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Les météorologues prévoient une saison des ouragans active au Canada

En cette année spéciale, alors que sévit la pandémie de COVID-19, il sera tout aussi important pour les Canadiens de se préparer pour la saison 2020 des ouragans qui s’annonce plus active que la moyenne, a indiqué le Centre canadien de prévision des ouragans, vendredi.

Après les autorités américaines, jeudi, c’était au tour de celles du Canada de faire part de leurs prédictions pour la saison qui débute officiellement le 1er juin et se termine à la fin novembre. Pour la sixième année de suite, on a eu une première tempête tropicale, Arthur, avant le début officiel de la saison, a notamment expliqué Bob Robichaud, météorologue du Centre canadien de prévision des ouragans. L’expert a ajouté que c’était un record, mais que ce n’était pas vraiment alarmant, car la capacité du Canada à identifier les tempêtes au large s’est grandement améliorée avec l’ajout de nouveaux satellites au fil des ans. La tempête Arthur s’est formée mardi au large de la côte est des États-Unis et s’est dissipée au milieu de l’océan Atlantique, jeudi. Comme l’a indiqué l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, jeudi, la saison 2020 sera supérieure à la normale et devrait compter de 13 à 19 tempêtes, de 6 à 10 ouragans, et de 3 à 6 ouragans de catégorie 3 ou plus.

LA UNE : L’ouragan Dorian a fait de nombreux dégâts, en 2019. PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-PHILIPPE HUGHES

Séoul : Une immense vague dans un aquarium

Si vous vous promenez dans les rues de Séoul, vous découvrirez peut être cette immense vague dans un aquarium qui ne fait aucun bruit puisqu’il s’agit d’une illusion anamorphique.

Conçu par la société de médias numériques District, cette création intrigante utilise le plus grand écran publicitaire du monde, 80,1 x 20,1 mètres, et le principe d’anamorphose pour donner cet effet de 3D assez incroyable.

 
Un visuel étonnant et très sécurisant: pas de risque d’éclaboussures ni de fracture du réservoir.

Source : 2tout2rien

Cybersécurité, toujours à la mode

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Alors que nous dépendons largement de l’Internet pour rester branchés, il est important de réitérer quelques conseils de sécurité pour que vous puissiez vous protéger ainsi que votre identité et vos données personnelles lorsque vous êtes en ligne :

Utilisez un logiciel de sécurité qui vous protège des menaces venant de l’Internet, dont les logiciels malveillants et les virus. Assurez-vous de télécharger les dernières mises à jour de votre système d’exploitation et de vos applications. Les dernières versions des logiciels comprennent souvent de nouvelles mises à jour de sécurité.

Limitez ce que vous partagez en ligne. Si vous remplissez un formulaire qui exige la transmission de données sensibles, assurez-vous qu’un cadenas indiquant une connexion sécurisée se trouve à côté de l’adresse du site Web. Vérifiez bien l’adresse du site Web également pour vous assurer que vous en connaissez la source et que vous êtes satisfait.

Méfiez-vous des appels ou courriels non sollicités qui vous demandent des renseignements. Si vous devez partager de l’information avec un organisme ou un particulier, assurez-vous que vous êtes l’origine de cette communication en utilisant les coordonnées répertoriées.

Choisissez des mots de passe exclusifs et difficiles à deviner pour vos comptes pour que les pirates informatiques potentiels aient du mal à accéder à vos données. L’authentification à deux facteurs est aussi un moyen de dissuasion efficace contre tout acteur malveillant potentiel. Cela consiste à confirmer votre identité à l’aide d’un code qui vous est envoyé par texto ou par courriel en plus de votre nom d’utilisateur et mot de passe.

(Source : Conseil canadien de la sécurité)

La pensée du crabe masqué

«Partir, c’est mourir un peu, mais mourir, c’est partir beaucoup.» – Alphonse Allais

Bedecomics

 

Le homard, toujours le roi des fruits de mer

L’intérêt pour le homard ne se dément pas malgré le confinement. Bien qu’associé aux sorties au restaurant et à la fête, le homard demeure un produit printanier très recherché par les Québécois.

Historiquement, l’arrivée des premiers homards sur le marché en mai est un événement dans les supermarchés du Québec. Festivals, rassemblements, soupers communautaires, le homard est en vedette partout. COVID-19 oblige : toutes ces fêtes, comme bien d’autres, n’ont pas eu lieu. Mais le goût du homard est demeuré, assure Stéphane Bergeron, directeur de la mise en marché des viandes et des poissons pour Sobeys-IGA. «On a simplement, dit-il, à regarder dans les médias sociaux. Le consommateur recherche activement le homard. On n’a qu’à regarder dans nos magasins, on a eu des files d’attente.» Le directeur du Regroupement des pêcheurs professionnels du sud de la Gaspésie, O’Neil Cloutier, confirme l’engouement. Les prises de la première semaine de pêche des homardiers de la Gaspésie se sont écoulées sans problème sur le marché montréalais. «La réponse de nos industriels est que le marché semble vouloir se développer,» rapporte M. Cloutier. «L’approvisionnement a été un peu plus difficile en début de saison dans les supermarchés du Québec qui se sont tournés vers les homardiers des provinces maritimes,» explique Stéphane Bergeron. Les homardiers de la Gaspésie et des Îles ne sont partis en mer que le 9 mai. Ni le homard de la Gaspésie ni celui des Îles-de-la-Madeleine n’était disponible à la fête des Mères, un moment-clé de la mise en marché du fameux crustacé. Pourtant, dans les supermarchés Sobeys et IGA, c’est le homard du Québec qui a la cote et notamment le homard gaspésien. C’est donc vers ces nouveaux arrivages que se tournera Sobeys pour approvisionner les supermarchés du Québec au cours des prochaines semaines.

LA UNE : Le homard de la Gaspésie sera disponible en fin de semaine dans les marchés du Québec à des prix rarement vus au cours des dernières années. PHOTO : RADIO-CANADA / MARTIN TOULGOAT

L’inquiétant état corporel des baleines noires de l’Atlantique Nord

Pour arriver à cette conclusion, il a fallu la collaboration de 12 instituts de recherche, dans 5 pays différents. Cette équipe internationale s’est attelée à mesurer la longueur et le tour de taille de baleines noires grâce à la photographie aérienne et à la technique dite de photogrammétrie. Trois des populations étudiées – des baleines franches australes d’Argentine, d’Australie et de Nouvelle-Zélande – sont des populations en croissance, tandis que la population de baleines noires de l’Atlantique Nord (Eubalaena glacialis) est, elle, en déclin.

Un manque de graisse alarmant

Avec moins de 410 représentants de son espèce et un taux de natalité très faible, Eubalaena glacialis, est aussi la baleine qui présente le moins bon état corporel. «Juvéniles, adultes ou femelles allaitantes: toutes les baleines noires de l’Atlantique Nord possédaient un score de condition corporel plus faible que les populations australes», souligne l’étude.

Pire, insiste Fredrik Christiansen en entrevue, «l’ampleur de différence de condition corporelle entre les femelles adultes de l’Atlantique Nord et du Sud était plus importante que ce qu’une baleine franche australe perd au cours des trois premiers mois d’allaitement, qui est considéré comme la période la plus difficile sur le plan énergétique pour les femelles dans leur cycle de reproduction.»

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Il reste moins de 410 baleines noires de l’Atlantique Nord. ©MICS

Or, le stockage de graisse est indispensable à la survie des baleines noires, espèces migratrices qui passent une partie de leur cycle dans les eaux froides et une partie de leur cycle à jeuner. Ce gras apporte l’énergie suffisante au déplacement, mais également à la reproduction. Le piètre état corporel des baleines noires de l’Atlantique Nord est donc alarmant, et affecte très probablement leur taux de survie, mais également leur croissance, l’âge de la maturité sexuelle, la fréquence de la reproduction ainsi que le taux de survie des veaux. « La mauvaise condition physique des individus au sein de la population est une préoccupation majeure pour sa viabilité future », s’inquiètent les chercheurs.

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Un mauvais état corporel des femelles pourrait affecter la fréquence de reproduction, le taux de survie et le taux de croissance des veaux. ©Fish and Wildlife Research Institute Florida

Les veaux épargnés?

 L’une des surprises de cette étude est le bon état corporel des veaux de baleines noires de l’Atlantique Nord. En effet, ces derniers ne montrent pas de différence d’état significative avec leurs homologues de l’hémisphère Sud. Cependant, l’étude montre un lien étroit entre la condition corporelle de la mère et la longueur du veau, ce qui suggère qu’un allaitement insuffisant impacte non pas le tour de taille, mais la vitesse de croissance des veaux.

Des causes humaines

Qu’est-ce qui explique cette différence d’état corporel entre baleines noires australes et boréales ? Pour les chercheurs, elle est liée à la présence humaine dans l’habitat de la baleine noire de l’Atlantique Nord. En effet, si les populations du Sud résident dans des environnements peu investis par les humains, la population du Nord, elle, habite les zones côtières étasuniennes et canadiennes, ce qui lui a valu le surnom de «baleine urbaine». Mettant bas au large de la Floride et de la Géorgie en hiver et se nourrissant entre autres dans le golfe du Saint-Laurent en été, les baleines noires de l’Atlantique Nord partagent l’espace avec les pêcheurs de crabe, et de homards et croisent les routes des navires marchands.

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On estime que plus de 80% des Baleines franches de l’Atlantique Nord s’empêtrent dans des cordages au moins une fois dans leur vie. ©Campobello Whale Rescue Team

L’étude pointe ainsi du doigt les nombreuses collisions ainsi que les empêtrements fréquents dans les cordages de pêche, qui, s’ils ne les tuent pas toujours, peuvent gêner et affaiblir considérablement les baleines. Une autre piste est le changement d’abondance et de distribution de la principale source d’alimentation des baleines noires, les copépodes, due aux modifications climatiques.

Les nouvelles mesures prises en 2020 pour diminuer les risques d’empêtrement et de collision (zones de fermeture « dynamiques », marquage des cordages, et diminution de la vitesse) sont donc plus que jamais d’actualité pour la sauvegarde des dernières baleines noires de l’Atlantique Nord.

LA UNE : Des baleines noires australes en bonne santé provenant de trois populations (à gauche, trois photographies) à côté d’une baleine noire de l’Atlantique Nord beaucoup plus maigre (à droite), visiblement en moins bonne santé. © Fredrik Christiansen (à gauche et au centre gauche), Stephen M. Dawson (au centre droit), John W. Durban et Holly Fearnbach (à droite). Toutes les photos ont été prises avec un permis de recherche.

L’Île-du-Prince-Édouard en verre de mer, une œuvre de Louise Bernard

Pendant le confinement, bien des gens se lancent dans des projets qui demandent du temps et de la concentration.  Et pourquoi pas une table d’appoint recouverte de verre de mer?

C’est le projet que Louise Bernard de Mont-Carmel a entrepris, elle qui collectionne le verre de mer depuis 2009.  «Je commençais à en avoir vraiment beaucoup.  Il fallait que je fasse quelque chose.  J’avais acheté une petite table à café avec l’intention de faire quelque chose avec du verre de mer.   J’ai commencé à jouer avec des motifs et des formes, et finalement, mes enfants ont suggéré que je fasse l’Î.-P.-É.», a-t-elle expliqué.

Pour réaliser le projet, elle a sélectionné les morceaux les plus plats de la bonne couleur.  «Mon prochain projet, je vais tenter de trouver des éclats de verre de mer encore plus plats.  J’ai eu besoin de mettre quatre couches de résine d’époxy.  Et auparavant, j’avais collé chaque morceau un par un.  Ç’a pris beaucoup de temps».

Son seul petit regret? «J’aurais dû suivre ma première idée et placer un petit morceau rouge ou bleu ou jaune à l’emplacement de la région Évangéline».

Quant à l’endroit où elle trouve ses morceaux de verre, elle le garde secret.  (J.L.)

Photo : Louise Bernard

Niaiseries Acadiennes : COVID-19: Interdiction de jouer à la tag BBQ jusqu’en 2024

ATTENTION, VOUS ÊTES SUR UNE PAGE D’HUMOUR SATIRIQUE DESTINÉE À L’HUMOUR ET NON À INFORMER LES GENS. BON RIRE!

OTTAWA – Le premier ministre du Canada a mentionné lors de son point de presse quotidien, aujourd’hui, que l’interdiction de jouer à la tag BBQ serait maintenue jusqu’en 2024.

Selon les études scientifiques, ce jeu permet une faible distanciation sociale, une transmission communautaire élevée et un échange de microbe par la salive.

«La nouvelle génération de jeunes ne connaîtra pas la tag BBQ et ça me fait de la peine», a mentionné Justin Trudeau, très ému.

Monsieur Trudeau mentionne que le règlement devra être respecté, sous peine d’amende.

Journaliste: Joyce Lapierre

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La musique, c’est ici : Denis Boudreau

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Hommage à nos voix d’ici. Nous vous offrons en exclusivité sur ilesdelamadeleine.com une vidéo chaque mois pour souligner le talent de nos artistes des Îles de la Madeleine.

Bonne écoute!

Une idée originale de ilesdelamadeleine.com
Vidéo : Courtoisie de Denis Boudreau

 

Les Premières Nations de l’Est-du-Québec saluent l’abandon du projet Old Harry

Les communautés mi’gmaq de la Gaspésie, les Innus de la Côte-Nord et la Première nation Wolastoqiyik Wahsipekuk (Malécites de Viger) se sont toujours opposés à de possibles travaux de forage au large des Îles-de-la-Madeleine.

Plus tôt cette année, la compagnie d’exploration pétrolière et gazière Corridor Resources, devenue Headwater Exploration, indiquait au gouvernement terre-neuvien qu’elle renonçait à renouveler son permis d’exploration du gisement. Une demande similaire a été aussi déposée récemment au gouvernement du Québec. La nouvelle avait été applaudie par les groupes environnementaux. C’est maintenant au tour des Premières Nations d’exprimer leur satisfaction. Les communautés du Québec qui bordent le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent rappellent que les études environnementales menées par Québec et Terre-Neuve ne tenaient pas compte de leurs droits ancestraux, ni des possibles répercussions sur la faune et la flore du golfe. Il n’y a pas d’études qui ont été capables de démontrer qu’il n’y a pas de dangers éventuels pour le Saint-Laurent , observe le conseiller stratégique aux communications du Secrétariat Mi’gmawei Mawiomi, Donald Jeannotte-Anglehart.

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Le gisement Old Harry, à cheval sur les limites maritimes de Terre-Neuve-et-Labrador et du Québec. PHOTO : RADIO-CANADA / CAROLANNE JEAN

Les communautés autochtones du Québec maritime sont aussi très actives dans l’industrie de la pêche. Les risques associés à l’exploitation d’un gisement pétrolier ou gazier dans le golfe étaient d’importantes préoccupations. Comme Québec et Ottawa n’ont pas fermé la porte à d’autres projets dans le golfe, Donald Jeannotte-Anglehart souligne que les communautés demeureront vigilantes. C’est fini jusqu’à ce qu’il n’y ait pas un autre projet. On ne pense pas qu’il va y avoir un autre projet dans un bref laps de temps, mais on ne sait jamais : cette industrie est pleine de surprises, relève le conseiller. De récentes mobilisations, comme celle des Wet’suwet’en, ont démontré la capacité d’action et d’influence des Premières Nations. Toutefois, les projets comme ceux de Old Harry suscitent souvent moins d’intérêt, estime le porte-parole mi’gmaq. Ce sont des projets qui sont isolés en milieux marins. Il y a des gens qui ne sont même pas au courant que ces projets existent. Le gouvernement a une obligation de consulter. Nous, c’est pour ça qu’on le sait. Selon M. Jeanotte-Anglehart, la seule solution demeure un moratoire sur tout projet d’exploration gazière et pétrolière dans le golfe. Cette revendication est défendue depuis 2013 par les neuf communautés innues du Québec, les Wolastoqiyik Wahsipekuk au Bas-Saint-Laurent et les trois communautés mi’gmaq du Gesgape’gewa’gi.

LA UNE : Old Harry, à la frontière entre le Québec et le Labrador, est situé à 80 km des Îles-de-la-Madeleine. PHOTO :  PIER GAGNÉ

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Les baleines noires bien arrivées dans le Golfe du Saint-Laurent

Pêches et Océans Canada ferme de nouveaux quadrilatères en raison de la présence confirmée de baleines noires de l’Atlantique Nord dans la Golfe du Saint-Laurent.

Certains quadrilatères de pêche seront fermés pour toute la saison. Une baleine a été observée samedi dernier entre Grande-Vallée et l’île d’Anticosti. Deux autres spécimens ont été aperçus le lendemain entre la péninsule gaspésienne et les Îles-de-la-Madeleine. Ces observations entraînent la fermeture temporaire le 21 mai de 15 quadrilatères entiers et la fermeture partielle de deux autres zones de pêche.

Fermetures complètes
Les observations de dimanche ont été réalisées dans des secteurs où des baleines avaient déjà été repérées il y a moins de 15 jours. En conséquence, huit quadrilatères seront dorénavant fermés jusqu’au 15 novembre 2020. Ces dispositions suivent les nouvelles règles qui s’appliquent cette année aux fermetures de zones de pêche, explique Élise Lavigne, directrice aux programmes nationaux des ressources halieutiques à Pêche et Océans Canada.

LA UNE : Des baleines noires de l’Atlantique Nord (Eubalaena glacialis). PHOTO : PÊCHES ET OCÉANS CANADA/JOLINNE SURRETTE