Les véhicules Kia pour la plupart, ont passé sous le bistouri récemment ou ont été renouvelés pour une nouvelle génération. La Kia Forte serait donc la prochaine à se renouveler complètement et à passer dans une nouvelle génération, mais, dans son cas, les changements pourraient aussi s’étendre jusqu’à une nouvelle appellation. Selon ce qu’on en sait, l’appellation retenue serait K4, et la présentation officielle aura lieu d’ici la fin de mois.

Un nouveau nom et une nouvelle image

Selon le communiqué de presse de Kia, il semble que la Forte soit sur le point de tirer sa révérence et de laisser place à un nouveau produit, une berline compacte qui porterait le nom K4. À en juger par les premières images assombries publiées par le constructeur sud-coréen, le design semble y aller de lignes nettement plus angulaires que par le passé. Les images laissent aussi entrevoir des feux et des phares aux formes très découpées. De plus, le pilier C semble avoir une forme très particulière qui comporte une découpe unique, comme on peut le constater sur les trois premières images.

Pour ce qui est de l’habitacle, il risque fortement de reprendre une planche de bord comme on en retrouve dans les autres produits du constructeur. Ce seront, bien sûr, des détails qui seront à valider lors du lancement officiel. Pour le moment, aucune image de l’habitacle n’a été publiée.

• À LIRE : Le gouvernement québécois coupe les subventions aux véhicules électriques
• À LIRE : La Fiat 500e sera offerte en version La Prima au prix de 47 190 $

Essence ou hybride ?

Au moment d’écrire ces lignes, Kia n’a donné aucun détail technique concernant la nouvelle génération de voiture compacte. Nous ne savons donc pas si le constructeur sud-coréen décidera de conserver une motorisation thermique ou s’il décidera d’y aller avec une motorisation hybride. Même chose pour le rouage et la boîte de vitesses.

Kia dévoilera le design complet de la K4 le 21 mars 2024. S’ensuivra la première mondiale à l’occasion du Salon international de l’auto de New York, le 27 mars 2024. L’équipe de RPM sera sur place lors de la journée de presse du Salon, et nous aurons fort probablement l’occasion de vous en reparler et de vous donner plus de détails à ce moment.

• Trouvez une Kia Fort d’occasion
• Consultez d’autres articles sur la Kia Forte

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »VWyCTohF »]

« Je considère l’achat d’une seconde voiture que j’utiliserai uniquement la semaine pour mes activités quotidiennes, travail, épicerie, garderie. J’ai vu une BMW i3 2014 de 96 000 kilomètres à 12 000 $ et elle m’intéresse. Est-ce un bon choix? » – Daniel Lemire

Réponse

Bonjour. L’attrait que peut représenter une BMW i3 est réel. Il s’agit d’un produit très innovant, l’un des premiers véhicules électriques sur le marché ; et BMW n’a fait aucune concession quant aux technologies intégrées. De plus, son design est certainement l’un des plus spectaculaires de sa décennie. Toutefois, comme c’est souvent le cas quand on est une vitrine technologique, on paie le prix par une fiabilité qui peut être plus difficile.

L’i3 est arrivée sur le marché en 2014 et s’est présentée comme une véritable révolution. Le style évidemment attire le regard, mais sa conception également. L’i3 est l’une des premières voitures à intégrer une structure « cellule de vie » en fibre de carbone (CFRP). Cela assure la rigidité et la durabilité, mais, en cas de bris, c’est presque impossible à réparer.

• À LIRE : La BMW i3 nous quittera en 2022
• À LIRE : BMW i3 2015 : Un pari sur l’avenir

Le fait que vous désiriez en faire votre voiture de semaine est idéal, surtout que l’i3 2014 a l’une des plus petites batteries sur le marché à seulement 22 kilowattheures, dont seulement 19 sont utilisables. Par conséquent, l’autonomie est très limitée. BMW annonçait à l’époque seulement 160 kilomètres. Dans la réalité, on parlait plutôt de 120 à 130 kilomètres et un peu moins l’hiver. De plus, tenez compte du fait qu’il y a une possible dégradation de la batterie et qu’on s’approche plus des 100 kilomètres d’autonomie.

Fort heureusement, la puissance ne fait pas défaut dans l’i3. Avec une cavalerie de 168 chevaux et un couple de 184 livres-pieds, les accélérations sont étonnantes. En fonction des modes de conduite, il est toujours possible d’opter pour le mode Eco Pro qui castre complètement les performances du véhicule, mais qui est idéal en ville pour optimiser l’autonomie.

Dans un contexte urbain, l’i3 semble avoir du sens, mais quand on considère les risques de fiabilité, on déchante vite. La liste de problèmes est anormalement longue. La question de la recharge revient souvent. Plusieurs propriétaires soulignent que le temps de recharge est problématique et qu’il est difficile ou impossible de complètement recharger la batterie. On cite souvent que, après 2 ou 3 ans d’utilisation, certaines batteries avaient perdu jusqu’à 30 % de leur capacité. Il est impératif de faire vérifier la condition de la batterie avant tout achat. Au-delà de la batterie, il n’est pas rare d’entendre parler de dysfonctionnement de composants électroniques, la climatisation, les freins, la direction ou encore les suspensions.

Il ne faut pas oublier que 2014 est la première année de l’i3, donc la liste de problèmes est trop longue pour que nous recommandions cette année modèle. L’i3 a commencé à connaître plus de fiabilité lors de son rafraîchissement technique en 2017 où l’on a intégré une batterie de 33 kilowattheures. À partir de cette date, nous pouvons recommander le produit, mais pas avant. Dans ce cas, il faudra augmenter votre budget vers un montant qui environnerait les 19 000 $ ou plus.

En complément, il faut savoir que les frais d’entretien de cette BMW sont passablement plus élevés que la majorité des autres véhicules électriques de ce format. De plus, les pneus de taille inusitée (155/70R19 à l’avant et 175/55R19 à l’arrière) coûtent assez cher. Il faut être vigilant sur ces points avant de mettre la main dessus. Comme c’est toujours le cas pour un véhicule d’occasion, il est impératif de faire faire une inspection complète du produit pour s’assurer de l’état général et de faire tester la batterie pour en connaître la condition et voir s’il y a une dégradation.

• Visitez notre Zone électrique

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »xhmmc0wa »]

Tesla est un constructeur d’automobiles électriques dont les méthodes de fonctionnement ne sont pas dans la norme. Dans ses façons de faire unique, nous notons entre autres les fluctuations de prix autant à la hausse qu’à la baisse qui peuvent survenir dans une même année modèle. C’est d’ailleurs le cas une fois de plus avec le Model Y qui vient de subir une hausse de prix pour deux versions sur trois de la gamme.

Jouer au yoyo avec le prix

Les fluctuations de prix sont monnaie courante chez Tesla. Le plus récent exemple est la baisse de prix que le Model Y vient tout juste de subir au début du mois de février 2024. Cette dernière baisse se chiffrait à 4 000 $ et touchait la déclinaison à rouage intégral. Cependant, un peu plus d’un mois après ce changement, voilà que Tesla annonce à nouveau un changement de prix pour certaines versions du Model Y. Cette fois-ci, il sera plutôt question d’une hausse de 1 000 $ qui touchera les déclinaisons à propulsion et à rouage intégral à longue autonomie. Selon le bandeau qui affichait ce message sur le site de Tesla Canada, ce changement sera effectif à compter du 15 mars, soit ce vendredi.

Le constructeur américain n’a donné aucun détail additionnel sur les raisons exactes de cette hausse, surtout peu de temps après avoir effectué une réduction de prix.

• À LIRE : La Fiat 500e sera offerte en version La Prima au prix de 47 190 $
• À LIRE : Le Chevrolet Blazer EV 2024 subira une baisse de prix allant jusqu’à 6 000 $

Toujours admissible aux rabais

Malgré cette hausse de prix à venir ce vendredi, les Tesla Model Y à propulsion et à rouage intégral à longue autonomie resteraient admissibles aux rabais offerts par les gouvernements à l’achat ou à la location d’un véhicule électrique.

Comme c’était déjà le cas avec la version Performance, cette dernière demeure non admissible aux rabais, mais ne subira aucun changement de prix.

Est-ce la dernière fois qu’il y aura des changements de prix sur le Model Y ? Même si nous n’ayons pas de boule de cristal pour lire l’avenir, il nous est permis de croire que non. Tesla nous a habitués à ce genre de pratique, et il ne serait pas étonnant de voir à nouveau des hausses ou des baisses de prix en cours d’année modèle.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER

• Lire plus d’articles sur le Tesla Model Y

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »Xch7pp9f »]

La montée de Tesla et des constructeurs automobiles chinois émergents sont une réelle menace aux constructeurs établis, qui sont en retard dans le développement de véhicules électriques. C’est précisément ce qu’ont admis les PDG de Nissan et de Honda, qui estiment de plus en plus qu’il est nécessaire pour eux de combiner leurs forces pour éviter d’être avalés. En ce sens, les deux constructeurs ont avoué avoir signé une entente pour évaluer la possibilité de s’unir pour rendre plus profitable le développement de véhicules électriques.

Les deux constructeurs sont très peu avancés dans la course aux véhicules électriques, entamée par plusieurs constructeurs comme GM, BMW, Ford et Mercedes-Benz. Pour le moment, Nissan ne produit que l’Ariya et la vieillissante LEAF, alors que Honda s’apprête à vendre un produit GM apprêté à sa sauce, le Prologue.

Pour mieux s’attaquer à l’électrification, l’idée ne serait pas de développer des produits conjoints qui n’auraient pour seule différence qu’une apparence correspondant à une marque précise. L’étude de faisabilité concerne plutôt la possibilité de produire des moteurs électriques, des technologies de batterie et d’autres pièces impliquées dans l’assemblage des véhicules électriques. Ainsi, les deux marques pourraient partager des pièces, ce qui induirait des économies d’échelle.

• À LIRE : Nissan ARIYA e-4ORCE 2023 – le grand douillet
• À LIRE : Honda lance les 0 Series, qui représentant l’avenir électrique de la marque

Dans un communiqué conjoint, les deux entreprises ont établi qu’elles étaient arrivées à la conclusion que, selon la conjoncture, il était temps de voir quelles sont les possibilités de collaboration pour les futurs produits. À en croire le communiqué, Honda et Nissan sont rendues au même endroit et font face aux mêmes défis, ce qui rend logique l’étude de la faisabilité d’une union.

Les PDG des deux entreprises ne se sont pas risqués à évaluer les économies potentielles, ni quels sont les objectifs futurs en lien avec le dévoilement de nouveaux produits électriques. Actuellement, les deux constructeurs combinés vendent un total de 7,65 millions de véhicules vendus annuellement.

Même si l’échéancier relié à cette étude n’a pas encore été annoncé, le PDG de Honda, Toshihiro Mibe, a été très clair à l’occasion d’une entrevue avec Automotive News : « D’ici 2030, nous devons être parmi les dynamiques, en position pour concurrencer les meilleurs. »

L’avis de RPM

Honda avait réagi il y a quelques années en établissant un partenariat avec GM, qui a depuis été annulé. Maintenant, le géant japonais Honda envisage une association avec Nissan, afin d’arriver avec son propre véhicule électrique en 2026. De son côté, Nissan avait déjà une longueur d’avance en 2012 avec la LEAF, mais n’a pas mis les efforts nécessaires pour poursuivre sur cette lancée d’électrification.

Ces constructeurs n’ont pas pris au sérieux les efforts d’électrification des concurrents, et ils font maintenant face à un défi de taille. Des unions de la sorte, même si elles sont plutôt inusitées, sont de plus en plus nécessaires pour permettre à ces constructeurs de maintenir la tête en dehors de l’eau. Si ça peut permettre d’augmenter la concurrence dans le domaine des véhicules électriques, ça ne peut être que bénéfique pour le consommateur.

• Trouvez un Nissan Ariya d’occasion à vendre
• Consultez tous nos articles et vidéos sur le Honda Prologue

POURRAIT VOUS INTÉRESSER

[jwplayer key= »PZRpuD6U »]

Selon la Base de données nationale sur les collisions mortelles de la Fondation de recherche sur les blessures de la route (FRBR), le pourcentage de victimes de toutes collisions mortelles liées à la distraction est passé de 19,1 % à 26,1 % entre 2000 et 2020. Toujours selon ce même organisme, dans certaines régions du Canada, la distraction au volant cause plus de décès que la conduite avec facultés affaiblies.

Le problème de la distraction au volant prend donc de l’ampleur, sans contredit. Et selon mes observations absolument non scientifiques, ça se répercute très bien sur les routes du Québec. J’ai observé plusieurs situations surprenantes qui altèrent ma confiance envers les automobilistes en général.

Sources de distraction

Bien sûr, il y a les gens qui utilisent leur cellulaire au volant, une pratique absolument interdite et même sanctionnée par la loi. Les plus disciplinés le tiendront à la main pour parler, même s’ils sont au volant d’un Cadillac Escalade ou d’un Range Rover flambant neuf, certainement équipé de la technologie de communication sans fil. D’autres l’utilisent carrément pour texter, effectuer des recherches sur Internet ou lire des textes. J’ai encore vu, la semaine dernière, un automobiliste au volant d’un Ford F-150 en train de zigzaguer entre les lignes de l’autoroute 25 sud, accordant plus d’importance à ses communications virtuelles par l’entremise de son cellulaire fixé au tableau de bord qu’à sa propre vie et à celle des autres.

Certains poussent l’utilisation du cellulaire encore plus loin. J’ai dépassé il y a quelques mois un conducteur sur l’autoroute 40 en train d’écouter un film sur son cellulaire, judicieusement placé avec un support prévu à cet effet à l’endroit où se trouverait normalement l’instrumentation dans une Tesla Model 3. Il se bidonnait au volant, visiblement concentré à écouter son long métrage.

L’utilisation du cellulaire au volant est certainement la distraction la plus répandue. Mais j’ai aussi vu toute sorte d’autres choses. Parmi les classiques, mentionnons les gens qui effectuent des soins corporels en tout genre, comme se maquiller ou se raser, soit à une intersection ou carrément en roulant sur l’autoroute. Il y a aussi les gens qui tentent de satisfaire leurs besoins de base. J’ai récemment aussi aperçu un conducteur de poids lourd en train de manger une rôtie en tentant de négocier une intersection. J’ai aussi déjà vu une personne débarquer d’une voiture avec un bol de céréales à la main, qu’elle consommait sans aucun doute alors qu’elle était derrière le volant.

Le comble

Mais j’ai rencontré le summum il y a environ 2 semaines, dans Lanaudière. J’étais sur la route 343 près de Saint-Charles-Borromée, sur une portion appelée par les habitués la « voie de contournement », qui permet d’éviter la ville. J’attendais à une intersection avec, devant moi, une Toyota Corolla rouge. Le feu de circulation passe au vert, et je commence à avancer. Alors que le trafic s’élance pour reprendre la vitesse de croisière permise de 90 km/h, j’étais pris derrière cette Corolla qui prenait un temps fou à accélérer. 700 ou 800 mètres plus loin, nous avons fini par atteindre 50 km/h, alors que la ligne pointillée permettant le dépassement se présentait à moi.

• À LIRE : La musique dans le tapis en auto, est-ce une distraction ?
• À LIRE : Les voitures qui ont le volant à droite sont-elles légales au Québec ?

J’enfonce l’accélérateur pour dépasser la voiture lente pour me rendre compte que la conductrice était en train de prendre des notes dans un calepin avec un crayon, bien appuyée sur le volant, tentant tant bien que mal d’écrire en conservant la maitrise de son bolide. Je n’en revenais pas.

Le pire est à venir

On s’entend tous que ces situations n’ont pas de sens. D’un œil extérieur, on se dit très clairement qu’il n’y a rien de logique à adopter de tels comportements, mais les statistiques montrent que la distraction au volant prend de plus en plus d’ampleur.

La question à se poser est la suivante : quel genre de catastrophe routière ça va prendre pour réveiller les distraits? Parce que c’est précisément ce qui nous guette tous, même si une minorité — de plus en plus grande — d’automobilistes font autre chose que conduire au volant.

Personnellement, je n’ai aucun problème à ce que quelqu’un subisse les conséquences de ses actes. Tu veux être imprudent, au risque de prendre le décor et d’y laisser ta peau? Fais à ta tête.

Mais ce n’est pas comme ça que ça marche. Aucun automobiliste n’est seul sur la route. Il y a toujours d’autres autos, des cyclistes, des piétons, des animaux, des autobus, des taxis ou des poids lourds, sur la route. La conduite automobile, par définition, implique qu’on côtoie d’autres gens qui utilisent les mêmes infrastructures. Il peut même y avoir des passagers montés à bord du même véhicule. Et chaque fois que quelqu’un fait le geste « anodin » de prendre son cellulaire, de se maquiller ou de prendre des notes dans un calepin, il met non seulement sa propre sécurité en jeu, mais surtout celle des autres.

Je me souviens très bien de mon père qui me disait, quand j’ai commencé à faire de la moto il y a 15 ans, qu’un motocycliste doit « conduire pour les autres », parce que la moto est si petite que certains automobilistes ne la voient pas. Je pense que ce dogme s’applique maintenant, et plus que jamais, à la conduite automobile.

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »uv4S8AM6″]

« Nous considérons le GMC Terrain principalement parce que nous le trouvons très beau, mais nous voulons savoir ce que vous en pensez. Ce serait un véhicule qui remplacerait notre Mazda CX-9 2016 avec lequel nous avons des problèmes de fiabilité, et nous espérons en même temps diminuer nos dépenses reliées à nos déplacements tout en ayant un véhicule fiable, à long terme. » – Maxime

Réponse

Bonjour Maxime,

Le GMC Terrain n’est pas un véhicule inintéressant. Vous avez bien mentionné que son style est réussi, et vous avez raison. Cependant, pour l’année modèle 2024, et surtout par comparaison avec les autres véhicules disponibles dans cette catégorie, il ne fait plus le poids quand on considère les autres aspects.

Par exemple, sa seule mécanique proposée, composée d’un 4-cylindres turbocompressé de 1,5 litre, n’offre que 175 chevaux. Bien sûr, le couple de 203 livres-pieds donne un coup de main, mais il reste que le moteur est poussif. La qualité de finition intérieure est plutôt décevante aussi, avec des plastiques rigides de qualité plutôt ordinaire. L’espace intérieur n’est pas optimisé, non plus. Pour finir, le véhicule est en fin de carrière sous sa génération actuelle, ce qui veut dire qu’une nouvelle génération du GMC Terrain sera dévoilée dans les prochains mois. Bref, il y a mieux ailleurs.

• À LIRE : Le 4-cylindres 2,0 litres turbo reviendra-t-il dans le GMC Terrain?
• À LIRE : GMC Terrain 2022 : « l’important, c’est de participer »

D’autres options

Ce ne sont pas les choix compétents qui manquent dans cette catégorie. Si vous souhaitez diminuer le coût de possession le plus possible, il est souhaitable de considérer des véhicules hybrides. Pensons au Ford Escape hybride, au Honda CR-V hybride, au Kia Sportage hybride, au Hyundai Tucson hybride ou au Toyota RAV4 hybride. Le Toyota RAV4 est le plus économe, mais l’incertitude concernant la fiabilité du câble à haute tension du moteur électrique arrière me pousse à vous recommander de l’éviter.

Le Ford Escape est économe de carburant, mais la qualité de sa finition laisse à désirer, et sa durabilité à long terme est contestable. De son côté, le duo sud-coréen est intéressant pour sa fiabilité, son économie de carburant par rapport à une variante à essence et la qualité de sa cabine. En revanche, c’est le plus énergivore du lot, même s’il est hybride.

Or, le Honda CR-V a une mécanique plus économe de carburant et plus raffinée, tout en offrant une cabine de qualité comparable. Sa valeur de revente sera certainement parmi les meilleures du groupe, également, compte tenu du fait qu’il s’agit d’un Honda. Mais, le CR-V est également plus cher que tous les autres, et surtout il est disponible uniquement dans les déclinaisons les plus chères avec la motorisation hybride.

Malgré tout, ce serait mon choix dans cette catégorie, pour ses qualités rationnelles fortes. Sa valeur de revente sera excellente, sa fiabilité prévue est bonne, son espace intérieur est généreux. Peut-être est-il le plus cher, mais globalement, sur une période de long terme, il sera un des moins chers à posséder, si l’on considère sa valeur de revente.

Option hybride rechargeable

Sachez cependant qu’il ne faut pas négliger les déclinaisons hybrides rechargeables des véhicules sud-coréens. Ces dernières sont certes plus chères que les versions hybrides, mais leur admissibilité aux crédits gouvernementaux abaissera leur prix à des niveaux comparables à ceux de la version hybride régulière. De plus, le 50 kilomètres d’autonomie électrique permettra de faire une bonne partie, sinon tous vos déplacements quotidiens, en mode entièrement électrique. C’est donc une autre option à ne pas négliger, si vous avez la possibilité de brancher votre véhicule à domicile.

• Trouvez un Chevrolet Blazer d’occasion à vendre
• Lire tous nos articles sur le GMC Terrain

POURRAIT VOUS INTÉRESSER
[jwplayer key= »wMqe23tK »]