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Vidéojournal : CISSS des Îles : une transition rapide revendiquée

Une transition rapide au CISSS des Îles revendiquée, il faut trouver un endroit pour les anciens équipements de Total Océan et un nouvel organisme en travail de rue en Matanie.

LA UNE : Vidéojournal Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine

Un départ bouleversant secoue Sortez-moi d’ici!

Ce dimanche à Sortez-moi d’ici!, les téléspectateurs ont assisté à une troisième élimination des plus déchirantes. Un véritable guerrier a dû faire ses adieux à l’aventure et rentrer à la maison, laissant ses camarades, et le public, profondément touchés.

Après que le canon ait projeté sa poussière bleue/mauve sur l’un des campeurs, le verdict est tombé: c’est Pascal qui a vu son aventure prendre fin. En danger aux côtés de Marc-Antoine et Sonia, c’est finalement lui qui a dû faire ses adieux à la jungle.

Capture TVA/Sortez-moi d’ici!

Lors de l’Estim-a-thon, les campeurs devaient replacer des événements marquants de la vie de Rosalie et de Guy en ordre chronologique.

Marc-Antoine et Pascal n’ont obtenu aucune bonne réponse, ce qui les a automatiquement placés en danger. Ils ont été rejoints par Sonia, arrivée ex æquo avec Gino. Toutefois, cette dernière a insisté pour que ce soit elle, et non Gino, qui prenne la place en danger.

Capture TVA/Sortez-moi d’ici!

Un geste de bravoure incroyable!

Main dans une boîte pleine de crapauds, les finalistes devaient deviner le bon nombre d’amphibiens en guise de défi ultime… un défi à la fois sensoriel et déstabilisant!

Capture TVA/Sortez-moi d’ici!

Malgré son sang-froid, Pascal a mal évalué le nombre de crapauds, scellant ainsi son départ de l’aventure.

Félicitations à lui pour cette belle aventure marquée par le courage.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Survivor: C’est l’heure de la fusion!

L’épisode débute par un moment clé de la saison: l’annonce de la fusion des deux tribus sur l’île de Malaki. Les six membres de l’alliance Ugat espèrent recruter Rayane pour éliminer les menaces majeures. Florence dévoile que leur vraie stratégie consiste à prétendre vouloir collaborer, tout en consolidant leur propre bloc. Elle confie aussi avoir une alliance parallèle et plus intime avec Ashly.

Capture Noovo

Nouvelle tribu, nouveau départ… en apparence

Les joueurs emménagent sur le camp de Malaki, reçoivent leurs bandeaux orange et choisissent leur nouveau nom d’équipe: Nanalo, qui signifie victoire.

Capture Noovo

Le festin de fusion donne lieu à plusieurs discussions, notamment entre Marilou et William. Ce dernier, jusqu’ici présenté comme travaillant en sport-étude, est contraint de révéler à Marilou qu’il est bel et bien policier comme elle soupçonnait.

Capture Noovo

Manipulations et mensonges en cascade

Myriam continue de tirer les ficelles en révélant à Sébastien et André qu’Éric posséderait encore un collier d’immunité. Lorsqu’Éric est confronté, il ment, ce qui déstabilise encore plus Sébastien.

Capture Noovo

Marilou, de son côté, confronte Myriam, l’accusant de trahison. Myriam nie et utilise la psychologie inversée pour brouiller les pistes.

Capture Noovo

Une paranoïa qui coûte cher

Sébastien, de plus en plus inquiet, tente de regrouper André et William autour d’un front commun contre Myriam. Il remarque une fracture entre les anciens Malaki et les anciens Ugat, et tente de jouer les médiateurs — mais cette posture attire l’attention négative d’Éric et Florence, qui le trouvent trop instable.

Capture Noovo

Une troisième victoire pour Myriam

Lors de l’épreuve d’immunité, Myriam s’impose une troisième fois, lui mettant encore plus une cible dans le dos. Pendant ce temps, Sébastien surprend Marilou et Sarah en train de discuter de son élimination. Il rapporte l’information à Ashly, André et William, qui envisagent de cibler Éric.

Capture Noovo

Rayane tranche… et scelle le sort de Sébastien

Dans une dernière tentative, André essaie de convaincre Rayane de voter avec eux, mais celui-ci refuse: il explique n’avoir jamais été intégré ni respecté par les anciens Malaki, et choisit de s’allier avec les Ugat.

Capture Noovo

Verdict final : Sébastien éliminé

Au Conseil de tribu, les tensions culminent et les votes tombent. Malgré ses efforts, Sébastien est éliminé.

Capture Noovo

Xavier Trudeau: «Je veux être Xavier, je ne veux pas être le fils de Justin Trudeau»

Xavier Trudeau, le fils de Justin Trudeau, a récemment pris part à une vidéo partagée sur la page TikTok du créateur de contenu DrHobs.

Avec authenticité, Xavier Trudeau y partage sa réalité en tant que fils de l’ancien premier ministre et révèle ce qui l’a motivé à suivre sa propre voie dans la musique.

«(…) C’est différent, j’ai appris des choses que personne d’autre de mon âge n’apprenait à cette époque. J’ai rencontré à peu près toutes les célébrités de premier plan que tu peux imaginer. C’était toujours un bon sentiment jusqu’à ce que je devienne un peu plus vieux. C’est en fait une des raisons pour lesquelles je commence à faire tout ça, parce que ça m’a toujours donné une super bonne sensation, tu vois, être dans ces endroits, avec la sécurité autour de moi (…) peu importe… C’était toujours un truc de fou. Mais à l’intérieur, je me disais: Je ne me sens pas comblé, genre ce n’est pas moi, je ne suis pas celui qui crée cela pour moi-même. C’est justement pour ça que, en partie, je fais de la musique. Je veux me créer une identité à moi. Je veux être Xavier, je ne veux pas être le fils de Justin Trudeau. Je ne veux pas faire toutes ces choses cool juste à cause de mon père. Je veux les faire parce que ça vient de moi», répond-il après avoir été interrogé sur ce que c’était de grandir dans un environnement aussi unique.

@ghobs

Real talk with @xav

♬ Missing Pieces – Flawed Mangoes

Rappelons que Xavier Trudeau révélait en janvier dernier son intention de se lancer dans la musique, en optant pour une carrière dans le hip-hop, un chemin bien différent de celui emprunté par son père. Il a d’ailleurs récemment partagé une vidéo dans laquelle Justin Trudeau réagit à ses projets artistiques.

On lui souhaite une belle réussite dans cette nouvelle aventure!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Séries en bref : Connor Hellebuyck accorde encore cinq buts dans un match de séries

Hier dans la LNH, deux matchs étaient présentés.

Les Stars accueillaient pour la première fois les Jets et en soirée, les Panthers voulaient égaler la série face aux Leafs.

Voici les résultats :

Connor Hellebuyck accorde encore cinq buts dans un match de séries

Avant le match d’hier après-midi, Connor Hellebuyck avait une moyenne de buts alloués au-dessus de cinq lors de ses six derniers matchs éliminatoires à l’étranger.

Hier, avec sa performance, il a baissé cette moyenne… Mais il a quand même accordé cinq buts. Victoire des Stars par la marque de 5-2.

L’Américain a accordé cinq buts sur 26 lancers. Sur le but gagnant, il a été très généreux.

Alexandrer Petrovic semblait avoir dirigé la rondelle dans le filet avec son patin, mais après révision, ç’a été déterminé que c’est Hellebuyck qui a fait dévier dans son filet.

Ouin.

Mikko Rantanen, lui, a continué sur sa belle lancée. Il a récolté trois points, dont un but.

C’est son cinquième match de trois points à ses six dernières rencontres.

Mason Marchment a lui aussi fait parler de lui, mais pour les mauvaises raisons. Il a donné un coup de bâton à un officiel.

Suspension ou amende à venir?

En tout cas, Dallas mène la série 2-1.

Le prochain match sera disputé là-bas, demain, dès 20h.

La Floride nivelle la série face aux Leafs

Lors du dernier match entre les Panthers et les Leafs, la Floride a gagné en prolongation.

Toronto menait pourtant ce match 3-1. C’est vraiment là que cette série a basculé, car au lieu de se retrouver à 3-0, Toronto menait deux matchs à un.

Et hier, les Panthers, qui ne faisaient pas face à l’élimination, ont gagné et ont donc nivelé la série à deux. Victoire de 2-0.

Carter Verhaeghe a brisé la glace.

Et Sam Bennett a marqué le but d’assurance plus tard.

Quelle patience ici!

Sinon, c’est Sergei Bobrovsky qui a été le héros du match.

Il a réalisé un jeu blanc de 23 arrêts.

Les deux équipes se croyaient dans Les Boys.

Les coups salauds ont été distribués toute la partie.

Oliver Ekman-Larsson a sournoisement frappé Evan Rodrigues.

Mitchell Marner a ensuite été la victime de Dmitry Kulikov.

Et en fin de match, Max Domi a malmené Aleksander Barkov.

Ça promet pour le match numéro cinq qui sera disputé après-demain, à Toronto (19h).

Prolongation

– Bon.

– C’est fou.

– Devinez qui mène la charge.

(Crédit: NHL.com)

– Deux séries se poursuivent ce soir.

(Crédit: NHL.com )

Matthew Tkachuk a menacé William Nylander suite au coup contre Aleksander Barkov

Et puis? Comment trouvez-vous les séries?

On dirait que cette année en particulier, il y a toujours des rebondissements, des histoires à suivre ou des coups salauds. Chaque match amène sa nouvelle intrigue dans les séries 2025.

Grâce aux Stars et aux Panthers qui ont gagné hier, voici de quoi le portrait des séries a l’air. Difficile de demander plus en termes d’intrigue, non?

(Crédit: NHL.com)

Et hier, il y a une intrigue qui a fait jaser en masse : celle du coup de Max Domi à Aleksander Barkov.

En fin de rencontre, alors que les Maple Leafs n’avaient plus l’opportunité de remonter la pente, Domi a donné un coup par derrière à la vedette des Panthers et cela a fait réagir.

Est-ce qu’il faut s’attendre à ce que le coup soit puni par la ligue? Non.

Mais est-ce que cela veut dire que les joueurs des Panthers vont rester les bras croisés à ne rien faire? Non, ce n’est pas ce que cela veut dire puisque la culture là-bas est différente qu’ailleurs.

Le Canadien doit un peu apprendre de ça… mais je m’égare, là.

Qui a décidé de prendre le dossier entre ses mains et de dire à William Nylander que les Panthers voulaient y aller oeil pour oeil et dent pour dent avec une vedette de l’autre côté? Matthew Tkachuk, évidemment.

Je vais aller te chercher. – Matthew Tkachuk à William Nylander

Ce n’est pas un hasard si la culture a changé en Floride à la seconde où Tkachuk est débarqué en ville. Avoir un gars comme lui dans son organisation, cela aide à amener une culture où les gars jouent les uns pour les autres.

Et les Maple Leafs, qui ont échappé les deux derniers matchs, ne doivent pas se sentir parfaitement bien ce matin. Max Domi doit savoir qu’il a réveillé un ours qui, en quelque sorte, dormait.

en rafale

– Il a beau avoir mal au dos, mais…

– Voilà un club de Toronto qui va mieux.

– Sa séquence de matchs de suite avec au moins un point s’arrête à 54.

– Beau compliment pour Scotty Bowman.

– Les Wildcats sont forts.

«Mange de la marde, loser antisémite du 51e état» : un propriétaire des Panthers l’échappe sur Twitter

Les réseaux sociaux, ça peut être dangereux. Parlez-en à– ah pis laissez faire.

Par le passé, on a vu Doug Cifu, le partenaire principal de Vincent J. Viola, le proprio des Panthers de la Floride, faire des siennes sur Twitter. Et hier, il a recommencé en marge de la victoire de son équipe contre les Maple Leafs.

Comment? En disant à un amateur des Maple Leafs sur Twitter qu’il est un loser, un antisémite, en lui disant de manger de la marde et en parlant du 51e état de Donald Trump. Notamment.

On ne peut pas le voir sur le compte Twitter Cifu directement puisqu’il est barré pour le public.

Comme on peut le voir, le fan en question l’a cherché en masse et clairement, il voulait brasser les choses. Mais l’actionnaire des Panthers n’était pas obligé de mordre à l’hameçon…

Déjà que de plus en plus de Canadiens prennent pour les Maple Leafs pour ne pas supporter une équipe américaine, les commentaires de Doug Cifu n’aideront en rien à faire aimer les Panthers au Nord de la frontière.

Un homme d’affaires comme lui devrait normalement être au-dessus des insultes sur Twitter.

Notons que ce n’est vraiment pas la première fois que Cifu se fait prendre à dire des énormités sur les réseaux sociaux. Récemment, il a «personnalisé» un débat en disant qu’un «adversaire» dans un échange sur X avait des besoins particuliers à son école.

De la grande classe, donc.

Il a aussi notamment critiqué Doug Maclean (un ancien dirigeant de la LNH) sur son parcours dans la LNH et serait au coeur d’une histoire d’un fonds de pension de 400 M$ qui aurait été volé, comme on peut le lire sur LinkedIn.

Curieux personnage, donc.

en rafale

– Rien de moins.

– Officiel.

– À lire.

«Soup», les déchets du Pacifique de Mandy Barker

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Le photographe Mandy Barker s’inspire des déchets retrouvés dans l’océan Pacifique pour sa série de photographies, intitulée « Soup ».

« J’ai toujours aimé collectionner les coquillages et les autres merveilles naturelles que l’on trouve sur les plages. Mais j’ai commencé à remarquer qu’elles se mêlaient de plus en plus aux déchets causés par l’homme. Mon ambition esthétique était d’attirer visuellement le spectateur vers l’image et de les amener à se demander ce qu’elle représente. Je voulais inciter le spectateur à découvrir son importance de cette façon, afin de créer un impact plus durable et une sensibilisation… Toutes les images sont créées pour représenter les statistiques inquiétantes de plastiques retrouvés dans les océans par-delà les frontières », déclare l’artiste.

Jouant sur la contradiction entre l’esthétique globale de l’image et ses composants, les déchets, Mandy Baker cherche à générer une prise de conscience chez le spectateur.

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Source : mandy-barker.com

Story of Life – L’histoire des gens à travers des photos de leurs mains

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Avec son projet Hands: The Story of Life, le photographe libanais Omar Reda cherche à raconter l’histoire des gens qu’il rencontre à travers des photos de leurs mains.

Un superbe hommage aux travailleurs manuels, où chaque photographie est complétée par le métier exercé, laissant entrevoir la vie et la culture des personnes rencontrées.

Fille à la ferme

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Jardinier

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Mécanicien

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Potier

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Boulanger

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Barbier

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Source : www.omarreda.net

La maladie MSX teinte l’ouverture de la saison des huîtres à l’Î.-P.-É.

C’est la première saison de pêche aux huîtres à l’Île-du-Prince-Édouard depuis qu’un parasite destructeur a été identifié dans les eaux de la province l’été dernier, et les pêcheurs évaluent l’ampleur des dégâts.

Le ministre des Pêches de la province, Zack Bell, a expliqué que le parasite, appelé maladie de la sphère multinucléée inconnue, aussi connu sous le nom de MSX, est présent sur la quasi-totalité de l’île.

Le parasite cible les huîtres d’élevage et sauvages, tuant environ 95 % des mollusques infectés dans les deux à trois ans suivant l’infection. La MSX a été détecté dans la baie de Bedeque et plusieurs autres régions de l’Île-du-Prince-Édouard en juillet. La maladie est présente en Nouvelle-Écosse depuis 2002 et dans le sud de la Colombie-Britannique depuis 2007.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments affirme que son enquête sur le parasite dans la baie de Bedeque a révélé que la MSX était répandu sur l’île, qu’elle était présente ou très probablement présente dans de nombreuses baies et rivières des eaux marines de la province.

Avec la réouverture de la pêche aux huîtres printanière, nous commençons à constater les impacts du MSX sur les populations d’huîtres, a déclaré l’agence dans un courriel.

Un déclin dans la baie de Bedeque

Bien que la MSX ne présente aucun risque pour la santé humaine ou la salubrité des aliments, elle empêche les huîtres de prospérer et peut entraîner un ralentissement de leur croissance et une augmentation de leur mortalité, a précisé l’agence.

Bob MacLeod, président de la P.E.I. Shellfish Association, a déclaré que son groupe avait accompagné les autorités provinciales la semaine dernière pour inspecter les huîtres dans la baie de Bedeque. Le groupe a passé près de trois heures et a trouvé une trentaine d’huîtres.

Des dizaines de flotteurs à la surface d'une baie servant à la culture de l'huître.La maladie MSX est inoffensive pour l’humain, mais elle peut décimer des élevages d’huîtres. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Julien Lecacheur

D’habitude, il devrait y en avoir des milliers, a-t-il indiqué. C’était dévastateur.

Si une zone riche en huîtres comme la baie de Bedeque connaît un déclin important dû à la maladie MSX, a-t-il ajouté, cela n’est pas de bon augure pour les autres zones côtières qui ont historiquement eu moins de mollusques.

La grande question sera de savoir quand arrivera le mois de juin et dans les petits coins où les gens pêchent actuellement et qui n’ont certainement pas assez d’huîtres, a-t-il expliqué.

Une pêche lucrative

L’industrie ostréicole de l’île a généré près de 24 millions $ de revenus l’an dernier, avec 10 millions de kilogrammes d’huîtres. Il s’agit du troisième secteur de la pêche aux fruits de mer le plus lucratif de la province, derrière les moules (29 millions $) et le homard (298 millions $).

Le ministre Zack Bell a déclaré que jusqu’à présent, l’ampleur des dégâts causés par la MSX est mitigée. Certaines zones riches en huîtres, comme l’île Lennox, la baie de Bedeque et la rivière Percival, enregistrent un nombre élevé de morts de mollusques, tandis que d’autres cours d’eau ne connaissent pas de baisse significative.

Le ministre devant l'Assemblée législativeLe ministre des Pêches, du Tourisme, des Sports et de la Culture de l’Île-du-Prince-Édouard, Zack Bell. Photo : Radio-Canada / CBC

L’industrie espère que le parasite pourra être contenu, mais le secteur a également été touché par des droits de douane de 25 % imposés par le gouvernement chinois en représailles aux droits de douane canadiens sur les véhicules électriques.

Il est encore très tôt dans la saison pour connaître l’impact que cela aura sur nos exportations, mais nous espérons que nous aurons encore beaucoup d’huîtres à produire et à vendre sur le marché mondial, a expliqué Zack Bell.

LA UNE : La maladie MSX est présente partout à l’Île-du-Prince-Édouard. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Julien Lecacheur

La Presse canadienne

Où installer l’ancien équipement de Total Océan?

Les nouveaux acquéreurs des anciens équipements de Total Océan veulent remettre sur pied une usine, dès que possible, aux Îles-de-la-Madeleine. Un défi persiste toutefois : il faut trouver un endroit pour remettre l’usine en service.

Pour l’instant, tout le matériel qui peut servir, entre autres, à distiller le gras de phoque est entreposé en pièces détachées à Havre-aux-Maisons.

On s’est frappé à plusieurs difficultés. On s’est rendu compte qu’il n’y avait pas de terrain accessible ni de bâtiment qui pouvait répondre aux exigences qu’une telle machine a besoin, explique l’un des copropriétaires des équipements, Jean-Gabriel Déraspe.

Des pièces d'équipements soutenues par un grand cadre en métal.Il aura fallu l’équivalent de dix conteneurs pour déménager ces équipements, dont la pièce maîtresse est un distillateur de près de dix mètres de haut, capable de produire de l’huile de qualité pharmaceutique. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Que la solution soit l’achat d’un lot, une construction neuve ou la location d’un bâtiment, rien n’est exclu pour les nouveaux propriétaires, qui veulent trouver une solution rapidement, car de nombreux partenaires veulent profiter de ces équipements très rares au pays.

Il y a un gros engouement, on reçoit énormément de téléphone, que ce soit des centres de recherche, des associations de pêcheurs, que ce soit dans les Maritimes, le Québec, on nous appelle, on nous appelle, on est intéressé, relate M. Déraspe.

Jean-Gabriel Déraspe.Jean-Gabriel Déraspe est l’un des acquéreurs de l’équipement. Il est aussi propriétaire de l’entreprise Propane 418. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Grand potentiel

D’après Jean-Gabriel Déraspe, toute l’industrie des pêches pourrait bénéficier de ces équipements pour extraire de l’huile de haute qualité des produits marins, à l’instar de la filière du loup-marin.

Que ce soit de l’huile de loup-marin, que ce soit le sébaste, la carcasse de crabe, de homard, à la limite y en a qui font du CBD avec ça, n’importe quoi. On continue d’en apprendre tous les jours de ce que la machine peut faire, expose-t-il.

Il y a un avenir certain pour ce genre d’appareil là. Ne reste plus qu’à la mettre en fonction.

Une citation de Jean-Gabriel Déraspe, nouveau copropriétaire des anciens équipements
Des cuves en métal.L’ancien matériel de Total Océan peut servir, entre autres, à distiller le gras de phoque. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Le directeur général de l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec, Gil Thériault, est du même avis et voit la situation d’un bon œil.

On voit que, dans l’industrie des pêches, l’avenir n’est pas nécessairement dans le fait de pêcher plus, comme de faire plus d’argent avec ce qu’on pêche, précise M. Thériault.

Je pense que c’est un équipement qui va aider l’industrie des pêches aux Îles-de-la-Madeleine à aller vers l’avant et c’est très très bon signe.

Une citation de Gil Thériault, directeur général de l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec
Gil Thériault.Gil Thériault est le directeur général de l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Nous, notre but c’est vraiment de mettre la machine [en exploitation] et tout simplement la mettre à la disposition des chercheurs, des chimistes, des scientifiques qui veulent faire leur propre expérience avec l’appareil, renchérit Jean-Gabriel Déraspe.

Soutien d’Écofaune boréale

Avant de passer aux mains de M. Déraspe et de ses deux acolytes, les équipements étaient la propriété du centre collégial de transfert de technologie (CTTT), Écofaune boréale. Le CTTTen avait fait l’acquisition de l’entreprise madelinienne Total Océan lors de sa faillite.

Même si le CTTT a vendu les équipements, ce dernier n’est toutefois pas écarté pour de bon de ce projet. On s’est entendu pour qu’ils fassent un certain suivi avec nous et qu’ils nous accompagnent dans le processus, affirme Jean-Gabriel Déraspe.

Par courriel, le chimiste et chercheur senior chez Écofaune boréale, Daniel Poisson, ayant coordonné le démantèlement et le déménagement des équipements, indique qu’il pourra prêter main forte.

M. Poisson indique être prêt à collaborer sur place avec une firme d’ingénierie embauchée par les nouveaux propriétaires et selon ses assignations du moment. Je pourrai aider ensuite à la logistique des opérations, écrit-il.

Les nouveaux acquéreurs espèrent trouver un bâtiment industriel pour y déménager les équipements avant la fin de l’année afin de pouvoir lancer la production en 2026.

LA UNE : L’équipement est entreposé, pour l’instant en pièces détachées, à Havre-aux-Maisons. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR

Mitsubishi Eclipse Cross ou Volkswagen Taos?

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« Ma fille se cherche un VUS sous-compact. Elle s’intéresse au Mitsubishi Eclipse Cross et au Volkswagen Taos. Elle parcourt environ 15 000 km par année et cherche la fiabilité. Quel modèle choisir entre les deux? Avez-vous d’autres suggestions? » — Michelle

Réponse

Bonjour Michelle,

Entre les deux VUS sous-compacts, le Volkswagen Taos est le plus moderne. C’est d’autant plus vrai qu’il vient de subir quelques améliorations, notamment en matière de style et d’habitacle. Il dispose, dans certaines versions, d’une instrumentation numérique, d’un toit panoramique et d’un chargeur par induction, à un prix qui demeure intéressant. La plus intéressante est, à mon sens, la version Comfortline en raison de son équipement embarqué.

La transmission automatique à double embrayage à 7 rapports a été éliminée du catalogue, remplacée par une automatique conventionnelle à 8 rapports. C’est une bonne nouvelle, puisque la 7-rapports était saccadée. Le rouage intégral est de série, sauf pour la version Trendline d’entrée de gamme.

De son côté, le Mitsubishi Eclipse Cross 2025 montre des signes de vieillesse. Son style est dépassé et son habitacle n’a pas subi de modifications majeures depuis quelques années. Ça parait entre autres dans l’interface multimédia et la configuration du tableau de bord, plus classiques. Sa finition est correcte, son espace intérieur plutôt limité, et il n’a pas le même côté moderne que le Taos. De plus, même si sa puissance est similaire à celle du VW, il utilise une automatique à variation continue (CVT) qui vient gommer les sensations et saper la sensation de puissance, d’autant plus que sa calibration n’est pas des plus agréable. Heureusement que son rouage intégral S-AWC performant lui donne un coup de main.

Une question de fiabilité

À la lumière des points précédemment mentionnés, il est clair que le Volkswagen Taos est avantagé. Mais s’il y a un point sur lequel le Volkswagen n’a jamais réussi à s’imposer, c’est bel et bien en matière de fiabilité. Dès l’arrivée du Taos, en 2022, la fiabilité s’est avérée plus qu’ordinaire, ternissant le bilan du véhicule. On a toutes les raisons de croire que c’est amélioré pour l’année modèle 2025, compte tenu du fait que le véhicule en est maintenant à sa quatrième année de commercialisation, mais l’historique du constructeur et du modèle ne sont guère rassurant.

À la base, le Mitsubishi a eu un bilan de fiabilité plus convaincant dès son arrivée en 2018. Il n’a pas réellement changé depuis, ce qui signifie qu’il se positionne avantageusement dans la catégorie. Comme c’est un critère de votre fille d’opter pour un véhicule fiable, il est préférable qu’elle jette son dévolu sur le Mitsubishi puisqu’il est favorisé pour cet aspect, même s’il est déclassé pour les autres.

D’autres choix? Effectivement, ce ne sont pas les modèles intéressants qui manquent dans cette catégorie. Des véhicules comme le Mazda CX-30, le Hyundai Kona et le Subaru Crosstrek demeurent plus intéressants que le Mitsubishi, tout en ayant un bilan de fiabilité intéressant.

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