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Des vagues spectaculaires!

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Les vagues photographiées par l’artiste britannique Rachael Talibart à Newhaven, Angleterre, lors de la tempête Imogen en 2016 sont impressionnantes tant elles sont immenses.

Au-delà de leur beauté et leur violence, la photographe a souhaité immortaliser leur aspect mystérieux et fantastique puisqu’on décèle parfois des visages et des formes.

Elle explique: «Lorsque j’étais enfant, je passais de longues heures sur le cockpit des bateaux en imaginant des créatures dans les vagues. Une fois adulte, j’ai étudié Homer et la littérature maritime. Donc voir des monstres dans les vagues est peut-être inévitable, toutes ces influences passées sont venues prendre forme dans cette collection.» Intitulée «Sirens», cette série saisissante souhaite transcender temps et lieu pour nous immerger – littéralement – dans la force des océans et de la nature.

Découvrez les nombreuses oeuvres de la photographe sur son compte Instagram.

Many-headed sea serpent (Greek)

Snake-haired Gorgon (Greek)

God of the Sea (Greek)

Sedna

Derived from Greek λιγυς (ligys) meaning

Leviathan

Giant sea monster (Norse)

Goddess, Queen of the Sea (Greek)

Raptor

Oread, mountain nymph

Niobe

Siren (Welsh)

Water god (Greek)

Trickster god (Norse)

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Sea nymph (Greek)

Titan Lord of the Sea

Goddess of the night (Greek)

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Source : Fubiz

Archives 1984 : Îles-de-la-Madeleine – Une vue sur l’économie

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La Voix Gaspésienne
Mercredi 13 juin 1984

La Société d’histoire et de généalogie de Matane a numérisé près de 150 000 pages de journaux publiés depuis l’année 1911. Cet extrait est tiré des archives de La Voix Gaspésienne.


Une première pour l’Association des agents de développement économique de l’Est du Québec: plusieurs de ses membres se sont réunis aux Îles-de»la-Madeleine pour discuter et visiter différentes industries de l’archipel, une occasion unique d‘établir de nouveaux contacts.

Pendant leur visite de trois jours, les agents de développement ont eu l’opportunité de visiter une ferme avicole, des usines de transformation des produits de la mer, des ports, l’éolienne géante, les installations extérieures de Mines Seleine, des infrastructures touristiques et bien d’autres choses encore.

L’association existe depuis 1974 et ses membres viennent des régions de Matane. Amqui, Sainte-Anne-des-Monts, MontJoli, New-Richmond, Gaspé, Ville Dégelis, Rivière-du-Loup et de la Baie des Chaleurs. A chaque année, ils se réunissent à au moins six reprises dont une fois en assemblée générale annuelle.

Selon le commissaire i industriel. Benoit Bouffard, ces rencontres sont profitables à plusieurs points de vue. Elles leur permettent d‘échanger sur des problèmes communs et sur des façons d’aborder certains dossiers. Elles les amènent aussi à rencontrer une foule de gens et à visiter des entreprises.

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LA UNE : Le commissaire industriel. Benoit Bouffard et le président du Conseil économique de la région de Matane. Jeu-Hugues Tremblay en compagnie d’un des propriétasires de l‘usine de transformation de poissons et de fruits de mer Norpro, Gérald Savage.

Source : Société d’histoire et de généalogie de Matane

La CTMA rouvrira son bureau de réservation la semaine prochaine

La Coopérative de transport maritime et aérien (CTMA) a réussi à dégager des réservations supplémentaires pour ses traversées entre les Îles-de-la-Madeleine et l’Île-du-Prince-Édouard cet été.

Les règles imposées par la santé publique limitaient le nombre de passagers à un peu plus de 19 000 pour l’été.

En raison de la crise sanitaire, la CTMA a dû annuler 14 traversées. Cette décision a eu une conséquence sur le nombre de réservations, qui était trop élevé par rapport à ce que le navire était en mesure d’accueillir.

L’équipe des réservations a appelé la majorité des gens qui avaient réservé. Elle a réussi à ajuster l’horaire pour permettre à un maximum de personnes d’embarquer tout en respectant les règles sanitaires.

Le directeur général, Emanuel Aucoin, souligne qu’un minimum de 50 réservations par semaine est encore possible.

Ça peut-être très intéressant pour espérer atteindre le maximum de capacité d’accueil qui a été édicté par la santé publique cet été. On est bien contents. La stratégie a bien fonctionné. Les employés ont fait un travail remarquable, souligne-t-il.

«Notre stratégie, nous, c’était de communiquer avec chacune [des personnes qui avaient fait] des réservations. Donc, c’est tout un travail, un travail extrêmement exigeant.» – Emmanuel Aucoin, directeur général, CTMA

Selon les calculs de la CTMA, une réservation représente en moyenne 2,75 passagers.

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Les Îles accueillent environ 60 000 visiteurs chaque été. La Santé publique limite ce nombre à 35 000 cette année à cause de la pandémie. PHOTO : RADIO-CANADA / JULIEN LECACHEUR

Les Îles accueillent environ 60 000 visiteurs chaque été. La Santé publique limite ce nombre à 35 000 cette année à cause de la pandémie. PHOTO : RADIO-CANADA / JULIEN LECACHEUR

Pour le maire des Îles, Jonathan Lapierre, peu importe la quantité, il s’agit d’une bonne nouvelle.

C’est intéressant. C’est une bonne nouvelle. On sait depuis le début que la capacité est quand même limitée. Nous ce qu’on souhaite évidemment, c’est que les gens qui peuvent et qui voudront venir aux Îles puissent le faire, autant les amis, la famille, la parenté que les visiteurs, les touristes.

Le maire Lapierre se réjouit de savoir qu’il y aura une saison touristique aux Îles.

Cependant, les détails du corridor qui permettra de laisser passer les touristes sur les routes des provinces des maritimes ne sont toujours pas réglés.

Le maire Lapierre laisse les autorités provinciales discuter entre elles à ce sujet.

Quoi qu’il en soit, la CTMA ouvrira à nouveau son bureau de réservation la semaine prochaine.

LA UNE : Le traversier CTMA fait la navette entre l’Île-du-Prince-Édouard et les Îles-de-la-Madeleine (archives). PHOTO : CBC/LAURA CHAPIN

Des drones pour recenser et mieux protéger les tortues marines

Des scientifiques australiens ont découvert, grâce à l’utilisation de drones, qu’ils avaient sous-estimé le nombre de tortues marines vivant dans le plus grand site de nidification du monde.

L’île de Raine, située au large de la pointe nord de l’Australie, abrite environ 60 000 tortues femelles vertes qui, chaque année, viennent y pondre des oeufs après avoir parcouru des centaines de kilomètres depuis la Grande Barrière de corail.

Les scientifiques spécialisés dans la protection des espèces menacées ont reconnu avoir eu le plus grand mal à trouver le meilleur moyen de suivre ces tortues lors de la nidification.

Dans un article publié la semaine dernière dans la revue scientifique PLOS (en anglais), ils ont expliqué que l’utilisation de drones a montré qu’ils avaient sous-estimé le nombre de tortues marines de plus de 50 %.

De superbes images de drones, diffusées mardi par la Fondation de la Grande Barrière de corail, montrent des milliers de tortues nageant dans les eaux bleues cristallines de l’océan.

Jusqu’alors, les chercheurs comptaient les tortues au moment où elles arrivaient sur les plages afin d’y pondre leurs oeufs, soit environ 23 000 en une seule nuit.

Afin de mieux les suivre dans l’océan, ils les marquaient alors d’un coup de peinture soluble non toxique.

«Essayer de compter avec précision des milliers de tortues peintes et non peintes depuis un petit bateau par mauvais temps était difficile,» a reconnu Andrew Dunstan, l’auteur principal de l’article.

«Utiliser un drone est plus facile, plus sûr, beaucoup plus précis, et les données peuvent être immédiatement et définitivement stockées.» – Andrew Dunstan

Leur travail sur l’île de Raine prévoit notamment la reconstruction des plages sur lesquelles se fait la nidification ainsi l’installation de clôtures pour éviter qu’elles ne meurent.

LA UNE :Des tortues nichant sur l’île de Raine. PHOTO : QUEENSLAND DEPARTMENT OF ENVIRONMENT AND SCIENCE/CHRISTIAN MILLER
Agence France-Presse

La Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation amasse près de 70 000 $ malgré l’annulation de ses soupers‐bénéfice au homard

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Malgré la situation exceptionnelle engendrée par la COVID‐19 qui a obligé la Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation à annuler ses traditionnels soupers‐bénéfice au homard annuels, la Fondation affiche tout de même des revenus de près de 70 000 $.

La présidente de la Fondation, Line Cormier, a tenu à remercier les donateurs et les partenaires pour leur générosité dans une vidéo. Elle rassure aussi la communauté à l’effet que, pour la prochaine année, les budgets prévus pour les bourses d’études ainsi que pour le soutien à la réussite et à la persévérance scolaires dans les écoles des Îles pourront être maintenus au niveau habituel.

 
Afin de soutenir la Fondation pendant cette période difficile pour les événements‐bénéfice, trois des commanditaires des soupers au homard soit la Fondation de Claire et Jean‐Pierre Léger, le Groupe Océan et la SAQ, ont déjà versé leur contribution pour un montant total de 33 750$. La Banque Nationale a également assuré à la Fondation sa participation aux soupers de 2021 en tant que coprésident d’honneur.

Plus d’une cinquantaine de fidèles participants aux soupers‐bénéfice, individus et organisations, ont aussi démontré leur appui à la cause de la promotion de l’éducation chez les jeunes Madelinots en donnant le coût de leur billet, ou une partie, pour un montant total de plus de 35 000 $. C’est donc près de 70 000 $ qui pourra être investi dans les deux programmes.

Au cours des dernières années, les soupers‐bénéfice ont permis de générer des bénéfices moyens de l’ordre de 225 000 $. Le budget de cette année affiche donc un manque à gagner d’environ 155 000 $. Il est toujours possible de faire un don sur le site web de la Fondation.

« Toute l’équipe de la Fondation aurait bien aimé retrouver ses fidèles participants en juin sur le CTMA Vacancier pour partager les délicieux homards des Îles dans cette ambiance agréable et festive. Toutefois cette année, il faut s’adapter. Il y a du bon homard des Îles disponible en de nombreux endroits au Québec, alors nous encourageons tout le monde à s’organiser un bon festin à la maison » déclare Line Cormier, présidente de la Fondation.

Source : Fondation Madeli‐Aide pour l’éducation

Les photographies captivantes de Murray Fredericks

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Le photographe a utilisé le lac Eyre situé dans le sud de l’Australie pour capturer ces images incroyables pour son projet «Salt».

Pour le photographe australien Murray Fredericks et le travail qu’il fait, le miroir devient sa muse ; un sujet qui reflète non seulement son environnement, mais devient la distorsion, le point focal, la juxtaposition dans la pièce artistique elle-même.

Cette collection de nouveaux travaux s’inscrit dans son projet Salt de sa série Vanity.

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«Debout dans l’eau soyeuse, entouré seulement par un horizon illimité, je sens une libération, je me suis dissout dans la lumière et l’espace» -Murray Fredericks

Le photographe a transporté le miroir de grande taille sur le lac Eyre lui-même, puis expliqué « pour nous éloigner de nous-mêmes et de l’environnement, nous encourageant à nous engager avec la lumière, la couleur et l’espace ». Découvrez quelques exemples de son travail dans l’article, ainsi qu’une vidéo des coulisses ci-dessous.

var AtedraVideo = AtedraVideo || {};
AtedraVideo.type = ‘vimeo’;
AtedraVideo.video_id = ‘172862014’;
AtedraVideo.width = 900;
AtedraVideo.height = 506;
AtedraVideo.flashvars = {};
AtedraVideo.params = {wmode:’opaque’, allowfullscreen:’true’, allowscriptaccess:’always’};
document.writeln( »);

Source : Unrated

La pensée du crabe masqué

«Moi j’aime tout le monde, je n’ai pas d’ennemi. Mais tous mes amis me détestent.» – Jacques Martin

Bedecomics

 

Éphémérides : Émission d’un timbre à l’effigie du phare du Cap Alright

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Le 12 juin 2003 : Émission d’un timbre à l’effigie du phare du Cap Alright.

En rappel de l’installation des premiers acadiens dans l’archipel, émission d’un timbre, le 12 juin 2003, à l’effigie du phare du Cap Alright situé à la Petite-Échouerie de Havre-aux-Maisons.

Source : Postes Canada

Les navires ne ralentiraient pas vraiment pour protéger les baleines noires

Une analyse de la vitesse des navires dans le détroit de Cabot montre que près des trois quarts (72 %) des bateaux ne ralentissent pas pour protéger les baleines noires de l’Atlantique Nord qui migrent à travers ce secteur.

Transports Canada avait annoncé un essai volontaire de ralentissement des navires dans le détroit de Cabot, un secteur important pour cette espèce menacée.

Or, l’organisme écologiste Oceana Canada soutient qu’entre le 19 et le 25 mai derniers, près des trois quarts des navires – 72 % – n’ont pas respecté le ralentissement volontaire à 10 nœuds. Et c’est un cargo canadien qui détiendrait le record, à 21,1 nœuds, selon Oceana Canada.

Pour l’organisme, cela démontre qu’il faut imposer des limites de vitesse obligatoires, et non pas seulement volontaires, pour ralentir ces navires.

Oceana Canada a publié une semaine de résultats de son étude en cours, qui évalue les données de navires équipés du système d’identification automatique et qui se déplacent à l’intérieur des zones de restriction de la vitesse.

Le détroit de Cabot, entre la pointe nord-est de la Nouvelle-Écosse et la pointe sud-ouest de l’île de Terre-Neuve, est un couloir essentiel pour les baleines noires de l’Atlantique Nord qui migrent vers le golfe du Saint-Laurent, où elles viennent se nourrir de petits crustacés pendant l’été.

Transports Canada a présenté le ralentissement volontaire cette année comme l’une des nombreuses mesures visant à protéger cette espèce en danger critique d’extinction, qui ne compte plus que 400 individus sur la planète.

LA UNE : Des baleines noires de l’Atlantique Nord (Eubalaena glacialis). PHOTO : PÊCHES ET OCÉANS CANADA/JOLINNE SURRETTE

L’histoire derrière l’appartenance des Îles-de-la-Madeleine au Québec

Ceux qui veulent se rendre aux Îles-de-la-Madeleine par bateau en partant du continent doivent passer par deux autres provinces. Dans le contexte de la pandémie, cette situation complique les déplacements et sur les réseaux sociaux, quelques personnes se demandaient pour quelles raisons les Îles sont attachées au Québec.

C’est avec l’Acte de Québec en 1774 que les Îles sont passées sous la juridiction de Québec. L’historien Maxime Arseneau s’est intéressé au cheminement des Acadiens et aux changements constitutionnels.


  Affiliation des Îles-de-la-Madeleine au Québec : entrevue avec Maxime Arseneau


LA UNE : Les Îles-de-la-Madeleine. PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DESCHÊNES

Nouveau projet et augmentation des interventions au CALACS des Îles

Le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel des Îles veut encourager la population à prendre soin d’eux en lançant le projet Mon moment bonheur.

L’organisme constate qu’il y a davantage de détresse et d’anxiété dans la population depuis le début de la pandémie et les statistiques d’intervention le prouvent.


  CALACS l’espoir des Îles : entrevue avec Isabelle Cyr


LA UNE : Cap-aux-Meules aux Îles-de-la-Madeleine. PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DESCHÊNES

Daddy par Coldplay

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Pour ce clip poétique, Coldplay a uni ses forces à celles des studios Aardman Animations – à qui l’ont doit Wallace and Gromit ou encore Chicken Run.

L’on y retrouve une jeune fille perdue dans l’océan c’est avec brio que la vidéo peint les souvenirs qu’elle a de son père… à voir absolument !


Crédits
Client Coldplay Production Aardman Animations Asa Lucander, réalisatrice, conceptrice de production; Rob Franklin, producteur; Tamsin Clay Bee, directeur de production; Henry St. Leger, artiste du storyboard; Marc Moynihan, concepteur de production, peintre mat; Helen Javes, scénographie; Rachel Bennett, Sophie Marsh, ont mis des commodes; Thomas Sewell, charpentier; Simon Jacobs, DP; Andy Brunskill, Jimmy Grimes, Katie Williams, marionnettistes (Marionnettes: Brunskill & Grimes); Timon Dowdeswell, animateur d’effets; Henrique Barone, animateur 2D; Bram Ttwheam, superviseur maquette et coloriste; Andre Brandt, Chuen Tsang, Vlad Iliescu, Mark Pinheiro, Jordanne Richards, Jake Short, Chris Hawkes, Doris Rastinger, compositeurs; Will Davies, piste laïc et mixage sonore; Dan Williamson, éditeur.

 

Source : VIMEO