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Dossier Lane Hutson : Kent Hughes est au Minnesota pour le voir

Comme vous le savez sans doute, le plan – si tout va bien – est de voir Lane Hutson quitter Boston University afin de prendre le chemin de Montréal dans les prochains jours. Le but? Qu’il signe un premier contrat chez les pros rapidement.

Il ne peut pas encore le faire puisque sa saison universitaire n’est pas finie… mais elle achève.

En fait, comme Hutson est au Frozen Four, soit le carré d’as du hockey universitaire aux États-Unis, il ne lui reste qu’un ou deux matchs avant de voir sa saison prendre fin.

(Crédit: NCAA)

À 17h cet après-midi, il jouera un match de demi-finale de la NCAA contre Denver et s’il gagne, il participera à la finale, qui aura lieu samedi. C’est donc dire que sa fin de saison approche (plus que) rapidement, en ce moment.

Et ce qu’il faut savoir, tel que nous l’a appris Renaud Lavoie, c’est que Kent Hughes est présentement au Minnesota – là où a lieu les derniers matchs de la saison de la NCAA – pour le voir jouer.

Ce que cela veut dire, c’est que dès que Hutson sera éliminé (ou couronné, s’il gagne ses deux prochains matchs), il pourra commencer à jaser avec Kent Hughes pour signer son contrat d’entrée dans la LNH.

Les fans l’attendent, en tout cas.

Évidemment, on peut penser que Hughes est aussi là pour voir Luke Tuch (un coéquipier de Lane Hutson qui peut devenir agent libre cet été), Sam Harris (Denver) et Jacob Fowler (Boston College), tant qu’à y être…

Mais la raison #1 de son voyage au Minnesota, c’est clairement pour aller voir Bill Guerin Lane Hutson et lui faire signer un contrat.

Rappelons qu’officiellement, un joueur de la NCAA ne peut pas avoir d’agent et avoir de contrat pro pour garder son éligibilité dans la NCAA. Ceci dit, on peut penser que malgré tout, Hughes n’aura pas besoin de plusieurs semaines pour lui faire signer son premier contrat avec le CH.

On verra l’an prochain s’il devra passer par Laval (comme Sean Farrell en 2023) ou s’il fera le club (comme Jordan Harris en 2022) en vue de la saison 2024-2025, mais en ce moment, attendez-vous à le voir jouer un ou deux matchs dans la LNH contre Detroit, la semaine prochaine.

En rafale

– Alex Burrows a 43 ans.

– Hum…

– Florian Xhekaj est surnommé Le Député.

– Le Canadien et Gary Bettman n’ont sans doute pas aimé voir Éric Girard parler publiquement du désir de voir le CH à Québec et de la rencontre avec le commissaire à New York. [JdeM]

– En effet.

Mercedes-Benz corrige des erreurs à l’EQS pour 2025

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Lancée il y a peine 3 ans, la grande berline électrique de Mercedes-Benz, l’EQS, reçoit déjà des améliorations pour l’année modèle 2025. Dans les faits, le constructeur apporte quelques correctifs liés aux commentaires de clients.

Le tout commence par le style de la voiture. De série, on obtient maintenant un habillage de la plaque de plastique qui sert de grille de calandre comme ce qu’on voit sur la Classe S à essence. Il y a un effet en 3 dimensions qui imite un grillage. Pour se coller davantage à la Classe S régulière, l’EQS adopte l’étoile en ornement de capot. Pour le reste de la berline, le constructeur maintient les acquis et ne change rien d’autre.

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Dans l’habitacle, c’est à l’arrière qu’on voit de l’action. Mercedes-Benz veut régler le problème des dégagements pour la tête grâce à un nouvel ensemble Confort arrière plus dont le prix oscille aux environs des 5 000 $. Cet ensemble propose en priorité la possibilité d’incliner le dossier jusqu’à 38 degrés, ce qui libère ainsi plus d’espace pour la tête. Si l’on actionne la commande, le siège du passager avant s’avance et s’incline pour offrir plus de dégagement pour les jambes. De plus, le constructeur intègre un repose-pied amovible. Grâce à cet ensemble, les sièges sont maintenant chauffants et pour le cou et pour les épaules.

Pour plus de luxe, de personnalisation et de confort, l’acheteur peut sélectionner l’option MANUFAKTUR moyennant une somme d’environ 20 000 $ ; cette option rehausse notamment l’équipement et la qualité du cuir à bord.

Alors que Mercedes-Benz offre une version Maybach du VUS EQS, le constructeur nous confirme qu’il n’y aura pas une telle version du côté de la berline.

Batterie de plus grande capacité

L’une des modifications les plus significatives est sans contredit l’intégration d’une batterie de plus grande capacité. Elle passe de 108,4 à 118 kilowattheures, mais ne fait que 20 kilos (44 livres) de plus. Le constructeur estime que la batterie offrira une autonomie supérieure de 9 %. Techniquement, l’EQS 2024 propose une autonomie de 547 kilomètres. Avec cet apport, on frôlera les 600 kilomètres.

De plus, Mercedes-Benz apporte une importante correction en intégrant la conduite à une pédale avec arrêt complet. Il s’agit d’une « technologie » déjà intégrée dans la gamme de VUS EQS depuis décembre dernier. Il est aussi important de savoir que les autres véhicules construits sur la plateforme EVA2, les VUS EQS, la berline EQE et le VUS EQE auront tous droit à cette plus grosse batterie et à la conduite à une pédale.

L’opinion de RPM

Mercedes-Benz a fait un faux départ avec l’EQS lors de son dévoilement en 2021. Les propriétaires habituels de Mercedes-Benz ont presque tous trouvé que l’EQS n’avait rien du style d’une Mercedes-Benz et encore moins d’une Classe S, même si cette dernière est électrique. En fait, l’échec de la division EQ est tel que Mercedes-Benz abandonnera prématurément cette appellation.

Le constructeur apporte une collection d’améliorations, mais il est peu probable qu’on réussisse à séduire les acheteurs types de Mercedes-Benz ou, même, de grandes berlines électriques. Ce segment est déjà très marginal ; même les vedettes de la catégorie comme les Tesla Model S et Lucid Air peinent à se vendre. Ultime point défavorable à l’EQS, c’est l’une des voitures dont la dépréciation est l’une des plus fortes sur le marché après un an. Il n’est pas rare de voir des EQS à seulement 50 % de la valeur initiale après 12 mois.

Plus de détails :

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Accepte-toi comme je suis, un documentaire sur l’identité de genre tourné aux Îles

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La réalisatrice estrienne Emmanuelle Roberge – ancienne résidente des Îles qui cosignait en 2022 la vidéodanse (Wel)Coming in – nous présente un portrait intimiste dans son plus récent documentaire Accepte-toi comme je suis, celui de la Madelinienne Élise Cornellier Bernier. À travers le film, Élise se confie sur la transition qu’elle a entamée il y a quelques années, nous parle de sa réalité, mais aussi de ses réflexions à propos de l’identité de genre.

On la rencontre dans sa maison, dans la nature qui caractérise le lieu où elle vit, les Îles. On accueille Emmanuelle Roberge en amont de l’avant-première du film, présenté le 10 avril au Musée de la civilisation à Québec.

LA UNE : La nature et le territoire des Îles occupent une grande place dans le documentaire « Accepte-toi comme je suis », dans lequel Élise Cornellier Bernier se livre.PHOTO : Emmanuelle Roberge

Démission de la conseillère de L’Île-du-Havre-Aubert

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Quatre mois seulement après son entrée en poste, Linda Lebel, la conseillère municipale du district municipal de L’Île-du-Havre-Aubert aux Îles-de-la-Madeleine, démissionne.

Linda Lebel avait été élue sans opposition en novembre à la suite de la démission de la conseillère Sara Vigneau. Mme Lebel explique sa démission par une absence de concordance entre sa vision et celle du conseil municipal.

Mme Lebel admet qu’avant de se lancer en politique elle avait l’habitude de beaucoup interroger les élus et de mettre en question leurs décisions. Elle dit par conséquent avoir ressenti une certaine réticence de la part des élus à travailler avec elle. Ç’a été un peu difficile au début, avoue la conseillère démissionnaire.

Linda Lebel assise près d'une autre personne dont on ne distingue que l'épaule.

La conseillère Linda Lebel a démissionné après avoir occupé son poste durant quatre mois. PHOTO : RADIO-CANADA

Une des choses qui l’aurait incitée à demeurer en poste aurait été une ouverture à la négociation et à la consultation. C’est important d’écouter les gens, pas seulement de les entendre.

Elle se dit néanmoins déçue. J’aurais aimé apporter plus aux citoyens de Havre-Aubert.

Elle aurait aimé, dit-elle, travailler un peu plus à réduire le fardeau fiscal des citoyens. Je n’ai pas eu la chance de me rendre là. C’était ma priorité. Arrêter de dépenser.

Elle admet avoir quand même apprécié l’expérience et les connaissances qui en découlent.

La démission de Mme Lebel n’a pas été abordée lors de la séance du conseil municipal des Îles-de-la-Madeleine mardi. Elle en a fait l’annonce, après, sur les réseaux sociaux.

Le maire des Îles, Antonin Valiquette, se dit déçu de cette nouvelle. Il signale que ses relations avec Mme Lebel étaient bonnes, mais soutient que la réalité au conseil de ville ne correspondait sans doute pas aux attentes de la conseillère démissionnaire.

La Municipalité fera connaître les dates de mise en candidature pour pourvoir le poste vacant.

Si plus d’une personne se présente au poste du district de L’Île-du-Havre-Aubert, des élections partielles seront organisées.

Quant à Linda Lebel, elle entend continuer d’assister aux rencontres du conseil municipal et souhaite au prochain élu de L’Île-du-Havre-Aubert d’être tenace.

 

LA UNE : Linda Lebel l’ex conseillère municipale du district municipal de L’Île-du-Havre-Aubert, aux Îles-de-la-MadeleinePHOTO : Radio-Canada / Isabelle Larose

PAR Radio-Canada

 

Les pêcheurs de homard voteront sur l’augmentation de la taille minimale des prises

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Les pêcheurs de la plus grande zone de pêche au homard au Canada voteront ce printemps pour savoir s’ils souhaitent augmenter la taille minimale légale du homard qu’ils capturent.

Les pêcheurs de la zone 34 en Nouvelle-Écosse, mais aussi ceux de partout en Atlantique doivent décider s’ils s’alignent sur l’augmentation de la taille minimale établie aux États-Unis.

Ce sera un vote individuel. C’est une décision importante que chaque entreprise et chaque propriétaire doit examiner dans le cadre de sa propre entreprise, explique Heather Mulock, directrice générale de l’Association Coldwater Lobster, qui représente les pêcheurs de la zone de pêche au homard 34.

Trente quatre pour cent de notre marché est aux États-Unis. La décision dépend de ce qui est dans notre intérêt du point de vue du marché et de l’économie et pour la durabilité.

Une femme aux cheveux longs et aux lunettes noires est debout dans une salle de conférence.

Heather Mulock, directrice générale de l’Association Coldwater Lobster, affirme que les homards rejetés pour correspondre au minimum américain seraient disponibles pour la récolte la saison prochaine. PHOTO : RADIO-CANADA / MARK CROSBY

Fin mai ou juin, les 979 titulaires de permis de la zone 34 seront invités à voter pour savoir s’ils vont suivre deux augmentations successives aux États-Unis qui entreront en vigueur le 1er janvier 2025 et 2027.

Les inconvénients de ne pas se conformer

Le homard canadien vivant qui sera sous les nouvelles limites ne pourra pas être importé aux États-Unis.

Même le homard, qui traverse la frontière pour être réacheminé en Asie à partir des aéroports de Boston ou de New York, pourrait être bloqué.

L’augmentation de la taille des homards américains a été déclenchée par une étude dans le golfe du Maine qui montre un déclin des jeunes homards.

Un homme barbu debout dans une salle de conférence.

Adam Cook est biologiste pour Pêches et Océans Canada. Il affirme que les débarquements de homard tendent à diminuer dans le sud-ouest de la Nouvelle-Écosse. PHOTO : RADIO-CANADA / MARK CROSBY

En janvier prochain, la nouvelle taille légale de la carapace dans le Maine sera de 84 millimètres. Elle passera à 86 millimètres en 2027. La longueur minimale utilisée dans la majeure partie du Canada est de 82,5 millimètres.

Pour la zone 34, la première augmentation de deux millimètres affecterait entre 12 et 15 % des prises, indique Heather Mulock.

Si les pêcheurs choisissent de maintenir le statu quo, d’autres pays, comme la Chine, pourraient en profiter, indique un document d’information envoyé aux pêcheurs.

La Chine est consciente de l’augmentation des mesures américaines et en profitera très probablement en réduisant son offre pour l’achat de notre produit. La Chine achèterait un produit qui ne peut pas être facilement transporté ailleurs, ce qui lui donnerait un avantage dans les négociations d’exportation, écrit le ministère dans le document.

Pas de consensus

Les impacts individuels sur les zones de pêche au homard des Maritimes ont été présentés aux pêcheurs et aux acheteurs lors d’une réunion mardi à Halifax organisée par le Conseil canadien du homard.

Il n’y a pas eu de consensus sur la manière de réagir à l’augmentation imminente du minimum américain.

Un homme en chemise blanche debout dans une salle de conférence.

Geoff Irvine du Conseil canadien du homard explique que les pêcheurs doivent décider s’ils veulent augmenter la taille minimale pour se conformer à la décision des Américains. PHOTO : RADIO-CANADA / MARK CROSBY

Les pêcheurs de certaines zones de pêche au homard du golfe du Saint-Laurent ont des tailles minimales de carapace bien inférieures à la norme de 82,5 millimètres.

D’autres au Québec et dans certaines parties du Cap-Breton ont des tailles minimales plus grandes.

Ils n’ont pas à décider de faire quoi que ce soit, mais s’ils veulent apporter des changements pour la conservation ou pour l’économie, ils doivent parvenir à un consensus au sein de leur ZPH ou de leurs associations et le présenter au MPO, indique Geoff Irvine du Conseil canadien du homard.

C’est vraiment aux pêcheurs et aux associations de le faire.

Cette décision arrive au moment où les débarquements diminuent dans le sud de la Nouvelle-Écosse.

Nous avons constaté une diminution au cours des dernières années, particulièrement dans la baie de Fundy dans la ZPH 34, note Adam Cook, biologiste pour Pêches et Océans Canada dans les Maritimes.

L’année dernière, 15 263 tonnes de homard a été débarqué dans la zone de pêche au homard 34. C’est 4379 de moins que l’année d’avant.

LA UNE : Les pêcheurs de la plus grande zone de pêche au homard au Canada voteront ce printemps pour savoir s’ils souhaitent augmenter la taille minimale légale du homard qu’ils capturent. PHOTO : REUTERS / BRIAN SNYDER

PAR Radio-Canada avec les informations de Paul Withers de CBC

 

Acura ADX 2025, un nouveau VUS compact de luxe pour la marque

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Acura, la marque de luxe de Honda, vient de confirmer par voie de communiqué la commercialisation d’un nouveau VUS compact de luxe. Il s’agit de l’Acura ADX 2025, un nouveau VUS qui servira de modèle d’entrée de gamme. Il rejoindra dans la gamme les modèles RDX et MDX ainsi que le nouveau VUS électrifié du fabricant, le ZDX.

Le communiqué donne très peu d’information, mais on apprend que l’Acura ADX 2025 utilisera des éléments de l’Integra. Il servira donc de modèle d’entrée de gamme et se positionnera sous le RDX qui se vend au Canada tout juste sous les 50 000 $. On peut s’attendre à ce qu’il partage la même motorisation que l’Integra, soit un moteur à 4 cylindres turbo de 1,5 litre qui développe une puissance de 200 chevaux et produit un couple de 192 livres-pieds.

On comprend donc que l’Acura ADX jouera un rôle très important pour la marque puisqu’il pourrait attirer de nouveaux acheteurs et rapidement devenir le meilleur vendeur.

« Une nouvelle génération d’acheteurs d’Acura aura une excellente raison de s’enthousiasmer, alors que nous ajoutons le modèle d’entrée de gamme Acura ADX 2025 à notre gamme de VUS canadiens », a déclaré James Marchand, vice-président adjoint, Acura Canada.

Plus d’informations devraient être diffusées sous peu. Le modèle devrait être offert au début de l’année 2025.

L’avis de RPM

Acura ne l’a pas facile depuis quelques années avec des ventes à la baisse. Le RDX fait du bon boulot dans la gamme après un départ difficile lors de son introduction, mais la venue d’un modèle d’entrée de gamme fera grand bien à la marque de luxe de Honda. Comme les petits VUS de luxe continuent de bien se vendre au Canada, Acura pourrait maintenant avoir un nouveau joueur qui risque fort d’être intéressant.

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Au tour du Buick Enclave 2025 de proposer une nouvelle génération

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Au cours des derniers mois, Chevrolet et GMC ont toutes deux dévoilé leurs VUS intermédiaires à 3 rangées de sièges de nouvelle génération. Il ne manquait que Buick. Ce qui est désormais chose faite, puisque le constructeur vient de présenter le Buick Enclave 2025 de nouvelle génération. À l’image de ses cousins, l’Enclave a été complètement revue et propose une nouvelle motorisation ainsi qu’un nouveau design plus moderne.

Un nouveau design

Le Buick Enclave était le dernier produit de la marque qui n’avait pas encore été modernisé. Avec cette nouvelle génération, la marque américaine peut désormais affirmer que sa gamme complète de véhicules a été rajeunie. Dans la continuité des autres véhicules Buick, l’Enclave opte pour la philosophie de design provenant du concept Wildcat EV. Cela se traduit par un nouveau carénage avant complètement revu, idem pour l’arrière. Contrairement à la précédente génération qui optait pour des lignes plus arrondies, cette nouvelle génération opte plutôt pour des lignes plus découpées.

Le Buick Enclave 2025 sera offert en 3 versions : Preferred, Sport Touring (ST) et Avenir. Les deux premières bénéficieront de roues de 20 pouces de série, tandis que la version Avenir offrira des roues de 22 pouces.

À l’image de l’extérieur, le Buick Enclave 2025 obtient un aménagement intérieur complètement redessiné et repensé. La planche de bord comportera un grand écran de 30 pouces en diagonale. Ce dernier comprendra une portion pour l’instrumentation numérique devant le conducteur et se poursuivra vers le centre pour le système d’infodivertissement. Le constructeur précise également que, dans le réaménagement de l’habitacle, il a prévu une console centrale du type flottant entre les deux sièges avant. Cette dernière abritera plusieurs rangements ainsi qu’un plateau de recharge sans fil de série.

Pour ce qui est du nombre de places assises, les deux photos publiées par le constructeur montrent une configuration à 7 places assises, soit 2 places à la 2e rangée et 3 places à la 3e rangée. Pour le moment, nous ne savons pas s’il sera possible d’avoir 8 places assises, comme c’est le cas du Chevrolet Traverse 2024 et du GMC Acadia 2024.

Plus d’éléments de sécurité à bord

Comme c’est le cas de plusieurs autres produits GM avec l’arrivée d’une nouvelle génération, le Buick Enclave 2025 comptera plus d’éléments de sécurité de série que le modèle de la génération sortante. Parmi les ajouts mentionnés dans le communiqué de presse du constructeur, nous notons l’assistance à la direction dans les angles morts, le freinage d’urgence automatique aux intersections, la reconnaissance des panneaux de signalisation ainsi que l’aide au maintien de voie et avertissement de sortie de voie.

De plus, le Buick Enclave 2025 sera le premier véhicule de la marque à offrir la capacité d’aide à la conduite du système Super Cruise de GM, selon le constructeur.

Une nouvelle motorisation

Le Buick Enclave 2025 offrira sous le capot une nouvelle motorisation à 4 cylindres turbocompressé de 2,5 litres. Cette mécanique développera une puissance de 328 chevaux et produira un couple de 326 livres-pieds ; elle sera jumelée à une boîte de vitesses automatique à 8 rapports. Le rouage intégral sera de série, et ce, sur toutes les versions. Buick annonce une capacité de remorquage maximale chiffrée à 2 268 kilos (5 000 livres).

Au moment d’écrire ces lignes, la gamme de prix du Buick Enclave 2025 n’a pas encore été dévoilée. Comme c’est souvent le cas, cette dernière sera annoncée à l’approche de la date d’arrivée du véhicule dans les concessions canadiennes. En ce qui a trait à la date d’arrivée, Buick mentionne qu’elle acceptera les commandes au début de l’été, ce qui pourrait laisser présager une arrivée sur le marché à l’automne 2024.

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Attendre une Hyundai IONIQ 5 ou se tourner vers un Volkswagen ID.4?

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« J’ai placé mon nom sur la liste pour une Hyundai IONIQ 5 à rouage intégral en 2022. Mon concessionnaire me dit que je ne recevrai pas mon véhicule avant la fin de 2024. Cependant, chez Volkswagen, ils ont des ID.4 2023 en stock, pour livraison rapide. Est-ce que je devrais laisser tomber l’IONIQ 5 et opter pour un ID.4 à la place? » — François

Réponse

Bonjour François,

Hyundai est sérieusement mal prise avec les délais d’attente pour ses véhicules électriques. Même si ça fait plus de deux ans que l’IONIQ 5 est vendue sur le marché, le constructeur continue de faire patienter les consommateurs canadiens, alors que les concessionnaires américains ont des véhicules en stock. De plus, certains consommateurs ont remarqué des incongruités dans la gestion de la liste d’attente, se faisant dépasser par des gens qui étaient prétendument derrière eux. Bref, c’est une situation déplorable qui place les consommateurs sur la sellette.

Je comprends donc parfaitement l’intention de lorgner du côté de la concurrence pour obtenir un véhicule plus rapidement. Le Volkswagen ID.4 est effectivement une option, parce qu’il est disponible rapidement en concession. Le constructeur a augmenté la capacité de production, ce qui veut dire qu’il est maintenant en mesure de faire face à la demande.

Le cas Volkswagen

Cependant, le Volkswagen ID.4 2023 est un véhicule qui laisse mi-figue, mi-raisin. Oui, l’espace qu’il donne à l’intérieur est plutôt généreux, et que le style est satisfaisant, notamment avec un grand choix de couleurs autant pour l’extérieur que l’intérieur. De plus, plusieurs versions différentes sont disponibles pour satisfaire la clientèle. Dans votre cas, il faudrait opter pour un véhicule avec batterie de 82 kilowattheures et à rouage intégral pour remplacer l’IONIQ 5 que vous avez en tête.

D’un autre côté, le Volkswagen ID.4 a quelques défauts. Le principal est certainement l’interface de son système d’infodivertissement qui est plutôt récalcitrante. Le système est lent et est aux prises avec des bogues qui ne sont pas dignes d’un produit aussi moderne. L’autre point à considérer est le bilan de fiabilité plutôt déconcertant. Bien que certains propriétaires n’aient pas eu de problèmes majeurs, d’autres ont eu des problèmes avec les moteurs, la batterie de traction, la batterie 12 volts ou des problèmes de recharge. Il y a eu recrudescence des problèmes quand la production du véhicule a été transférée de l’Allemagne au Tennessee, en octobre 2022.

Sachez également que le modèle 2024 du Volkswagen ID.4 est lourdement retravaillé, avec des mécaniques mises à jour pour plus de puissance dans le cas du modèle à rouage intégral, mais également par l’arrivée d’un nouveau système d’infodivertissement de plus grande dimension, et de nouvelle génération. Selon les premiers tests, la réactivité est meilleure et la stabilité du système également. Tout est en place pour que le modèle 2024 soit plus convaincant que le 2023, mais nous devrons le laisser faire ses preuves avant de statuer.

En revanche, l’IONIQ 5 a un bilan de fiabilité plus reluisant même s’il n’est pas parfait, des performances générales plus convaincantes et une meilleure capacité de recharge rapide.

La chose à faire

À mon avis, dans votre situation, le choix le plus avisé est de conserver votre réservation de Hyundai IONIQ 5 et d’attendre l’arrivée du véhicule à la fin de 2024. C’est certain que ça met à mal votre patience, mais le bilan de fiabilité plus rassurant de l’IONIQ 5 la place en meilleure position que le Volkswagen ID.4.

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Le Ford Mustang Mach-E 2024 reçoit des améliorations, dont une recharge plus rapide

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Le Ford Mustang Mach-E n’a pas cessé de faire couler l’encre depuis son arrivée en 2021. Alors que certains saluaient son style audacieux et ses performances notables, notamment pour la version GT, d’autres étaient plutôt refroidis par son prix élevé et ses problèmes de fiabilité. Pour 2024, le constructeur apporte des modifications qui améliorent la performance générale du véhicule, comme son autonomie et sa capacité de recharge rapide.

Ces bonifications sont, en partie, liées à l’arrivée d’un nouveau moteur électrique plus léger et offrant plus de couple, placé sur le train arrière. Ce moteur, dont la puissance totale en fonction des versions n’a pas été dévoilée, est développé par Ford directement et sera installé sur toutes les versions 2024 du Mustang Mach-E. Il aura pour principal effet d’améliorer l’autonomie des véhicules. Même si tous les chiffres ne sont pas encore disponibles, pour les versions à propulsion, l’autonomie sera de 32 kilomètres, faisant que les versions à autonomie standard sont maintenant homologuées pour 402 kilomètres et les versions à autonomie prolongée sont à 515 kilomètres.

De plus, le constructeur affirme avoir amélioré la capacité de recharge rapide, pour toutes les versions. Pour les véhicules munis de la batterie à autonomie standard, le temps de recharge est raccourci de 5,7 minutes pour atteindre 32,3 minutes pour passer de 10 à 80 %. L’amélioration est plus drastique pour les versions à autonomie prolongée qui voient leur temps de recharge de 10 à 80 % s’abaisser de 8,8 minutes, à 36,2 minutes. Ford n’a pas encore donné la capacité de recharge maximale acceptée par le véhicule.

Une version GT plus performante

Un véhicule qui porte le nom Mustang doit inévitablement avoir une version GT digne de ce nom, et les ajustements effectués vont justement améliorer la performance du modèle. Le nouveau moteur permet une plus grande puissance qui sera disponible par l’entremise de l’ensemble « Performance » qu’il sera possible de sélectionner à l’achat du véhicule ou ultérieurement pour les versions GT. Cet ensemble ajoutera 100 lb-pi de couple et permettra au véhicule d’abattre le 0-97 km/h (0–60mi/h) en 3,3 secondes, plus rapide que les Tesla Model Y Performance et Porsche Macan 4 Electric selon Ford. D’autres options individuelles sont encore disponibles, comme les sièges sport, la suspension MagneRide et les freins Brembo.

Tablant sur cette mécanique améliorée, la version Rally arrivera également pour 2024. Avec son style unique et sa suspension relevée de 1 pouce, elle est destinée à une utilisation hors des routes asphaltées.

Des prix similaires

Le Ford Mustang Mach-E a longtemps été critiqué pour ses prix élevés, une situation que Ford a corrigée en février dernier dans le but d’écouler les modèles 2023 restant dans les cours de concessionnaires à la grandeur du pays. Or, pour 2024, le constructeur conserve cette structure de prix ajustée à la baisse.

VersionsBatterieRouagePrix
SelectStandardPropulsion54 995 $
Intégral56 995 $
ProlongéeIntégral60 995 $
PremiumStandardPropulsion58 995 $
Intégral60 995 $
ProlongéePropulsion62 995 $
Intégral64 995 $
GTProlongéeIntégral69 995 $
RallyProlongéeIntégral74 995 $

De ce fait, l’entièreté des versions, hormis la GT et la Rally, est admissible aux deux rabais offerts par les gouvernements provincial et fédéral, à hauteur de 12 000 $. La version GT n’est admissible qu’au 5000 $ du Fédéral, alors que la version Rally n’obtient aucun rabais.

Le Mustang Mach-E arrivera à une date ultérieure.

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Le Toyota 4Runner 2025 arrive avec une motorisation hybride optionnelle

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En 2024, le Toyota 4Runner est le dernier véhicule vendu au Canada à proposer une automatique à cinq rapports, ce qui montre l’âge du véhicule qui n’a pas été modernisé sérieusement depuis 15 ans. Or, Toyota vient de donner un sacré coup de barre au véhicule en dévoilant la sixième génération du modèle. Au menu, une toute nouvelle plateforme, de multiples versions et une motorisation hybride.

Il n’est pas surprenant que le nouveau Toyota 4Runner 2025 reçoive une mécanique hybride, puisqu’il est étroitement relié au Toyota Tacoma qui en propose une à son tour. Cette mécanique, appelée i-FORCE MAX, est composée d’un 4-cylindres turbocompressé de 2,4 litres et d’un moteur électrique de 48 chevaux intégré à la boite automatique à huit rapports. Cet ensemble confère aux 4Runner une puissance de 326 chevaux et un couple de 465 lb-pi, en faisant le 4Runner le plus puissant de l’histoire. Cette mécanique sera offerte de série pour la version TRD Pro, de même que pour les deux nouvelles versions Trailhunter et Platinum. Elle sera optionnelle pour d’autres déclinaisons.

Les versions moins équipées — SR5, TRD Sport, TRD Hors route et Limited — arriveront avec une version non électrifiée du 4-cylindres turbocompressé. Cette mécanique, comme dans le Tacoma, procure une puissance de 278 chevaux et un couple de 317 lb-pi. Dans les deux cas, des chiffres sont supérieurs à ceux du V6 4,0 litres du modèle sortant.

Dans le même sens, le 4Runner 2025 repose sur la plateforme TNGA-F, laquelle est partagée avec le Tacoma, le Tundra et le Land Cruiser. Celle-ci promet d’améliorer le confort du véhicule et la robustesse générale. La suspension arrière est indépendante à bras multiples.

Un style repensé

Le partage avec le Tacoma se poursuit sur le plan du style, avec des lignes qui sont plutôt proches de celle du camion intermédiaire. On remarque donc des porte-à-faux courts à l’avant, un capot bien découpé et des tours d’ailes massifs et omniprésents. En guise d’hommage aux deux premières générations, le constructeur a installé une troisième vitre latérale enveloppante qui remonte vers le toit, un élément stylistique qui ne manquera pas de se faire remarquer. Pour ce qui est de l’arrière, les lignes s’approchent de ce qu’elles étaient avec la précédente génération en ce sens que les feux de position sont placés latéralement et que la lunette descend dans le hayon, comme toutes les générations précédentes.

Évidemment, le style sera modifié en fonction de la version. Si les modèles SR5, Limited ou Platinum adoptent une approche plus classique avec des lignes modernes et plus chics, les modèles TRD donnent plus dans l’aventure. Le point culminant est certainement la version Trailhunter avec sa calandre ornée du mot Toyota en toutes lettres, sa barre de DEL de 20 pouces, ses roues de couleur dédiées enveloppées de pneus de 33 pouces, ses barres de protection en acier et ses suspensions retravaillées.

La présentation intérieure est pratiquement inchangée par rapport à celle du Tacoma. Ceci signifie que toute la place est laissée à l’électronique dans les déclinaisons les plus équipées, avec une instrumentation numérique de 12,3 pouces et un écran central de 14 pouces équipé de l’interface Toyota nouveau genre. Les versions moins équipées reçoivent une instrumentation de 7 pouces et un écran central de 8 pouces. Les connectivités Apple CarPlay et Android Auto sont de série. En option, le 4runner pourra être équipé d’une troisième rangée de sièges.

Capacités améliorées

Le constructeur mentionne que l’angle d’attaque peut atteindre 32 degrés, alors que l’angle de sortie monte à 34 degrés, sans toutefois mentionner la version à laquelle ça s’applique. L’autre capacité améliorée qui séduira sans doute les amateurs de camping est la capacité de remorquage qui atteint 2727 kilos (6000 livres), en hausse de 454 kg (1000 livres) par rapport au modèle de cinquième génération. Pour en bénéficier, il faut opter pour le moteur hybride.

D’autres ajouts sont également faits, comme la barre stabilisatrice avant à désaccouplement pour améliorer la flexibilité de la suspension avant. Pour ce qui est des systèmes à quatre roues motrices disponibles, ils varieront selon la version. Les moins équipées auront un système à prise temporaire actionnable par un bouton, alors que les plus garnies auront un système à prise permanente. Malgré tout, toutes les déclinaisons auront un boitier de transfert à gamme basse, pour améliorer les capacités hors route, un régulateur de traction actif et un différentiel à glissement limité automatique. Un différentiel arrière à verrouillage électronique est disponible pour certaines versions, alors que d’autres ont un différentiel central à verrouillage. Plusieurs assistances électroniques, comme le sélecteur multiterrain, le régulateur de vitesse en hors route et la commande d’assistance en descente sont aussi proposées.

Le prix du Toyota 4Runner 2025 n’est pas encore dévoilé, mais nous savons qu’il arrivera à l’automne 2024.

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