le plus élevé. Voici quelques exemples, sans toutefois que la liste couvre tous les constructeurs.

MarqueFrais administratif
BMW595 $
Cadillac699 $
Chevrolet699 $
Kia à moteur thermique599 $
Kia à motorisation électrique899 $
Mazda595 $
Nissan621 $
Subaru198 $
Toyota899 $
Volkswagen500 $
Volvo795 $

Là où ça devient intéressant, c’est quand on calcule le montant total des frais ajoutés pour un modèle donné. Cette somme comprend les frais de transport et de préparation, les frais pour le climatiseur, les frais de pneus et les frais de concessionnaire. Par exemple, pour la Hyundai Elantra Preferred avec ensemble Tech 2024 que j’ai récemment mise à l’essai, tous les frais ajoutés au prix du véhicule totalisent 2507 $. En gros, c’est 9,5 % du prix de l’auto qui est composée de frais ajoutés, dont 2,5 % uniquement reliés aux frais de concessionnaire. Ça peut sembler petit, mais c’est l’accumulation qui fait mal. Quand on ajoute ces frais au prix des véhicules qui augmente, aux taux d’intérêt en hausse et à la valeur incertaine de véhicules d’échange, c’est presque comme le supplice de la goutte d’eau.­

La comparaison peut être payante

Qui magasine une auto aujourd’hui en épluchant les journaux, les publicités, les étiquettes de vitre ou autres papiers du genre? Personne. Pourtant, vous devriez, parce que ça pourrait vous éviter des frais.

L’exemple parfait provient du véhicule que je conduis cette semaine, un Cadillac LYRIQ Sport 3 2024. Quand je configure le modèle exact sur le site web de Cadillac Canada, j’arrive au prix de 92 960 $, incluant tous les frais. Retenez ce chiffre.

Or, si je regarde l’étiquette de vitre qui se trouve dans le coffre à gants, le prix est 726 $ plus bas, à 92 234 $. Cette différence s’explique par la taxe obligatoire sur les pneus de 27 $ (qui varie d’une province à l’autre) et par – tiens donc! – les frais de concessionnaires de 699 $ qui sont appliqués sur le site web. Puisque la majorité des gens magasinent en fouillant sur internet, le prix plus élevé de 92 960 $ semble parfaitement légitime.

Mais, si l’on revient à l’article 224c de la LPC, vous devez avoir la possibilité de payer le prix le plus bas annoncé. Dans ce cas, c’est celui de l’étiquette de vitre, à 92 234 $, que personne ne regarde avant d’acheter un véhicule.

En processus d’achat

Dans certains cas, le constructeur indique que le concessionnaire peut facturer « jusqu’au » montant suggéré, sans obligation. On pourrait conséquemment être porté de croire que les concessionnaires chargent le plein montant chaque fois.

Or, en toute transparence, j’ai pu objectiver certaines transactions où les frais d’administration réels exigés par le concessionnaire n’étaient pas aussi élevés que ce que permettait le constructeur. Parfois, ils étaient même absents. Dans tous les cas, c’est au concessionnaire que revient la responsabilité de fixer le montant exigé, jusqu’au maximum suggéré par le constructeur. Si vous êtes chanceux, votre concessionnaire ne sera pas trop gourmand.

Le message à retenir est le suivant : quand vous magasinez une auto, fouillez! Tentez de comparer les chiffres du configurateur avec ceux des autres documentations disponibles au sujet du véhicule convoité. Peut-être y trouverez-vous votre salut. Dans tous les cas, vous aurez le sentiment d’avoir une emprise sur la transaction et d’avoir fait votre possible pour payer le juste prix. Autrement, vous risquez de contribuer au phénomène qui ne fait que pousser le prix de l’automobile vers le haut… sans vous en rendre compte.

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Hyundai dévoilera l’Inster, un bébé VUS électrique

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Hyundai a commencé l’effeuillage d’un nouveau VUS électrique pour sa gamme à l’international. Pour l’instant, les détails sont assez limités, mais on sait qu’il est dérivé du Casper, un VUS sous-compact. Comme son grand frère, le Kona électrique, l’Inster est construit sur une architecture de véhicule à essence traditionnel. Il n’est pas élaboré à partir de la plateforme électrifiée dédiée e-GMP.

Hyundai a choisi l’appellation Inster à partir du mélange des mots « Intime », « Innovant » et « Casper ». Tout comme son pendant à essence, l’Inster est très petit, il ne devrait pas mesurer plus de 3 595 millimètres, soit 30 centimètres de moins qu’une MINI Cooper. Même s’il ne cadre pas vraiment dans l’approche d’un véritable VUS, il en conserve toutefois la silhouette avec une configuration bicorps. De plus, en termes d’esthétique, l’Inster se distinguera du Casper par des ajouts de design proches de ceux des IONIQ 5 et 6 et par des éléments éclairants du type pixel aux feux.

Sur le plan de l’autonomie, le constructeur espère une liberté entre les recharges de 355 kilomètres selon l’évaluation européenne et sud-coréenne WLTP. Au Canada, on parlerait plutôt de 300 kilomètres. Malheureusement, Hyundai ne divulgue pas encore toutes les caractéristiques techniques, dont la capacité de la batterie et la motorisation. Ces données seront connues dans le cadre du Salon de la mobilité international de Busan, à la fin de juin.

Pour le moment, si l’on considère que le Casper n’est pas commercialisé en Amérique du Nord, il est très peu probable que Hyundai Canada ne l’importe au pays.

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Marc Labrèche et sa mère charment à Sucré Salé

Un passage aussi charmant qu’étonnant à Sucré Salé pour Marc Labrèche et sa maman!

Marc Labrèche et sa mère étaient en compagnie de Mélanie Maynard à Sucré Salé et le duo mère-fils n’a pas manqué de faire rire l’animatrice aux larmes, notamment lorsque Marc Labrèche raconte l’anecdote d’un retour à la maison plus tôt que prévu, impliquant aussi un homme nu paniqué et sa mère qui «gigote encore sur la vague du plaisir précédant son arrivée» sur un lit d’eau!

Des moments vraiment uniques en compagnie du fantaisiste et de sa mère, Michèle, la seule a détenir toutes les clés (et les secrets) de l’artiste le plus étonnant au Québec! Un beau flash de la part de Mélanie Maynard et de son équipe d’avoir invité les deux!

Pour voir le segment complet, c’est juste ici!

Une rencontre émouvante pour Roxane Bruneau avec Lara Fabian

C’était la première tout récemment de Lara Fabian à Montréal et plusieurs personnalités y étaient, dont une certaine Roxane Bruneau, totale «fan girl» de la chanteuse. Bruneau s’est même offert un câlin avec la star qui s’avère aussi être l’une de ses idoles.

«Complètement fan girl de @larafabianofficial Ps: Oui j’ai rencontré Lara dans un rack à manteau», lance Roxane Bruneau en légende d’images captées lors de sa rencontre avec l’interprète de Je t’aime.

Roxane Bruneau n’est d’ailleurs la seule à craquer pour Lara, qui effectue un retour sur les planches au Québec ces jours-ci avec le lancement de sa tournée.

Les critiques de son spectacle sont d’ailleurs excellentes.

Découvrez les images de sa première à Montréal juste ici!

Arnaud Soly offre un incroyable cadeau à sa douce moitié

Arnaud Soly offre un magnifique cadeau à sa conjointe Laurence Gough, et elle semble l’adorer!

C’est en story Instagram que l’humoriste a partagé des photos dans lesquelles il dévoile avoir offert une magnifique bague à son amoureuse.

«J’ai offert à mon amour ce délicieux bijou conçu sur mesure par le prodigieux Alexandre Bergeron», lançait-il en marge d’une vidéo du bijou unique et coloré.

La star a ensuite partagé un deuxième cliché dans lequel on retrouve son amoureuse portant fièrement son nouvel accessoire brillant.

«Elle était contente», affirmait-il.

Elle est magnifique!

Rappelons que les tourtereaux se sont fiancés en 2018, ont ensuite officialisé le tout lors de la célébration d’un mariage en 2019 et qu’ils ont deux adorables enfants, Carmen et Romane.

Nous souhaitons beaucoup de bonheur à leur petite famille!

Roland LEBLANC (1958-2024)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 6 juin 2024, de monsieur Roland Leblanc. Il était âgé de 66 ans et résident de l’Étang-du-Nord, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il était le fils de feu Alphonse Am. Leblanc et de feu Suzanne Giffard, le frère de Claude, Huguette et Louise, ainsi que de Normand, Denis et Hélène, décédés. Il laisse aussi dans le deuil une belle-sœur, ainsi que ses neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de monsieur Roland Leblanc seront célébrées le jeudi 20 juin 2024, à 11h, à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima et, de là, au cimetière de l’endroit. La famille sera présente à l’église à partir de 10h.

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Santé de l’Archipel pour le Fonds Francine-Daigle.

« Si mon emploi est en jeu, je prends l’un des Canadiens avant Ivan Demidov »

Il reste désormais moins d’une vingtaine de jours avant que le repêchage 2024 de la LNH ne se mette en branle. On s’attend à un encan où les surprises seront multiples… après le premier rang.

Macklin Celebrini deviendra presque assurément un membre des Requins… et ensuite, ça va brasser.

Hier matin, Corey Pronman a publié un papier dans lequel il tente d’aller chercher des informations auprès de recruteurs et de dirigeants dans le monde du hockey. Parmi ses questions, le sujet d’Ivan Demidov est revenu.

Il sait que le jeune attaquant russe divise, si bien qu’il a jugé pertinent de poser des questions.

Et à ce sujet, la réponse de l’un des dépisteurs, qui voit Demidov comme ayant le potentiel d’être le deuxième meilleur espoir de l’encan, est fort intéressante :

Si mon emploi est en jeu, je prends l’un des Canadiens hyper talentueux (Cayden Lindstrom, Tij Iginla ou Berkly Catton) avant Ivan Demidov. – Recruteur anonyme

Son raisonnement est assez simple : il est confiant que Demidov a le potentiel d’être excellent, mais il est conscient qu’il y a un gros risque qui vient avec le fait de sélectionner un ailier russe de 5 pieds 11 pouces. Il est beaucoup plus facile de voir et de parler aux espoirs qui jouent dans la LCH, par exemple.

Ainsi, au lieu de tenter le coup de circuit en Demidov, essayer de frapper un coup sûr avec l’un des espoirs canadiens est possiblement moins risqué, d’autant plus qu’ils sont bourrés de talent eux aussi.

Et visiblement, ce qui revient au sujet de Demidov, c’est le fait que son coup de patin est… particulier. Un autre dépisteur ne pense pas avoir déjà vu un joueur de la LNH patiner de la sorte, ce qui fait en sorte qu’il le voit plus comme un espoir qu’il serait confortable de repêcher hors du top-5.

C’est peut-être un dépisteur d’une équipe entre le 6e et le 10e rang qui essaie de le faire chuter, ça.

De plus, un dirigeant d’une équipe de la LNH sondé au sujet de Demidov y va de l’affirmation suivante :

Il n’est même pas proche de Matvei Michkov au même âge. – Exécutif anonyme

L’article présente également de bons commentaires au sujet du jeune russe, mais on peut comprendre qu’il ne fait pas l’unanimité pour autant.

Et on peut aussi comprendre que certains dépisteurs se disent que le pari Demidov est peut-être un peu trop risqué. Hâte de voir si le Canadien en fait partie.

En rafale

– Toute une histoire.

– Une victoire pour l’Alliance.

– Je n’ai pas l’impression qu’on le reverra dans cette série.

Anton Silayev au 24e rang de la liste de Simon Boisvert

Tout le monde le dit : le repêchage 2024 est imprévisible. À part Macklin Celebrini au premier rang, les avis divergent et bien des gens ont une liste qui est différente du «consensus» habituel.

Vous pouvez imaginer que Simon Snake Boisvert, qui n’hésite pas à sortir des sentiers battus – pour le meilleur et pour le pire – quand vient le temps de classer les espoirs, a donc une liste qui diffère de ce qu’on voit habituellement.

Et dans l’épisode du jour de processus, il a dévoilé le fruit de son travail. Et c’est du gros travail parce que du hockey des espoirs, il en regarde pas mal.

Ce qu’il faut savoir, c’est que le Snake n’y va pas d’un repêchage simulé : il classe les gars sans tenir compte du club qui est au rang. C’est pour ça que c’est une liste et non pas un mock draft.

Et ceux qui le suivent savent que son critère important, c’est le talent.

Il a souvent répété durant l’épisode (et par le passé) qu’il veut voir les clubs s’élancer pour le coup de circuit au premier tour. Et comme il ne s’en fait pas avec le hors-glace (ceux dont c’est le boulot de trancher sont ceux qui doivent pondérer ces aspects-là), c’est une liste différente.

C’est pour ça, par exemple, qu’il a Trevor Connelly au deuxième rang et qu’il a Anton Silayev au 24e rang. Et ce, même si bien des gens le voient sortir au plus tard dans le top-4.

À ses yeux, ce n’est pas un vilain défenseur. Ceci dit, il considère que de le choisir avec un choix élevé serait un peu un gaspillage puisque son upside offensif n’est vraiment pas le plus élevé.

Est-ce que c’est aussi pour ça que Craig Button l’a 16e?

Snake ne dit pas que Silayev est un vilain joueur : au contraire, il semble trouver que c’est un bon joueur de hockey. Ce qu’il dit, c’est qu’il voit un plafond offensif assez bas dans son cas.

Selon lui, il deviendra un excellent défenseur, mais plus à caractère défensif.

Et à ses yeux, des gars comme ça, on peut les trouver autrement. C’est pour ça qu’on voit le géant baisser dans son classement puisqu’il ne voit pas le point de le voir sortir aussi tôt.

Bien des gens le voient sortir à Anaheim et c’est peut-être trop tôt, en effet. Mais 24e, ça demeure bas à mes yeux.

En rafale

– Ah oui?

– Les choix pour le Temple, ça approche.

– Ce serait bien.

– Russell Wilson se sent bien à Pittsburgh. [RDS]

– Bon texte.

Les photographies captivantes de Murray Fredericks

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Le photographe a utilisé le lac Eyre situé dans le sud de l’Australie pour capturer ces images incroyables pour son projet «Salt».

Pour le photographe australien Murray Fredericks et le travail qu’il fait, le miroir devient sa muse ; un sujet qui reflète non seulement son environnement, mais devient la distorsion, le point focal, la juxtaposition dans la pièce artistique elle-même.

Cette collection de nouveaux travaux s’inscrit dans son projet Salt de sa série Vanity.

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«Debout dans l’eau soyeuse, entouré seulement par un horizon illimité, je sens une libération, je me suis dissout dans la lumière et l’espace» -Murray Fredericks

Le photographe a transporté le miroir de grande taille sur le lac Eyre lui-même, puis expliqué « pour nous éloigner de nous-mêmes et de l’environnement, nous encourageant à nous engager avec la lumière, la couleur et l’espace ». Découvrez quelques exemples de son travail dans l’article, ainsi qu’une vidéo des coulisses ci-dessous.

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Source : Unrated