Les travaux se poursuivent pour dégager l’Atlantic Érié

Publicité

Articles similaires

Le printemps, la saison préférée des amateurs d’ornithologie

Au printemps, grands hérons, macreuses à bec jaune ou...

Retrouvailles émouvantes : Le parcours d’une néo-madelinienne

Cette semaine, notre collaboratrice aux Îles-de-la-Madeleine, Stéphanie Benoît nous...

Le navire enlisé dans le chenal de Grande-Entrée aux Îles-de-la-Madeleine, depuis dimanche, pourrait sortir sous peu de sa fâcheuse position.

Trois remorqueurs sont sur place pour aider l’Atlantic Érié à sortir du chenal de Grande-Entrée. L’armateur, la Canadian Stempship Line (CSL), largue depuis mardi une partie de la cargaison de sel à la mer pour alléger le vraquier.

Le vice-président aux opérations de la CSL, Claude Dumais, explique que l’opération vise à alléger le navire en sacrifiant une partie de la cargaison. Le sel est remplacé par de l’eau de mer pour conserver la stabilité du bateau, ajoute M. Dumais.

Les travaux de dégagement seront lancés dès que les conditions météorologiques le permettront. « On s’attend à ça, indique M. Dumais, d’ici 48 heures, on pourra faire l’opération de remise à flot du navire. On va pomper l’eau de mer pour dégager rapidement le navire, puis les remorqueurs au fur et à mesure vont le remettre dans le chenal. »

L’Atlantic Érié s’apprêtait à quitter l’archipel madelinot avec une cargaison de 20 000 tonnes de sel à destination de Montréal lorsque l’accident est arrivé. Les opérations ont été approuvées par le ministère de l’Environnement du Québec, Environnement Canada et Transport Canada.