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Under dogs – des photos de chiens par dessous

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Le photographe ​Andrius Burba de Vilnius en Lituanie nous revient avec une série de portraits de chiens vus de dessous intitulée Under-Dogs.

La tâche risque de se compliquer car il projette de continuer dans ses portraits vus de dessous avec des tigres.

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Source : Andrius Burba Photography

La SADC des Îles investit plus de 1 M$ dans le milieu

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Tous fonds et programmes confondus, ce sont plus de 1 M$ qui ont été versés par la SADC, sous forme d’aide financière remboursable ou non, à des entrepreneurs, entreprises et organismes ou pour la réalisation d’événements. Plus spécifiquement, c’est une somme de 919 376 $ qui a été investie à même ses différents programmes de prêts aux entreprises. Faits à noter : cinq des promoteurs ayant obtenu un financement ont démarré leur propre entreprise alors que six ont procédé à l’acquisition d’une entreprise existante. La majorité des autres dossiers traités au cours de l’année sont des projets de développement, d’expansion ou de modernisation.

« Les résultats financiers de la SADC démontrent l’apport de la corporation dans un développement dynamique, collaboratif et concerté avec les différents partenaires économiques de l’archipel » de déclarer le président de la SADC, Hugues Solomon. 

Par ailleurs, nous sommes toujours bien heureux de constater que les jeunes de 18 à 39 ans continuent à intégrer le monde de l’entrepreneuriat, alors que 13 jeunes entrepreneurs ont bénéficié du Fonds alternatif jeunesse pour des investissements totaux de 296 500 $. La pertinence de ce fonds est toujours démontrée, puisque depuis 2017, plus d’un million de dollars ont été prêtés à des jeunes entrepreneurs locaux.

Au niveau du développement local, élément fondamental du Programme de développement des collectivités ayant comme fonction de répondre aux besoins collectifs du milieu, 21 projets ont été soutenus dans divers secteurs tels que ceux des pêches, du tourisme, du bioalimentaire et aussi dans des domaines constituant des enjeux tels que la démographie, la main d’œuvre, le retour et la rétention des jeunes.

À propos de la SADC des Îles

La SADC des Îles travaille au développement économique de l’archipel depuis près de 40 ans. Elle offre notamment du financement aux entreprises, souvent en complément à la mise de fonds de ces dernières, ainsi que de l’accompagnement sur mesure, répondant aux besoins spécifiques de sa clientèle. Les investissements de la SADC dans les entreprises locales atteignent actuellement plus de 5.8 M$. Depuis sa création en 1981, la SADC des Îles a injecté plus de 25 millions de dollars dans les entreprises du milieu. 

Source : SADC

Opération Enfant Soleil remet 32 000 $ pour le mieux-être des enfants des Îles-de-la-Madeleine

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Chaque année, Opération Enfant Soleil visite les quatre coins du Québec dans le cadre de sa tournée provinciale des hôpitaux afin de remettre les octrois aux centres hospitaliers et aux organismes de chacune des régions. Bien que la tournée ait dû être annulée à mi-parcours, Opération Enfant Soleil tient à honorer tous ses engagements envers les établissements récipiendaires de la province et continue de financer l’achat d’équipement et la réalisation de projets afin de soutenir une pédiatrie de qualité pour tous les enfants et les familles du Québec.

Pour les Îles-de-la-Madeleine, Opération Enfant Soleil remet un montant de 32 000 $ à l’Hôpital de l’Archipel. Depuis 1992, c’est 711 851 $ qui a été remis au CISSS des Îles et, à ce jour, 2 434 110 $ ont été versés dans la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine afin d’offrir les meilleurs soins et une meilleure qualité de vie aux enfants en période d’hospitalisation, grâce à l’aménagement d’espaces favorables à leur guérison.

Lou-Anne Gaudet, 12 ans, Enfant Soleil des Îles-de-la-Madeleine

Lou-Anne est atteinte de cystinose, une maladie génétique très rare qui peut endommager le fonctionnement de plusieurs organes importants de son corps. C’était le cas de ses reins, qui ne fonctionnaient qu’à 32 %. Heureusement, Lou-Anne a pu recevoir un rein de son papa. Au fil du temps, malgré les contraintes de sa maladie, la jeune fille a accepté sa condition avec maturité et résilience. La crainte d’un rejet demeure, de même que celle de voir ses autres organes se détériorer, mais les grandes avancées pharmaceutiques la rassurent et ont grandement amélioré son quotidien. Aujourd’hui, Lou-Anne est beaucoup plus énergique et enjouée, et elle entrevoit l’avenir avec optimisme.


  Lou-Anne Gaudet, 12 ans, Enfant Soleil des Îles-de-la-Madeleine


32 000 $ remis à l’Hôpital de l’Archipel

De ce montant forfaitaire, 20 000 $ sera utilisé pour l’achat d’un système d’imagerie vasculaire qui offre une meilleure détection et visualisation du système veineux de l’enfant et 12 000 $ sera remis au Fonds d’Entraide l’Envol et contribuera à améliorer le système de transport d’urgence. 


À propos d’Opération Enfant Soleil

Opération Enfant Soleil amasse des fonds pour soutenir le développement d’une pédiatrie de qualité pour tous les enfants du Québec. Grâce aux sommes recueillies, plus d’une centaine de projets se concrétisent chaque année dans les hôpitaux et les organismes régionaux ainsi que dans les grands centres pédiatriques. À ce jour, plus de 255 millions de dollars ont été remis partout dans la province grâce à la générosité de milliers de Québécois, à l’appui des bénévoles et au dévouement des partenaires. Pour en savoir plus, visitez www.operationenfantsoleil.ca.

 

Source : Opération Enfant Soleil

En direct des îles: le curé de Medellín

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CHRONIQUE / Drôle de retour de l’histoire, le Québec doit maintenant faire venir des prêtres de l’étranger pour s’occuper des fidèles. Jose Ramiro London Jaramillo m’attend à l’église Saint-Pierre où j’ai rendez-vous avec lui. Il est débarqué aux Îles-de-la-Madeleine il y a un peu plus de deux ans, loin de sa Colombie natale, où il a été ordonné prêtre en 2003. «J’ai toujours voulu être prêtre. J’avais trois ans, je jouais à la messe avec des tranches de bananes.» 

Il ne pouvait pas s’imaginer qu’à 47 ans, il viendrait prêcher devant les Madelinots.

«Je suis en mission ici.»

Les missionnaires partaient du nord vers le sud, ils font le chemin inverse aujourd’hui. «En Colombie, il y a beaucoup de prêtres, pas ici. Il y avait déjà deux prêtres de Colombie à Gaspé, ils ont su qu’ils cherchaient quelqu’un aux Îles et ils ont demandé à mon évêque. Un des deux prêtres, j’avais étudié avec lui, j’ai dit : “j’y vais!”»

Il officiait jusque-là dans la paroisse de Sante Fe de Antioquia, un village de quelque 23 000 âmes à 60 kilomètres de Medellín où il a grandi, où il jouait à la messe, enfant.

Son église était pleine à craquer. «C’était très bien là-bas, les églises étaient toujours remplies, c’était plein de monde, c’était vivant. Il y avait les enfants en avant, avec les mains en prière…» Il joint en parlant ses deux mains.

«C’était beau.»

C’est ce qui l’a frappé le plus en arrivant ici, pas la neige, pas les grands espaces, mais le vide dans les églises.

Il ne se plaint pas, répète que «Dieu n’oblige pas».

Il se concentre sur les gens qui pratiquent encore. «Il y a beaucoup de célébrations ici, c’est plus pratiquant qu’ailleurs au Québec.» En plus de tous les rituels liés à la mer, la bénédiction des pêcheurs qui partent à l’aube pour le homard, la messe quand la saison est finie.

Il baptise des enfants, des bateaux.

Il fait tellement de funérailles qu’il se demande s’il y a vraiment 12 000 habitants aux Îles. «C’est presque tous les jours…»

Ramiro ne parlait pas un mot français quand il est débarqué au Québec, il est d’abord passé par Montréal et Québec pour apprivoiser la langue. La langue française, pas le «parler madelinot», avec sa couleur et ses mots qui n’existent qu’ici, et que même le francophone de souche ne saisit pas toujours.

Comme on dit ici, «what a» méchant défi. «Jusqu’à l’âge de trois ans, tu peux apprendre toutes les langues. Moi, je suis arrivé à presque 48 ans! Au début, les gens ne me comprenaient pas… je priais, je suis un homme calme. Et maintenant, je comprends tout, tous les accents.»

Et il parle parfaitement.

Ramiro chante et joue de la guitare, il boulange. Il a étudié en philosophie, en psychologie, en arts martiaux aussi. Nous avons parlé de sa Colombie, de Medellín «qui est la ville la plus belle», de Carthagène «où il fait trop chaud».

Ramiro aime le froid.

Il aime le froid de l’hiver autant que la chaleur des Madelinots. «C’est une autre réalité ici, tout est différent. C’est très beau, les gens sont très accueillants, c’est du bon monde. Mais ce qui m’inquiète, c’est les jeunes.»

Il aimerait en voir plus.

Il se souvient d’un soir de janvier, dans la tempête. «C’était l’hiver, ma voiture ne fonctionnait pas bien, j’ai dû m’arrêter, il était presque minuit. Il y a trois personnes qui se sont arrêtées pour m’aider. Le monde est charitable.»

On a encore, ici, le sens du collectif.

L’automne dernier, Ramiro a eu du renfort du Bénin, le père Pyrrhus Hervé Agonhossou a pris le relais de l’abbé Réjean Coulombe. Ensemble, ils s’occupent des huit paroisses de l’archipel, de Bassin à Grande-Entrée, une centaine de kilomètres entre les deux extrémités, et les tempêtes l’hiver.

Ramiro et son confrère ne chôment pas, les messes sont réparties sur plusieurs jours de la semaine, sauf les lundis et vendredis, où ils sont disponibles pour rencontrer les gens, aller les voir en résidences. «Je travaille en masse pour le Bon Dieu! Ici, on est occupés tout le temps, on fait ce qu’on peut.»

Il prie beaucoup.

Pour la fête des Acadiens jeudi, il y a eu la messe de l’Assomption sur la butte à la croix à Havre-Aubert, elle y a été érigée en 1811. C’est au pied de la colline où, à la fin du 18e siècle, a été construite la première chapelle.

Où officiaient, comme aujourd’hui, des prêtres venus d’ailleurs.

Venu de France en 1774, le premier curé missionnaire ne l’a d’ailleurs pas eu facile, avec une «église itinérante» qui couvrait les Îles, le Cap-Breton et le Nouveau-

Brunswick, avec ce que ça implique. Dans un texte écrit par Rose-Délima Gaudet en 1979, j’ai trouvé ces quelques mots de Thomas-

François Leroux, qui donnent une bonne idée de l’ambiance à l’époque. «J’ai eu beaucoup de tribulations. On m’a mis le pistolet sur la gorge. J’ai fait naufrage une fois. Je suis tombé à la mer dont j’ai été retiré n’ayant plus ni mouvement ni connaissance, en revenant de mes missions. Sans compter la faim et la soif, réduit à manger de la soupe à la vache marine [le morse], et encore elle était puante. Après tant de travaux, de peines et de fatigues, on cherche à me persécuter mal à propos. Dieu soit béni!»

Un Irlandais a pris le relais en 1784.

Presque 250 ans plus tard, Ramiro a répondu au même appel, celui d’assurer la survie de ces paroisses plantées en plein milieu du Golfe. «Les gens d’ici, ceux qui pratiquent encore, ils ont besoin de prêtres.»

Dieu a beau être partout, il lui faut de «bons diables» comme Ramiro.

PAR : MYLÈNE MOISAN

Le ponchon, toujours symbole d’espoir pour les Madelinots

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Février 1910. Les glaces entourent les Îles-de-la-Madeleine et coupent ses habitants du reste du monde. Voyant les vivres se faire dangereusement rares et craignant une famine imminente, la communauté se rencontre pour trouver une solution.

Ils décident alors d’envoyer à la mer un petit tonneau, appelé un ponchon, servant habituellement à entreposer de la mélasse, mais qui, cette fois, contiendrait des lettres demandant de l’aide à qui le retrouverait.

Après plusieurs semaines, leur patience et leur courage sont récompensés. Le ponchon a réussi à atteindre les côtes du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, et du secours arrive enfin, évitant une probable catastrophe. C’est l’histoire du Ponchon, que tous les Madelinots connaissent encore à ce jour.

110 ans plus tard, voyant le désarroi des siens face à la pandémie, la fermeture des frontières et l’isolement social, le musicien bien connu et membre du groupe Salebarbes, Éloi Painchaud, a voulu se servir du symbolisme lié au ponchon pour tenter de leur redonner de l’espoir.

Depuis quelques jours, les Madelinots et tous les amoureux des Îles-de-la-Madeleine sont invités à envoyer leurs témoignages de confinement, leurs projets, les recettes apprises de leurs grands-mères ou encore leurs oeuvres d’art et leurs chansons afin de créer un genre de ponchon virtuel.

Tout ce qui est reçu est ensuite compilé sur une page d’accueil accessible à l’adresse leponchon.com. Une page Facebook consacrée au projet a aussi été créée.

Voulant appuyer l’initiative de leur camarade, les autres membres du groupe Salebarbes ont voulu apporter leur contribution au projet en traduisant une chanson de Louisiane et en l’adaptant afin qu’elle puisse servir d’hommage aux gens des Îles.

Éloi Painchaud a expliqué le but de son projet et l’importance d’apporter de l’espoir en ces temps difficiles à l’animateur Michel Doucet.


  Le ponchon des Îles-de-la-Madeleine


LA UNE : Éloi Painchaud. PHOTO : RADIO-CANADA / PASCAL GERVAIS


Sur le même sujet : LE PONCHON Un symbole d’espoir

Borlicoco & Co : de jolis objets utilitaires fabriqués aux Îles

Arrivée sur l’archipel il y a quatre ans, Marilou Pelletier a commencé à apprendre la couture. Puis, elle s’est mise à fabriquer des objets qui ont rapidement suscité l’intérêt des gens de son entourage.

Son projet de boutique physique prévu pour cet été a pris la forme d’une boutique en ligne plus tôt que prévu en raison de la crise sanitaire. Marilou Pelletier est l’invitée de Marie-Claude Tremblay.


  Entrevue avec Marilou Pelletier


LA UNE : Marilou Pelletier, dans son atelier. PHOTO : MEGGY TURBIDE

Edith BOURQUE (1935-2020)

La MAISON FUNÉRAIRE LEBLANC vous informe du décès le 21 mai 2020 de Madame Edith Bourque, elle était âgée de 84 ans et résidente de Fatima, aux Iles-de-la-Madeleine.

Elle était l’épouse de feu Monsieur John Thorne et la mère de feu Marie, Huguette (Léon), Jean-Yves, André, Serge (Hélène), Hugo (Solange). Elle avait trois petits-enfants Dominique (Rosaire-Gil), Léon-Frédéric (Lauriane), Anne-Gabrielle et trois arrière-petits-enfants Éva, Jean, Camil. Elle laisse aussi dans le deuil ses frères et sœurs Ernest, Lauraine, Thérèse, Rita, André ainsi que ses beaux-frères, belles-soeurs, neveux, nièces, parents et amis.

Les funérailles de Madame Edith Bourque seront célébrées à l’église Saint-Pierre de La Vernière, vendredi le 24 juillet 2020 à 11h00. L’inhumation suivra au cimetière Notre-Dame-du-Rosaire de Fatima.

À noter que les rituels funéraires se tiendront dans le respect des consignes et des règles sanitaires en vigueur.

Air Canada de retour aux Îles en juillet

Air Canada annonce que le service de desserte aérienne va reprendre en juillet, aux Îles-de-la-Madeleine.

Par courriel, la compagnie affirme que le service reprendra à raison d’un vol par jour, à partir de Montréal.

Air Canada a mis un terme aux liaisons avec l’archipel à la fin du mois de mars pour s’adapter en fonction des demandes de marché, expliquait-on à ce moment-là.

Le premier ministre François Legault demandait aux Québécois d’éviter de voyager d’une région à l’autre, à moins que ces déplacements ne soient nécessaires.

La réaction du maire des Îles, Jonathan Lapierre, est mitigée. C’est une bonne nouvelle parce que c’est un signe de vie de la part d’Air Canada qui tend à reprendre ses activités chez nous, considère-t-il.

Mais en même temps, ça ne peut pas être une bonne nouvelle pour les gens qui avaient des réservations en juin, et qui apprennent du même coup que leurs plans vont tomber à l’eau. Et pour juillet et août, les possibilités de se rendre aux Îles vont tout de même demeurer restreintes.

Normalement en été, Air Canada offre trois vols par jour, dont une liaison directe avec Montréal, selon le maire.

Depuis le début de la pandémie, la plupart des liaisons aériennes avaient été abandonnées en raison des restrictions imposées par la Direction de santé publique, qui avaient pour conséquence de diminuer considérablement le nombre de passagers à bord des avions.

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PHOTO : RADIO-CANADA / WILLIAM BASTILLE-DENIS

Pendant ce temps, le transporteur aérien Pascan a continué de desservir l’archipel et a même augmenté le nombre de vols hebdomadaires, grâce à un programme financier spécial de Québec.

Toutefois, les appareils de Pascan ont moins de sièges que ceux d’Air Canada.

LA UNE : Un avion d’Air Canada sur une piste de l’aéroport des Îles-de-la-Madeleine (archives). PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-FRANÇOIS DESCHÊNES

Découverte d’une deuxième carcasse de béluga en huit jours à Matane

Une deuxième carcasse de béluga, celle d’un nouveau-né, a été retrouvée à Matane en fin de semaine. Il s’agit de la deuxième repérée à Matane cette saison, après celle d’une femelle découverte tout près de là, une semaine plus tôt.

Selon le coordonnateur du Réseau québécois d’urgences pour les mammifères marins, Robert Michaud, le spécimen a été transporté et congelé pour l’examiner plus tard. L’autre carcasse retrouvée le 16 mai était une femelle adulte. Compte tenu des consignes de santé publique et de sa taille, elle n’a pu être déplacée. Les responsables ont toutefois pris des échantillons sur place. Robert Michaud mentionne qu’il est impossible pour le moment d’affirmer que la femelle était la mère du petit retrouvé en fin de semaine. Une autre carcasse avait été repérée auparavant à La Malbaie et une autre encore en fin de semaine, à la dérive, dans le golfe, ce qui fait quatre carcasses en peu de temps, mais Robert Michaud ne juge pas la situation alarmante pour le moment. «L’année dernière, on avait trouvé beaucoup de carcasses au début de la saison et on était inquiets, mais finalement le bilan de la saison a été de 17 carcasses, précise-t-il. On réserve notre jugement pour la fin de la saison.»

LA UNE : La carcasse du nouveau-né trouvée le 20 mai. PHOTO : ANNIE DURETTE, BÉNÉVOLE DU RÉSEAU QUÉBÉCOIS D’URGENCES POUR LES MAMMIFÈRES MARINS

Jardin communautaire du Campus des Îles

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En 2020, une section jardin communautaire sera ajoutée au projet de potager pédagogique et six lots de jardins seront offerts aux membres de la communauté qui souhaitent apprendre à jardiner ou qui n’ont pas accès à un terrain pour pouvoir réaliser un potager. Ces lots seront offerts en priorité aux membres du personnel du campus des Îles, puis aux membres de la communauté, selon le principe du «premier arrivé, premier servi».

Le campus des Îles-de-la-Madeleine possède un potager pédagogique qui est en activité depuis 2015. Ce potager permet d’initier les étudiants et étudiantes à l’agriculture écologique et fournit des légumes locaux et frais à la cafétéria du campus et à toute la communauté collégiale. Ce potager permet d’initier les étudiants et étudiantes à l’agriculture écologique et fournit des légumes locaux et frais à toute la communauté collégiale.

  Pour en savoir plus : Jardin communautaire du Campus des Îles

L’inscription au jardin communautaire du campus des Iles doit se faire via le formulaire en ligne disponible ICI.

Source : cegepgim.ca

Les météorologues prévoient une saison des ouragans active au Canada

En cette année spéciale, alors que sévit la pandémie de COVID-19, il sera tout aussi important pour les Canadiens de se préparer pour la saison 2020 des ouragans qui s’annonce plus active que la moyenne, a indiqué le Centre canadien de prévision des ouragans, vendredi.

Après les autorités américaines, jeudi, c’était au tour de celles du Canada de faire part de leurs prédictions pour la saison qui débute officiellement le 1er juin et se termine à la fin novembre. Pour la sixième année de suite, on a eu une première tempête tropicale, Arthur, avant le début officiel de la saison, a notamment expliqué Bob Robichaud, météorologue du Centre canadien de prévision des ouragans. L’expert a ajouté que c’était un record, mais que ce n’était pas vraiment alarmant, car la capacité du Canada à identifier les tempêtes au large s’est grandement améliorée avec l’ajout de nouveaux satellites au fil des ans. La tempête Arthur s’est formée mardi au large de la côte est des États-Unis et s’est dissipée au milieu de l’océan Atlantique, jeudi. Comme l’a indiqué l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, jeudi, la saison 2020 sera supérieure à la normale et devrait compter de 13 à 19 tempêtes, de 6 à 10 ouragans, et de 3 à 6 ouragans de catégorie 3 ou plus.

LA UNE : L’ouragan Dorian a fait de nombreux dégâts, en 2019. PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-PHILIPPE HUGHES