Un fils de gardien de phare se souvient

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Guy Leblanc est le fils d’Évé Leblanc qui a travaillé au phare du rocher aux Oiseaux pendant cinq ans et à celui de l’île Brion pendant huit ans.


La Matinale s’intéresse depuis quelque temps aux vieux métiers. S’il y a un métier qui nous remplit de romantisme et de nostalgie, c’est bien celui de gardien de phare.

Le Canada est un pays fait de bords de mer et de grands lacs. Il possède le plus long littoral du monde. En tout et partout, le Canada compte plus de 750 phares. Il y a des phares dans toutes les provinces du Canada – sauf en Alberta et en Saskatchewan. Les phares font partie de l’identité canadienne. Au fil des ans, le nombre de phares en activité a beaucoup diminué en raison de divers facteurs : les coûts d’entretien, l’automatisation et la venue des aides modernes à la navigation. Les phares excédentaires ont été transférés à des individus, à des groupes communautaires et à des municipalités. Certains ont eu une seconde vie et sont devenus des lieux patrimoniaux ou des bâtiments exploités à des fins touristiques et culturelles.


  Guy Leblanc témoigne de son expérience à La Matinale


LA UNE : Le phare du Rocher aux Oiseaux

Sur le même sujet : 20 septembre 1870 : Le phare du Rocher-aux-Oiseaux s’illumine pour la première fois