Le BAPE à Grosse-Île

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Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) a terminé ses consultations sur les limites de la réserve écologique de l’île Brion en entendant, jeudi soir, les citoyens de la communauté de Grosse-Île qui vit principalement de la pêche au homard.

Située à environ 16 kilomètres de Grosse-Île, l’île Brion fait partie du patrimoine historique et culturel de la petite communauté anglophone de 465 personnes. La salle était d’ailleurs pleine pour ce dernier rendez-vous du BAPE. La pêche au homard y est la principale industrie et les flottilles de Grosse-Île fréquentent depuis des décennies les eaux autour de l’île Brion. La prolifération des phoques sur l’île, au cours des 15 dernières années, est venue perturber les pêches, selon le conseiller municipal de Grosse-Île, Steve Clarke. Il a fait état des problèmes engendrés par la prolifération des phoques gris sur l’île Brion comme les filets emmêlés, les bris des engins de pêche ou la sécurité des pêcheurs. Les représentants de Pêches et Océans ont effectivement indiqué que plusieurs rapports ont été soumis au ministère sur le bris des engins de pêche par les phoques gris.

LA UNE : Les deux commissaires du BAPE sur l’avenir de l’île Brion, Marie-Hélène Gauthier et Julie Forget Photo : Radio-Canada