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Portrait d’entrepreneurs : Quincaillerie Turbo-RONA

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Fondé en 1976

Jeannot Vigneau

Jeannot est né à Havre-aux-Maisons dans le secteur de la P’tite Baie. Ses parents sont Gabriel Vigneau et Gaétane Turbide de Havre-aux-Maisons. Après avoir effectué une technique en génie civil, Jeannot est revenu aux Îles en 1996 et il est devenu propriétaire du garage Hyundai. En 2001, il est devenu propriétaire de la Quincaillerie Turbo. Depuis quatre ans, son frère Denis fait partie de l’équipe.

Un article original


Par Véronique St-Onge – Collaboratrice

INSPIRANT PERSONNAGE
Denis Vigneau, son frère l’a beaucoup aidé dès son retour aux Îles dans l’entreprise Hyundai : « Je n’avais pas d’expérience en service à la clientèle et Denis m’a coaché. Grâce à son expérience en administration son aide m’a été très précieuse en gestion et comptabilité. »

Une période préférée dans l’année?
Jeannot aime l’été car ça bouge à la quincaillerie. « Mai et juin sont les périodes les plus actives au magasin. Il y a beaucoup de marchandise sur le plancher, les produits saisonniers attirent pas mal de monde. La quincaillerie est remplie! »

Entreprises chouchou des Îles?

    • Jeannot respecte les gens d’affaires qui ont su rester humbles et sympathiques

    • Distributions JADEX : Une entreprise qui inspire confiance.

    Quincaillerie Turbo EN 3 PRODUITS ET SERVICES

    1. Articles de sports
    2. Produits de quincaillerie
    3. Boutique déco

    SON ÉQUIPE DE TRAVAIL

    • TRAVAILLANTS
    • LOYAUX
    • INNOVATEURS


Îles-de-la-Madeleine: les grands moyens pour protéger les berges

Enrochement, recharge massive de sable, brise-lames, rehaussement: Québec prend les grands moyens pour sécuriser son réseau routier aux Îles-de-la-Madeleine fragilisé par l’érosion.
 
Transports Québec (MTQ) planifie des investissements pouvant atteindre 55 millions $ d’ici cinq ans, pour protéger la route199 qui traverse l’archipel du nord au sud.

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Les portions de cette route qui passent très près de l’eau, sont passablement affectées par les violentes tempêtes qui se multiplient et gagnent en intensité sous l’effet des changements climatiques, de même que par l’amincissement du couvert de glace du golfe du Saint-Laurent qui peine à protéger les berges contre l’assaut incessant des vagues durant la saison froide.

 

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Dans la foulée d’une série de tempêtes dévastatrices survenues en 2018-2019, dont l’ouragan Dorian, le ministère a déjà dépensé 32 millions $ pour en réparer les dégâts sur une douzaine de sites.

«Ce sont des sommes importantes. On vise à faire ce qu’il faut faire», affirme Jonathan Côté, coordonnateur du Module des aléas naturels et de l’adaptation aux changements climatiques à la Direction générale du MTQ pour le Bas-Saint-Laurent-Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

Selon les données de la Chaire de recherche en géoscience côtière de l’Université du Québec à Rimouski compilées depuis 2006, les berges reculent en moyenne d’un demi-mètre par année aux Îles-de-la-Madeleine.

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Ainsi, dès ce printemps, le ministère reconstruira et prolongera l’enrochement de la jetée du pont du Détroit qui enjambe la lagune de Havre-aux-Maisons. Un rehaussement de la route pourrait aussi être éventuellement nécessaire.

«On voit que les dernières tempêtes ont accentué les dommages. L’enrochement ne fait plus du tout son travail de protection contre l’érosion», souligne M. Côté, précisant qu’il faudra importer l’équivalent de 15 à 20 barges de 6000 à 8000 tonnes de roches chacune.

De plus, une recharge massive de 100 000 mètres cubes de sable provenant du dragage du chenal de Grande-Entrée, à l’extrémité nord-est des Îles, est planifiée pour l’an prochain à Pointe-aux-Loups, où la route 199 défile sur une étroite bande entre mer et lagune.

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«On est en train d’examiner une nouvelle technique visant l’ajout de sable dans des conteneurs pour en éviter la dispersion sous l’effet des vagues et pour préserver l’intégrité écologique du milieu», indique M. Côté.

Enfin, une armée de spécialistes en génie côtier et génie hydraulique est à concevoir des ouvrages de protection pour le pont Keating, à Grosse-Île, également située du côté nord-est de l’archipel. Ils incluent le renforcement de l’enrochement existant et l’aménagement de brise-lames «pour freiner l’énergie des vagues et prévenir un peu plus la submersion». Ces travaux estimés entre 1 et 5 millions $ débuteront à l’automne 2023. Moyennant un certain entretien, ils devraient pérenniser le secteur pour une période de 35 ans.

PAR HÉLÈNE FAUTEUX
LA UNE : PHOTO COURTOISIE / MINISTÈRE DES TRANSPORTS DU QUÉBEC

Nomination de Jocelyn Aucoin au poste de président du CA de la Fondation Madeli-Aide pour l’éducation

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«Pour la 1ère fois, un ancien boursier est à la tête de la Fondation»

Lors de son assemblée générale annuelle du 14 mars dernier, les membres du conseil d’administration de la Fondation Madeli-Aide pour l’éducation ont procédé à la nomination de Jocelyn Aucoin à titre de nouveau président de la Fondation. Monsieur Aucoin succède ainsi à Line Cormier qui occupait la présidence de l’organisme depuis mars 2013. Ayant choisi de quitter la présidence afin de consacrer davantage d’énergie à d’autres projets personnels, Madame Cormier demeure toutefois au conseil d’administration de la Fondation.

« En tant qu’ancien boursier, contribuer au succès de la Fondation Madeli-Aide comme président est un honneur vraiment particulier. Au cours de mon mandat, je souhaite que notre équipe continue d’augmenter la somme remise annuellement aux boursiers qui doivent quitter l’archipel pour poursuivre leurs études et continue d’investir davantage pour la promotion des études dans les écoles des Îles, tout en conservant le fort lien avec la communauté des Îles-de-la-Madeleine entamé par Line Cormier, entre autres en impliquant des pêcheurs de homards et des entreprises des Îles dans le souper-bénéfice annuel » a déclaré le nouveau président, Jocelyn Aucoin. « L’implication des anciens boursiers au sein de la Fondation est bien entamée et je souhaite qu’au cours des prochaines années, de plus en plus de Madelinots ayant reçu des bourses joignent leurs efforts pour assurer la pérennité de la Fondation, notamment par l’adhésion au membership », conclut Monsieur Aucoin.

Né et ayant grandi à Fatima aux Îles-de-la-Madeleine, Jocelyn Aucoin détient un baccalauréat en Relations internationales et droit international ainsi qu’un baccalauréat en Droit. Il a été boursier de la Fondation à trois reprises en 2003, 2005 et 2007. Il est présentement avocat principal chez Promutuel Assurance. En 2019, il a reçu la distinction « étoile montante » du droit au Canada dans le cadre des prix Lexpert Rising Stars : Leading Lawyers Under 40, une distinction remise à 40 avocats canadiens âgés de moins de 40 ans. Jocelyn Aucoin agit à titre d’administrateur de la Fondation Madeli-Aide pour l’éducation depuis 2015. Il était responsable du comité des anciens boursiers et responsable du comité sur la gouvernance. Monsieur Aucoin apportera un regard novateur aux projets de la Fondation afin de faire grandir et rayonner la cause de la promotion des études auprès des jeunes Madelinots.

Par ailleurs, deux nouveaux administrateurs ont joint le conseil d’administration de la Fondation Madeli-Aide pour l’éducation le 14 mars dernier. Il s’agit de Monsieur Jean-Philippe Arseneau, Chef, Communications et Relations Externes chez NorthStar Ciel & Terre, et Madame Véronique Décoste, Coordonnatrice Relations avec les communautés chez Glencore. Jean-Philippe et Véronique sont d’anciens boursiers de la Fondation tout comme Sébastien Bourque, directeur régional Sherbrooke-Drummondville chez IG Gestion de patrimoine et administrateur de la Fondation depuis 2018 ainsi que Stéphane Duguay, délégué commercial principal chez Hydro-Québec et administrateur de la Fondation depuis 2014.

« La Fondation Madeli-Aide pour l’éducation compte maintenant cinq anciens boursiers au rang de ses administrateurs. C’est beau de voir ces jeunes professionnels s’impliquer pour l’avenir des enfants Madelinots, je suis fière d’avoir participé à l’accueil de cette génération à notre conseil. La Fondation est privilégiée de pouvoir compter sur de généreux et fidèles donateurs et avec le fort engagement de ses administrateurs professionnels et de ses collaborateurs, je quitte la présidence en sachant que l’avenir de la Fondation est entre bonnes mains. » a conclu Line Cormier.


A  propos de la Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation 

La Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation, administrée par des Madelinots d’origine, s’est donné comme mission de promouvoir les études et de soutenir la réussite et la persévérance scolaires. Elle recueille des fonds, notamment lors du souper-bénéfice annuel, qu’elle distribue sous forme de bourses à des étudiants madelinots qui doivent poursuivre leurs études à l’extérieur des Iles. L’an dernier, le traditionnel souper au homard n’a pu être tenu sur le CTMA Vacancier, la formule réinventée consiste en une boîte-repas « festin de homards des Îles » livrée à Montréal, à Québec et aux Îles. La Fondation accorde aussi un soutien financier au Groupe persévérance scolaire (GPS) pour la réalisation de projets visant à accroitre la réussite et diminuer le décrochage dans les écoles de l’archipel québécois. Depuis sa création en 1998, la Fondation a distribué 2 026 bourses d’études pour un montant de plus de 2,5 M$ et versé au GPS un montant de plus de 1,2 M$ pour soutenir ses activités aux Îles-de-la-Madeleine. D’autres informations sont disponibles sur le site de la Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation (www.madeli‐aide.org).

Éphémérides : Décès tragique dans une mine de manganèse

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Évrade Petitpas et Éric Petitpas, deux mineurs. / Photo : Ulric Gaudet

22/03/1941 : Albin Petitpas, 36 ans, employé à la mine de Manganèse située à Cap-aux-Meules, meurt tragiquement alors qu’il tombe d’une plateforme de bois qui oscille et que la terre s’effondre sur lui.

Après plusieurs jours de recherche, l’espoir de le retrouver vivant est abandonné.

 

 

LA UNE : Photo : Ulric Gaudet

Crabe des neiges: un marché qui favorise le produit aux dépens des consommateurs

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À quelques semaines du début de la saison de pêche au crabe des neiges en Atlantique, les conditions du marché semblent favoriser le produit canadien, mais avec des prix ayant atteint des niveaux historiquement élevés en 2021, les consommateurs seront-ils au rendez-vous?

La date d’ouverture de la saison n’a pas encore été déterminée en raison de l’abondance de la glace dans le golfe du Saint-Laurent. L’an dernier, elle a pris son envol le 3 avril.

La semaine dernière, la ministre des Pêches et des Océans, Joyce Murray, a cependant été la porteuse de bonnes nouvelles en annonçant une hausse d’environ 34% du total autorisé des captures dans l’ensemble du golfe, soit 32 519 tonnes contre 24 261 tonnes en 2021.

Dans la zone 12, la région fréquentée par la plupart des crabiers acadiens et qui englobe la majeure partie du sud du golfe, le quota s’élève à 28 065 tonnes.

Cette hausse importante du quota n’est pas le seul facteur qui pourrait être à l’avantage de la flottille acadienne, explique Gilles Thériault, président de l’Association des transformateurs de crabe du Nouveau-Brunswick.

D’abord, les États-Unis ont récemment interdit l’importation de fruits de mer provenant de la Russie en réponse à l’invasion de l’Ukraine.

«Ça représente environ 30% du marché», précise M. Thériault.

Deuxième facteur en cause, l’automne dernier, le gouvernement de l’Alaska a baissé le quota de 88%, afin de protéger les stocks de crabe des neiges, qui semblent vulnérables au réchauffement de la mer de Béring. Grâce à la pêche en Alaska, les États-Unis sont avec le Canada et la Russie, l’un des grands joueurs de l’industrie.

«Avec tout cela en tête, on peut présumer que la demande pour le crabe canadien sera assez forte. À première vue, on pourrait se dire que c’est une très bonne nouvelle, mais le prix est rendu très élevé et on remarque depuis quelques mois des signes que le consommateur a commencé à arrêter d’en acheter. Le prix est trop élevé, surtout au marché du détail.»

Avec plus de temps à la maison et la plupart des restaurants fermés, les consommateurs américains se sont montrés très friands des fruits de mer. Plusieurs ont profité des chèques reçus du gouvernement américain visant à stimuler l’économie pour se payer quelques luxes, comme du crabe des neiges à environ 20$ la livre.

«Ils pouvaient se permettre de le payer, mais la contribution du gouvernement américain est terminée. On ne sait pas encore où on va se situer en comparaison à l’an dernier. Le message qu’on reçoit des acheteurs, c’est qu’ils ne peuvent plus se permettre de faire payer le même prix que les consommateurs ont payé à la fin de 2021.»

L’arrivée des baleines noires

Depuis quelques années, les crabiers, avec l’aide du gouvernement fédéral, mettent les bouchées doubles afin de permettre, dans la mesure du possible, un début de saison hâtif. L’an dernier, les crabiers de la Péninsule acadienne ont pris la mer le 3 avril.

Cette année, en raison de l’étendue des glaces dans le golfe du Saint-Laurent, ils risquent de devoir attendre jusqu’à la mi-avril.

L’objectif est de leur permettre de capturer une partie importante de leur quota avant l’arrivée des baleines noires, une espèce en voie de disparition, plus tard au printemps. Par contre, dans les usines, cela risque de créer une surcharge de travail pour les employés.

«Cela nous préoccupe un peu, parce que les pêcheurs vont vouloir prendre le plus de crabes possible avant l’arrivée des baleines, surtout avec le quota à la hausse.»

Contrairement au homard, qui peut être conservé dans des viviers en attendant sa transformation, le crabe doit être cuit immédiatement.

«D’autre part, on est limité dans ce qu’on peut transformer en une journée. Le crabe ne survit pas dans les viviers comme le homard. Si une usine a une capacité de transformation de 150 000 livres par jour et qu’on en reçoit 200 000, qu’est-ce qu’on fait? Si on ne le cuit pas, on peut le perdre, donc ce sont des situations qu’il faut gérer.»

Malgré tout, les usines essaient de travailler ensemble pour limiter les pertes, explique Gilles Thériault.

«On a déjà connu ce genre de défi dans le passé. Entre usines, on essaie de s’échanger des produits. Si j’en ai trop et une autre usine, pour une raison quelconque en a moins, on peut faire un partage.»

LA UNE : La semaine dernière, la ministre des Pêches et des Océans, Joyce Murray, a annoncé une hausse d’environ 34% du total autorisé des captures de crabe des neiges dans l’ensemble du golfe St-Laurent. – Archives.

Par David Caron

Plusieurs pannes de courant dimanche dans l’Est-du-Québec

Plusieurs régions de l’Est-du-Québec sont touchées dimanche par des coupures d’électricité.

À Matane, plus de 5600 clients d’Hydro-Québec sont privés d’électricité en raison de bris sur le réseau, et ce, depuis dimanche midi. L’analyse des travaux à effectuer est en cours.

La pluie verglaçante tombée dimanche matin et les forts vents causent aussi de nombreuses pannes aux Îles-de-la-Madeleine, où plus de 750 clients d’Hydro-Québec manquaient toujours de courant dimanche après-midi.

Selon le porte-parole de la société d’État, Stéphane Dumaresq, la combinaison de ces deux facteurs a causé des bris d’équipement, notamment de poteaux électriques.

Il prévient aussi que les conditions météorologiques pourraient ralentir les travaux pour rétablir les lignes électriques.

Le maire des Îles-de-la-Madeleine, Jonathan Lapierre, espère un retour à la normale d’ici la fin de la journée. Jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas d’imprévu majeur qui se pointe à l’horizon, indique-t-il.

Les secteurs de Grande-Entrée, Grosse-Île et Pointe-au-Loup sont les plus touchés. Des poteaux ont été brisés et entravent la circulation dans certains secteurs. La route 199 a d’ailleurs été fermée entre le kilomètre 51 et le chemin de l’École à Pointe-aux-Loups. La circulation est maintenant rétablie et se fait en alternance.

Sur la Côte-Nord, les résidents de Rivière-au-Tonnerre manquent aussi d’électricité depuis samedi matin. Selon Hydro-Québec, 218 foyers seraient dans le noir. Les travaux pour rétablir le courant sont en cours.

LA UNE : Une dizaine de poteaux électriques ont été brisés par la combinaison de forts vents et du verglas. PHOTO : GRACIEUSETÉ DE STÉPHANE LONGUÉPÉE


Une nouvelle étude de l’ADN du Titanic sera menée

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Une nouvelle expédition scientifique doit se rendre sur l’épave du Titanic, en juin 2022, pour collecter des échantillons d’eau et d’ADN environnemental.

L’objectif de cette mission, orchestrée par l’entreprise OceanGate, est d’étudier les eaux profondes proches du bateau et de comprendre la biodiversité du récif artificiel créé par l’épave.

Le temps presse, car le Titanic, en état de dégradation avancée, pourrait disparaître dans plusieurs années, comme l’explique Beverley McClenaghan, écologiste principale avec eDNAtec et participante à l’expédition OceanGate 2022.

« Tous les organismes laissent un peu d’ADN dans l’environnement où ils vivent. Alors on peut prendre un échantillon de l’environnement, comme un litre d’eau par exemple, et identifier les organismes qui étaient dans [cet] environnement. C’est une méthode pour surveiller la biodiversité qui est très puissante. » — Une citation de Beverley McClenaghan, membre de l’expédition OceanGate 2022


  Le réveil / Île-du-Prince-Édouard / Une expédition va étudier l’ADN qui entoure l’épave du Titanic


Avec les informations de Julien Lecacheur.

LA UNE : L’épave du Titanic est en état de dégradation avancée.PHOTO : Atlantic Productions

Photographies de vagues impressionnantes

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Ben Thouard est un photographe originaire du Sud de la France, spécialisé dans la photographie de surf. Il couvre les plus grandes compétitions tout au long de la saison. Il est également l’auteur de magnifiques clichés de vagues, qu’il saisit sur les plus beaux spots de la planète. Il fige les monstres d’eau qui emergent tels des montagnes sur les océans.

L’artiste nous offre une séance de rêve tout en bleu le temps de parcourir ses images impressionnantes.

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Source : www.benthouard.com

Bernadette GAUDET (1950-2022)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès, le 17 mars 2022, de madame Bernadette Gaudet. Elle était âgée de 72 ans et résidente de Fatima, aux Îles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu monsieur Rémi Vigneau, la conjointe de Jean-Guy, et la mère de Claude (Lorraine) et Sylvain. Elle avait 3 petits-enfants Justin, Charles et Alexis. Elle était la soeur de Florenda, Denise, Georgette, Julienne, Yvonne, Madeleine, Rose-Alma, Jean-Yves et Yolande, ainsi que d’Hubert et Christine, décédés. Elle laisse aussi dans le deuil ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

La famille vous accueillera au salon funéraire de Cap-aux-Meules le jeudi 24 mars 2022 de 14h à 17h et de 19h à 22h. Les funérailles de madame Bernadette Gaudet seront célébrées le vendredi 25 mars 2022 à 11h à l’église Notre-Dame du Rosaire de Fatima. L’inhumation suivra au cimetière Notre-Dame de la Visitation de Havre-Aubert.

Vendredi le 25, jour des funérailles, le salon ouvrira à 9h.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur : port du masque, lavage des mains et distanciation physique.

Toutes marques de sympathie peuvent aussi être témoignées à la famille par voie électronique.

Un cocktail météo s’annonce dans l’Est-du-Québec

Neige, grésil et pluie verglaçante vont tomber sur plusieurs secteurs de l’Est-du-Québec à partir de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche. Ces conditions rendront les déplacements difficiles.

En Gaspésie, des accumulations de neige allant jusqu’à 25 centimètres sont attendues dans les secteurs de Gaspé, Percé, New Carlisle et Chandler.

Selon Environnement Canada, du grésil devrait se mêler aux précipitations au cours de la nuit. De forts vents en provenance de l’est pourraient aussi causer de la poudrerie.

Il tombera 15 centimètres dans les Municipalité régionale de comtéMRC de La Matapédia, de La Matanie, de La Haute-Gaspésie ainsi que dans le secteur de l’Estran.

Pluie verglaçante

Aux Îles-de-la-Madeleine, Environnement Canada prévoit que de la neige et du grésil tomberont à partir de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche matin. Les précipitations se transformeront alors en pluie verglaçante avant de se changer en pluie dimanche midi.

Au Bas-Saint-Laurent, les secteurs de Kamouraska, de Rivière-du-Loup, de Trois-Pistoles et du Témiscouata doivent aussi s’attendre à recevoir de la pluie verglaçante à compter de samedi soir, et ce, jusqu’à dimanche matin.

Les chaussées pourraient ainsi devenir glacées et glissantes.

Tempête hivernale

Sur la Côte-Nord, de la neige et de forts vents sont susceptibles de causer de la poudrerie durant la nuit de samedi à dimanche dans les secteurs de Baie-Trinité, de Sept-Îles et de Port-Cartier.

Par ailleurs, Environnement Canada a diffusé un avis de tempête hivernale pour la Basse-Côte-Nord. Des accumulations de neige allant jusqu’à 25 centimètres y sont prévues dès dimanche matin.

La visibilité sera réduite et pourrait devenir soudainement presque nulle. Aucune alerte météo n’a encore été diffusée pour les secteurs de Mont-Joli et de Rimouski.

Une tempête hivernale s’était déjà abattue sur l’Est-du-Québec la fin de semaine dernière.

LA UNE : Les conditions météorologiques vont rendre les déplacements difficiles dans plusieurs secteurs de l’Est-du-Québec (archives). PHOTO : RADIO-CANADA / SIMON RAIL-LAPLANTE