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CTMA dévoile son navire potentiel pour la traverse Rivière-du-Loup

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Selon un article de Ciel FM, la CTMA, bien établie aux Îles-de-la-Madeleine, manifeste un intérêt marqué pour gérer la traverse entre Rivière-du-Loup et Saint-Siméon. Lors de l’appel d’intérêt terminé en mars dernier, l’entreprise a soumis une proposition complète incluant le NM Samsoe, un navire construit en 2009 au Danemark. Celui-ci se distingue par un tirant d’eau de 2,8 mètres, idéal pour les conditions du quai de Rivière-du-Loup, sujet à l’envasement. En plus d’être plus long, il est aussi plus rapide que le NM Trans-Saint-Laurent.

Le projet de la CTMA comprend des solutions logistiques et opérationnelles conçues pour offrir une transition fluide et améliorer la fiabilité de la traverse. Cependant, malgré l’approche proactive de la compagnie et la soumission de son dossier, la CTMA n’a toujours pas reçu de réponse de la part des autorités gouvernementales, la Société des traversiers du Québec devant rendre sa décision avant la fin de l’automne. Si le projet venait à être approuvé, il marquerait une étape importante pour la compagnie, lui permettant d’étendre ses services tout en renforçant l’accès aux régions maritimes.

La proposition de la CTMA répond également aux préoccupations liées aux infrastructures existantes, le faible tirant d’eau du NM Samsoe étant particulièrement adapté pour naviguer dans les eaux peu profondes du quai de Rivière-du-Loup. Avec une capacité accrue et des caractéristiques modernes, ce navire pourrait représenter une amélioration notable pour la desserte entre les deux rives du Saint-Laurent.

La décision imminente du gouvernement pourrait ouvrir la voie à une collaboration renforcée entre le secteur public et les opérateurs privés, marquant une évolution dans la gestion des traverses fluviales québécoises.

 

LA UNE : © Nicolaj Jepsen

Source : Fm, C. 1. (s. d.). La CTMA aurait son navire pour opérer la traverse à partir de Rivière-du-Loup. CIEL 103,7 FM. https://www.ciel103.com/nouvelle/7438-la-ctma-aurait-son-navire-pour-operer-la-traverse-a-partir-de-riviere-du-loup


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Les changements climatiques ont raison de l’observation des blanchons

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Face aux changements climatiques, l’entreprise madelinienne qui organisait des excursions d’observation de blanchons depuis 40 ans fait une croix définitive sur l’activité hivernale qui a contribué à la renommée internationale des îles de la Madeleine.

On a pris la décision officiellement de mettre dans nos archives ce merveilleux projet que le Château Madelinot et les îles de la Madeleine accueillent depuis 1985, annonce la copropriétaire du Château Madelinot, Ariane Bérubé.

Ça n’a pas été une décision facile, ça fait partie de notre ADN, de la génétique de la destination.

Une citation de Ariane Bérubé, copropriétaire du Château Madelinot

Alors que l’hôtel madelinot n’avait jamais annulé l’activité avant 2010, il a été contraint de le faire huit fois au cours des 15 dernières années, en raison de l’absence de glaces suffisamment solides pour y transporter des touristes de façon sécuritaire.

Un blanchon sur la banquise avec deux femmes couchées à l'arrière avec des appareils photo.

Dans les années 1990, l’observation des blanchons attirait jusqu’à 400 touristes aux îles de la Madeleine sur une période de quatre semaines. (Photo d’archives) Photo : D.I. Jeske/Tourisme Îles de la Madeleine

En début d’année, le Château Madelinot avait annoncé avoir mis fin à ses efforts de commercialisation entourant l’observation des blanchons, mais l’entreprise était prête à organiser des excursions si une banquise solide se formait dans les prochaines années.

L’hôtel indiquait alors garder une liste de clients disposés à reporter leur participation d’une année à l’autre.

Toutefois, l’entreprise a depuis changé son fusil d’épaule et met définitivement fin aux espoirs d’organiser l’activité à nouveau.

C’est vraiment l’imprévisibilité des opérations qui nous a amenés à prendre cette décision-là, parce qu’il y a un bon investissement de temps et d’argent pour la tenue de cette activité-là, rapporte Ariane Bérubé. Maintenant, on informe les clients que, malheureusement, en raison des changements climatiques, on doit cesser nos activités.

Un blanchon et un phoque adulte sur un morceau de glace flottant parmi plusieurs autres amas de glaces, avec des eaux libres à l'arrière.

Le réchauffement climatique rend la présence de glace solide sur le golfe du Saint-Laurent très imprévisible. (Photo d’archives) Photo : Rei Ohara/Hôtels Accents

Les dernières expéditions d’observation des blanchons remontent à 2020. Les observations faites depuis ne permettent pas au Château Madelinot de voir un avenir durable pour l’activité.

Depuis 2020, on a suivi l’évolution du couvert de glace de près pour voir comment il se comportait, explique Mme Bérubé. Oui, parfois il y a eu de la glace, mais ça nous aurait permis de tenir nos activités durant deux jours seulement, comparativement aux trois ou quatre semaines qu’on faisait avant.

Ariane Bérubé photographiée devant la façade de l'hôtel, en hiver.

La copropriétaire et directrice des ventes du Château Madelinot, Ariane Bérubé, explique que depuis 2020, le couvert de glace est insuffisant pour organiser l’activité. (Photo d’archives) Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Un coup dur selon Tourisme Îles de la Madeleine

Le directeur général de l’association touristique madelinienne se désole de la fin de l’activité qui a contribué à la renommée internationale de l’archipel.

C’est un coup dur quand même parce qu’il faut reconnaître que l’observation des blanchons faisait partie de l’ADN du produit touristique, affirme Michel Bonato. C’était notre fer de lance du développement hivernal.

Il souligne que ce produit touristique était le seul qui avait un prestige plus grand que la destination touristique madelinienne en elle-même. Il y avait des gens qui venaient observer les blanchons qui ne savaient même pas que c’était aux îles de la Madeleine, affirme M. Bonato.

Michel Bonato derrière un lutrin lors de la Journée du tourisme, le 6 novembre 2024.

Le directeur de Tourisme Îles de la Madeleine, Michel Bonato, souligne que le réchauffement climatique remet en question plusieurs activités touristiques hivernales. Photo : Radio-Canada / Isabelle Larose

Michel Bonato croit que cette décision vient concrétiser les impacts des changements climatiques sur les entreprises touristiques, particulièrement aux îles de la Madeleine.

Il y a 10 ou 15 ans, on nous disait qu’il n’y aurait plus de banquise et plus d’observation, mais on n’arrivait pas à le concevoir, mais maintenant on réalise que c’est vrai. C’est une force inéluctable.

Une citation de Michel Bonato, directeur général de Tourisme Îles de la Madeleine

Le directeur général de Tourisme îles de la Madeleine estime que d’autres produits de niche pourront stimuler le tourisme durant la saison morte, dont l’arrivée de croisières hivernales en 2025, les congrès d’affaires et les tournages cinématographiques qui sont de plus en plus nombreux.

Deux phoques sur la banquise avec des gens et des hélicoptères en arrière-plan.

La banquise devait être suffisamment épaisse pour permettre l’atterrissage d’hélicoptère et la circulation sécuritaire des touristes. Photo : Gracieuseté du Château Madelinot

De son côté, le Château Madelinot entend valoriser l’héritage de l’observation des blanchons. Deux expositions de photos qui témoignent de l’activité sont déjà en place dans l’hôtel.

Le Château Madelinot participe également à plusieurs études pour partager son expérience, dont l’une menée par la Chaire de tourisme de l’UQAM portant sur l’adaptation des entreprises touristiques face aux changements climatiques.

L’observation des blanchons sera un beau souvenir, on aura été chanceux de vivre ça aux îles de la Madeleine, conclut Ariane Bérubé.

 

LA UNE : Depuis 2010, les excursions d’observation des blanchons ont été annulées une année sur deux, car les glaces étaient absentes ou trop minces pour y transporter des touristes. (Photo d’archives) Photo : Rei Ohara

 

Top-5 : Deux buts pour Macklin Celebrini, dont un magnifique

Le Canadien s’est incliné hier soir au New Jersey. Une autre défaite pour les hommes de Martin St-Louis…

Mais il y avait aussi 11 autres matchs présentés à travers la LNH.

Allons faire le tour :

1 : Deux buts pour Macklin Celebrini 

Les Sharks n’ont pas un bon début de saison.

Mais au moins, Macklin Celebrini est de retour au jeu, lui qui a dû manquer le premier mois de la campagne en raison d’une blessure.

Hier soir, le jeune homme s’est démarqué face au Wild… Même si son club a encore perdu.

Celebrini a marqué deux buts, et son deuxième était particulièrement beau :

Le Wild a tout de même gagné le match par la marque de 5-2, infligeant du même coup une onzième défaite (en 15 matchs) aux Sharks.

Il faut célébrer les petites victoires à San Jose et de voir Celebrini marquer deux buts, cela en est une. 

2 : Un plateau impressionnant pour Marc-André Fleury 

Justement, en parlant du match entre les Sharks et le Wild…

Du côté du Minnesota, c’était Marc-André Fleury qui avait la tâche de garder les buts pour la rencontre.

Et en obtenant le départ, Fleury a eu l’occasion de rejoindre Patrick Roy au troisième rang pour les gardiens ayant disputés le plus de matchs dans la Ligue nationale.

Seuls Roberto Luongo (1044 matchs) et Martin Brodeur (1266 matchs) le dépassent à ce chapitre.

Fleury, lui, est maintenant à 1029 rencontres en carrière :

Il lui reste 15 matchs avant de rejoindre Luongo au deuxième rang de l’histoire.

Ça devrait se faire cette saison, logiquement…

3 : Une autre défaite gênante pour les Preds 

Bon. Là… Ça commence à être inquiétant.

Du moins, c’est ce que Barry Trotz doit être en train de se dire en ce moment.

On sait que les Preds connaissent un début de saison atroce, et ça s’est encore poursuivi hier soir.

Les Predators étaient en Floride pour y affronter les Panthers… Et ils ont accordé pas moins de six buts à leurs adversaires :

La victoire de 6-2 des Panthers leur permet de signer une sixième victoire consécutif. Pas mal!

Mais ce qu’il faut surtout retenir, c’est que les Predators ne sont tout simplement pas capables de gagner.

Ça a l’air un peu fou avec toutes les récentes acquisitions importantes… 

4 : Les Jets sont inarrêtables 

Les Jets de Winnipeg sont solides depuis le début de la saison.

Genre, très solides.

Connor Hellebuyck a d’ailleurs été parfait hier soir en arrêtant les 35 tirs dirigés vers lui, alors que son club affrontait l’Avalanche du Colorado.

Les gros canons de l’Avalanche n’ont pas été en mesure de percer la muraille Hellebuyck et les Jets l’ont finalement emporté par la marque de 1-0.

Gabriel Vilardi a été l’unique marqueur des siens.

Il s’agit donc d’une 13e victoire en 14 matchs pour les Jets depuis l’amorce de la campagne.

Qui sera en mesure de les arrêter? 

5 : Un record pour Crosby

Sidney Crosby est entré dans l’histoire de la Ligue nationale hier soir.

Le capitaine des Penguins, dans la défaite de 5-1 de son club face aux Hurricanes de la Caroline, a remporté sa 14 838e mises au jeu en carrière dans la LNH.

Et ça, c’est un record :

Crosby a dépassé Patrice Bergeron pour s’emparer du premier rang à lui seul.

Lui, sa place est déjà faite au Temple de la renommée…

Notons que dans le match, Jack Roslovic a marqué ses 8e et 9e but de la saison.

Il connaît un bon début de saison, tout comme les Hurricanes : la formation de la Caroline a maintenant remporté ses huit derniers matchs.

Prolongation

– Il est trop fort.

– Un combat de Québécois!

– C’est pour ça qu’il est l’un des meilleurs de la ligue.

– Oh.

– Il est en feu, lui.

– Wow.

– Classique.

– Tu ne peux pas faire ça, mon Connor.

– Les meilleurs pointeurs de la soirée :

(Crédit: Capture d’écran LNH.com)

– Horaire tranquille ce soir :

(Crédit: Capture d’écran Google)

Le documentaire Accepte-toi comme je suis en première aux Îles-de-la-Madeleine

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Le film documentaire Accepte-toi comme je suis, d’Emmanuelle Roberge, est présenté en première québécoise le 7 novembre aux Îles-de-la-Madeleine.

C’est le fruit de la rencontre de la réalisatrice avec Élise Cornellier Bernier, une personne transgenre qui habite depuis de nombreuses années dans l’archipel. La cinéaste capte avec respect la vie d’Élise, qui nous offre sa perspective sur la transidentité.

LA UNE : Élise Cornellier Bernier, dans le documentaire « Accepte-toi comme je suis ».PHOTO : Emmanuelle Roberge

Éphémérides : Inauguration d’une mine de manganèse

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08 novembre 1940 : Inauguration d’une mine de manganèse à Cap-aux-Meules.

Les opérations minières débutèrent en avril 1891 sur le terrain de William Quinn, le lot 100 du cadastre de l’Île de Cap-aux-Meules. Ces opérations furent contestées devant la cour de justice par le propriétaire des Îles, Sir Isaac Coffin, qui obtient gain de cause.

Le 8 novembre 1940, la mine est inaugurée.

En 1941, Albin Petitpas perdra la vie à la suite d’un éboulement.

La mine cessera ses activités le 20 novembre 1948, faute de minerai suffisant pour justifier son exploitation.

Photo : Mine de Manganèse Mine. Cap-aux-Meules / R.H. Taschereau . – 1948

Vous avez un véhicule à problèmes? Voici quelques solutions

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Faire l’acquisition d’un véhicule neuf est une transaction importante dans une vie ; c’est d’autant plus vrai avec l’augmentation des prix. Tout le monde souhaite, bien sûr, trouver le véhicule qui lui convient et d’avoir un parcours sans problèmes tout au long de sa possession. Malheureusement, il peut arriver dans certains cas que le véhicule acquis présente un nombre élevé de problématiques ou un problème irritant qui ne semble insolvable. L’expression bien connue pour qualifier ce genre de véhicules c’est « un citron ». Parmi toute cette malchance, il existe heureusement des solutions et des outils pour les consommateurs québécois.

Que veut dire un véhicule « citron »?

Quand on dit qu’un véhicule est un citron, c’est en fait une expression pour décrire un véhicule à problèmes qui connaît de nombreuses défectuosités. Selon la loi en vigueur au Québec, pour qu’un véhicule se qualifie, il y a trois conditions : trois tentatives de réparation infructueuse sur un même problème sous garantie ou 12 tentatives infructueuses de réparation d’une défectuosité qui n’ont pas besoin d’être reliées entre elles ou après une tentative de réparation qui a forcé la concession à conserver le véhicule pour une durée supérieure à 30 jours. Cependant, pour ce dernier point, on ne peut pas tenir compte d’une période de pénurie de pièces qui retarde la réparation. De plus, le véhicule neuf ne doit pas avoir plus de 3 ans d’âge et plus 60 000 kilomètres au compteur. Il est aussi important de préciser que le véhicule n’a pas besoin de remplir les trois conditions mentionnées ci-haut ; une seule est nécessaire.

La discussion à l’amiable d’abord

Je me suis récemment entretenu avec le responsable des Relations médias de l’Office de la protection du consommateur (OPC), Charles Tanguay, afin d’en apprendre davantage. Il m’a mentionné qu’il est toujours mieux de prioriser la discussion et la négociation à l’amiable avant d’amener une cause devant les tribunaux. Pourquoi? Dans un premier temps, une cause devant les tribunaux peut devenir coûteuse en temps et en argent pour le consommateur. Pour la concession ou le constructeur, si un véhicule est déclaré VGD (véhicule gravement défectueux) par un tribunal, le véhicule en question se voit attribuer cette étiquette de façon permanente, un peu comme un véhicule VGA (véhicule gravement accidenté), ce qui affecte sa valeur.

Il est donc toujours recommandé d’entrer en contact avec le responsable à la concession ou encore avec le constructeur pour exposer la situation et expliquer les problèmes vécus avec le véhicule. Dans cette négociation, le consommateur peut, par exemple, demander la résiliation du contrat, obtenir un autre véhicule en échange ou obtenir une somme monétaire à titre de dommages et intérêts.

Si cette avenue ne fonctionne pas, c’est à ce moment que le consommateur peut envoyer une mise en demeure avec un délai de réponse.

Un nouveau partenariat, un outil encore plus efficace

Depuis 2016, l’Office de la protection du consommateur a mis en ligne l’outil « Parle consommation ». Il s’agit d’une plateforme virtuelle neutre, privée, sécurisée et, surtout, gratuite, qui permet d’aider à déjudiciariser les différends qui peuvent survenir entre un client et une concession.

Dès l’an prochain, cet outil en ligne sera encore plus complet. En effet, le 25 octobre dernier, le ministère de la Justice du Québec a procédé à l’annonce du partenariat entre l’OPC et le secteur de l’automobile. À l’heure actuelle, près de 130 commerçants d’automobiles se sont déjà inscrits sur la plateforme. Cependant, ceux qui ne l’ont pas encore fait et qui sont membres de la corporation des concessionnaires d’automobiles du Québec (CCAQ) devront s’y inscrire avant le 1er janvier 2025, sans quoi, ils ne pourront pas avoir la nouvelle certification de leur corporation. Le nombre de participants sera donc à la hausse.

Le partenariat regroupe la CCAQ, l’Association des marchands de véhicules d’occasion du Québec (AMVOQ) et l’Association pour la protection des automobilistes (APA). L’année dernière seulement, plus de 2 100 litiges ont été traités sur cette plateforme, et le taux de satisfaction ressorti était de 89 %.

Il s’agit donc d’un outil intéressant encore méconnu et qui peut aider les consommateurs victimes d’un litige avec une concession.

Le PAVAC, une autre option possible

En plus des précédentes solutions proposées, il existe aussi le Programme d’arbitrage pour les véhicules automobiles du Canada (PAVAC). Ce programme existe depuis 2021 chez nous, mais demeure encore méconnu par un bon nombre de personnes. Cependant, contrairement au programme de l’OPC, le PAVAC est financé par l’industrie de l’automobile, et seuls les constructeurs membres en font partie. Cela veut donc dire que vous devez posséder un véhicule d’un constructeur membre afin de pouvoir utiliser les services du PAVAC. La liste complète à jour des constructeurs d’automobiles se trouve sur le site web du programme canadien.

En conclusion, il n’est jamais intéressant de se retrouver avec un véhicule à problèmes. Cependant, il est rassurant de voir que nous ne sommes pas laissés à nous-mêmes à titre de consommateurs québécois, et que des solutions s’offrent à nous en cas de problème, même si cela risque de demander temps et argent, dans certains cas.

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Toyota présente deux concepts éclatés au SEMA 2024

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Le Salon SEMA de Las Vegas est l’occasion pour les constructeurs d’automobiles de ne présenter que des concepts bien souvent lourdement modifiés. Toyota y présente actuellement plusieurs véhicules modifiés à son kiosque. Cependant, deux modèles ont retenu notre attention. Il s’agit du concept 4Runner TRD Surf et du concept CALTY Land Cruiser ROX.

Concept 4Runner TRD Surf

Ce premier concept est parti d’une idée, transformer un tout nouveau Toyota 4Runner TRD 2025 en un véhicule inspiré de la culture du surf de la Californie du Sud avec un petit clin d’œil rétro. Le concept 4Runner TRD Surf se distingue d’un modèle régulier par une configuration de toit et de portières lourdement modifiée, notamment. D’abord, il n’y a plus de portières à l’arrière. Le constructeur n’a conservé que celles à l’avant pour faire du véhicule un VUS à 2 portières. Ensuite, le concept est muni d’un toit amovible sur toute la portion derrière le conducteur et le passager. Les concepteurs ont réussi, en travaillant d’arrache-pied, à conserver la ligne d’origine et à faire une intégration du toit amovible avec la carrosserie de façon discrète. Une fois le toit enlevé, le coup d’œil est assez unique.

Sur le plan technique, le concept 4Runner TRD est doté de bras de suspension supérieurs et inférieurs en aluminium et bénéficie aussi de quelques améliorations du côté de la direction, des essieux avant et du boîtier arrière. Ce dernier est d’ailleurs emprunté au Toyota Tundra. Afin de compléter son allure unique à l’extérieur, il est doté d’une peinture et de décalques exclusifs ainsi que de pneus de 37 pouces.

L’habitacle bénéficie lui aussi de quelques changements. On parle ici d’un intérieur qui résiste aux intempéries grâce à un revêtement doux et imperméable. De plus, comme il n’y a plus de portières à l’arrière, le siège du passager avant s’incline vers l’avant afin de permettre un accès plus facile aux sièges arrière.

Concept CALTY Land Cruiser ROX

Ce second concept est parti d’une idée bien différente du précédent. En effet, le concept CALTY Land Cruiser ROX mise plutôt sur les aventures hors route comme le camping ou les expéditions hors des sentiers battus. Selon Toyota, le Land Cruiser d’origine a dû être réinventé dans une proportion de 50 %, et on a dû utiliser de nouveaux composants pour fabriquer ce concept. Le constructeur a complètement refait certains panneaux de carrosserie, mais a aussi installé une suspension à 4 roues indépendantes personnalisée par l’équipe TRD surélevée de 102 millimètres. De plus, la largeur de voie a été augmentée de 203 millimètres au moyen de bras de suspension en aluminium forgé à l’avant et à l’arrière. Cela ajoute à l’allure et au comportement routier du véhicule.

Le concept ne manque pas également de faire un clin d’œil au passé et à l’héritage du modèle avec carrosserie peinte en « Spring Green ».

Toyota mentionne aussi avoir eu recours à l’impression 3D pour certains composants, les seuils de portières avant et arrière. L’habitacle possède aussi un habillage unique grâce à une sellerie de cuir appelée « Heritage Orange ». Les panneaux de portières ont, quant à eux, des ensembles de sécurité intégrés et des sangles de rangement pour les lunettes de soleil ou tous autres équipements.

Même si ces concepts proposent des aspects intéressants avec les nombreuses modifications apportées, ils ne trouveront pas le chemin de la production. Cependant, ils donneront assurément quelques idées à des propriétaires passionnés et fortunés qui pourraient vouloir apporter quelques modifications à leur 4Runner ou à leur Land Cruiser.

Plus de détails :

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Le Suzuki Vitara fait le saut dans l’électrique

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Il y a déjà dix ans que Suzuki ne vend plus de véhicules sur le marché canadien. Cependant, le constructeur n’a pas arrêté de construire et de vendre des véhicules. En effet, Suzuki, dans sa division automobile, est toujours présente ailleurs dans le monde, plus précisément sur le vieux continent. D’ailleurs, la marque japonaise s’apprête à commercialiser son premier véhicule électrique. Il s’agira du e Vitara 2025, un VUS électrique.

Un premier véhicule électrique de Suzuki

Dévoilé récemment du côté de Milan, en Italie, le Suzuki e Vitara 2025 sera le premier véhicule électrique à batterie du constructeur japonais. Il reposera sur une nouvelle architecture appelée HEARTECT-e, une plateforme précisément dédiée aux véhicules électriques de la marque. Cette plateforme servira à d’autres véhicules électriques futurs de Suzuki. Il est intéressant de noter que Suzuki a opté pour un design complètement différent de son homologue à essence, un peu comme Chevrolet a fait avec l’Equinox et l’Equinox EV.

Sous le véhicule, il est pertinent d’observer la technologie de la batterie utilisée. On parle ici de batterie lithium-fer-phosphate, au lieu de lithium-ion encore principalement utilisé dans les véhicules électriques sur le marché nord-américain. Deux capacités sont offertes : 49 et 61 kilowattheures. La première alimentera la mécanique du modèle à 2 roues motrices, tandis que la seconde sera utilisée dans le modèle à transmission intégrale. Selon Suzuki, le réglage du rouage intégral « ALLGRIP-e » permettra au e Vitara 2025 de franchir des terrains plus accidentés.

Au moment d’écrire ces lignes, la fiche technique présente dans le communiqué de presse contient beaucoup de détails techniques sur le Suzuki e Vitara 2025, mais rien sur l’autonomie. Cette donnée importante risque d’être dévoilée un peu plus tard.

Pas chez nous

Pour ceux qui espéraient revoir un véhicule Suzuki neuf sur le marché canadien, ce ne sera pas le cas. Le Suzuki e Vitara 2025 sera offert dans différents pays du continent européen ainsi qu’en Inde et au Japon à l’été 2025. Cependant, ce n’est pas dans les plans du constructeur de faire un retour en Amérique du Nord.

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L’hécatombe continue chez Stellantis : Jeep coupe un quart de travail à Toledo

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Les briques ne cessent de tomber sur la tête de Stellantis. Après une suite d’annonces concernant la production de Fiat, la réduction des prix de la gamme Wagoneer et des problèmes de fiabilité endémiques, c’est maintenant au tour de l’un des modèles qu’on aurait cru intouchables d’être atteint, le Jeep Wrangler et son pendant camionnette, le Gladiator.

On apprend que Stellantis coupera un quart de travail complet à sa légendaire usine de Toledo, en Ohio et sera abrogé. Il n’en restera donc qu’un seul pour assurer la production globale des Wrangler et Gladiator. Dans l’équation, ce sont 1 139 emplois qui sont indéfiniment supprimés à partir du 5 janvier prochain.

Les employés touchés auront en compensation 74 % de leur salaire pour une période d’un an. Pour ce qui est des avantages sociaux liés à l’emploi, la couverture en santé sera maintenue pour une période de 2 ans. Pour l’instant, ce ne sont pas des congédiements fermes, mais disons que ça regarde mal pour un possible retour au travail.

Les ventes de ces deux modèles ne sont pas au beau fixe, particulièrement celles du Gladiator qui sont carrément en chute libre. En 2021, sur son principal marché, les États-Unis, il s’est vendu 89 712 exemplaires du Gladiator. En 2022, on est passé à 77 885, puis à 55 187 en 2023 ; et la tendance se maintient en 2024 malgré une collection d’incitatifs. En 2025, certains espèrent un regain de vie, notamment en raison de l’introduction de la version 4xe à motorisation hybride rechargeable dans la camionnette, une première dans son segment en Amérique du Nord.

Que fait Stellantis?

L’entreprise est aux prises avec une crise interne et de nombreux défis. Le constructeur est donc en pleine restructuration de ses opérations et de ses activités dans le but de réduire la saignée financière et des ventes qu’elle subit. Dans cette même foulée, on espère que 2025 sera meilleure. On vise notamment la réduction des inventaires autant dans les parcs de Stellantis que dans les concessions. À titre d’exemple, en ce moment, il y a un inventaire invendu de Dodge Hornet de plus de 14 000 exemplaires à la traîne un peu partout aux États-Unis. On parle ici d’un approvisionnement équivalent à plus de 425 jours. Le scénario n’est pas plus reluisant pour le Jeep Wagoneer. D’une manière générale, les ventes de Jeep ont baissé de 34 % depuis un an sur le marché étatsunien.

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Si on s’aimait Célébrités: Marie-Eve Janvier et Jean-François Breau à la barre et voici les vedettes en quête d’amour

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Une nouvelle version de Si on s’aimait arrivera bientôt sur nos écrans avec Si on s’aimait Célébrités. Cette fois-ci, ce sont trois femmes et un homme, tous bien connus du public, qui partiront à la recherche de l’homme capable de faire battre leur cœur.

Rappelons également qu’un nouveau couple témoin prendra la relève de Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin, des identités qui allaient être dévoilées plus tard.

Bonne nouvelle, puisque les noms de ceux-ci viennent d’être dévoilés par la production, et vous serez peut-être heureux d’apprendre que le célèbre couple composé de Marie-Eve Janvier et Jean-François Breau est le grand élu pour commenter le parcours des célébrités dans le cadre de la télé-réalité.

Quant à l’identité des vedettes, elles vous surprendront, certaines étant plus connues que d’autres, comme la comédienne Sophie Bourgeois et l’animatrice Anick Dumontet.

Nous retrouverons également le candidat de Les traîtres, Maxence Garneau, et enfin la comédienne Joanie Guérin, que l’on a pu voir, entre autres, dans L’Empereur et STAT.

Que pensez-vous de ces choix?

Un rendez-vous télévisuel à ne pas manquer sur les ondes de TVA au printemps 2025, qui comprendra 13 épisodes de 60 minutes!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Céline Dion rend hommage à Herby Moreau et Quincy Jones

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C’est avec une grande tristesse que nous avons appris récemment le décès d’Herby Moreau, le maître des entrevues de tapis rouge en compagnie des célébrités, tant québécoises qu’internationales.

Depuis l’annonce, plusieurs de ses anciens collègues, amis et personnalités du milieu artistique ont tenu à lui rendre hommage.

Céline Dion a elle aussi écrit un touchant message en l’honneur du journaliste artistique sur sa page Instagram, qu’elle qualifie d’ailleurs d’ami.

«Herby Moreau était un ami, un journaliste reconnu internationalement avec qui j’ai passé beaucoup de temps sur les tapis rouges qu’il animait avec maîtrise, élégance et bonne humeur. J’admirais aussi son travail pour l’émission Flash. Pour Star Système et aux auditions de Star Académie également, deux émissions tournées vers les nouveaux talents. Condoléances à sa famille et à ceux qui l’ont aimé.  Son sourire restera gravé dans mon cœur… – Céline xx…»

La diva et grande chanteuse a également rendu hommage à l’iconique producteur, réalisateur et géant de la musique Quincy Jones, qui nous a également quittés cette semaine.

De puissants témoignages signés Céline Dion.

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